PAR RAYMOND TERRASSE (spécialiste de l'orthogéométrie)
Par ISIS ! Je puis certifier ici que l'auteur de cette vaste étude, Thierry, dont le nom de famille est Van de Leur, ne vend pas de leurre à ses lecteurs.
Si je suis aussi affirmatif, c'est avec juste raison, ayant lu, épluché disséqué, la totalité de ce travail considérable. Il m'est même arrivé de vérifier sur la carte parisienne
certains alignements.
Je dois ajouter que je connais bien Thierry, et sa probité, qui l'empêcherait de monter un canular. Celui-ci étant très vite démontrable. Et pour obtenir quoi, Grande Isis ? Alors, que dans le cas présent, une longue baguette bien droite, et un plan de Paris, permettent de juger rapidement du sérieux et de la réalité du Mystérieux Code sous-jacent
dans les rues de la Capitale.
Si j'ai accepté d'écrire cette préface à la demande de Thierry, ce n'est pas en remerciement des nombreuses citations à mon endroit, mais pour notre amitié à présent décennale, et surtout parce que je suis persuadé de la réalité de ce Par Isis Code.
Thierry Van de Leur a déniché une espèce de code-canevas centré sur la boucle de l'Ankh encadrant l'opéra Garnier; il l'a poussé, et continue de le pousser dans ses retranchements.
Travail gigantesque de patience appliquée et obstinée pour s'attaquer à ce qui
aurait peut-être dû demeurer secret.
Tout au moins, les organisateurs de ces alignements, n'ont-ils pas cherché à les diffuser, en restant eux-mêmes dans l'ombre. C'est donc tout à l'honneur de l'auteur que d'avoir
décrypté un tel puzzle.
Quand on regarde une carte de l'agglomération parisienne dans son ensemble, avec un peu de recul, on ne voit qu'un fouillis d'avenues, de boulevards, de rues, places et autres impasses, partant tous azimuts. On est loin des tracés au cordeau des villes américaines.
Qui se douterait que ce salmigondis cadastral cache un subtil jeu de pistes à la gloire
post-mortuaire de certains individus ?
Ce cryptage doit donner des sueurs froides à ceux qui sont obligés de le remanier en permanence ; car des rues ont changé de nom pour s'adapter à une nouvelle personnalité, en chassant une ancienne. C'est donc un brassage perpétuel, en fonction aussi de l'agrandissement que la ville a connu depuis au moins deux siècles, et des nouveaux monuments dont il faut définir avec précision l'emplacement, pour qu'ils puissent s'intégrer au puzzle (tour Eiffel, opéra Garnier, Grande Bibliothèque, etc.).
A la suite de quoi, on peut commencer à poser des questions gênantes.
Qui a eu l'idée d'un tel code ? Qui y a participé ? Qui l'a continué ?
Car, comme dans toute société secrète, il y a des maîtres, et il y a des élèves,
sinon de dénomination, du moins d'esprit.
D'après les découvertes de Thierry, et en remontant la filière, on peut pratiquement affirmer que François Mitterrand était un Initié. Et on peut être également certain que les Hauts dignitaires de la Franc-maçonnerie se baignent quotidiennement dans ce code.
Quant à la création elle-même, il semblerait que Napoléon 1er en soit l'instigateur, après son expédition égyptienne et la nuit du 12 au 13 août 1799, qu'il a passé dans la chambre dite du roi de la Grande Pyramide.
Cependant, pour étayer cette supposition, il ne faut pas oublier que Paris est la ville d'Isis l'égyptienne, et que le code paraît centré sur la croix de vie, la croix ansée, qui est précisément un des trois attributs d'Isis.
De plus, il semblerait qu'une autre base du code soit le nombre d'Or, PHI, qui vaut 1,618. Comme mes travaux ortho géométriques font référence à ce nombre fabuleux, j'ai relevé avec surprise que le tombeau de Napoléon aux Invalides, date de 1861, anagramme de PHI, et quarante ans après sa mort. Pourquoi pas 1860 ou 1862 ? Coïncidence ? Or ce mot et son compère hasard ne font pas partie de ce grand code parisien.
Tout y est prévu, calculé, mitonné à la sauce secrète. Au point que si une rue ou une place ne porte pas un nom indispensable à la codification, on va chercher le mot le plus proche, à la manière de Nostradamus (par exemple : Hébert pour Herbert, une seule lettre fait la différence).
Les concepteurs prennent donc ce qu'ils ont sous la main.
Si Napoléon avait pu tenir quelques mois de plus, la bataille de Waterloo se déroulant en 1816 aurait-elle tournée à son avantage ?
Le nombre d'Or lui aurait peut-être porté chance.
Si le général Bonaparte ou l'empereur a eu l'idée de ce code, la caution morale a pu être apportée par la Franc-maçonnerie, et les fonds nécessaires à sa réalisation, à travers la construction des monuments-repères, et le percement des artères principales, aurait été fourni par les banquiers-rois de l'argent : la famille Rothschild.
En poussant la spéculation à ses limites extrêmes, on peut également supposer que le secret du code est transmis au dirigeant suprême, qui le confie à son successeur ; au même titre que le code de déclenchement de l'arme nucléaire. Ce qui n'a rien de choquant, et peut simplement être considéré comme un secret d'Etat, même si le fait de le dévoiler au grand public, ne porte de préjudice à personne.
Alors, ce Par Isis Code : bottin mondain référençant la vie passée, l'œuvre, les lieux fréquentés des personnalités choisies ?
Non, livre d'Histoire révélant bien des secrets, que l'Histoire officielle ne dévoilera jamais.
