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    Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!!

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    Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!! Empty La guerre secrète d'Israël contre JFK concernant le nucléaire israélien

    Message  Druide 24/9/2009, 09:44

    Mordecaï Vanunu et Michael Collins Piper Convergent:
    Le Mossad israélien a assassiné JFK

    par Mark Dankof

    Les médias de nouvelles américains, pour toutes les raisons habituelles et les plus évidentes, ont systématiquement ignoré la nouvelle la plus explosive depuis des années, rendue d'autant plus pertinente par le compte à rebours menant à un nouveau conflit au Moyen-Orient alors que des rumeurs crédibles continuent à émerger comme quoi Israël et les États-Unis planifient un acte de guerre préventive contre l'Iran dans les mois à venir.

    La nouvelle, qui figurait dans l'Express Newspapers of India le lundi 26 juillet, cite le dénonciateur nucléaire israélien Mordecaï Vanunu attribuant au Mossad israélien l'assassinat du président Kennedy. Encore plus incroyable, Vanunu affirme expressément que le motif du gouvernement israélien dans l'assassinat de Kennedy était lié à l'insistance du président américain pour que l'État sioniste soit honnête et transparent sur son programme nucléaire à la centrale de Dimona dans le fameux désert du Néguev.

    Vanunu a été libéré en avril par les autorités israéliennes après 18 ans de prison pour trahison liée à la divulgation de secrets d'État concernant le programme nucléaire israélien. Sa sensationnelle accusation publique sur l'implication du Mossad dans l'assassinat de Kennedy pourrait tout simplement être rejetée comme étant le propos d'un homme mécontent ou déséquilibré, à l'exception d'un autre point.

    Michael Collins Piper, l'auteur de "Final Jugement: The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy" (Jugement définitif : le chaînon manquant dans la conspiration pour l'assassinat de JFK -- aucune traduction française disponible présentement), avait déjà présenté une explication concernant la participation directe d'Israël dans l'assassinat de John Kennedy à Dealey Plaza le 22 novembre 1963, qui est à la fois plausible et convaincante. Le témoignage de Vanunu vient simplement souligner et corroborer l'explication que Piper a présenté il y a une décennie. La convergence des thèses de ces deux hommes est extrêmement inquiétante.

    Piper apprend au lecteur de Final Judgment que 1963 s'est avérée être une année pivot dans un conflit jamais révélé publiquement opposant le 35e Président des États-Unis et le Premier ministre israélien David Ben Gourion, principalement sur le refus d'Israël de soumettre son opération de Dimona à l'inspection de l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), et accessoirement d'arriver à une entente avec les Palestiniens. Il discute ensuite des principaux acteurs présumés du complot d'assassinat lui-même, corroborant les recherches des chercheurs respectés de l'assassinat de Kennedy tels Anthony Summers du Royaume-Uni et le professeur Jim Marrs de l'Université du Texas. Les lecteurs des travaux de Summers et Marrs sont intimement familiers avec des noms comme Sam Giancana, Johnny Roselli, Carlos Marcello, Guy Banister, William Harvey, William Sullivan, George de Mohrenschildt, James Jesus Angleton, Richard Helms, Alpha 66, et Santos Trafficante. Typiquement, les liens démontrés de ces individus avec les syndicats du crime organisé, avec la communauté des cubains anti-castristes exilés au début des années 1960, et avec un élément de l'Agence centrale de renseignement impliquée dans les deux premiers groupes, a abouti à des conclusions provisoires comme quoi le nœud du complot contre Kennedy impliquait une convergence d'intérêt de ces trois (3) constituants clés impliqués dans un triumvirat sordide délibérément caché au public américain il y a 40 ans par la Commission Warren.

    Piper ne discrédite aucunement cette conclusion de ses prédécesseurs sur les circonstances ayant conduit certains individus à participer dans un complot pour assassiner le Président. Il démontre simplement ce qui a été caché jusqu'à aujourd'hui: que ceux identifiés par la recherche universitaire méticuleuse de Summers, Marrs, et d'autres, ont même des associations démontrables avec le lobby israélien et les services de renseignements israéliens.

