URANIUM DE GUERRE la fin d'un monde
Dissémination mondiale
Le crime majeur de l’empoisonnement de l’humanité
Cinq vidéos à voir en fin d’article
Après vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas
votre propre vie est engagée!
Engagez-vous!
Défendez-vous!
"L’Irak en 1991, puis durant 12 ans de bombardements et de blocus, puis durant l’invasion de 2003, l’Afghanistan durant l’invasion de 2001, mais également la Serbie en 1999, le Liban en 2006 et la Palestine en 2009 ont été bombardé sciemment avec des munitions à l’uranium de guerre dit « appauvri. » Depuis, le taux de cancer, de leucémie, de malformation congénitale et de mortalité infantile explosent littéralement.
L’uranium de guerre dit « appauvri » est utilisé dans des bombes anti-bunkers et des munitions anti-chars. Dû à son exceptionnelle densité, l’uranium de guerre dit « appauvri » confère aux munitions un pouvoir perforant apparemment sans égal, et compte tenu de son faible coût de production il est préféré au tungstène. Cet uranium, déchet des centres d’enrichissement de l’uranium est dit « appauvri » car sous-produit inutile dans le nucléaire civil ou dans l‘élaboration de la bombe atomique, il est presque gratuit!
Il est le sous-produit de la séparation de l’uranium naturel en un uranium hyper radioactif utilisable pour le fonctionnement des centrales nucléaire et la fabrication de la bombe atomique, d’avec donc cet uranium dit appauvri car moins radioactif que le premier, ou que l’uranium trouvé à l’état naturel. Cependant la radioactivité de l’uranium « appauvri » reste en moyenne de 14 800 000 Bq/kg. (Celle de l’uranium naturel est de 25 400 000 Bq/kg, pour comparaison, la radioactivité naturelle normale d'un corps humain est d'environ 8 000 Bq/kg et celle de la terre est de 500 à 5 000 Bq/kg.)
Si le terme d’uranium « appauvri » est acceptable dans les milieux civils et scientifiques, il est utilisé de manière abusive et propagandiste par l’industrie militaire qui l’a transformé en arme de guerre redoutable… Il s’agit en fait « d’uranium de guerre. » De fait, l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe a réclamé, sans effets, l’interdiction de la fabrication, des essais, de l'utilisation et de la vente d'armes à l’uranium « appauvri » afin de préserver les générations présentes et futures (Conseil de l’Europe 24/01/2001). Et la directive 96/29/Euratom dispose que tout produit dépassant une concentration de 10 000 becquerels par kilogramme doit être confiné. Or, bien que l'uranium « appauvri » ait une concentration 1 000 fois supérieure à cette limite, il est toujours disséminé dans l'environnement par le biais de ces munitions. Pourtant aux termes encore plus explicite de la loi fédérale américaine, titre 50, chapitre 40, article 2302, les armes à uranium « appauvri » correspondent à la définition des armes de destruction massive.
Pourquoi ces munitions qui de prime abord ont une fonction très ciblée, percer des blindages ou des bunkers, peuvent être qualifiées d’armes de destruction massive? Principalement parce qu’elles peuvent être rangé dans la catégorie des « bombes sales ». Il est avéré aujourd’hui, et de fait depuis la guerre d’Irak de 1991, que ces munitions se transformant en gaz explosif à l’impacte, « traversant les blindages comme un couteau chaud dans du beurre », disséminent alors des micro-particules radioactives dans l’environnement…particules si fines qu’elles sont disséminées par les vents, les sols et les nappes phréatiques. (Et on se souvient qu’après l’incendie des puits de pétroles à l’occasion de la première guerre du Golfe, on retrouva des suies emmenées par les vents…sur les pentes de l’Everest!) En plus des pays cibles, les poussières métalliques disséminées par les vents, les tempêtes de sable, l’eau, le sol et les êtres vivants affectent directement l’Iran, le Pakistan, la Turquie, le Turkménistan, l’Ouzbékistan, la Russie, la Géorgie, Azerbaïdjan, le Kazakhstan, la Chine, l’Inde, l’Arabie Saoudite, la Syrie, la Jordanie, le Liban, la Palestine et Israël….et à moindre mesure le reste du monde… La durée de vie de cette « radioactivité de guerre » est de plus de quatre milliards d’années…soit à peu près l’âge actuelle de la terre…
Concernant les effets sur la santé, il est difficile de trouver des données officielles, propagande de guerre oblige, les informations nous viennent essentiellement d’associations indépendantes, d’organisation non-gouvernementales, de témoignages de malades et de médecins. Intéressons-nous d’abord à ces chiffres flagrants concernant les arroseurs arrosé…ou plutôt les irradieurs irradiés… Les soldats US.
