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Remanié à partir d'une traduction Google.
Le chef des opérations d'Al-Qaida a un passé surprenant
Michael Collins Piper
American Free Press
5-21-4
Dans le numéro du 19 avril, American Free Press a mentionné le fait rarement rapporté selon quoi Khalid Shaikh Mohammed, le prétendu chef des opérations du réseau terroriste Al-Qaida, aurait dit à ses interrogateurs que les tours Sears à Chicago étaient visées elles aussi par Al-Qaïda -- un fait très significatif à la lumière de la preuve que des opérateurs israéliens, lesquels ont été mis en garde à vue sur le sol américain à la suite des attentats terroristes du 11 septembre, avaient des bandes vidéos détaillées de la tour Sears. Cette semaine, l'American Free Press apporte la suite de ces détails peu connus de l'historique de Mohammed.
Deuxième d'une série
Il y a un détail à propos du présumé chef des opérations d'Al-Qaida Khalid Sheikh Mohammed qui, bien qu'il ait été rapporté dans les médias, ne reçoit jamais l'attention qui lui est dû: Mohammed est l'oncle de Ramzi Yousef, le présumé cerveau derrière le premier attentat terroriste de 1993 contre le World Trade Center (WTC) et qui a souvent été « lié » par certaines sources aux bombardements de l'édifice Murrah à Oklahoma City en 1995.
Une croyance largement répandue suggère que le neveu de Mohammed, Yousef, était en fait un agent secret des services de renseignement d'Al-Qaida, le Mossad. En outre, c'est un fait des plus inconfortables que Yousef a travaillé en étroite collaboration avec un agent confirmé du Mossad, Ahmad Ajaj, dans le premier attentat du World Trade Center.
Donc la question est de savoir si Mohammed, comme son neveu et collaborateur de longue date, a été effectivement un secret agent-double du Mossad opérant dans un réseau arabe et musulman. Voyons quelques faits.
Pendant des années, il y a eu beaucoup de questions sans réponse quant aux arrières-plans ethniques ou culturels de Yousef, sans pas parler de son identité. Il a été décrit de plusieurs manières comme un "Irakien" ou comme un ressortissant Koweïtien, ou comme un Baloutche du Pakistan.
À l'époque où Yousef prétendant être un Irakien, au cours de sa période d'opérateur à New York juste avant la première attaque du WTC, des Arabes se sont mis à en douter. Toutefois, pour ceux qui étaient désireux d'établir un lien entre Saddam Hussein et l'Irak avec les deux attentats contre le WTC et, comme certains le font encore aujourd'hui, à l'attentat d'Oklahoma City, la prétention de Yousef au patrimoine iraquien tombait bien.
Selon un rapport d'enquête d'Emily Fancher, de l'École Graduée de Journalisme de l'Université Columbia: "l'identité de Yousef n'a jamais été déterminée par le tribunal." Donc la vérité est que pas même le gouvernement des États-Unis n'a pas déterminé -- du moins officiellement -- si Youssef est vraiment un Arabe ou un musulman ou d'un Baloutche.
Ce qui rend cette anomalie peu rapportée si intéressante est que l'évaluation anciennement secrète de la CIA, daté de mars 1979, des renseignements étrangers d'Israël et des services de sécurité, a signalé, candidement, que c'est une politique de longue date pour les renseignements israéliens de déguiser des Juifs en Arabes. Le rapport de la CIA affirme:
"L'un des objectifs des services de renseignement et de sécurité est que chaque agent de maîtrise l'arabe. Un cours intensifs de neuf mois de langue arabe est donné chaque année. . . aux étudiants. . . .
Comme formation additionnelle, ces officiers du Mossad travaillent dans les [terres arabes contrôlées par Israël] pendant deux ans pour renforcer leurs compétences linguistiques. . . .
Beaucoup d'Israéliens sont venus de pays arabes où ils sont nés et élevés et paraissent plus Arabes qu'Israéliens. . .
En forgeant des passeports et des documents d'identité des pays arabes et occidentaux et en fournissant des historiques et légendes raisonnables de couverture, le Mossad a envoyé avec succès, en Egypte et autres pays arabes, des Israéliens avec des papiers et des déguisements Arabes ou de citoyens de pays européens. . . .
