L’équipe d’Obama du CFR
Par Steve Watson de Infowars.com traduit par We Are Change Paris
Vendredi 7 Novembre 2008
http://wearechangeparis.wordpress.com/2008/11/08/g-%E2%80%99roupe-d-obama-du-cfr/
Rencontrez quelques conseilleurs du Président-élu, Obama pour la politique étrangère et intérieure, ainsi que les membres probables de son cabinet, chacun d’eux est un membre imminent du Council on Foreign Relations.
Est-ce que ces gens vont créer un « changement », ou est-ce qu’ils continueront de soutenir le même système retranché, établi par l’élite de corporation pendant des décennies?
Susan B. Rice : Council on Foreign Relations, The Brookings Institution - Elle était l’assistante du Ministère des affaires étrangères pour l’Afrique sous Clinton de 1997 à 2001. L’ancienne ministre des affaires étrangères Madeleine Albright est une conseillère est amie de longue date pour Rice. Des critiques disent qu’elle a des mauvaises dispositions vers l’Europe, comprend peu le Moyen Orient, et suivrait en effet les mêmes politiques que Condoleeza Rice.
Anthony Lake : CFR, PNAC- Le premier conseiler pour la securité nationale de Bill Clinton, critiqué pour l’échec de l’administration contre la génocide du Ruanda en 1994, et admet maintenant que le manque d’action était une erreur majeure.
Zbigniew Brzezinski - CFR, Trilateral Commission - Brzezinski est percu globalement comme l’homme qui a créé Al Qaeda, et était engagé dans le plan de l’adminstration Carter pour donner des armes, de l’argent et l’entrainement au Mudjahideen en Afghanistan.
Richard Clarke - CFR -Anciennement le conseilleur principal contre la terreur pour le Conseil National de Securité sous Bush. Notoirement retourné contre l’administration Bush après 9/11 et l’invasion d’Irak. Aussi,il a conseillé Madeleine Albright pendant le génocide du Ruanda.
Ivo Daalder - CFR, Brookings, PNAC - Il était le co-écrivain d’une article dans le Washington Post avec le néo conservateur Robert Kagan, disant que l’interventionnisme est une affaire bipartie qui devrait être entreprise avec l’accord de nos alliés démocratique.
Dennis Ross - CFR, Trilatéral Commission, PNAC - Il était le directeur pour la planification politique dans le Ministère des affaires étrangères sous George H.W. Bush, et il était le coordinateur spécial pour le Moyen Orient sous Bill Clinton. Un supporteur acharné de la guerre en Irak, Ross est aussi un analyste des affaires étrangères pour Fox News.
Lawrence Korb - CFR, Brookings - Directeur des Études sur la Sécurité Nationale au sein du Council on Foreign Relations. Il a critiqué la manière de l’invasion de l’Irak, mais il a des plans détaillés sur comment à augmenter les effectifs de l’armée américaine pour mener la « guerre contre la terreur » et pour « répandre des valeurs démocratiques dans le Moyen Orient ».
Bruce Reidel - CFR, Brookings -Ancien analyste pour le CIA qui veut répandre la ”guerre contre la terreur” pour lutter contre Al Qaida partout dans le monde. Considéré comme la raison des opinions agressifs d’Obama sur le Pakistan, et ses tendances pro-Inde concernant le Cachemire.
Stephen Flynn - CFR - Il a été attribué avec l’idée pour la « Armée citoyenne de sécurité » d’Obama. Flynn a écrit : « Les États-Unis doivent plus ou moins répliquer le modèle de la Réserve Fédérale en créant un Système de Réserve de Sécurité Fédérale, avec un conseil d’administration national, 10 quartiers de Sécurité Nationale régionaux, et 92 branches locales qui s’appellent des Comités Métropolitains contre la terreur. L’objectif serait de développer des mécanismes qui se financent pour engager d’avantage une gamme plus large de la société américaine dans la protection des fondations critiques du le pays contre le dérangement provoqué par un attentat terroriste »
Madeleine Albright - CFR, Brookings -Actuellement au sein du comité de direction du CFR. Ministère de l’extérieur et ambassadeur à l’ONU sous Clinton. Elle n’a rien fait contre la génocide en Ruanda. Elle a défendu les sanctions contre l’Irak sous Saddam Hussein. Quand elle a été questionné par l’émission « 60 Minutes » sur les effets des sanctions : « Nous avons entendue que plus de 500 000 enfants sont morts. Ca c’est plus que Hiroshima. Est-ce qu’il en vaut le coût ? » Albright a répondu : « Je pense que c’est un choix très dure, mais nous pensons qu’il vaut bien le coût »
Ceci n’est pas du tout une liste exhaustive. Bien sur, si John McCain a gagné l’élection, en tant que membre du CFR lui-même, son administration aurait été composée de nombreux membres du CFR aussi. Max Boot, Lawrence Eagleburger et Henry Kissinger, à nommer que quelques-uns, sont tous des membres du CFR, et étaient tous des conseillers de John McCain.
S’il vous plait- faites vos recherches, et rajoutez plus de noms dans la section «commentaires ». Il est important de montrer comment ces gens font bien une partie d’un engin global des élites, et ne représentent pas du tout du changement. Seulement avec cette compréhension, les gens vont se rendre compte du faux paradigme «gauche vs. Droite », et du coup seront capable de créer l’environnement pour un vrai changement politique.