Le gouvernement US, et français d’ailleurs, ont évidement toujours nié l’existence d’une relation entre les maladies des anciens combattants et l’usage d’uranium appauvri dans les munitions, affirmant que la toxicité de ce matériau était négligeable, sauf admettent-ils tout de même, lorsqu’il était inhalé en aérosol immédiatement après une explosion. Pourtant de nombreux experts mettent en cause ces conclusions, à commencer par Dough Rokke, chargé en 1991 par l’armée US de mesurer les effets de cette arme, et qui a vu tous les membres de son équipe tomber malades et certains mourir, lui-même étant sérieusement atteint. (voir vidéo en fin d’article)
D'après des interviews auprès du personnel du département des Affaires des vétérans américains réalisés par l'American Free Press, les taux de soldats rendus invalides durant des conflits impliquant les US durant le dernier siècle tournaient autour de 5%, approchant les 10% durant la guerre du Vietnam. Mais, dû à l’uranium appauvri sur les champs de bataille, 56% des 580 400 soldats américains qui ont servi durant la première guerre du Golfe, en 1991, étaient sur la liste des invalides médicaux permanents dés l‘an 2000. En 2007 quelques 518 739 vétérans sont des invalides médicaux, soit presque la totalité des soldats ayant participé à la «Tempête (radioactive) du Désert» de 1991. Ils sont atteints de maladies incurables, dégénératives et mortelles, cancers leucémies, etc. 11 000 soldats américains sont morts depuis la fin du premier conflit en Irak, alors que seulement environ 300 ont été tués en combat. Ces soldats ont même contaminé leurs conjointes qui étaient restées au pays, qui ont par la suite donné naissance à des enfants avec des déformations génétiques. Dans une étude du gouvernement des États-Unis, conduite par le Département des anciens combattants, des anomalies à la naissance ou des maladies sérieuses ont été décelées chez 67% des bébés nés après la guerre du Golfe. Ils sont nés sans œil (anophtalmie), sans oreilles, ou encore il leur manquait des organes tels que jambes et bras, avaient les doigts mal formés, présentaient des dommages à la thyroïde et autres malformations d’organes. » En France, nombres d’anciens combattants de la première guerre du Golfe se sont réunis en association « AVIGOLFE » et dénoncent leurs propres empoisonnements. Faites vos recherches sur Internet.
Voilà pour les soldats…les exécuteurs…restés seulement quelques mois sur place…qu ‘en est-il maintenant des victimes, des peuples D’Irak et d’Afghanistan principalement, qui baignent dans le jus depuis pluviôses années
C’est le pire et de loin. Là-bas les bébés naissent même sans cerveau, les organes sont hors du corps, et les femmes mettent au monde des « morceaux de viande ». Chez les bébés nés en Irak en 2002, l’incidence d’anophthalmie, naissance sans yeux, a été 250 000 fois plus importante (20 cas pour 4 000 naissances) que l’occurrence naturelle, qui est d’un cas pour 50 millions de naissances. Des filles de quatorze ans font des cancers du sein. A l'accouchement, les mamans ne demandent plus si c'est un garçon ou une fille, mais si l'enfant est normal. «Tout ça à cause de l'uranium appauvri que les troupes de la coalition ont utilisé en 1991», confirme le docteur de l’hôpital de Bassorah. Un étudiant qui fait de la recherche sur l'uranium appauvri démontre que 44% de la population dans les régions touchées souffrira du cancer du poumon et 5% d'autres formes de cancer. La maladie peut même encore se déclarer dix ans après l'exposition. «Et 80% de ceux qui attrapent un cancer vont mourir» explique le docteur. «Souvent très vite, car nous n'avons rien pour la chimiothérapie et nous manquons d'antibiotiques et de moyens contre l'infection. Le nombre de cancers a surtout augmenté après 1995. La période d'incubation pour l'uranium appauvri est de cinq ans.» 50% de la population, dans les conditions sanitaires actuelles, va mourir d’un cancer en Irak…
Génocide!Génocide! Génocide!
