Dimanche, 18 Septembre 2011 23:29
Voici la vidéo de la conférence sur l'ouvrage collectif "Le 11 septembre n'a pas eu lieu" aux éditions Le retour aux sources. La conférence s'est déroulée à Marseille avec 4 des 12 coauteurs du livre : Pierre Dortiguier, LeLibrePenseur, J. Livernette et H. Marty-Vrayance.
Vous avez vu hier, de vos yeux, le cynisme et la chutzpah sur TF1 (itw par une amie intime à ce qui lui sert de femme) comme annoncé à l'avance dans cette conférence ainsi que ma première vidéo sur l'affaire Nafissatou Diallo. Un culot magistral, une assurance que peu d'entre nous possèdent... C'était magnifique. MENSONGE patent sur les agressions physiques de N. Diallo, affaire Banon circulez il n'y a rien à voir... Il s'est même payé le luxe de nous donner quelques conseils d'économie, lui le brillantissime économiste sauveur du Monde !
LLP
Vidéo de la conférence de Marseille sur le 11/9
http://lelibrepenseur.org/index.php?option=com_content&view=article&id=139:-video-de-la-conference-de-marseille-sur-le-119&catid=40:videos
Je trouve particulièrement étonnantes les déclarations de H. Marty-Vrayance, qui tendent à rejoindre les propos du Sheikh Imran Osein sur les nouvelles armes sur-puissantes dont dispose l'empire sioniste.. impressionnant. Les avions des deux tour, des hologrammes?
+Le 11 septembre 2001 n’a pas eu lieu
« Le 11 septembre 2001 n’a pas eu lieu » est assurément un ouvrage indispensable pour tous ceux qui ne peuvent se contenter de la « version officielle » présentée en boucle par les médias. Nous plaçons ci-après la préface de ce livre écrite par Alain Soral.
Mecanopolis
10 ans après le 11 septembrePar Alain SoralQui sème le vent récolte la tempête.
Comme beaucoup de français qui se taisent : intellectuels dégoûtés, immigrés humiliés, je l’avoue, en voyant le spectacle du Word Trade Center, j’ai mouillé mon calfouette. Puis j’y ai vu la preuve, rassurante, de la survie du sens, de la morale et de l’humanité, malgré l’énorme travail accompli ici pour les exterminer.
Il n’y a pas d’effet sans cause, sauf pour ceux qui expliquent la légitime colère, née d’une légitime souffrance et d’un légitime désespoir, par la montée du nihilisme – sorte de cause sans cause pour éviter de se remettre en cause.
Cinq cent mille enfants morts sans toucher à Saddam Hussein, il faut bien croire que le projet US était le génocide pour affaiblir durablement l’Irak par sa démographie, et ce, quel que soit le régime de Bagdad.
Cinquante ans de persécutions et d’humiliations du peuple palestinien justifiés – ô abjection – par la persécution et l’humiliation du peuple juif, ailleurs, et par d’autres.
Il faut beaucoup d’orgueil blessé, et une certaine grandeur d’âme, pour qu’un milliardaire saoudien renonce à une vie de pacha pour la justice, dans l’inconfort et le péril. Il faut beaucoup de désespoir pour que des intellectuels, en toute conscience, choisissent leur propre mort pour exprimer à la face du monde leur refus de l’oppression.
Règle anthropologique de base ignorée de tous nos bourgeois voyeurs : pour comprendre la souffrance des autres, il faut la subir soi-même dans sa chair, pas juste la lire dans les journaux ; tel est le prix de la conscience.
C’était l’espoir du World Trade Center, que les américains comprennent enfin ce que c’est qu’en prendre plein la gueule, à Belgrade, à Bagdad, à Tripoli, dans les territoires occupés et ailleurs, afin que leur inconscience, leur violence, leur mépris, leur pitié même, se muent en commisération. Qu’en subissant au moins une fois ce qu’ils assènent aux autres avec tant de distance et de légèreté, ils comprennent – au sens d’avoir en soi – ce que vivent et ressentent leurs victimes, les pauvres et les non-alignés du monde entier : Irakiens, Serbes, Argentins…
Raté. Au lieu de ça Bush parle de croisade, de guerre du bien indiscutable contre le mal indiscutable, en plus au nom du Christ.
La réconciliation par le partage – de la souffrance, avant celui du travail et des richesses – n’est donc pas pour cette fois.