Par Steve Watson de Infowars.com traduit par We Are Change Paris
Vendredi 7 Novembre 2008
http://wearechangeparis.wordpress.com/2008/11/08/g-%E2%80%99roupe-d-obama-du-cfr/
Rencontrez quelques conseilleurs du Président-élu, Obama pour la politique étrangère et intérieure, ainsi que les membres probables de son cabinet, chacun d’eux est un membre imminent du Council on Foreign Relations.
Est-ce que ces gens vont créer un « changement », ou est-ce qu’ils continueront de soutenir le même système retranché, établi par l’élite de corporation pendant des décennies?
Susan B. Rice : Council on Foreign Relations, The Brookings Institution - Elle était l’assistante du Ministère des affaires étrangères pour l’Afrique sous Clinton de 1997 à 2001. L’ancienne ministre des affaires étrangères Madeleine Albright est une conseillère est amie de longue date pour Rice. Des critiques disent qu’elle a des mauvaises dispositions vers l’Europe, comprend peu le Moyen Orient, et suivrait en effet les mêmes politiques que Condoleeza Rice.
Anthony Lake : CFR, PNAC- Le premier conseiler pour la securité nationale de Bill Clinton, critiqué pour l’échec de l’administration contre la génocide du Ruanda en 1994, et admet maintenant que le manque d’action était une erreur majeure.
Zbigniew Brzezinski - CFR, Trilateral Commission - Brzezinski est percu globalement comme l’homme qui a créé Al Qaeda, et était engagé dans le plan de l’adminstration Carter pour donner des armes, de l’argent et l’entrainement au Mudjahideen en Afghanistan.
Richard Clarke - CFR -Anciennement le conseilleur principal contre la terreur pour le Conseil National de Securité sous Bush. Notoirement retourné contre l’administration Bush après 9/11 et l’invasion d’Irak. Aussi,il a conseillé Madeleine Albright pendant le génocide du Ruanda.
Ivo Daalder - CFR, Brookings, PNAC - Il était le co-écrivain d’une article dans le Washington Post avec le néo conservateur Robert Kagan, disant que l’interventionnisme est une affaire bipartie qui devrait être entreprise avec l’accord de nos alliés démocratique.
Dennis Ross - CFR, Trilatéral Commission, PNAC - Il était le directeur pour la planification politique dans le Ministère des affaires étrangères sous George H.W. Bush, et il était le coordinateur spécial pour le Moyen Orient sous Bill Clinton. Un supporteur acharné de la guerre en Irak, Ross est aussi un analyste des affaires étrangères pour Fox News.
Lawrence Korb - CFR, Brookings - Directeur des Études sur la Sécurité Nationale au sein du Council on Foreign Relations. Il a critiqué la manière de l’invasion de l’Irak, mais il a des plans détaillés sur comment à augmenter les effectifs de l’armée américaine pour mener la « guerre contre la terreur » et pour « répandre des valeurs démocratiques dans le Moyen Orient ».
Bruce Reidel - CFR, Brookings -Ancien analyste pour le CIA qui veut répandre la ”guerre contre la terreur” pour lutter contre Al Qaida partout dans le monde. Considéré comme la raison des opinions agressifs d’Obama sur le Pakistan, et ses tendances pro-Inde concernant le Cachemire.
Stephen Flynn - CFR - Il a été attribué avec l’idée pour la « Armée citoyenne de sécurité » d’Obama. Flynn a écrit : « Les États-Unis doivent plus ou moins répliquer le modèle de la Réserve Fédérale en créant un Système de Réserve de Sécurité Fédérale, avec un conseil d’administration national, 10 quartiers de Sécurité Nationale régionaux, et 92 branches locales qui s’appellent des Comités Métropolitains contre la terreur. L’objectif serait de développer des mécanismes qui se financent pour engager d’avantage une gamme plus large de la société américaine dans la protection des fondations critiques du le pays contre le dérangement provoqué par un attentat terroriste »
Madeleine Albright - CFR, Brookings -Actuellement au sein du comité de direction du CFR. Ministère de l’extérieur et ambassadeur à l’ONU sous Clinton. Elle n’a rien fait contre la génocide en Ruanda. Elle a défendu les sanctions contre l’Irak sous Saddam Hussein. Quand elle a été questionné par l’émission « 60 Minutes » sur les effets des sanctions : « Nous avons entendue que plus de 500 000 enfants sont morts. Ca c’est plus que Hiroshima. Est-ce qu’il en vaut le coût ? » Albright a répondu : « Je pense que c’est un choix très dure, mais nous pensons qu’il vaut bien le coût »
Ceci n’est pas du tout une liste exhaustive. Bien sur, si John McCain a gagné l’élection, en tant que membre du CFR lui-même, son administration aurait été composée de nombreux membres du CFR aussi. Max Boot, Lawrence Eagleburger et Henry Kissinger, à nommer que quelques-uns, sont tous des membres du CFR, et étaient tous des conseillers de John McCain.
S’il vous plait- faites vos recherches, et rajoutez plus de noms dans la section «commentaires ». Il est important de montrer comment ces gens font bien une partie d’un engin global des élites, et ne représentent pas du tout du changement. Seulement avec cette compréhension, les gens vont se rendre compte du faux paradigme «gauche vs. Droite », et du coup seront capable de créer l’environnement pour un vrai changement politique.