Ces personnes sont également utiles pour leur capacité à passer complètement pour un citoyen de la nation en question.
Le talent israélien pour la contrefaçon ou la falsification des passeports et des documents supporte bien l'authenticité de l'agent.
Comme si cela ne suffisait pas à éveiller les soupçons, le 29 septembre 1998, le journaliste israélien Yossi Melman, écrivant pour le journal israélien Ha'aretz, a révélé:
"Des agents du Shin Bet, qui ont infiltré le secteur israélo-arabe dans les années 1950, allaient aussi loin que de marier des femmes musulmanes et avoir des enfants avec eux, dans le dessein de poursuivre leur mission sans éveiller de soupçons."
Donc, la question demeure: les personnes connues sous le nom de Mohammed et Yousef sont-elles réellement ce qui elles prétendent, et sont-elles vraiment Arabes ou Baloutches ou Musulmanes?
Et si l'équipe oncle-et-neveu sont vraiment des Arabes et des musulmans, le fait que le neveu, Yousef, travaillait en étroite collaboration avec un agent confirmé des renseignements israéliens actif dans le premier attentat du WTC est encore digne d'intérêt en effet, surtout considérant que l'agent israélien en question était lui-même Arabe.
Voici les faits sur la connexion de Yousef au mossad relativement à la première tragédie du WTC, tel que révélés pour la première fois par Robert I. Friedman dans l'article du 3 août 1993, paru dans Village Voice, un hebdo indépendant newyorkais de gauche dont les rapports ont été référencés par l'American Free Press.
Friedman a rapporté que le compagnon de voyage et proche collaborateur de Yousef, Ajaj, un Palestinien de Cisjordanie de 27 ans détenu dans une prison fédérale pour complot visant à faire sauter le World Trade Center, pourrait avoir été une taupe du Mossad.
Ajaj a été arrêté à l'aéroport Kennedy le 1er septembre 1992, après être débarqué d'un vol international pakistanais de Peshawar portant sur lui un faux passeport suédois et des manuels de fabrication de bombes. Il a été mis en garde à vue et a par la suite plaidé coupable d'être entré au pays illégalement. Le compagnon de voyage d'Ajaj était Yousef.
Bien que le FBI ait identifié Aja comme un des hauts terroristes de l'Intifada ayant des liens avec le Hamas, l'organisation fondamentaliste islamique palestinienne, Kol Ha'ir, un hebdo hébreu respecté publié à Jérusalem, a indiqué qu'Ajaj n'a jamais été impliqué dans des activités de l'Intifada ou avec le Hamas ou même avec l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).
Au lieu de cela, selon Kol Ha'ir, Ajaj était un petit escroc arrêté en 1988 pour avoir contrefait des dollars américains dans Jérusalem-Est. Ajaj a été reconnu coupable de contrefaçon et fut ensuite condamné à deux ans et demi de prison.
Selon Friedman, écrivant dans The Village Voice: "C'est au cours de son séjour en prison que le Mossad, la CIA en Israël, l'aurait apparemment recruté, affirment des sources de renseignements israéliens. À l'époque où il a été libéré après avoir purgé seulement un an, il avait apparemment subi une transformation radicale. "
Friedman a déclaré que Ajaj était soudainement devenu un fervent musulman et un fervent nationaliste pur et dur. Ensuite, Ajaj a été arrêté pour contrebande d'armes en Cisjordanie, supposément pour le Fatah, une sous-division de l'OLP.
Mais Friedman affirme que cela était en fait une mascarade. Les sources de Friedman dans les renseignements israéliens disent que l'arrestation et la déportation ultérieure d'Ajaj ont été « organisées par le Mossad pour établir sa réputation de militant de l'Intifada. Le Mossad aurait "chargé " Ajaj d'infiltrer des groupes palestiniens radicaux opérant en dehors d'Israël et de faire ensuite rapport à Tel Aviv. Les sources de renseignement israéliens disent qu'il n'est pas inhabituel pour le Mossad de recruter dans les rangs des criminels communs. »
Après sa déportation d'Israël, Ajaj s'est manifesté au Pakistan où il s'est retrouvé en compagnie des rebelles moudjahidines anti-Soviet en Afghanistan.