Il reste à espérer que la prochaine viendra vite et, pour qu’augmente sa puissance pédagogique, qu’elle frappera plus juste et plus fort…
Voilà ce que j’écrivais, à chaud, à l’automne 2001.
Après que toutes les télévisions du monde nous eurent offert le spectacle magnifique, grandiose, des deux avions se crashant dans le symbole de l’orgueil américain et de la finance occidentale ; l’hallucinant spectacle du double effondrement des deux tours, à tel point subjuguant qu’on ne se posa pas la question, sur le coup, sous le choc, de l’impossibilité physique, mécanique d’un tel effondrement. Sans parler de la disparition totale d’un avion de ligne percutant en rase-mottes une aile en travaux du Pentagone…
Pour nous, les avides de justice, les dissidents, les résistants du tertiaire et du Net – on a les guerres que l’époque veut bien nous offrir – après la succession des victoires néolibérales des années 80 et 90, Oussama Ben Laden devint en un jour, d’un seul coup de maître, notre nouvelle idole, le nouveau Sankara, le nouveau Castro, le nouveau Nasser se levant du Sud et de l’Orient pour châtier l’arrogant Occident.
Mais très vite, après le court moment de la jubilation, vint le temps de la réflexion, et avec le recul, celui de la recherche et de l’analyse : qui était vraiment Oussama Ben Laden ? Guerrier de l’islam ? Agent de la CIA ? L’autre puis l’un ? Les deux ? Et surtout « cui bono ? », question qu’il faut toujours se poser en politique : à qui profite le crime ?
Car le 11
septembre, immédiatement attribué par l’oligarchie américano-sioniste, via les médias complices et sans enquête, au « terrorisme islamiste », c’était aussi l’agression rêvée qui justifiait la nouvelle croisade, planifiée de longue date par les théoriciens néo-conservateurs : diabolisation des non-alignés en membres de « l’axe du mal », guerres préventives contre l’Afghanistan, l’Irak, demain l’Iran ? PATRIOT Act et autres redécoupages du Moyen-Orient…
Alors pour ne pas brûler trop vite celui qu’on adulait encore hier, nous nous efforçâmes de penser aux 5 de Cambridge : de comparer Oussama, le fils de riche saoudien en rupture de ban, à ces anglais de la gentry qui eux aussi, dégoûtés par une classe qu’ils connaissaient bien, avaient choisi de la trahir pour la combattre en rejoignant le camp de la révolution…
On tenta bien encore un temps de se persuader que ce membre du clan Ben Laden, financièrement lié aux Bush, cet ancien combattant pro-talibans, armé par la CIA du temps de la lutte contre les soviétiques, s’était bel et bien retourné avec colère contre ses anciens partenaires et mentors ; et que si son action d’éclat avait finalement nui à sa cause, il n’avait été qu’instrumentalisé, manipulé à l’insu de son plein gré !
Mais une raisonnable analyse des enjeux et des faits nous obligeait quand même à admettre qu’au-delà de la fascination produite par son morceau de bravoure, son combat, finalement contre-productif, n’avait rien à voir avec l’anti-impérialisme d’Etat iranien, l’union cohérente du politique et du religieux d’un Hassan Nasrallah…
Le coup de grâce qui acheva d’inverser totalement la lecture héroïque des attentats fut le passage – tout aussi historique – de Thierry Meyssan chez Thierry Ardisson pour y présenter son livre « L’Effroyable imposture ».
Une prestation calme, posée, argumentée, où toutes les contradictions de la version officielle étaient pointées du doigt pour mener à cette conclusion, implacable : il ne pouvait s’agir que d’une opération sous faux drapeau impliquant des complicités du pouvoir au plus haut niveau.
Une conclusion amenée après une démonstration si rigoureuse que personne sur le plateau n’eut seulement l’idée de la contester en poussant ces petits cris d’indignation devenus depuis obligatoires pour tout soumis au Système, tout lèche-cul médiatique qui tient à se faire bien voir, ou à ne pas se faire marginaliser !
Le livre de Meyssan ?Un magnifique exemple de ce que pourrait devenir, de façon plus générale, le révisionnisme historique sans l’inique loi Gayssot ! Les collabos à l’Empire ne s’y trompent pas d’ailleurs, eux qui vont jusqu’à clamer, devant la déferlante de doutes quant à la version officielle, qu’oser la constester c’est comme remettre en cause l’existence des chambres à gaz. Ce qui est parfaitement exact !
