(tiré du livre "la fin des impostures" de Dommergue Polacco, répondant à la question) Pourquoi le Juif ne peut être un homme ordinaire ? Pourquoi ce particularisme si intensément particulier ? ()
Les Chrétiens ont un code détaillé de pratiques religieuses, morales, le catéchisme. Les Juifs ont un code correspondant qui s’appelle le TALMUD. Il est formé de plusieurs volumes séparés en deux grands parties : la MISHNA, et la GEMARA. L’un et l’autre ont été codifiés en un livre plus simple : le SCHULCHAN AROUK, par le célèbre rabbin Josef Caro. Les encyclopédies, les journaux et les dirigeants Juifs affirment de façon catégorique que le Talmud a force de loi pour tous les Juif aujourd’hui ou demain comme hier.
Au début du siècle, l’abbé Auguste Rohling, docteur et savant hébraïsant, traduisit de nombreux passages du Talmud. Il avait offert dix mille francs à quiconque lui prouverait qu’un seul mot de sa traduction était inexact. La traduction avait été révisée par un autre savant docteur, l’abbé Lamarque. Elle fut reproduite dans de nombreux livres et journaux d’Europe et dans de nombreuses langues. Jamais personne ne contesta sa traduction. Voici donc quelques passages de ce « catéchisme » reproduits dans un livre de l’abbé Charles, docteur en théologie, ancien professeur de philosophie, curé de Saint Augustin en France, dont le titre est « Juste solution de la Question juive ».
1 - La Bible, c’est de l’eau, mais la Mishna, c’est du vin et la Gémarra, du vin aromatique. (Masech Sopharim, 13 b)
2 - Celui qui méprise les paroles des rabbins est digne de mort.
3 - Il faut savoir que les paroles des rabbins sont plus suaves que celles des prophètes. (Midras Misle, fol 1)
4 - Les paroles des rabbins sont les paroles du Dieu vivant. (Bochai ad Pent fol 201, cab. 4)
5 - La crainte du rabbin est la crainte de Dieu. (Yadchaz hileh, Talmud, Thora, Perq. 5-1)
6 - Les rabbins ont la souveraineté sur Dieu. (Tr. 6 Madkatan 16)
7 - Tout ce que les rabbins disent sur la terre est une loi pour Dieu (Tr. Rosh-Hasha)
8 - Ceux qui étudient la loi des rabbins sont libres de tout dans le monde. (Sahra 1. 132 a)
9 - Celui qui étudie le Talmud ne tombera jamais dans le besoin, mais il y puisera l’art de tromper. (Tr. 19 Sota 216)
10 - Si le Juif passe des sentences et des doctrines du Talmud à la Bible, il n’aura plus de bonheur. (Tr. chag. Fol.10b)
11 - Si les Juifs suivent le Talmud, ils mangeront pendant que les Goys travailleront. Sinon ils travailleront eux-mêmes. (Tr. Beras chor 351-b)
12 - Celui qui lit la Bible sans la Mischna et sans la Gemara (Talmud), est semblable à quelqu’un qui n’a pas de Dieu. (Sepher, Safare Zedeq, Fol.9)
13 - Voilà ce qu’Israël pense de lui-même : Dieu d’abord pleure tous les jours la faute qu’il a commise en envoyant son peuple en exil. (Tr. Berachot, ol.3a.)