Concernant l’Afghanistan, les sources sont encore plus rares…mais une étude de 2003 sur la présence d’uranium en Afghanistan réalisée par docteur Asaf Durakovic, conseiller de l'armée US qui est maintenant professeur en médecine au Centre de Recherche Médicale sur l'Uranium (UMRC), situé au Canada, ne laisse planer aucune ambiguïté.
Selon le UMRC, "Un monitoring indépendant des types d'armes et des systèmes de lancement, indique que des alliages contenant de l'uranium toxique et des ogives en uranium ont été utilisés par les forces de la coalition". Le UMRC dit que la province de Nangarhar a été une zone cible stratégique durant le conflit afghan pour le déploiement d'une nouvelle génération d'ogives à pénétration profonde, "casseuses de grottes" et provoquant des chocs sismiques.
Le docteur Durakovic déclare que son équipe a identifié plusieurs centaines de personnes souffrant de maladie et de conditions physique similaires à celles des vétérans de la guerre du Golfe (1991), probablement parce qu'ils ont inhalé de la poussière d'uranium.
Pour tester son hypothèse que l'une ou l'autre forme d'arme à uranium avait été utilisée, le UMRC a envoyé des échantillons d'urine provenant de 17 Afghans pour analyse dans un laboratoire britannique indépendant. "Sans aucune exception", dit-il, "chaque personne qui avait remis un échantillon d'urine a été testée positive à la contamination interne à l'uranium." "Les résultats ont été stupéfiants : les donneurs présentaient des concentrations d'isotopes d'uranium toxiques et radioactifs entre 100 et 400 fois plus élevées que chez les vétérans du Golfe examinés en 1999." "Si les découvertes du UMRC à Nangarhar sont corroborées dans d'autres communautés à travers l'Afghanistan, le pays fait face à un sérieux désastre pour la santé publique... Toutes les générations à venir sont en danger."
Pour le UMRC, les troupes qui ont combattu en Afghanistan et le personnel des agences humanitaires basées en Afghanistan sont également en danger.
L'équipe du docteur Durakovic a utilisé comme groupe contrôle 3 Afghans qui n'avaient présenté aucun signe de contamination. Ils avaient en moyenne 9,4 nanogrammes d'uranium par litre d'urine. La moyenne pour ses 17 patients choisis au hasard était de 315,5 nanogrammes par litre, dit-il. Certains venaient de Jalalabad, et d'autres de Kaboul, Tora Bora et Mazr-I-Sharif. Un garçon de 12 ans vivant près de Kaboul avait 2031 nanogrammes/litre. Le niveau maximum autorisé pour le public aux USA est de 12 nanogrammes/litre, dit le docteur Durakovic. »
Génocide! Génocide! Génocide!
Je n’ai pas envie de continuer cet article de mort, de fouiller dans les cimetières et décombres des guerres d’occident, si ce n‘est de dire que les témoignages sont les mêmes en Afghanistan, la mortalité infantile explose…j’en suis écœuré…envi de vomir…j’arrête.
Selon la méthode pour le moins cartésienne des « Fraternités des Ignorants »; « si tu ne sais pas, cherche! » cet article est composé de multiples sources et documents que chacun peut retrouver en faisant des recherches simples sur Internet du type « Uranium Irak » « uranium Afghanistan » « uranium appauvri » « uranium vétérans » « Avigolfe, » « Greenpeace uranium » etc. Mais il faut avoir le cœur bien accroché… Et je conseil la lecture de l’article suivant qui démontre la dissémination mondiale des particules d’uranium de guerre:
http://www.amessi.org/URANIUM-APPAUVRI-IMPACT-MONDIAL
Et surtout l’imparable enquête vidéo « la mort en poussière » explication scientifique, et témoignages réalisés en 2000.
