COMMUNIQUÉ DE PRESSE D’INTÉRÊT PUBLIC
MANDAT D’ARRESTATION À GRANBY
REVENU CANADA CONTRE GHISLAINE LANCTÔT
ERREUR SUR LA PERSONNE
Un mandat d’arrestation a été prononcé le 3 mars 2008 pour défaut de
comparaître, malgré une erreur sur la personne. En effet, en date du
4 juin 2007, le procureur général du Canada a été avisé par lettre
que le nom de LANCTÔT, GHISLAINE entité légale qu’il avait constitué
par un certificat de naissance ne faisait plus preuve de l’identité
de l’être humain qui lui avait servi de représentante auparavant.
Le 6 juin 2007, l’Agence du revenu du Canada a fait signifier une
sommation à la corporation LANCTÔT, Ghislaine, création et propriété
du gouvernement, de comparaître le 18 juin 2007 en cour du Québec de
Granby pour répondre à sept chefs d’accusation de la Loi de l’impôt
sur le revenu pour omission de produire des déclarations de revenus
des particuliers, et ce malgré le fait que les procureurs généraux du
Québec et du Canada aient été avisés au préalable qu’il n’y avait
plus de répondante pour cette entité légale. (sommation 455
73-000295-074) Le procureur mandaté par l’Agence du revenu est Me
Serge Champoux.
Le 18 juin 2007, une visite de courtoisie a été faite pour informer
le juge Donald Bissonnette qu’il n’y avait plus de représentante pour
la corporation LANCTÔT, Ghislaine. Malgré l’avis donné au Tribunal,
un plaidoyer de non culpabilité fut enregistré au procès-verbal, sans
tenir compte du refus d’adhésion à l’entité juridique. La cour a
reporté la cause au 17 juillet 2007, pro-forma.
Le 16 juillet 2007, la juge Marie-Josée Ménard décida de fixer le
procès le 6 septembre 2007, à la même cour. Le 6 septembre 2007,
l’entité juridique LANCTÔT, Ghislaine a été condamnée sur tous les
chefs, par la juge Marie-Josée Ménard, à payer une amende de 1000$
par chef pour un total de 7000$. Une ordonnance lui a aussi été émise
de produire des déclarations de revenus, dans les 30 jours.
Le 30 janvier 2008, une nouvelle accusation a été portée contre
l’entité juridique LANCTÔT, Ghislaine pour ne pas avoir produit les
déclarations de revenus dans les 30 jours. La comparution a été fixée
au 3 mars 2008 au Palais de Justice de Granby. (sommation 460
73-000190-085) Le procureur ad hoc est Me Serge Champoux. Le 3 mars
2008, vu l’absence de l’ancienne représentante de la corporation
LANCTÔT, Ghislaine, un mandat d’arrestation a été ordonné contre
cette corporation pour défaut de comparaître.
OR, IL N’Y A PLUS DE LIEN ENTRE LA CORPORATION LANCTÔT, GHISLAINE ET
L’ÊTRE HUMAIN AVEC UN CORPS, UNE ÂME ET UN ESPRIT.
________________________________________________________________________
______
Pour plus de détails, visiter le site
www.jemesouviensdequijesuis.com
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QUE SE PASSE-T-IL?
Est-ce une question d’argent ? Non, c’est une question de conscience.
Depuis des années, je, Ghis, être souverain avec un corps, une âme,
un esprit, renonce à tous les privilèges accordés par le gouvernement
(assurance-maladie, permis de conduire, Régie des rentes, pension de
vieillesse, fonds de retraite, compte de banque, cartes de crédits,
etc...) pour ne pas être liée par les obligations qui s’ensuivent et
qui vont à l’encontre de ma conscience.
Jusqu’en 1994, j’ai accepté de payer les impôts pour l’entité fictive
appelée « contribuable », une corporation que le gouvernement a
créée, qui lui appartient et qui porte le nom de LANCTÔT, GHISLAINE.