    La thèse de Final Judgment à cet égard est principalement construite sur l'importance clé de Meyer Lansky en tant que véritable acteur d'importance dans le crime organisé américain des années 1950 et 1960, le supérieur de Giancana, Roselli, Marcello, Mickey Cohen, Mickey Weiner, Moe Dalitz, Frank Costello, et d'autres mentionnés précédemment en tant que participants au complot contre Kennedy. À son tour, le rôle de Lansky en tant que sioniste engagé et leveur de fonds pour l'État d'Israël impliquait des liens directs et palpables entre son empire criminel, ses banques de Miami et la Banque de Crédit international (BCI) à Genève, en Suisse. Cette dernière entité a été le centre européen de blanchiment d'argent pour les activités mondiales M. Lansky. BCI, à son tour, a été dirigée par un banquier israélien, le rabbin Tibor Rosenbaum, ex-directeur des Finances et de l'approvisionnement pour le Mossad israélien. Piper démontre ensuite que la BCI est un actionnaire principal dans une société basée à Rome appelée CMC/Permindex, dont le président du conseil d'administration était nul autre que Louis M. Bloomfield de Montréal (Canada), un important collecteur de fonds pour Israël et connu d'actifs pour israélienne du renseignement. CMC/Permindex, à son tour, se révèle être l'un des principaux points d'intersection qui met le mystérieux Bloomfield en contact direct ou indirect avec Clay Shaw (la principale cible de l'enquête de Jim Garrison à New Orleans), Guy Banister, James Jesus Angleton, le chef de la section 5 du FBI William Sullivan (qui a dirigé l'enquête du FBI pour la Commission Warren et a servi comme agent de liaison du FBI et ami d'Angleton), l'ex-président cubain Carlos Prio Socarras (un trafiquant d'armes avéré partenaire d'affaires de l'assassin d'Oswald Jack Ruby), Ernest Israël Japhet (directeur et président de la Banque israélienne Leumi), Shaul Eisenberg (un personnage clé dans le développement de la bombe nucléaire d'Israël et participant avec Rosenbaum dans la banque d'échange Suisse-israélienne), les éléments de l'Organisation Armée Secrète (OAS) nationaliste française, l'agent de la CIA Théodore Shackley (le chef de la station de la CIA à Miami au moment du plan de la CIA-Lansky pour assassiner Fidel Castro), et Abe Feinberg, un homme d'affaire juif de New York employé par Ben Gourion comme agent de liaison pour des réunions secrètes avec le président Kennedy dans le but de régler le différend des deux partis au sujet de Dimona. C'est donc les liens et les acteurs BCI et CMC/Permindex que Piper emploie pour montrer que les joueurs, les alliances et les actifs ont été fermement en place pour amener ceux qui ont les motifs, les moyens et l'occasion réunis dans un complot qui a abouti à Dallas.

    Secondairement, Piper renforce sa thèse en montrant quels ont été les résultats pour Israël à la suite de la tragédie de Dallas en novembre 1963. La suppression de Kennedy a mis un terme aux exigences américaines pour l'inspections du programme nucléaire israélien par l'AIEA et l'accession à la Maison Blanche de Lyndon Johnson, dont les liens de longue date à Meyer Lansky et Carlos Marcello avaient aidé le jeune va-nu-pieds du Texas Hill Country lors de son arrivée au 1600 Pennsylvania Avenue. Plus important encore, l'arrivée de Johnson dans le bureau ovale représenté un changement radical dans la politique américaine au Moyen-Orient, établissant selon Piper la direction "Israel d'abord" adoptée par chaque sous-secrétaire d'État à partir de LBJ, au détriment de l'indépendance du gouvernement américain face à l'influence indue du lobby israélien, du maintien de la paix régionale et de la stabilité dans la zone la plus dangereuse du globe, et tout vestige d'espoir de bonnes relations politiques américaines avec le monde islamique.

    Les allégations de Vanunu-Piper relatives à Israël ne vont pas soudainement disparaître. Les révélations de l'existence des liens directs entre Israël et des membres clé de l'équipe des affaires étrangères des Néo-Conservateurs de George W. Bush, groupe le plus favorable à la guerre contre l'Iran; la propriété virtuelle du Congrès des États-Unis par l'AIPAC (American-Israeli Political Action Committee); et les flatteries basses de John Kerry envers ces mêmes intérêts culminera en un point d'ébullition politique aux États-Unis, dans l'éventualité d'une implication amplifiée américaine dans la guerre du Moyen-Orient, le rétablissement de la conscription et le retour du terrorisme moyen-oriental dans la mère-patrie, qui sont en fait liés aux intérêts israéliens et non à ceux des États-Unis. Une plus grande diffusion et corroboration des accusations présentées par Vanunu-Piper à l'effet que le gouvernement d'Israël est la force cachée derrière la mort de John F. Kennedy — conjointement à de nouvelles révélations sur les manipulations par Tel Aviv du gouvernement et des médias américains relativement aux guerres de l'empire – déclenchera une révolte des masses contre les élites, que ni Tel Aviv ni Washington ne pourront contenir ni contrôler.

    Entre maintenant et le premier mardi de novembre, les élites et décideurs feront tout ce qu'ils peuvent pour dissimuler la divulgation équitable et les débats relatifs au contrôle du processus actuel ainsi que les bénéfices associés. La suppression de l'information sera leur modus operandi. Bush, Kerry et leur amis haut placés dans les corporations et les médias américains feront de leur mieux pour étouffer la vérité, ignorer le débat sur les enjeux centraux de guerre et paix et dissimuler l'identité réelle des financiers et contrôleurs. La suppression de tout examen sérieux ou de la diffusion du dossier de Vanunu-Piper, qui va à l'encontre des intérêts d'Israël, est déjà un fait accompli. C'est véritablement honteux. Ayez pitié de la république “libre” des États-Unis, car personne n'osera poser à nos deux candidats présidentiels les questions urgentes, entre autres ce qu'ils pensent des documents présidentiels suivants datant d'il y a 41 ans.