N°1
https://www.dailymotion.com/video/x4sy4z_la-mort-en-poussierecut0100_news?from=rss
N°2
https://www.dailymotion.com/related/x4t048/video/x4sylk_la-mort-enpoussierecut0200_news
N°3
https://www.dailymotion.com/related/x4sylk/video/x4sz73_la-mort-en-poussierecut0300_news
N°4
https://www.dailymotion.com/related/x4t0bn/video/x4t048_la-mort-en-poussierecut040000_news
N°5
https://www.dailymotion.com/related/x4sz73/video/x4t0bn_la-mort-en-poussierecut05fin00_news
Après les avoirs vu, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. Prévenez vos proches, vos enfants, vos amis, faites circuler ces vidéos, engagez-vous, luttez…ou regardez votre descendance crever de dégénérescences!
J’ai écris cet article pour mes propres fils, pour qu’à l’âge d’être adulte, ils se souviennent et se révoltent eux-même, et que de la même façon qu’aujourd’hui nous chassons encore les anciens nazi, ils chassent et jugent à leurs tour jusqu’au dernier les auteurs et complices du premier génocide à l’uranium de guerre de l’histoire de l’humanité, si eux-même n‘en meurent pas avant, car la dissémination est mondiale.
Parmi les collabos français au pire crime contre l’humanité de toute l’histoire il faudra citer à comparaître la mémoire de Mitterrand, Chirac et Sarkozy, tous les gouvernements, députés, généraux d’active et journalistes français qui ne disent rien depuis 1991..."
Vincent Després Levard
Fraternités des Ignorants
Fraternitesdesignorants@laposte.net
http://www.alterinfo.net/URANIUM-DE-GUERRE-la-fin-d-un-monde_a30330.html
Dissémination mondiale
Le crime majeur de l’empoisonnement de l’humanité
Cinq vidéos à voir en fin d’article
Après vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas
votre propre vie est engagée!
Engagez-vous!
Défendez-vous!
"L’Irak en 1991, puis durant 12 ans de bombardements et de blocus, puis durant l’invasion de 2003, l’Afghanistan durant l’invasion de 2001, mais également la Serbie en 1999, le Liban en 2006 et la Palestine en 2009 ont été bombardé sciemment avec des munitions à l’uranium de guerre dit « appauvri. » Depuis, le taux de cancer, de leucémie, de malformation congénitale et de mortalité infantile explosent littéralement.
L’uranium de guerre dit « appauvri » est utilisé dans des bombes anti-bunkers et des munitions anti-chars. Dû à son exceptionnelle densité, l’uranium de guerre dit « appauvri » confère aux munitions un pouvoir perforant apparemment sans égal, et compte tenu de son faible coût de production il est préféré au tungstène. Cet uranium, déchet des centres d’enrichissement de l’uranium est dit « appauvri » car sous-produit inutile dans le nucléaire civil ou dans l‘élaboration de la bombe atomique, il est presque gratuit!
Il est le sous-produit de la séparation de l’uranium naturel en un uranium hyper radioactif utilisable pour le fonctionnement des centrales nucléaire et la fabrication de la bombe atomique, d’avec donc cet uranium dit appauvri car moins radioactif que le premier, ou que l’uranium trouvé à l’état naturel. Cependant la radioactivité de l’uranium « appauvri » reste en moyenne de 14 800 000 Bq/kg. (Celle de l’uranium naturel est de 25 400 000 Bq/kg, pour comparaison, la radioactivité naturelle normale d'un corps humain est d'environ 8 000 Bq/kg et celle de la terre est de 500 à 5 000 Bq/kg.)