Raymond TERRASSE, 10 octobre 2007
http://parisis-code.skyrock.com/2374709373-Preface.html
Par ISIS ! Je puis certifier ici que l'auteur de cette vaste étude, Thierry, dont le nom de famille est Van de Leur, ne vend pas de leurre à ses lecteurs.
Si je suis aussi affirmatif, c'est avec juste raison, ayant lu, épluché disséqué, la totalité de ce travail considérable. Il m'est même arrivé de vérifier sur la carte parisienne
certains alignements.
Je dois ajouter que je connais bien Thierry, et sa probité, qui l'empêcherait de monter un canular. Celui-ci étant très vite démontrable. Et pour obtenir quoi, Grande Isis ? Alors, que dans le cas présent, une longue baguette bien droite, et un plan de Paris, permettent de juger rapidement du sérieux et de la réalité du Mystérieux Code sous-jacent
dans les rues de la Capitale.
Si j'ai accepté d'écrire cette préface à la demande de Thierry, ce n'est pas en remerciement des nombreuses citations à mon endroit, mais pour notre amitié à présent décennale, et surtout parce que je suis persuadé de la réalité de ce Par Isis Code.
Thierry Van de Leur a déniché une espèce de code-canevas centré sur la boucle de l'Ankh encadrant l'opéra Garnier; il l'a poussé, et continue de le pousser dans ses retranchements.
Travail gigantesque de patience appliquée et obstinée pour s'attaquer à ce qui
aurait peut-être dû demeurer secret.
Tout au moins, les organisateurs de ces alignements, n'ont-ils pas cherché à les diffuser, en restant eux-mêmes dans l'ombre. C'est donc tout à l'honneur de l'auteur que d'avoir
décrypté un tel puzzle.
Quand on regarde une carte de l'agglomération parisienne dans son ensemble, avec un peu de recul, on ne voit qu'un fouillis d'avenues, de boulevards, de rues, places et autres impasses, partant tous azimuts. On est loin des tracés au cordeau des villes américaines.
Qui se douterait que ce salmigondis cadastral cache un subtil jeu de pistes à la gloire
post-mortuaire de certains individus ?
Ce cryptage doit donner des sueurs froides à ceux qui sont obligés de le remanier en permanence ; car des rues ont changé de nom pour s'adapter à une nouvelle personnalité, en chassant une ancienne. C'est donc un brassage perpétuel, en fonction aussi de l'agrandissement que la ville a connu depuis au moins deux siècles, et des nouveaux monuments dont il faut définir avec précision l'emplacement, pour qu'ils puissent s'intégrer au puzzle (tour Eiffel, opéra Garnier, Grande Bibliothèque, etc.).
A la suite de quoi, on peut commencer à poser des questions gênantes.
Qui a eu l'idée d'un tel code ? Qui y a participé ? Qui l'a continué ?
Car, comme dans toute société secrète, il y a des maîtres, et il y a des élèves,
sinon de dénomination, du moins d'esprit.
D'après les découvertes de Thierry, et en remontant la filière, on peut pratiquement affirmer que François Mitterrand était un Initié. Et on peut être également certain que les Hauts dignitaires de la Franc-maçonnerie se baignent quotidiennement dans ce code.
Quant à la création elle-même, il semblerait que Napoléon 1er en soit l'instigateur, après son expédition égyptienne et la nuit du 12 au 13 août 1799, qu'il a passé dans la chambre dite du roi de la Grande Pyramide.
Cependant, pour étayer cette supposition, il ne faut pas oublier que Paris est la ville d'Isis l'égyptienne, et que le code paraît centré sur la croix de vie, la croix ansée, qui est précisément un des trois attributs d'Isis.
De plus, il semblerait qu'une autre base du code soit le nombre d'Or, PHI, qui vaut 1,618. Comme mes travaux ortho géométriques font référence à ce nombre fabuleux, j'ai relevé avec surprise que le tombeau de Napoléon aux Invalides, date de 1861, anagramme de PHI, et quarante ans après sa mort. Pourquoi pas 1860 ou 1862 ? Coïncidence ? Or ce mot et son compère hasard ne font pas partie de ce grand code parisien.
Tout y est prévu, calculé, mitonné à la sauce secrète. Au point que si une rue ou une place ne porte pas un nom indispensable à la codification, on va chercher le mot le plus proche, à la manière de Nostradamus (par exemple : Hébert pour Herbert, une seule lettre fait la différence).
Les concepteurs prennent donc ce qu'ils ont sous la main.
Si Napoléon avait pu tenir quelques mois de plus, la bataille de Waterloo se déroulant en 1816 aurait-elle tournée à son avantage ?
Le nombre d'Or lui aurait peut-être porté chance.
Si le général Bonaparte ou l'empereur a eu l'idée de ce code, la caution morale a pu être apportée par la Franc-maçonnerie, et les fonds nécessaires à sa réalisation, à travers la construction des monuments-repères, et le percement des artères principales, aurait été fourni par les banquiers-rois de l'argent : la famille Rothschild.
En poussant la spéculation à ses limites extrêmes, on peut également supposer que le secret du code est transmis au dirigeant suprême, qui le confie à son successeur ; au même titre que le code de déclenchement de l'arme nucléaire. Ce qui n'a rien de choquant, et peut simplement être considéré comme un secret d'Etat, même si le fait de le dévoiler au grand public, ne porte de préjudice à personne.
Alors, ce Par Isis Code : bottin mondain référençant la vie passée, l'œuvre, les lieux fréquentés des personnalités choisies ?
Non, livre d'Histoire révélant bien des secrets, que l'Histoire officielle ne dévoilera jamais.
Raymond TERRASSE, 10 octobre 2007
http://parisis-code.skyrock.com/2374709373-Preface.html