    5 juillet 1963


    M. le Premier Ministre [Levi Eshkol d'Israel]:


    Il me fait personnellement plaisir de vous présenter toutes mes félicitations au moment où vous commencez à assumer vos responsabilités en tant que Premier Ministre d'Israël. Nous voulons vous faire part de notre amitié et de nos meilleurs voeux dans vos nouvelles fonctions. C'est en assumant l'un des miennes que je vous écris en ce moment.

    Vous êtes au courant, j'en suis convaincu, des échanges que j'ai eu avec le Premier Ministre Ben-Gourion concernant les visites américaines [c'est-à-dire: les inspections] des installations nucléaires israéliennes de Dimona. Plus récemment, le Premier Ministre m'a écrit le 27 mai. Sa réponse reflète sa considération entière et personnelle concernant un problème qui, je le sais, n'est pas aisé pour votre gouvernement, ni pour le mien. Nous avons bien accueilli ce qu'a clairement réaffirmé l'ancien Premier Ministre, que Dimona sera exclusivement utilisé à des fins pacifiques et la réaffirmation de la volonté d'Israël de permettre des visites périodiques [inspections] à Dimona.

    Je regrette d'avoir à ajouter au poids de vos fonctions si tôt au début de l'assermentation à votre poste, mais l'importance cruciale qui doit être accordée à ce problème signifie que je dois porter à votre attention certaines considérations additionnelles émanant de la lettre de M. Ben-Gourion du 27 mai, considérations relatives à l'échéancier de ces visites.

    Je suis certain que vous conviendrez que ces visites doivent débuter dès que possible, conformément avec les normes internationales, résolvant ainsi tous les doutes relatifs aux intentions pacifiques du projet de Dimona. Tel que j'ai signifié à M. Ben-Gourion, l'engagement de ce gouvernement à appuyer Israël pourrait sérieusement être compromis si nous croyons ne pas pouvoir être en mesure d'obtenir des informations fiables sur un sujet aussi vital pour la paix que la question des efforts nucléaires israéliens.

    Par conséquent, j'ai demandé à nos scientifiques de réviser la programmation alternative des visites prévues que vous et moi avons proposées. Si l'objectif d'Israël est d'être clair au-delà du doute raisonnable, je crois que l'échéancier qui servirait au mieux nos objectifs communs se matérialiserait par une visite tôt cet été, une autre visite en juin 1964 et par la suite des visites à des intervalles de six mois. Je suis sûr qu'un tel échéancier ne causerait pas plus de difficultés que ce qui a été proposé par M. Ben-Gourion dans sa lettre du 27 mai. Il est essentiel, et ma compréhension en est que la lettre de M. Ben-Gourion est en accord avec ce point, que nos scientifiques aient accès à tous les secteurs du site de Dimona et à toutes les zones associées au complexe, telles que les installations de fabrication de combustible et l'usine de séparation de plutonium, et que suffisamment de temps soit planifié pour une inspection approfondie.

    Sachant que vous appréciez pleinement la signification profonde et vitale de ces enjeux pour le mieux-être futur d'Israël, pour les États-Unis et sur le plan international, je suis convaincu que vous considèrerez soigneusement notre requête et que vous y serez sympathique.


    Sincèrement,


    John F. Kennedy





    Le rôle du Mossad dans la conspiration d'assassinat de JFK

    article original en anglais: http://afrocubaweb.com/news/mossadjfk.htm

    Voici le texte préparé par Michael Collins Piper dans le cadre d'une conférence sur son livre de 760 pages Final Judgment: The Missing Links in the JFK Assassination Conspiracy, qui accuse les services de renseignement d'Israël, le Mossad, d'avoir collaboré aux côtés de la CIA dans l'assassinat du président américain John F. Kennedy.


    Par Michael Collins Piper

    L'agent des renseignements français Herve Lemarr a écrit que: «L'assassinat du président Kennedy a été l'œuvre de magiciens. C'était un tour de passe-passe, avec tous les accessoires et faux miroirs, et lorsque le rideau est tombé les acteurs et même les décors ont disparu. Or les magiciens n'étaient pas des illusionnistes mais des professionnels, des artistes en leur genre.»

    Depuis le 22 novembre 1963, de nombreuses personnes ont passé quantité de temps à étudier l'assassinat, en présentant un large éventail de théories.

    La plupart des travaux ont été consacrés à ce qu'un critique très perspicace a décrit comme «une préoccupation obsessionnelle pour la quête microanalytique de faits sur la manière dont l'assassinat a été accompli», faisant remarquer en même temps qu'«il n'y a pratiquement pas eu de réflexion systématique sur le pourquoi de l'assassinat du président Kennedy».