Si le terme d’uranium « appauvri » est acceptable dans les milieux civils et scientifiques, il est utilisé de manière abusive et propagandiste par l’industrie militaire qui l’a transformé en arme de guerre redoutable… Il s’agit en fait « d’uranium de guerre. » De fait, l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe a réclamé, sans effets, l’interdiction de la fabrication, des essais, de l'utilisation et de la vente d'armes à l’uranium « appauvri » afin de préserver les générations présentes et futures (Conseil de l’Europe 24/01/2001). Et la directive 96/29/Euratom dispose que tout produit dépassant une concentration de 10 000 becquerels par kilogramme doit être confiné. Or, bien que l'uranium « appauvri » ait une concentration 1 000 fois supérieure à cette limite, il est toujours disséminé dans l'environnement par le biais de ces munitions. Pourtant aux termes encore plus explicite de la loi fédérale américaine, titre 50, chapitre 40, article 2302, les armes à uranium « appauvri » correspondent à la définition des armes de destruction massive.
Pourquoi ces munitions qui de prime abord ont une fonction très ciblée, percer des blindages ou des bunkers, peuvent être qualifiées d’armes de destruction massive? Principalement parce qu’elles peuvent être rangé dans la catégorie des « bombes sales ». Il est avéré aujourd’hui, et de fait depuis la guerre d’Irak de 1991, que ces munitions se transformant en gaz explosif à l’impacte, « traversant les blindages comme un couteau chaud dans du beurre », disséminent alors des micro-particules radioactives dans l’environnement…particules si fines qu’elles sont disséminées par les vents, les sols et les nappes phréatiques. (Et on se souvient qu’après l’incendie des puits de pétroles à l’occasion de la première guerre du Golfe, on retrouva des suies emmenées par les vents…sur les pentes de l’Everest!) En plus des pays cibles, les poussières métalliques disséminées par les vents, les tempêtes de sable, l’eau, le sol et les êtres vivants affectent directement l’Iran, le Pakistan, la Turquie, le Turkménistan, l’Ouzbékistan, la Russie, la Géorgie, Azerbaïdjan, le Kazakhstan, la Chine, l’Inde, l’Arabie Saoudite, la Syrie, la Jordanie, le Liban, la Palestine et Israël….et à moindre mesure le reste du monde… La durée de vie de cette « radioactivité de guerre » est de plus de quatre milliards d’années…soit à peu près l’âge actuelle de la terre…
Concernant les effets sur la santé, il est difficile de trouver des données officielles, propagande de guerre oblige, les informations nous viennent essentiellement d’associations indépendantes, d’organisation non-gouvernementales, de témoignages de malades et de médecins. Intéressons-nous d’abord à ces chiffres flagrants concernant les arroseurs arrosé…ou plutôt les irradieurs irradiés… Les soldats US.
Le gouvernement US, et français d’ailleurs, ont évidement toujours nié l’existence d’une relation entre les maladies des anciens combattants et l’usage d’uranium appauvri dans les munitions, affirmant que la toxicité de ce matériau était négligeable, sauf admettent-ils tout de même, lorsqu’il était inhalé en aérosol immédiatement après une explosion. Pourtant de nombreux experts mettent en cause ces conclusions, à commencer par Dough Rokke, chargé en 1991 par l’armée US de mesurer les effets de cette arme, et qui a vu tous les membres de son équipe tomber malades et certains mourir, lui-même étant sérieusement atteint. (voir vidéo en fin d’article)
D'après des interviews auprès du personnel du département des Affaires des vétérans américains réalisés par l'American Free Press, les taux de soldats rendus invalides durant des conflits impliquant les US durant le dernier siècle tournaient autour de 5%, approchant les 10% durant la guerre du Vietnam. Mais, dû à l’uranium appauvri sur les champs de bataille, 56% des 580 400 soldats américains qui ont servi durant la première guerre du Golfe, en 1991, étaient sur la liste des invalides médicaux permanents dés l‘an 2000. En 2007 quelques 518 739 vétérans sont des invalides médicaux, soit presque la totalité des soldats ayant participé à la «Tempête (radioactive) du Désert» de 1991. Ils sont atteints de maladies incurables, dégénératives et mortelles, cancers leucémies, etc. 11 000 soldats américains sont morts depuis la fin du premier conflit en Irak, alors que seulement environ 300 ont été tués en combat. Ces soldats ont même contaminé leurs conjointes qui étaient restées au pays, qui ont par la suite donné naissance à des enfants avec des déformations génétiques. Dans une étude du gouvernement des États-Unis, conduite par le Département des anciens combattants, des anomalies à la naissance ou des maladies sérieuses ont été décelées chez 67% des bébés nés après la guerre du Golfe. Ils sont nés sans œil (anophtalmie), sans oreilles, ou encore il leur manquait des organes tels que jambes et bras, avaient les doigts mal formés, présentaient des dommages à la thyroïde et autres malformations d’organes. » En France, nombres d’anciens combattants de la première guerre du Golfe se sont réunis en association « AVIGOLFE » et dénoncent leurs propres empoisonnements. Faites vos recherches sur Internet.
