Il est encore aujourd'hui beaucoup de personnes, en effet, qui s'imaginent naïvement que l'Homme descend du singe, alors que c'est exactement le contraire. C'est en ce sens qu'une conception purement matérialiste de l'eugénisme ne saurait mener qu'au néant.
Le matérialisme est, en effet, insuffisant à rendre compte des réalités raciales dont il ne perçoit que la manifestation purement extérieure, le résultat physiquement visible et non la cause. « Mens agitat molem » disait l’adage : c’est l’esprit qui meut la matière, laquelle n’est rien sans lui (je ne peux rentrer dans les détails). En d’autres termes : appliquerait-on systématiquement l’eugénisme à quelque race, peuple ou ethnie sans préalablement veiller au relèvement spirituel et moral de ses membres que son avenir et sa santé ne s’en trouverait pas pour autant assuré, mais bien sa dégénérescence accélérée dans une animalité toujours plus avilie.
En tout état de cause, une âme de pithécanthrope en un corps physique sélectionné, voire cloné, n’engendrera jamais un être humain digne de ce nom. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le meilleur moyen d’ennoblir – physiquement – une communauté humaine quelconque – de quelque race qu’elle soit – c’est de la développer de l’intérieur, en cultivant sa spiritualité innée, le sens du Vrai, du Bien et du Beau de sa jeunesse, en forgeant des âmes fortes, loyales, aptes à se sacrifier pour autre chose que des valeurs temporelles et transitoires.
Car ce qui élève et fortifie un peuple ce n’est pas le hasard ou la “struggle for life” – n’importe quel singe fait ça mieux que nous ! – ce sont les âmes nobles et les forces spirituelles épurées qui s’y incarnent, l’Esprit modelant le physique.
Une race ne vit, en effet, que de la qualité des âmes qui la composent et de rien d’autre. Que viennent à s’avilir celles-ci, et c’est à court terme que la décadence et la dégénérescence s’empareront d'elle. Ceci se manifestera de plus en plus à l’avenir, jusqu’à ce que les races se dissolvent et s’épuisent au profit d’une Rédemption véritablement spirituelle.
Le matérialisme est, en effet, insuffisant à rendre compte des réalités raciales dont il ne perçoit que la manifestation purement extérieure, le résultat physiquement visible et non la cause. « Mens agitat molem » disait l’adage : c’est l’esprit qui meut la matière, laquelle n’est rien sans lui (je ne peux rentrer dans les détails). En d’autres termes : appliquerait-on systématiquement l’eugénisme à quelque race, peuple ou ethnie sans préalablement veiller au relèvement spirituel et moral de ses membres que son avenir et sa santé ne s’en trouverait pas pour autant assuré, mais bien sa dégénérescence accélérée dans une animalité toujours plus avilie.
En tout état de cause, une âme de pithécanthrope en un corps physique sélectionné, voire cloné, n’engendrera jamais un être humain digne de ce nom. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le meilleur moyen d’ennoblir – physiquement – une communauté humaine quelconque – de quelque race qu’elle soit – c’est de la développer de l’intérieur, en cultivant sa spiritualité innée, le sens du Vrai, du Bien et du Beau de sa jeunesse, en forgeant des âmes fortes, loyales, aptes à se sacrifier pour autre chose que des valeurs temporelles et transitoires.
Car ce qui élève et fortifie un peuple ce n’est pas le hasard ou la “struggle for life” – n’importe quel singe fait ça mieux que nous ! – ce sont les âmes nobles et les forces spirituelles épurées qui s’y incarnent, l’Esprit modelant le physique.
Une race ne vit, en effet, que de la qualité des âmes qui la composent et de rien d’autre. Que viennent à s’avilir celles-ci, et c’est à court terme que la décadence et la dégénérescence s’empareront d'elle. Ceci se manifestera de plus en plus à l’avenir, jusqu’à ce que les races se dissolvent et s’épuisent au profit d’une Rédemption véritablement spirituelle.