    Alors, pendant que les gens essayaient de savoir combien d'assassins ont été impliqués, et combien de coups ont été tirés sur JFK, d'où venaient les tirs et où les balles l'ont atteint, la vraie question sur les responsables de l'assassinat -- non pas qui a tiré, mais qui parrainait les assassins qui ont fait feu -- a été largement ignorée.

    Ainsi, pour savoir qui est responsable de l'assassinat de JFK, nous devons découvrir POURQUOI il a été assassiné et ce qui motivait ceux qui ont orchestré son assassinat.

    Prenons le large éventail de suspects qui ont été avancées:

    * Lee Harvey Oswald, agissant seul;
    * Le KGB soviétique;
    * Fidel Castro;
    * Les Cubains anti-Castro;
    * La "mafia";
    * Des opérateurs rebelles de la CIA coopérant avec les Cubains anti-Castristes en collaboration avec des éléments de «la mafia»;
    * J. Edgar Hoover et le FBI;
    * Lyndon Baines Johnson;
    * D'anciens agents des services secrets nazis;
    * Les barons du pétrole au Texas, et
    * Le complexe militaro-industriel.

    Il y a dix ans, en 1992, un nouveau suspect a été ajouté à la liste. L'ancien représentant Paul Findley (R-Ill.) a fait le commentaire suivant, peu remarqué mais intrigant, dans le numéro de mars 1992 du Washington Report on Middle East Affairs, disant qu'«il est intéressant mais pas surprenant de constater que dans tous les écrits sur l'assassinat de John F. Kennedy, l'agence de renseignements d'Israël, le Mossad, n'a jamais été mentionnée, malgré le fait évident que la complicité du Mossad est tout aussi plausible que n'importe quelle autre de ces théories. »

    Ce que Findley ne savait pas, c'est qu'à ce moment précis j'étais en train de préparer un livre expliquant que le rôle du Mossad, aux côtés de la CIA dans l'assassinat de JFK, était, en fait, le grand secret -- le "chaînon manquant" -- qui explique l'intégralité et l'entièreté de la conspiration contre JFK. (...)

    Ce que je trouve tout à fait remarquable, c'est que tandis que beaucoup d'Israéliens estiment aujourd'hui que les services de renseignement israéliens ont joué un rôle dans l'assassinat du Premier ministre israélien Yitzhak Rabin, d'un autre côté un grand nombre d'amis d'Israël en Amérique ont réagi de façon hystérique à mon affirmation comme quoi le Mossad a joué un rôle dans l'assassinat du président américain.

    En outre, bien que plusieurs pensent que la CIA a participé à l'assassinat de JFK, bon nombre d'entre eux ont peur d'évoquer un éventuel rôle du Mossad. Pourtant, comme le journaliste Andrew Cockburn l'a souligné:

    «Il existe depuis les débuts de l'État israélien et depuis les premiers jours de la CIA, un lien secret par lequel les renseignements israéliens ont fait des opérations pour la CIA et le reste des services secrets américains. Vous ne pouvez pas comprendre ce qui se passe avec les opérations secrètes américaines et les opérations secrètes israéliennes à moins de comprendre cet arrangement secret ».

    Ces mots de Cockburn donnent un aperçu sommaire de la thèse que j'ai présenté dans Final Judgment.

    Même si Final Judgment n'a jamais été distribué dans une grande librairie depuis sa première publication il y a plus d'une décennie, quelque 30 000 exemplaires sont en circulation -- soit plus de copies que bien des livres largement médiatisés sur le sujet. C'est vraiment un "best-seller underground". Il est maintenant dans sa 5e édition de 760 pages, documentée avec quelque 1114 notes. Et en date du 9 novembre, Dar El Ilm Lilmalayin, la plus ancienne et la plus grande maison d'édition privée au Moyen-Orient a publié la première édition en langue arabe.

    À bien des égards, Final Judgment est plus qu'un livre sur l'assassinat de JFK. Il révèle également la politique du pouvoir global occulte de la dernière moitié du 20ème siècle.

    Final Judgment documente le fait qu'en 1963, JFK était embourbé dans un conflit amer secret avec le leader israélien David Ben-Gourion concernant la course israélienne à la bombe atomique; il documente le fait que Ben Gourion a démissionné par dégoût, disant qu'en raison des politiques de JFK, «l'existence d'Israel [était] en danger ». Puis, après l'assassinat de JFK, la politique américaine vis-à-vis Israël a commencé un revirement immédiat à 180 degré.

    Le nouveau livre de l'historien israélien Avner Cohen, Israel and the Bomb, confirme le conflit entre JFK et Israël si puissamment que le journal Ha'aretz d'Israël a déclaré que les révélations de Cohen «nécessiteraient la réécriture de l'histoire entière d'Israël.»

    En tout cas, Cohen a souligné que «la transition de Kennedy à [Lyndon] Johnson a bénéficié au programme nucléaire israélien.»