14 - Les âmes des Juifs sont des parties de Dieu, de la substance de Dieu, de même qu’un fils est de la substance de son père. (Tr. Sela 262a)
15 - Aussi une âme juive est-elle plus chère, plus agréable à Dieu que toutes les âmes des autres peuples de la terre. (Sela I.C. et Sefa Fol 4)
16 - Les âmes des autres peuples descendent du démon et ressemblent à celles des animaux. LE GOY EST UNE SEMENCE DE BETAIL. (Traité JEBAMMOTH. Sefa et Sela id. Sepher Hannechamma. Fol 221. Col. 4. Jalqût. Fol 154b)
17 - Tous les Goyim vont en enfer. (T. Sepher Zerov Ha-mor. Fol 27b et Bachai 34. Masmia Jesua. Fol 19.Col.4)
18 - Les Juifs auront l’empire temporel sur le monde entier. (Perus Hea-misma. Ad Tr. Sab. Ic)
19 - Tous les Chrétiens seront exterminés. (Sepher Zerov Ha-Mor. Fol. 125 b)
20 - Tous les trésors des peuples passeront entre les mains juives (Sanhédrin, Fol. 110 b)
21 - Car tous les peuples les serviront et tous les royaumes leur seront soumis. (Sanhédrin, Fol. 88b et Kethuboth, Fol. 111b)
22 - Dieu a mesuré la terre, il a livré les Goyim aux Juifs. (Baba Quamma, Fol. 37b.)
23 - Les Goyim ont été créés pour servir le Juif jour et nuit. Dieu les créa sous forme d’homme en l’honneur du Juif car il ne peut convenir à un prince (et tout compatriote de Juda le pendu est un prince) d’être servi par un animal sous forme de quadrupède. (Sepher Nedrash Talpoth, édition de Varsovie, 1875, page 225)
24 - Les biens des Goyim sont des choses sans maîtres : elles appartiennent au premier Juif qui passe. (Pfefferkorn, Dissert. Philos. Page 11)
25 - Un Goy qui vole à un Juif même moins qu’un liard, doit être mis à mort. (Jebammoth, Fol. 47b)
26 - Mais il est permis à un Juif de voler un Goy. (Babattez, Fol. 54b)
27 - Car la propriété d’un Goy équivaut à une chose abandonnée. Le vrai possesseur est le Juif qui la prend le premier. (Baba Bathra, Fol. 54b)
28 - Si un Juif a un procès contre un Goy (dit le Talmud au magistrat Juif), vous donnerez gain de cause à votre frère, et vous direz à l’étranger : « C’est ainsi que le veut notre loi ».
29 - Si la colonie juive a pu imposer quelques-une de ces lois, vous donnerez encore gain de cause à votre frère et vous direz à l’étranger : c’est ainsi que le veut notre loi. Mais si Israël n’est pas puissant dans le pays ou si le juge n’est pas Juif, il faudra tourmenter l’étranger par des intrigues jusqu’à ce que le Juif ait gagné sa cause. (Tr. Baba Gamma, Fol. 113a)
30 - Celui qui rend à un Goy l’objet qu’il a perdu ne trouvera pas grâce auprès de Dieu car il fortifie la puissance des Goyim. (Sanhédrin, Fol. 76b)
31 - Dieu a ordonné de pratiquer l’usure envers les Goyim, car nous devons lui faire tort même quand il nous est utile. Si un Goy a besoin d’argent, un Juif saura le tromper en maître. Il ajoutera l’intérêt usuraire jusqu’à ce que la somme soit si élevée que le Goy ne puisse plus la payer sans vendre ses biens ou que le Juif commence à faire un procès et obtienne des juges le droit de prendre possession des biens du Goy. (Sepher, Mizv. Fol. 73-4)
32 - Il faut tuer le plus honnête parmi les Goys.
33 - Celui qui fait couler le sang des Goyim offre un sacrifice à Dieu. (Nidderas Bamidebar rabba, p.21)
34 - Trois Juifs réunis suffisent pour délier leurs compatriotes de tout serment. (Rosch-Haschana)
35 - Le célèbre Juif Frank dit que dans la Kabbale, il est impossible d’expliquer les nombreux textes de la Mischna et du Talmud en général. Or la Kabbale enseigne ceci : Le Juif est donc Dieu vivant. Dieu incarné ; c’est l’homme céleste. Les autres hommes sont terrestres, de race inférieure. Ils n’existent que pour servir le Juif. Ce sont des petits d’animaux. (Ad Pent. Fol. 97-3)