Je croyais contribuer ainsi au bien public et je le faisais avec
entrain.
Que s’est-il passé pour que je stoppe complètement cette pratique en
1995? J’imagine les motifs probables que vous pouvez évoquer pour
telle décision : finances, rébellion, négligeance, oubli... Ce n’est
rien de cela.
C’est par obéissance à mon âme&conscience que j’ai pris cette
décision, depuis que je sais que :
1. Les impôts ne servent pas au bien public. Ils vont directement
dans les coffres des banquiers internationaux - propriétaires de la
Banque du Canada - qui les utilisent pour financer les armes et les
guerres, entre autres.
2. La Banque du Canada n’appartient pas au Canada. Elle est un cartel
de banques privées internationales qui créent la monnaie canadienne.
Ce pouvoir de création de la monnaie était exclusif au gouvernement
canadien. Il l’a cédé à la Banque du Canada en 1913. Depuis lors, le
gouvernement emprunte (avec intérêt composé) de l’argent qu’il
pouvait créer lui-même, sans coûts. C’est ainsi qu’une dette s’est
constituée et que le peuple, les « contribuables » donnés en
garantie, se saignent à blanc pour en payer uniquement les intérêts.
3. Les services fournis par le gouvernement ne sont pas payés par les
impôts. Ils sont financés à même de nouveaux emprunts encourus
régulièrement. D’où la croissance constante de l’inflation et de la
dette - capital et intérêts -.
4. La dette est fictive, virtuelle. C’est une fausse dette. Aucun
argent n’a été prêté par les banquiers propriétaires de la Banque du
Canada. Ce sont des écritures sans aucune réserve qui sont
enregistrées et utilisées. C’est de l’argent fictif, créé à partir de
rien. Il n’y a pas de vraie dette!
5. Les impôts sont à contribution volontaire pour les particuliers.
Il n’y a pas de loi qui impose aux femmes et aux hommes vivants - des
êtres humains en chair et en os - de payer l’impôt sur leurs revenus.
Seules les corporations - des personnes fictives - sont tenues de
payer l’impôt sur leurs profits (revenus moins dépenses).
EN PAYANT LES IMPÔTS :
- Je me fais complice de tromperie et escroquerie publiques.
- Je participe au financement des guerres et génocides dans le monde.
Les Principes de Nuremberg n’interdisent-ils pas toute forme de
collaboration, directe ou indirecte, avec un « crime contre la paix,
un crime de guerre, un crime contre l’humanité »?
- J’endosse la dépossession des petits par les gros, je crée
l’injustice sociale. Devant ce constat, mon âme m’interdit
formellement de contribuer aux impôts. D’ailleurs, même chez les
autorités, le message est ambivalent quant au comportement à adopter.
C’est établi, il faut toujours obéir aveuglément aux ordres des
autorités. Sauf que, parfois, il faut obéir à sa conscience plutôt
qu’aux ordres des autorités. C’est ainsi qu’on a vu les autorités :
• condamner les chefs nazis à Nuremberg, ainsi que Papon en France,
parce qu’ils avaient obéi aux ordres des autorités et non à leur
conscience;
• récompenser le général Roméo Dallaire après qu’il eut obéi à sa
conscience et non aux ordres des autorités de l’ONU.
Il existe « une loi supérieure, la loi de Dieu, qui ordonne d’obéir à
sa conscience », ont déclaré les autorités à Nuremberg.
Je suis consciente de la perturbation qu’occasionne, pour les
systèmes établis, l’obéissance à mon âme&conscience. Peu importe le
prix à payer, je demeure fidèle à mon âme&conscience. C’est elle qui
gère ma vie et je lui ai donné carte blanche. Quelle que soit l’issue
de cette aventure, je me réjouis de contribuer à l’évolution de la
conscience humaine. Après tout, n’est-ce pas pour cela que je suis
sur terre?!
Ghis
À suivre!
Vous serez informé au fur et à mesure des événements.
