Bonjour.
Je ne fait pas souvent de post, mais suite à un article d'une source que je considère comme assez fiable du site de l'historien Anti-NWO Pierre Gilbert, m'amène à poster cet interview de John Stadtmiller avec John Moore.
L'interview date du 18 novembre 2008 et il situ l'évènement dans les trois mois qui suivent.
Je vous laisse juger vous même, en tout cas ça a l'air d'être du serieux.
Interview de John Stadtmiller avec John Moore
Le 18 Novembre 2008
Note : Comme John Stadtmiller, John Moore est aussi l’invité d’un talk-show sur Republic Broadcasting Network. Son profil se lit comme suit : « John Moore a combattu le terrorisme, au début, en 1967 dans les rues et les ruelles du Viêtnam. Un ancien membre des Bérets Verts, John amène en Amérique sa vaste connaissance en sécurité personnelle pour aider les autres à se préserver du terrorisme. Votre sécurité personnelle et la sécurité de vos êtres aimés sont votre responsabilité. Vous êtes venu au bon endroit pour obtenir de l'information valable qui pourrait sauver votre vie ». Il est actuellement un détective privé. Son site web est : http://www.thelibertyman.com/
John Stadtmiller : J'ai avec nous John Moore. John m'a appelé avant le programme d’aujourd'hui pour me donner quelques informations plutôt surprenantes. Bon après-midi, John.
John Moore : Bonjour, John, il est bon d’être ici.
Stadtmiller : Quelles petites gâteries de nouvelles avez-vous pour nous, mon cher monsieur ?
John Moore : Bien, en voici une. Pendant que nous parlons, des lettres sont préparées pour être envoyées à tous les officiers de l'armée de terre retraités, tous les officiers de l'armée de terre américains, les rappelant dans le service actif. Ceci se produit cette semaine. La semaine prochaine les adjudants et les sergents auront leurs lettres...
Stadtmiller : ...Et ?
John Moore : Bien, j'ai parlé à certains de mes amis vétérans, historiens, et ainsi de suite, au sujet de la dernière fois que ceci est arrivé. Nous savons que la dernière fois que ceci s’est produit, c’était en décembre 1941. Ils ont appelé cela une mobilisation générale. Cela ne s’était pas produit depuis décembre 1941. Cela ne s’était pas produit pour la guerre de Corée, ni pour la guerre du Viêtnam, pas depuis 1941.
Stadtmiller : Bien, et comment êtes-vous tombé sur cette information ?
Moore : Le gentilhomme est un…. Je l'ai obtenu d'un de mes amis. Nous nous sommes connus pendant plus de dix ans. Et il est lui-même un militaire. Il était juste dans le bureau au moment où les lettres ont été préparées aujourd'hui.
Stadtmiller : Et, quel était le groupe de combat qui a fait la rotation de l'Irak pour la première fois dans l’histoire de ce pays?
Moore : Bien, ce groupe, et celui dont vous parlez n’est seulement que de quelques centaines d’hommes. C'est un millier, plus ou moins. C'est une brigade. Je crois que c'est un groupe de 1000 hommes. (Note des éditeurs : S'il vous plaît, voir l'article Army Times « Les tournées nationales de la brigade commencent le 1 octobre. » concernant le Groupe de combat de la Première brigade, la Troisième division d'infanterie, Ft Stewart, en Géorgie.)
Stadtmiller : Oui. Mais il y avait des projets pour amener plus de gens dans tout ceci. J’ai lu un rapport il y a quelques semaines. Mais, ils parlent de 2008, 2009, et de l'avenir aussi. Mais, le point important de tout ceci, John, est le posse comitatus, le traité de 1878, que vous ne pourriez pas utiliser les forces armées pour aucun rôle à l’intérieur des États-Unis, qu'ils ont ainsi jeté aux poubelles.
Moore : S'ils devaient faire cela, ils auraient besoin de l'annuler avec un ordre exécutif. Une déclaration d'urgence, ou quelque chose de semblable.
Stadtmiller : Bien, ils se préparent pour quelque chose.
Moore : Absolument. C’est une chose très sérieuse. Une mobilisation générale est quelque chose d’extrêmement sérieux, John.
Stadtmiller : Bien, nous avons bien entendu certains bruits à ce sujet. J’ai justement lu hier qu'Obama, le Président élu, a dit que des sources de l'intelligence militaire prévoyaient une menace imminente, une menace très sérieuse pour les États-Unis.