L’écart entre le traitement officiel des attentats du 11/09 et ce qu’on peut lire désormais sur la toile, notamment grâce au travail de l’association « ReOpen911 », est aussi ce qui entraîna le discrédit définitif de l’information officielle et des médias de masse, que ce soit le journal de TF1, le journal Libération ou Le Monde, mais aussi les faux blogs non-alignés, financés par les mêmes, type Rue89…
Le soutien à la version officielle du 11/09 ? Le marqueur permettant d’identifier aussitôt le collabo du Système, de démasquer le faux opposant institutionnel à la Noam Chomsky…
C’est en effet grâce au traitement Internet des évènement du 11
septembre que de plus en plus de gens ordinaires, à la suite des initiés, prennent aujourd’hui conscience de l’existence d’autres opérations sous faux drapeaux ourdies, ou instrumentalisées par le pouvoir pour continuer à berner, à manipuler les populations occidentales au nom de la démocratie : assassinat de Kennedy, attentats de Bologne, d’Oklahoma City, de Madrid, de Londres et très récemment d’Oslo…
Car qui aujourd’hui croit encore à la version officielle du 11/09 ?Aux Etats-Unis, moins d’un américain sur deux, et face à eux, pas que des marginaux : des architectes, des militaires, des pilotes de ligne regroupés en associations…
En France, même Jean-Marie Bigard, le comique pour beaufs, Mathieu Kassovitz , le Luc Besson du cinéma indépendant la contestent publiquement ! Si bien qu’on peut dire, dix ans après, que le débat sur 11
septembre va bien au-delà du 11
septembre et de la stricte question des attentats perpétrés ce jour là.
Le 11/09 c’est, face à la grossièreté de l’histoire officielle et à la brutalité de ses promoteurs – politiques et médias – la remise en cause, l’ébranlement de tout un système de domination fondé sur la diabolisation par le mensonge, et qui mène le monde depuis 1945.
Comprendre le 11
septembre ?
C’est accéder à la compréhension du monde…
Alain Soral, le 15 août 2011Alain Soral est le créateur du site non-aligné Egalité et Réconciliation
« Le 11 septembre n’a pas eu lieu »Préface d’Alain Soral
Le fondateur d’Égalité et Réconciliation ouvre le bal.
« 11 septembre : un rappel des faits » par NikelaosComme le titre l’indique, un article très factuel, qui se contente de camper le décor, idéal pour les gens qui connaissent mal le dossier.
« 9 questions sur le 11 septembre à Alexis Kropotkine »Un point de vue également factuel, mais qui propose en plus des approfondissements originaux par un chercheur en pointe sur la question.
« 911 ou 777 ? Le chiffre des attentats » par Michel DracPrésentation des liens pas très clairs entre les attentats et la haute finance.
« 9 questions sur le 11 septembre à Aziz Fard »Considérations d’un journaliste afghan sur le sujet.
« Point de vue d’un professionnel du Renseignement » par Hubert Marty-VrayanceComment un commissaire des Renseignements généraux a vu sa vie basculer parce qu’il était trop proche de Thierry Meyssan.
« 9 questions sur le 11 septembre à Léon Camus »Considérations d’un journaliste français sur le sujet.
« 11 septembre : le 21ème siècle comme construction d’une situation » par Vincent ChapinUne analyse de l’événement par un disciple de Guy Debord.
« 9 questions sur le 11 septembre à Le Libre Penseur »Le fameux vidéaste qui agite le web s’exprime sur les attentats et le Nouvel ordre mondial.
« Le onze septembre ou le tocsin du globalisme ! » par Pierre DortiguierCe que la symbolique peut nous apprendre sur les attentats.
« 9 questions sur le 11 septembre à Johan Livernette »« Poing de vue » du boxeur blogueur de Toulon.
« Un mois de la vie du Monde : 1er-30 septembre 2001 » par Philippe PrévostUne lecture quotidienne de la désinformation officielle.
« Les rivalités identitaires comme instrument de contrôle social » par Collectif européen pour une information libreComment des minorités actives tentent d’élaborer un choc des civilisations Occident/Islam au moyen des méthodologies de l’ingénierie sociale.
Source :
http://www.mecanopolis.org/?p=24305