Pour information : info@jemesouviensdequijesuis.com
Faire suivre s.v.p.
MANDAT D’ARRESTATION À GRANBY
REVENU CANADA CONTRE GHISLAINE LANCTÔT
ERREUR SUR LA PERSONNE
Un mandat d’arrestation a été prononcé le 3 mars 2008 pour défaut de
comparaître, malgré une erreur sur la personne. En effet, en date du
4 juin 2007, le procureur général du Canada a été avisé par lettre
que le nom de LANCTÔT, GHISLAINE entité légale qu’il avait constitué
par un certificat de naissance ne faisait plus preuve de l’identité
de l’être humain qui lui avait servi de représentante auparavant.
Le 6 juin 2007, l’Agence du revenu du Canada a fait signifier une
sommation à la corporation LANCTÔT, Ghislaine, création et propriété
du gouvernement, de comparaître le 18 juin 2007 en cour du Québec de
Granby pour répondre à sept chefs d’accusation de la Loi de l’impôt
sur le revenu pour omission de produire des déclarations de revenus
des particuliers, et ce malgré le fait que les procureurs généraux du
Québec et du Canada aient été avisés au préalable qu’il n’y avait
plus de répondante pour cette entité légale. (sommation 455
73-000295-074) Le procureur mandaté par l’Agence du revenu est Me
Serge Champoux.
Le 18 juin 2007, une visite de courtoisie a été faite pour informer
le juge Donald Bissonnette qu’il n’y avait plus de représentante pour
la corporation LANCTÔT, Ghislaine. Malgré l’avis donné au Tribunal,
un plaidoyer de non culpabilité fut enregistré au procès-verbal, sans
tenir compte du refus d’adhésion à l’entité juridique. La cour a
reporté la cause au 17 juillet 2007, pro-forma.
Le 16 juillet 2007, la juge Marie-Josée Ménard décida de fixer le
procès le 6 septembre 2007, à la même cour. Le 6 septembre 2007,
l’entité juridique LANCTÔT, Ghislaine a été condamnée sur tous les
chefs, par la juge Marie-Josée Ménard, à payer une amende de 1000$
par chef pour un total de 7000$. Une ordonnance lui a aussi été émise
de produire des déclarations de revenus, dans les 30 jours.
Le 30 janvier 2008, une nouvelle accusation a été portée contre
l’entité juridique LANCTÔT, Ghislaine pour ne pas avoir produit les
déclarations de revenus dans les 30 jours. La comparution a été fixée
au 3 mars 2008 au Palais de Justice de Granby. (sommation 460
73-000190-085) Le procureur ad hoc est Me Serge Champoux. Le 3 mars
2008, vu l’absence de l’ancienne représentante de la corporation
LANCTÔT, Ghislaine, un mandat d’arrestation a été ordonné contre
cette corporation pour défaut de comparaître.
OR, IL N’Y A PLUS DE LIEN ENTRE LA CORPORATION LANCTÔT, GHISLAINE ET
L’ÊTRE HUMAIN AVEC UN CORPS, UNE ÂME ET UN ESPRIT.
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Pour plus de détails, visiter le site
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QUE SE PASSE-T-IL?
Est-ce une question d’argent ? Non, c’est une question de conscience.
Depuis des années, je, Ghis, être souverain avec un corps, une âme,
un esprit, renonce à tous les privilèges accordés par le gouvernement
(assurance-maladie, permis de conduire, Régie des rentes, pension de
vieillesse, fonds de retraite, compte de banque, cartes de crédits,
etc...) pour ne pas être liée par les obligations qui s’ensuivent et
qui vont à l’encontre de ma conscience.
Jusqu’en 1994, j’ai accepté de payer les impôts pour l’entité fictive
appelée « contribuable », une corporation que le gouvernement a
créée, qui lui appartient et qui porte le nom de LANCTÔT, GHISLAINE.
Je croyais contribuer ainsi au bien public et je le faisais avec
entrain.