    Ethan Bronner, dans le New York Times, a qualifié la course d'Israël à la bombe nucléaire de « sujet férocement caché.»

    Cela explique pourquoi les chercheurs de l'assassinat de JFK n'ont jamais considéré la connexion israélienne jusqu'à ce que Final Judgment fournisse les pièces manquantes, assemblant «l'image secrète de l'autre côté du puzzle».

    Alors que tout cela constitue un puissant motif pour Israël de sévir contre JFK, Final Judgment documente aussi ce que le journaliste israélien Barry Chamish appelle « un exposé très convaincant» sur la collaboration du Mossad avec la CIA dans le complot d'assassinat.

    Le fait est que lorsque le District Attorney (Procureur) de la Nouvelle-Orléans Jim Garrison poursuivait l'exécutif commercial Clay Shaw pour complot dans l'assassinat, Garrison a trébuché sur la connexion du Mossad.

    Bien que (après son acquittement) Shaw fut exposé comme étant un collaborateur de la CIA, en 1963 Shaw siégeait au conseil d'une société basée à Rome nommée Permindex, qui était en réalité une façade pour une opération de trafic d'armes parrainée par le Mossad.

    L'actionnaire principal dans Permindex, la Banque de Crédit Internationale de Genève, était non seulement le fief de Tibor Rosenbaum, un haut responsable du Mossad, mais aussi le centre opérant du blanchiment d'argent pour Meyer Lansky, parrain du syndicat du crime et loyaliste israélien de longue date.

    L'exécutif en chef de Permindex était Louis Bloomfield de Montreal, un figure prééminente du lobby d'Israël et un opérateur de la famille Bronfman, associés intimes de Lansky et grand Parrain d'Israël.

    Permindex était clairement la connexion israélienne à l'assassination de JFK, à un tel point que Garrisson a fait circuler le manuscrit d'un roman inédit dans lequel il pointe du doigt le Mossad en tant que principal responsable du complot, cela bien que Garrisson n'ait jamais mentionné cette connexion publiquement.

    Vous pouvez vous demander pourquoi le soi-disant "cinéaste radical" hollywoodien Oliver Stone, dont le film JFK était pratiquement un hommage à Garrison, n'a jamais parlé de tout cela.

    Je suggère que Stone a omis de mentionner ce détail dans JFK parce que le film a été financé par Arnon Milchan, un vendeur d'armes israélien lié à la contrebande de matériel pour le programme nucléaire israélien -- et c'est justement là le point de discorde entre JFK et Israël.

    Le rôle de Milchan dans la production de JFK n'est pas un secret, soit dit en passant. Il figure au générique comme "producteur exécutif", ce qui, dans le langage d'Hollywood, veut dire qu'il était "la bailleur de fond", pour ainsi dire, derrière le film.

    La connexion Permindex investiguée par M. Garrison à New Orleans explique aussi la «French Connection» dans l'assassinat, en vedette dans le documentaire populaire "The Men Who Killed Kennedy", mais qui omet de dire toute l'histoire racontée dans Final Judgment. Par exemple:

    Que l'opération Permindex citée précédemment (impliquant Clay Shaw et d'autres agents de la CIA souvent publiquement associés à l'assassinat de JFK) était également impliquée dans des tentatives d'assassinat contre le président français Charles De Gaulle par l'"Organisation Armée Secrète" (OAS) française, qui avait elle-même des liens étroits avec le Mossad.

    Comme l'OAS, les Israéliens détestaient De Gaulle non seulement parce qu'il a donné l'indépendance à l'Algérie, un nouvel état arabe majeur, mais aussi parce que De Gaulle, qui avait assisté le programme de développement nucléaire d'Israël, avait retiré son appui, s'opposant (comme JFK) aux démarches d'Israël en vue d'acquérir l'arsenal atomique.

    Au cours de l'écriture du livre, un ancien officier de renseignement français --Pierre Neuville, le fils de l'ancien consul général français à Jérusalem-- m'a révélé qu'il avait appris que le Mossad avait engagé un sous-traitant comme assassin de JFK -- probablement un tireur Corse -- grâce à un responsable du renseignement français déloyal à De Gaulle et qui détestait JFK pour avoir soutenu l'indépendance algérienne.

    JFK prévoyait également une attaque contre le programme nucléaire de la Chine Rouge -- un plan qui fut sabordé par Lyndon Johnson un mois après l'assassinat de JFK.

    Durant cette même période, en fait, Israël et la Chine Rouge ont participé à des recherches secrètes sur la bombe nucléaire avec un joueur clé du réseau Permindex, Shaul Eisenberg, servant d'agent de liaison du Mossad avec la Chine.

    Final Judgment fut le premier à souligner que James Angleton, la liaison de la CIA avec le Mossad, était un partisan dévoué d'Israël, qui a non seulement a orchestré le scénario reliant l'accusé assassin Lee Oswald au KGB soviétique, mais qui a par la suite diffusé de fausses informations afin de confondre les enquêtes sur l'assassinat. (...)