Cela rendrait encore plus crédible la possibilité qu'Ajaj ait travaillé pour le Mossad, ecar selon le numéro de septembre 1987 du Covert Action Information Bulletin, le financement et l'approvisionnement des moudjahidines n'était pas seulement "la deuxième plus importante opération" dans l'histoire de la CIA, mais c'était aussi, d'après l'ancien agent du Mossad Victor Ostrovsky (dans The Other Side of Deception), sous la supervision directe du Mossad.
Selon Ostrovsky: "c'était un pipeline complexe, car une grande partie des armes des moudjahidines ont été faites en Amérique et ont été fournies à la Fraternité musulmane directement par Israël, en utilisant comme transporteurs les Bédouins nomades qui parcouraient les zones démilitarisées dans le Sinaï."
Après les aventures d'Ajaj avec les moudjahidines, il a resurgi à New York et visait à venir en aide aux membres d'une petite clique dite "radicale" entourant le Cheikh Abdel-Rahman, lequel a été accusé d'être le cerveau des attentats à la bombe de 1993 au WTC.
Le 26 février 1993, le jour des attentats au WTC, Ajaj était "en sécurité" en prison purgeant une peine de six mois pour être entré illégalement au pays avec un faux passeport. Plus tard, ensuite, il a été inculpé pour conspiration dans l'attentat du WTC.
"Si Ajaj a été recruté par le Mossad [Friedman met l'accent], on ne sait pas s'il a continué à travailler pour l'agence d'espionnage israélien après avoir été expulsé. Une possibilité est, bien entendu, qu'en quittant Israël et en s'acocquinant aux musulmans radicaux à proximité du cheikh égyptien aveugle, sa loyauté ait changé de bord ", écrit Friedman.
"Un autre scénario est qu'il ait eu connaissance préalable des attentats du WTC, connaissance qu'il a partagé avec le Mossad, et que le Mossad, pour quelque raison que ce soit, ait gardé le secret pour lui seul. Si cela est vrai, les sources de renseignements américains spéculent que le Mossad pourrait avoir décidé de garder l'information pour eux de façon à ne pas compromettre son agent ", écrit Friedman.
Emily Fancher de l'Université Columbia a indiqué que Robert Precht, un avocat de la défense de l'un des co-accusés d'Ajaj dans le procès du WTC, a déclaré: "Nous avons estimé qu'il y avait des acteurs invisibles derrière cela. Ni les avocats de la défense, ni le gouvernement ne savait de qui il s'agissait."
Ce n'est probablement pas un hasard, compte tenu du fait que lorsque Yousef a finalement été mis en garde à vue, selon l'agent des services secrets américains Brian Parr, "il était sympathique, il semblait détendu et il semblait avoir effectivement envie de nous parler." C'est précisément ce que l'on pourrait attendre d'un agent israélien faisant son travail, diffusant la légende d'Al-Qaïda pour le bénéfice de ses commanditaires israéliens.
La possibilité d'une couverture (cover up) dans les hauts niveaux du FBI concernant l'implication israélienne dans le premier attentat au WTC doit être considérée d'autant plus que l'ancien chef de la Force Spéciale Conjointe contre le Terrorisme du FBI, qui a joué un rôle clé dans la première enquête du WTC, était Neil Herman.
Après avoir quitté le FBI, Herman a temporairement occupé le poste du défunt récent Suall Irwin, qui fut le directeur de longue date de la section "recherche des faits" pour la ligue anti-diffamation (Anti-Defamation League, ADL) du B'nai B'rith.
Un extrait vidéo très approprié:
version française https://www.youtube.com/watch?v=rlLcyYr61Mg
version québécoise (voyez la différence de traduction!)
https://www.youtube.com/watch?v=a4ut9wTrkJg
meilleur son:
https://www.youtube.com/watch?v=32jzkZ-86sE
Dernière édition par Druide le 26/9/2009, 09:57, édité 2 fois