Voilà pour les soldats…les exécuteurs…restés seulement quelques mois sur place…qu ‘en est-il maintenant des victimes, des peuples D’Irak et d’Afghanistan principalement, qui baignent dans le jus depuis pluviôses années
C’est le pire et de loin. Là-bas les bébés naissent même sans cerveau, les organes sont hors du corps, et les femmes mettent au monde des « morceaux de viande ». Chez les bébés nés en Irak en 2002, l’incidence d’anophthalmie, naissance sans yeux, a été 250 000 fois plus importante (20 cas pour 4 000 naissances) que l’occurrence naturelle, qui est d’un cas pour 50 millions de naissances. Des filles de quatorze ans font des cancers du sein. A l'accouchement, les mamans ne demandent plus si c'est un garçon ou une fille, mais si l'enfant est normal. «Tout ça à cause de l'uranium appauvri que les troupes de la coalition ont utilisé en 1991», confirme le docteur de l’hôpital de Bassorah. Un étudiant qui fait de la recherche sur l'uranium appauvri démontre que 44% de la population dans les régions touchées souffrira du cancer du poumon et 5% d'autres formes de cancer. La maladie peut même encore se déclarer dix ans après l'exposition. «Et 80% de ceux qui attrapent un cancer vont mourir» explique le docteur. «Souvent très vite, car nous n'avons rien pour la chimiothérapie et nous manquons d'antibiotiques et de moyens contre l'infection. Le nombre de cancers a surtout augmenté après 1995. La période d'incubation pour l'uranium appauvri est de cinq ans.» 50% de la population, dans les conditions sanitaires actuelles, va mourir d’un cancer en Irak…
Génocide!Génocide! Génocide!
Concernant l’Afghanistan, les sources sont encore plus rares…mais une étude de 2003 sur la présence d’uranium en Afghanistan réalisée par docteur Asaf Durakovic, conseiller de l'armée US qui est maintenant professeur en médecine au Centre de Recherche Médicale sur l'Uranium (UMRC), situé au Canada, ne laisse planer aucune ambiguïté.
Selon le UMRC, "Un monitoring indépendant des types d'armes et des systèmes de lancement, indique que des alliages contenant de l'uranium toxique et des ogives en uranium ont été utilisés par les forces de la coalition". Le UMRC dit que la province de Nangarhar a été une zone cible stratégique durant le conflit afghan pour le déploiement d'une nouvelle génération d'ogives à pénétration profonde, "casseuses de grottes" et provoquant des chocs sismiques.
Le docteur Durakovic déclare que son équipe a identifié plusieurs centaines de personnes souffrant de maladie et de conditions physique similaires à celles des vétérans de la guerre du Golfe (1991), probablement parce qu'ils ont inhalé de la poussière d'uranium.