Moore : Bien, c’est évident. Les hommes et les femmes qui recevront ces lettres sont dans tous les secteurs de la société. Ce sont des médecins, des avocats, des comptables, des policiers, des pompiers de partout aux États-Unis. C'est une interruption nationale très sérieuse des vies et des carrières des gens. Il ne faut pas prendre ceci à la légère. Je ne le ferais pas au hasard.
Stadtmiller : Bien, un des employés de ce programme, et ceci est une chose bien intéressante, que, et John vous le savez bien parce que vous avez été en contact très rapproché, vous avez été un militaire. Vous avez été en contact permanent avec beaucoup de personnels militaires. Vous savez que ce sont de bonnes personnes, craignant Dieu et observant la loi.
Moore : 99% d’entre eux le sont, oui monsieur.
Stadtmiller : Bien, une personne appelée pourrait penser devoir amener certains officiers hors des communautés afin d’empêcher n'importe quel, disons seulement qu’en cas de n'importe quelle urgence, bien mettons-le seulement de cette façon.
Moore : Compromettre la direction ?
Stadtmiller : Vous avez bien compris.
Moore : Nous étions à un point pendant l’Administration Clinton que j'étais conscient d'officiers qui étaient… fondamentalement la façon qu’ils se sont comportés, s'il y avait une quelconque réunion appelée sans avis préalable, qui n'était pas planifiée et hors norme, ils transportaient un sac avec eux qui contenait un pistolet et un masque à gaz. C’était devenu à ce point terrible pendant l’Administration Clinton.
Stadtmiller : Il y a quelque chose dans le vent, John.
Moore : Oh, absolument. Ce type d'ordre ne sortirait pas des mois et des mois avant d’en avoir besoin. Ce ne serait certainement pas pour plus de trois mois. Et, vous ne pouvez pas le cacher. Lorsque ces ordres de mobilisation sortent, vous ne pouvez pas cacher la mobilisation de dizaines de milliers d'hommes et de femmes de partout dans ce pays. Cela ne peut pas être caché. Ils devront avoir un bon prétexte pour justifier toute cette mobilisation. Un prétexte public pour très bientôt.
Stadtmiller : Bien, et voici certaines autres informations que vous ne pourriez pas avoir été privées. Permettez-moi de vous le composer ici. Il y a une entreprise appelée AEP. Maintenant, AEP est un des plus grands générateurs d'électricité de tout le pays. Ils produisent quelque chose comme 38 000 mégawatts de capacité et ils sont au Texas, en Ohio, partout dans le pays. Ils sont basés à Colombus, en Ohio. Le rapport que j'ai obtenu était, et permettez-moi de vous le citer, concernant la centrale électrique de Gabon, et qui est en fait en Ohio elle-même, et ils se déplacent dans des caravanes. Maintenant, un des électriciens qui travaille sur ce site a dit qu'il y avait entre 45 et 50 caravanes qui se déplaçaient avec des lits, la literie, et tout ce qu’il faut.
Moore : Les caravanes comme des maisons mobiles ou des véhicules récréatifs.
Stadtmiller : Pas des véhicules récréatifs mais plutôt comme des maisons mobiles.
Moore : Bien.
Stadtmiller : Maintenant, d’autres sites ont été vérifiés. Les rapports entrent qu’en fait beaucoup de facilités électriques ont acquis ce genre de caravanes.
Moore : Bien, ce serait facile à vérifier partout aux États-Unis. Ces centrales électriques sont partout dans le pays.
Stadtmiller : Oui, effectivement. Mais, je suis assis ici et nous attendons tous que la deuxième chaussure tombe. Et, j'ai regardé ceci et regardé cela. Tout le monde a cette sensation inquiétante que nous allons avoir un autre faux attentat terroriste ? Du genre de celui qui a été mis dans un pipe-line, manière de parler, par notre propre gouvernement, via le Pentagone, les agences de l'intelligence dans le pays, ils disent tous : « Nous ne sommes pas certains de ce que c'est, mais nous pensons que ce sera grand, et nous pensons que c'est imminent ».
Moore : Bien, de toute évidence, c’est bien le cas étant donné les informations que j'ai obtenues, et ce que vous avez obtenu ici aussi, John.
Stadtmiller : Bien, John, je ne sais pas exactement ce que c'est. Je ne veux pas nécessairement affoler les gens et les effrayer, mais…
Moore : Bien, les gens se lèvent toujours et vont travailler le matin. Je conseille à mes amis qui ont des enfants dans l’adolescence et dans la vingtaine d’obtenir leurs passeports et de se préparer à quitter le pays.