    Bien que les médias américains d'aujourd'hui promeuvent l'idée selon laquelle John F. Kennedy était un ami dévoué de Israël, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

    Il y avait une longue histoire d'inimitié opposant John F. Kennedy et son puissant père, l'ambassadeur Joseph P. Kennedy au patron du crime organisé Meyer Lansky, en raison notamment des ententes de Kennedy senior avec le monde interlope. Toutefois, cela n'a pas empêché la famille Kennedy de conclure des ententes avec le syndicat du crime alors qu'il s'agissait de gagner les élections.

    Les soupçons d'anti-sémitisme à l'endroit de la famille Kennedy n'ont rien fait pour améliorer les relations de JFK avec Israël et son lobby américain non plus. En tant que sénateur américain, l'intervention de Kennedy dans la question française de l'indépendance algérienne a également attiré de vives critiques du lobby israélien.

    Pourtant, quand John F. Kennedy convoitait la présidence, il était disposé à conclure des marchés avec le lobby israélien -- à un certain prix.

    À la fin de sa présidence, toutefois, Kennedy a manqué à ses devoirs, non seulement envers le Parrain d'Israël, Meyer Lansky, et ses acolytes dans le crime organisé, mais aussi envers le lobby israélien.

    Qu'en est-il de la soi-disante connexion "Mafieuse" et du crime organisé à l'assassinat? En fait, ces connexions pointent aussi vers le Mossad.

    Si ce n'avait été du Parrain du crime organisé international Meyer Lansky, l'État d'Israël aurait pu ne jamais voir le jour. C'est quelque chose qu'Israël préfèrerait qu'on oublie.

    La preuve indique fermement que la création d'Israël en tant qu'État est due, en majeure partie, au soutien politique, financier et moral de Meyer Lansky et ses associés et acolytes au sein du crime organisé. Les intérêts de Lansky et les intérêts d'Israël étaient presque incestueux.

    Comme je l'ai déjà noté, la Banque européenne qui servait de centrale au blanchiment d'argent de Meyer Lansky était une opération dirigée par l'un des pères fondateurs d'Israël, Tibor Rosenbaum, un officier de haut niveau et de longue date du Mossad.

    Les liens intimes (et tout à fait secrets) de Lansky avec les renseignements américains (y compris la CIA et le FBI) ont fait de ce mafieux Russe d'origine juive un "intouchable", Parrain du syndicat mondial du crime organisé.

    L'homme de main de Meyer Lansky en Louisianne, Carlos Marcello, est devenu une cible privilégiée pour les chercheurs de l'assassinat de JFK qui aiment proclamer que «la mafia --c'est-à-dire des figures du crime italo-américaines-- ont tué JFK. »

    Marcello n'est qu'un engrenage à l'intérieur du Syndicat Lansky. Marcello avait aussi des liens avec les alliés d'Israël dans la CIA.

    Deux autres grandes personnalités du crime italo-américain --Johnny Rosselli et Santo Trafficante Jr.-- ont souvent été reliés à l'assassinat de JFK.

    Bien que Rosselli et Trafficante aient tous deux été des acteurs majeurs dans l'univers du crime, les deux étaient, en fait -- comme Carlos Marcello -- subordonnés de Meyer Lansky.

    Rosselli et Trafficante étaient des représentants de Lansky dans ses relations avec les alliés d'Israël dans la CIA, en vue de faire assassiner Fidel Castro.

    En fait, la présence juive dans le crime organisé en Amérique est un phénomène peu connu que les médias obsédés par la "mafia" ont réussi à garder secret.

    Qu'en est-il de Jack Ruby (Rubinstein), l'opérateur de discothèque juif, qui a tué Lee Harvey Oswald, l'accusé assassin du président?

    Les connexions de Ruby au monde interlope criminalisé sont bien documentées. Cependant, ce qui reste ignoré est le lien intégral de Ruby au Syndicat du crime de Meyer Lansky -- et non pas « la mafia » -- et aux alliés d'Israël dans la CIA.

    Dans Final Judgment j'ai documenté des connexions supplémentaires entre Jack Ruby et l'État d'Israël et son trafic d'armes et ses conduits financiers aux États-Unis.

    Des documents du FBI, longtemps étouffés, révèlent que Ruby lui-même a visité Israël en 1955 et que, lorsque Ruby était à San Francisco cette année-là, il aurait déclaré à un ami, «Après être parti d'ici, je m'en vais en Floride acheter une charge de contrebande pour l'envoyer en Israël ».

    En outre, notez que Lawrence Meyers, un ami de longue date de Ruby qu'il a rencontré la veille de l'assassinat de JFK, était un vendeur pour Ero Manufacturing, une entreprise liée à une corporation sous enquête pour envois illégaux d'armes à Israël.