Pour tester son hypothèse que l'une ou l'autre forme d'arme à uranium avait été utilisée, le UMRC a envoyé des échantillons d'urine provenant de 17 Afghans pour analyse dans un laboratoire britannique indépendant. "Sans aucune exception", dit-il, "chaque personne qui avait remis un échantillon d'urine a été testée positive à la contamination interne à l'uranium." "Les résultats ont été stupéfiants : les donneurs présentaient des concentrations d'isotopes d'uranium toxiques et radioactifs entre 100 et 400 fois plus élevées que chez les vétérans du Golfe examinés en 1999." "Si les découvertes du UMRC à Nangarhar sont corroborées dans d'autres communautés à travers l'Afghanistan, le pays fait face à un sérieux désastre pour la santé publique... Toutes les générations à venir sont en danger."
Pour le UMRC, les troupes qui ont combattu en Afghanistan et le personnel des agences humanitaires basées en Afghanistan sont également en danger.
L'équipe du docteur Durakovic a utilisé comme groupe contrôle 3 Afghans qui n'avaient présenté aucun signe de contamination. Ils avaient en moyenne 9,4 nanogrammes d'uranium par litre d'urine. La moyenne pour ses 17 patients choisis au hasard était de 315,5 nanogrammes par litre, dit-il. Certains venaient de Jalalabad, et d'autres de Kaboul, Tora Bora et Mazr-I-Sharif. Un garçon de 12 ans vivant près de Kaboul avait 2031 nanogrammes/litre. Le niveau maximum autorisé pour le public aux USA est de 12 nanogrammes/litre, dit le docteur Durakovic. »
Génocide! Génocide! Génocide!
Je n’ai pas envie de continuer cet article de mort, de fouiller dans les cimetières et décombres des guerres d’occident, si ce n‘est de dire que les témoignages sont les mêmes en Afghanistan, la mortalité infantile explose…j’en suis écœuré…envi de vomir…j’arrête.
Selon la méthode pour le moins cartésienne des « Fraternités des Ignorants »; « si tu ne sais pas, cherche! » cet article est composé de multiples sources et documents que chacun peut retrouver en faisant des recherches simples sur Internet du type « Uranium Irak » « uranium Afghanistan » « uranium appauvri » « uranium vétérans » « Avigolfe, » « Greenpeace uranium » etc. Mais il faut avoir le cœur bien accroché… Et je conseil la lecture de l’article suivant qui démontre la dissémination mondiale des particules d’uranium de guerre:
http://www.amessi.org/URANIUM-APPAUVRI-IMPACT-MONDIAL
Et surtout l’imparable enquête vidéo « la mort en poussière » explication scientifique, et témoignages réalisés en 2000.
N°1
https://www.dailymotion.com/video/x4sy4z_la-mort-en-poussierecut0100_news?from=rss
N°2
https://www.dailymotion.com/related/x4t048/video/x4sylk_la-mort-enpoussierecut0200_news
N°3
https://www.dailymotion.com/related/x4sylk/video/x4sz73_la-mort-en-poussierecut0300_news
N°4
https://www.dailymotion.com/related/x4t0bn/video/x4t048_la-mort-en-poussierecut040000_news
N°5
https://www.dailymotion.com/related/x4sz73/video/x4t0bn_la-mort-en-poussierecut05fin00_news
Après les avoirs vu, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. Prévenez vos proches, vos enfants, vos amis, faites circuler ces vidéos, engagez-vous, luttez…ou regardez votre descendance crever de dégénérescences!
J’ai écris cet article pour mes propres fils, pour qu’à l’âge d’être adulte, ils se souviennent et se révoltent eux-même, et que de la même façon qu’aujourd’hui nous chassons encore les anciens nazi, ils chassent et jugent à leurs tour jusqu’au dernier les auteurs et complices du premier génocide à l’uranium de guerre de l’histoire de l’humanité, si eux-même n‘en meurent pas avant, car la dissémination est mondiale.
Parmi les collabos français au pire crime contre l’humanité de toute l’histoire il faudra citer à comparaître la mémoire de Mitterrand, Chirac et Sarkozy, tous les gouvernements, députés, généraux d’active et journalistes français qui ne disent rien depuis 1991..."
Vincent Després Levard
Fraternités des Ignorants
Fraternitesdesignorants@laposte.net
http://www.alterinfo.net/URANIUM-DE-GUERRE-la-fin-d-un-monde_a30330.html