Stadtmiller : Bien, John, vers où nous dirigeons-nous ?
Moore : Vers un lieu où l’extradition n’existe pas.
Stadtmiller : Bien, arrêtons-nous un peu. Parce qu'il y a quelque chose que quelqu'un a raté. Si vous êtes sur une quelconque sorte de liste de surveillance du gouvernement, et que vous savez que les ordinateurs des aéroports ont tous été mis à jour. Ils ont tous leurs listes. Même si vous sortez du pays, ce qui me fait penser que même avec un passeport nous avons une petite chose appelée Interpol, et qui vous fait penser que vous pourriez rester dans un pays.
Moore : Vous devriez obtenir des visas avant de partir, évidemment.
Stadtmiller : Et, John, mon idée au sujet de tout ceci est que je n’irai nulle part.
Moore : Moi non plus. Je parle avec de jeunes hommes qui ont justement l'âge d’être enrôlés. Ils seraient seulement de la chair à canon.
Stadtmiller : (Rire) Oui, ce serait certainement le cas. À propos, vous êtes certainement le genre de gars à tirer sur eux. Avez-vous remarqué les démonstrations d’armes ?
Moore : Toutes mes sources, bien, KT Ordonance était un annonceur publicitaire sur mon spectacle, il a dit, « John, trois jours après l'élection, j'aurais pu vendre 2000 AR-15, si je les avais eus ».
Stadtmiller : Bien, juste pendant le week-end, et un de nos proches a obtenu cette information d'un de nos négociants ici dans le centre du Texas, il y avait le système NIC, qui est le système national de contrôle de l’historique Criminel Instantané, ils avaient un million, à travers le pays, ils avaient un million d’appels à l’heure.
Moore : Ils doivent avoir une très grande capacité pour pouvoir contrôler ce nombre d'appels venants de l'extérieur.
Stadtmiller : Bien, si vous y pensez bien, s'ils contrôlent les États-Unis en entier avec toutes les démonstrations d’armes et tous les magasins d'armes et toutes les autres choses, ils doivent certainement avoir une très grande capacité.
Moore : Bien, c’est stupéfiant.
L’entrevue peut être vue à cette adresse - 123 min
http://video.google.com/videoplay?docid=7065205277695921912
Traduit par Oscar Blais
Je ne fait pas souvent de post, mais suite à un article d'une source que je considère comme assez fiable du site de l'historien Anti-NWO Pierre Gilbert, m'amène à poster cet interview de John Stadtmiller avec John Moore.
L'interview date du 18 novembre 2008 et il situ l'évènement dans les trois mois qui suivent.
Je vous laisse juger vous même, en tout cas ça a l'air d'être du serieux.
Interview de John Stadtmiller avec John Moore
Le 18 Novembre 2008
Note : Comme John Stadtmiller, John Moore est aussi l’invité d’un talk-show sur Republic Broadcasting Network. Son profil se lit comme suit : « John Moore a combattu le terrorisme, au début, en 1967 dans les rues et les ruelles du Viêtnam. Un ancien membre des Bérets Verts, John amène en Amérique sa vaste connaissance en sécurité personnelle pour aider les autres à se préserver du terrorisme. Votre sécurité personnelle et la sécurité de vos êtres aimés sont votre responsabilité. Vous êtes venu au bon endroit pour obtenir de l'information valable qui pourrait sauver votre vie ». Il est actuellement un détective privé. Son site web est : http://www.thelibertyman.com/
John Stadtmiller : J'ai avec nous John Moore. John m'a appelé avant le programme d’aujourd'hui pour me donner quelques informations plutôt surprenantes. Bon après-midi, John.
John Moore : Bonjour, John, il est bon d’être ici.
Stadtmiller : Quelles petites gâteries de nouvelles avez-vous pour nous, mon cher monsieur ?
John Moore : Bien, en voici une. Pendant que nous parlons, des lettres sont préparées pour être envoyées à tous les officiers de l'armée de terre retraités, tous les officiers de l'armée de terre américains, les rappelant dans le service actif. Ceci se produit cette semaine. La semaine prochaine les adjudants et les sergents auront leurs lettres...
Stadtmiller : ...Et ?
John Moore : Bien, j'ai parlé à certains de mes amis vétérans, historiens, et ainsi de suite, au sujet de la dernière fois que ceci est arrivé. Nous savons que la dernière fois que ceci s’est produit, c’était en décembre 1941. Ils ont appelé cela une mobilisation générale. Cela ne s’était pas produit depuis décembre 1941. Cela ne s’était pas produit pour la guerre de Corée, ni pour la guerre du Viêtnam, pas depuis 1941.