    En outre, nous savons aussi que Jack Ruby était sur la liste de paie de la famille connectée au Syndicat du crime Lansky: les Bronfman (actuellement dirigée par Edgar Bronfman, président du Congrès juif mondial). Considérant les liens intimes de la famille Bronfman avec la créature du Mossad "Permindex" qui a joué un rôle central dans le comlpot d'assassinat de JFK, la connexion de Ruby à la famille Bronfman pointe effectivement, encore une fois, vers une autre autre connexion israélienne à l'assassinat de JFK.

    La genèse de l'implication israélienne dans l'assassinat de JFK était le conflit croissant de JFK avec Israël concernant le projet d'Israël d'obtenir la bombe nucléaire.

    Alors que les livres d'histoire nous ont parlé des luttes épiques de John F. Kennedy avec Fidel Castro et les Soviétiques dans la débâcle de la Baie des Cochons et la crise des missiles cubains, ce n'est que ces dernières années que nous avons commencé à en apprendre un peu sur la guerre secrète de Kennedy avec Israël.

    D'ici la mi-1963, le Premier ministre israélien David Ben-Gourion détestait Kennedy avec passion. En fait, il estimait que JFK représentait une menace pour la survie même de l'État juif.

    Pour ce qui est d'écrire spécifiquement sur ce que j'ai appelé la «guerre secrète de JFK avec Israël», je m'appuie principalement sur trois sources:

    1) The Samson Option: Israel's Nuclear Arsenal and American Foreign Policy, par le vétéran journaliste du New York Times et récipiendaire du prix Pulitizer Seymour Hersh.

    2) Dangerous Liaison: The Inside Story of US-Israeli Covert Relationship, par les époux Andrew et Leslie Cockburn, tous deux journalistes "libéraux" respectés.

    3) Taking Sides: America's Secret Relationships With a Militant Israel, par Stephen Green, qui a été associé au très «mainstream» Council on Foreign Relations et au Carnegie Endowment for International Peace.

    En passant, Hersh et Greene sont juifs. Ces trois livres ont été publiés par des maisons d'édition «mainstream» respectées.

    Aucun chercheur honnête de l'assassinat de JFK ne peut prétendre être parfaitement informé de la dynamique de la conspiration jusqu'à ce qu'il ou elle ait lu ces volumes, qui montrent très clairement que JFK et le Premier ministre israélien David Ben Gourion étaient en violent désaccord, au point que Ben Gourion estimait que la politique de JFK était une menace pour la survie même d'Israël -- et il l'a d'ailleurs dit.

    Après l'assassinat de JFK, la politique américaine vis-à-vis le Moyen-Orient a fait un étonnant volte-face en virant à 180 degrés -- le résultat le plus immédiat de l'assassinat du président américain.

    Il s'agit d'un fait solide, indiscutable, qui ne peut être soumis à débat. La preuve n'est que trop claire.

    Dans Final Judgment, j'ai souligné en citant Hersh que la presse israélienne et la presse mondiale "ont dit au monde que la démission soudaine de Ben-Gourion était le résultat de son mécontentement au sujet des scandales politiques internes et des turbulences qui agitaient Israël."

    Toutefois, Hersh poursuit, très significativement, qu'il n'y avait "aucun moyen pour le public israélien" de savoir qu'il y avait "un tout autre facteur" derrière la démission: en particulier, pour reprendre les termes de Hersh, l'« impasse de plus en plus âpre que vivait Ben-Gourion avec Kennedy au sujet d'un Israël doté de l'arme nucléaire.»

    La confrontation finale avec JFK au sujet de la bombe nucléaire était clairement la raison «première» derrière la démission de Ben-Gourion.

    La volonté d'obtenir la bombe nucléaire n'était pas seulement un objectif majeur de la politique de défense d'Israël (son fondement même) mais aussi un intérêt spécial particulier de Ben-Gourion.

    Le fait est que les révélations de Seymour Hersh sur JFK et Ben-Gourion ont été facilement éclipsées par un volume plus récent sur le même sujet: celui-ci écrit par un intellectuel israélien, Avner Cohen.

    Lorsque Cohen a publié son livre «Israël and the Bomb» en 1999 (New York: Columbia University Press), le livre a créé une véritable sensation en Israël, au point que le journaliste Tom Segev a écrit dans le journal israélien Ha'aretz que « le livre de Cohen nécessitera la réécriture de l'histoire entière d'Israël. »

    Dans les premières pages de son livre, Cohen écrit longuement à propos de l'intérêt spécial de Ben-Gourionr dans la construction de la bombe nucléaire d'Israël et à propos du raisonnement qui le sous-tend.

    Cohen a écrit, en partie:

    Ben-Gourion était consumé par ses craintes pour la sécurité d'Israël. . .

    Dans sa correspondance avec le président John F. Kennedy en 1963, il écrit:

    «M. Président, mon peuple a le droit d'exister, tant en Israël qu'en quelque lieu que ce soit, et cette existence est en danger. ". . .

