Une étude de la Fondation
Rockefeller, publiée en mai dernier, promet une «Décennie du malheur ». Au programme : catastrophes naturelles, attaques terroristes, systèmes économiques incontrôlables et surveillance électronique généralisée. Projection d’un futur cauchemardesque qui décrit une dictature mondiale étroitement contrôlée par l’élite mondiale et leurs serviteurs et bénéficiaires : les multimillionnaires. Ce rapport, que nous plaçons en fin d’article, intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et le développement global », prédit quatre grandes lignes et possibles scénarios pour un avenir à court et moyen terme.
Un de ces possibles scénarios, intitulé « Hack Attack » (attaque de hackers) décrite une technologie diabolisée, une arme informatique criminelle qui règne dans un monde où la civilisation s’est effondrée.
Des événements dévastateurs comme le 11 septembre, le tsunami en Asie du Sud en 2004, ou le tremblement de terre en Haïti en 2010, ont préparé les mentalités à des catastrophes inattendues, mais certainement pas à une succession sans relâche de catastrophes encore plus considérables.
Dans ce document, les années 2010 à 2020 sont qualifiées de « décennie du malheur » pour les raisons suivantes: des bombardements en 2012 tuèrent quelques 13.000 personnes, suivis de près par un tremblement de terre en Indonésie qui provoqua la mort de 40.000 autres, puis un gigantesque tsunami qui balaye pratiquement la totalité du Nicaragua, enfin une sécheresse liée au changement climatique provoque une famine sans précédant en Chine occidentale.
L’étude d’écrit également les nations perdant le contrôle de leurs finances publiques et une incapacité à gérer l’ordre et la stabilité provoquant toujours plus de violence de criminalité et de troubles au sein de la société.
Vers 2030, il n’y aura plus de distinction entre «pays développés» et «pays en voie de développement».
Cependant l’étude affirme que la prospérité de l’élite mondiale et des plus nantis sera assurée : « La différence entre les nantis et les plus défavorisés sera de plus en plus grande. Les plus riches auront encore les moyens financiers de se protéger. Les quartiers privés et sécurisés fleuriront partout dans le monde. Ce seront des sortes d’îlots entourés de bidonvilles. (…) En 2025, il sera de rigueur non pas de construire une maison, mais bien une forteresse avec de hauts murs et protégée par du personnel armé provenant d’entreprises de sécurité privées ».
A propos d’Internet, le rapport indique que «la technologie des pirates de l’informatique sera chaque fois plus complexe et développée». Les escroqueries sur Internet et la vente pyramidale seront un fléau. Les pirates informatiques les plus performants tenteront de détruire les sociétés, les gouvernements et les systèmes bancaires, par l’intermédiaire du Fishing et du vol de bases de données informatisées, rançonnant ainsi leurs victimes.
Les gouvernements ne pourront plus surveiller, identifier ou restreindre ces activités illégales, indique le rapport, d’où la nécessité de mettre en œuvre un système de sécurité hautement sophistiqué afin de contrôler les intégrants du réseau ainsi que leurs activités à l’extérieur du dit réseau (Internet).
Les technologies de vérification de l’identité deviendront une routine de la vie quotidienne. Une base de données d’enregistrements de rétines, volée par des pirates en 2017, sera utilisée pour créer de nombreuses fausses identités dans le milieu des années 2020.
Tandis que la technologie Internet est diabolisée dans ce scénario d’anticipation, l’étude de la Fondation
Rockefeller prévoit également une explosion sur le marché noir de récoltes d’aliments produits à partir d’OGM, appelés ici et pour l’occasion «progressistes», par les masses populaires décimées et appauvries.
L’étude détaille aussi la présence de réseaux criminels très bien organisés produisant grâce à un système d’ingénierie inverse de produits initialement « légaux », tout type de produits extrêmement dangereux comme la fabrication de pseudos vaccins qui occasionneront par exemples en 2021 la mort de 600 enfants par l’intermédiaire d’un « vaccin » falsifié contre l’hépatite B, qui tout compte fait ne sera finalement que peu de chose en comparaison d’une gigantesque hécatombe due à un médicament frelaté qui devait supposément agir contre le paludisme…
Détail intéressant, le rapport de la Fondation
Rockefeller mentionne le « fearmongering » (propagande de la peur) à propos du changement climatique et des catastrophes naturelles ainsi que les attaques terroristes à grande échelle comme « outil de contrôle des populations ».
Antoine de Decaen, pour Mecanopolis