Stadtmiller : Bien, et comment êtes-vous tombé sur cette information ?
Moore : Le gentilhomme est un…. Je l'ai obtenu d'un de mes amis. Nous nous sommes connus pendant plus de dix ans. Et il est lui-même un militaire. Il était juste dans le bureau au moment où les lettres ont été préparées aujourd'hui.
Stadtmiller : Et, quel était le groupe de combat qui a fait la rotation de l'Irak pour la première fois dans l’histoire de ce pays?
Moore : Bien, ce groupe, et celui dont vous parlez n’est seulement que de quelques centaines d’hommes. C'est un millier, plus ou moins. C'est une brigade. Je crois que c'est un groupe de 1000 hommes. (Note des éditeurs : S'il vous plaît, voir l'article Army Times « Les tournées nationales de la brigade commencent le 1 octobre. » concernant le Groupe de combat de la Première brigade, la Troisième division d'infanterie, Ft Stewart, en Géorgie.)
Stadtmiller : Oui. Mais il y avait des projets pour amener plus de gens dans tout ceci. J’ai lu un rapport il y a quelques semaines. Mais, ils parlent de 2008, 2009, et de l'avenir aussi. Mais, le point important de tout ceci, John, est le posse comitatus, le traité de 1878, que vous ne pourriez pas utiliser les forces armées pour aucun rôle à l’intérieur des États-Unis, qu'ils ont ainsi jeté aux poubelles.
Moore : S'ils devaient faire cela, ils auraient besoin de l'annuler avec un ordre exécutif. Une déclaration d'urgence, ou quelque chose de semblable.
Stadtmiller : Bien, ils se préparent pour quelque chose.
Moore : Absolument. C’est une chose très sérieuse. Une mobilisation générale est quelque chose d’extrêmement sérieux, John.
Stadtmiller : Bien, nous avons bien entendu certains bruits à ce sujet. J’ai justement lu hier qu'Obama, le Président élu, a dit que des sources de l'intelligence militaire prévoyaient une menace imminente, une menace très sérieuse pour les États-Unis.
Moore : Bien, c’est évident. Les hommes et les femmes qui recevront ces lettres sont dans tous les secteurs de la société. Ce sont des médecins, des avocats, des comptables, des policiers, des pompiers de partout aux États-Unis. C'est une interruption nationale très sérieuse des vies et des carrières des gens. Il ne faut pas prendre ceci à la légère. Je ne le ferais pas au hasard.
Stadtmiller : Bien, un des employés de ce programme, et ceci est une chose bien intéressante, que, et John vous le savez bien parce que vous avez été en contact très rapproché, vous avez été un militaire. Vous avez été en contact permanent avec beaucoup de personnels militaires. Vous savez que ce sont de bonnes personnes, craignant Dieu et observant la loi.
Moore : 99% d’entre eux le sont, oui monsieur.
Stadtmiller : Bien, une personne appelée pourrait penser devoir amener certains officiers hors des communautés afin d’empêcher n'importe quel, disons seulement qu’en cas de n'importe quelle urgence, bien mettons-le seulement de cette façon.
Moore : Compromettre la direction ?
Stadtmiller : Vous avez bien compris.
Moore : Nous étions à un point pendant l’Administration Clinton que j'étais conscient d'officiers qui étaient… fondamentalement la façon qu’ils se sont comportés, s'il y avait une quelconque réunion appelée sans avis préalable, qui n'était pas planifiée et hors norme, ils transportaient un sac avec eux qui contenait un pistolet et un masque à gaz. C’était devenu à ce point terrible pendant l’Administration Clinton.
Stadtmiller : Il y a quelque chose dans le vent, John.
Moore : Oh, absolument. Ce type d'ordre ne sortirait pas des mois et des mois avant d’en avoir besoin. Ce ne serait certainement pas pour plus de trois mois. Et, vous ne pouvez pas le cacher. Lorsque ces ordres de mobilisation sortent, vous ne pouvez pas cacher la mobilisation de dizaines de milliers d'hommes et de femmes de partout dans ce pays. Cela ne peut pas être caché. Ils devront avoir un bon prétexte pour justifier toute cette mobilisation. Un prétexte public pour très bientôt.