Que s’est-il passé pour que je stoppe complètement cette pratique en
1995? J’imagine les motifs probables que vous pouvez évoquer pour
telle décision : finances, rébellion, négligeance, oubli... Ce n’est
rien de cela.
C’est par obéissance à mon âme&conscience que j’ai pris cette
décision, depuis que je sais que :
1. Les impôts ne servent pas au bien public. Ils vont directement
dans les coffres des banquiers internationaux - propriétaires de la
Banque du Canada - qui les utilisent pour financer les armes et les
guerres, entre autres.
2. La Banque du Canada n’appartient pas au Canada. Elle est un cartel
de banques privées internationales qui créent la monnaie canadienne.
Ce pouvoir de création de la monnaie était exclusif au gouvernement
canadien. Il l’a cédé à la Banque du Canada en 1913. Depuis lors, le
gouvernement emprunte (avec intérêt composé) de l’argent qu’il
pouvait créer lui-même, sans coûts. C’est ainsi qu’une dette s’est
constituée et que le peuple, les « contribuables » donnés en
garantie, se saignent à blanc pour en payer uniquement les intérêts.
3. Les services fournis par le gouvernement ne sont pas payés par les
impôts. Ils sont financés à même de nouveaux emprunts encourus
régulièrement. D’où la croissance constante de l’inflation et de la
dette - capital et intérêts -.
4. La dette est fictive, virtuelle. C’est une fausse dette. Aucun
argent n’a été prêté par les banquiers propriétaires de la Banque du
Canada. Ce sont des écritures sans aucune réserve qui sont
enregistrées et utilisées. C’est de l’argent fictif, créé à partir de
rien. Il n’y a pas de vraie dette!
5. Les impôts sont à contribution volontaire pour les particuliers.
Il n’y a pas de loi qui impose aux femmes et aux hommes vivants - des
êtres humains en chair et en os - de payer l’impôt sur leurs revenus.
Seules les corporations - des personnes fictives - sont tenues de
payer l’impôt sur leurs profits (revenus moins dépenses).
EN PAYANT LES IMPÔTS :
- Je me fais complice de tromperie et escroquerie publiques.
- Je participe au financement des guerres et génocides dans le monde.
Les Principes de Nuremberg n’interdisent-ils pas toute forme de
collaboration, directe ou indirecte, avec un « crime contre la paix,
un crime de guerre, un crime contre l’humanité »?
- J’endosse la dépossession des petits par les gros, je crée
l’injustice sociale. Devant ce constat, mon âme m’interdit
formellement de contribuer aux impôts. D’ailleurs, même chez les
autorités, le message est ambivalent quant au comportement à adopter.
C’est établi, il faut toujours obéir aveuglément aux ordres des
autorités. Sauf que, parfois, il faut obéir à sa conscience plutôt
qu’aux ordres des autorités. C’est ainsi qu’on a vu les autorités :
• condamner les chefs nazis à Nuremberg, ainsi que Papon en France,
parce qu’ils avaient obéi aux ordres des autorités et non à leur
conscience;
• récompenser le général Roméo Dallaire après qu’il eut obéi à sa
conscience et non aux ordres des autorités de l’ONU.
Il existe « une loi supérieure, la loi de Dieu, qui ordonne d’obéir à
sa conscience », ont déclaré les autorités à Nuremberg.
Je suis consciente de la perturbation qu’occasionne, pour les
systèmes établis, l’obéissance à mon âme&conscience. Peu importe le
prix à payer, je demeure fidèle à mon âme&conscience. C’est elle qui
gère ma vie et je lui ai donné carte blanche. Quelle que soit l’issue
de cette aventure, je me réjouis de contribuer à l’évolution de la
conscience humaine. Après tout, n’est-ce pas pour cela que je suis
sur terre?!
Ghis
À suivre!
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Pour information : info@jemesouviensdequijesuis.com
Faire suivre s.v.p.