Stadtmiller : Bien, et voici certaines autres informations que vous ne pourriez pas avoir été privées. Permettez-moi de vous le composer ici. Il y a une entreprise appelée AEP. Maintenant, AEP est un des plus grands générateurs d'électricité de tout le pays. Ils produisent quelque chose comme 38 000 mégawatts de capacité et ils sont au Texas, en Ohio, partout dans le pays. Ils sont basés à Colombus, en Ohio. Le rapport que j'ai obtenu était, et permettez-moi de vous le citer, concernant la centrale électrique de Gabon, et qui est en fait en Ohio elle-même, et ils se déplacent dans des caravanes. Maintenant, un des électriciens qui travaille sur ce site a dit qu'il y avait entre 45 et 50 caravanes qui se déplaçaient avec des lits, la literie, et tout ce qu’il faut.
Moore : Les caravanes comme des maisons mobiles ou des véhicules récréatifs.
Stadtmiller : Pas des véhicules récréatifs mais plutôt comme des maisons mobiles.
Moore : Bien.
Stadtmiller : Maintenant, d’autres sites ont été vérifiés. Les rapports entrent qu’en fait beaucoup de facilités électriques ont acquis ce genre de caravanes.
Moore : Bien, ce serait facile à vérifier partout aux États-Unis. Ces centrales électriques sont partout dans le pays.
Stadtmiller : Oui, effectivement. Mais, je suis assis ici et nous attendons tous que la deuxième chaussure tombe. Et, j'ai regardé ceci et regardé cela. Tout le monde a cette sensation inquiétante que nous allons avoir un autre faux attentat terroriste ? Du genre de celui qui a été mis dans un pipe-line, manière de parler, par notre propre gouvernement, via le Pentagone, les agences de l'intelligence dans le pays, ils disent tous : « Nous ne sommes pas certains de ce que c'est, mais nous pensons que ce sera grand, et nous pensons que c'est imminent ».
Moore : Bien, de toute évidence, c’est bien le cas étant donné les informations que j'ai obtenues, et ce que vous avez obtenu ici aussi, John.
Stadtmiller : Bien, John, je ne sais pas exactement ce que c'est. Je ne veux pas nécessairement affoler les gens et les effrayer, mais…
Moore : Bien, les gens se lèvent toujours et vont travailler le matin. Je conseille à mes amis qui ont des enfants dans l’adolescence et dans la vingtaine d’obtenir leurs passeports et de se préparer à quitter le pays.
Stadtmiller : Bien, John, vers où nous dirigeons-nous ?
Moore : Vers un lieu où l’extradition n’existe pas.
Stadtmiller : Bien, arrêtons-nous un peu. Parce qu'il y a quelque chose que quelqu'un a raté. Si vous êtes sur une quelconque sorte de liste de surveillance du gouvernement, et que vous savez que les ordinateurs des aéroports ont tous été mis à jour. Ils ont tous leurs listes. Même si vous sortez du pays, ce qui me fait penser que même avec un passeport nous avons une petite chose appelée Interpol, et qui vous fait penser que vous pourriez rester dans un pays.
Moore : Vous devriez obtenir des visas avant de partir, évidemment.
Stadtmiller : Et, John, mon idée au sujet de tout ceci est que je n’irai nulle part.
Moore : Moi non plus. Je parle avec de jeunes hommes qui ont justement l'âge d’être enrôlés. Ils seraient seulement de la chair à canon.
Stadtmiller : (Rire) Oui, ce serait certainement le cas. À propos, vous êtes certainement le genre de gars à tirer sur eux. Avez-vous remarqué les démonstrations d’armes ?
Moore : Toutes mes sources, bien, KT Ordonance était un annonceur publicitaire sur mon spectacle, il a dit, « John, trois jours après l'élection, j'aurais pu vendre 2000 AR-15, si je les avais eus ».
Stadtmiller : Bien, juste pendant le week-end, et un de nos proches a obtenu cette information d'un de nos négociants ici dans le centre du Texas, il y avait le système NIC, qui est le système national de contrôle de l’historique Criminel Instantané, ils avaient un million, à travers le pays, ils avaient un million d’appels à l’heure.
Moore : Ils doivent avoir une très grande capacité pour pouvoir contrôler ce nombre d'appels venants de l'extérieur.
Stadtmiller : Bien, si vous y pensez bien, s'ils contrôlent les États-Unis en entier avec toutes les démonstrations d’armes et tous les magasins d'armes et toutes les autres choses, ils doivent certainement avoir une très grande capacité.
Moore : Bien, c’est stupéfiant.
L’entrevue peut être vue à cette adresse - 123 min
http://video.google.com/videoplay?docid=7065205277695921912
Traduit par Oscar Blais