    Les planificateurs militaires israéliens ont toujours envisagé le scénario dans lequel une coalition arabe unie militaire lancerait une guerre contre Israël dans le but de libérer la Palestine et de détruire l'Etat juif. Cela était évoqué au début des années 1950 sous le nom de "mikre, hkol", ou le "scénario de tout".

    Ce type de planification était unique à Israël, étant donné que peu de nations ont des plans militaires d'urgence visant à empêcher l'apocalypse.

    Ben Gourion n'avait aucune hésitation quant à la nécessité pour Israël d'obtenir des armes de destruction massive . . . Ben Gourion a vu l'hostilité arabe envers Israël comme étant profonde et de longue durée . . . Le pessimisme de Ben-Gourion . . . a influencé la politique étrangère et de défense d'Israël pendant des années. La vision du monde et le style de gouvernance de Ben-Gourion ont façonné son rôle crucial dans le lancement du programme nucléaire d'Israël.

    Le 27 Juin 1963, onze jours après qu'il ait annoncé sa démission, Ben-Gurion a prononcé un discours d'adieu aux employés de l'Autorité de développement de l'armement dans lequel. . . Il a fourni la justification pour le projet nucléaire: "Je ne connais aucune autre nation dont les voisins déclarent vouloir l'élimination, et ne la déclarent pas seulement mais la recherchent par tous les moyens à leur disposition. Nous devons pas nous faire d'illusion comme quoi ce qui est déclaré chaque jour au Caire, à Damas, l'Irak ne sont que des mots.

    C'est la pensée qui guide les dirigeants arabes . . . Je suis confiant . . . que la science est en mesure de nous fournir l'arme qui va assurer la paix et dissuader nos ennemis. "


    Pour résumer:

    L'option «nucléaire» était non seulement au cœur même de la vision générale du monde de Ben-Gourion, mais aussi le fondement même de la politique de sécurité nationale d'Israël.

    Les Israéliens étaient essentiellement prêts, si nécessaire, à "faire sauter le monde" --y compris eux-mêmes-- s'ils devaient le faire pour vaincre leurs ennemis arabes.

    C'est ce que Seymour Hersh indique que les planificateurs nucléaires israéliens appelaient « l'option Samson » -- comme Samson dans la Bible, qui après avoir été capturé par les Philistins, abattit le temple de Dagon à Gaza et se tua lui-même avec ses ennemis.

    Comme l'a dit Hersh à la page 137 de son livre «Pour les défenseurs d'un Israël nucléaire, l'option Samson est devenue une autre façon de dire « plus jamais » (en référence à empêcher un autre Holocauste).

    Tous les éléments de preuve, mis en commun dans une plus large perspective, démontrent clairement que c'était bien «L'option Sampton» qui était la principale cause de la démission de Ben-Gourion.

    L'essentiel est que -- en 1963 -- la question du conflit de JFK avec Ben Gourion était un secret à la fois pour le public israélien et le public américain et le resta pendant plus de 20 ans au moins et le demeure encore aujourd'hui, en dépit de la publication du livre de Hersh, suivie par Final Judgment et puis par le livre d'Avner Cohen.

    Le livre très puissant d'Avner Cohen a essentiellement confirmé tout ce que Hersh a écrit, mais il est allé encore plus loin.

    Cohen décrit comment le conflit entre JFK et Ben-Gourion était à son apogée en 1963 et comment, le 16 Juin de cette année, JFK a envoyé une lettre au dirigeant israélien que Cohen a décrite à la page 134 de son livre comme étant "le message le plus dur et le plus explicite" à date. Cohen ajoute:

    Le but de cette lettre est de solidifier les termes de la visite américaine [à l'usine nucléaire de Dimona en Israël] d'une manière qui soit conforme à ces conditions minimales sur lesquelles la communauté du renseignement insistait.

    Pour forcer Ben-Gourion à accepter les conditions, Kennedy a utilisé le levier le plus utile pour un président américain traitant avec Israël: une menace qu'une solution satisfaisante pourrait compromettre l'engagement et de l'appui du gouvernement américain pour Israël. . . L'épreuve de force que Ben-Gourion voulait éviter semblait maintenant imminente.

    Ben Gourion n'a jamais lu la lettre. Elle a été câblée à [l'ambassadeur américain en Israël Walworth Barbour], le samedi 15 Juin, avec des instructions de la livrer en main propre à Ben-Gourion le lendemain, mais ce dimanche-là, Ben-Gurion a annoncé sa démission.

    Cohen a dit que Ben Gourion n'a jamais fourni d'explication à sa décision, à part des "raisons personnelles". À ses collègues du Cabinet, Ben Gourion a dit qu'il "devait" démissionner et qu' «aucun problème d'Etat ou événement n'en est la cause.»

    Cohen ajoute à la page 136, que Ben Gourion avait « conclu qu'il ne pouvait pas dire la vérité sur Dimona aux dirigeants américains, pas même en privé. »

    Et ce n'est pas peu dire, compte tenu des efforts des critiques de Final Judgment pour dire qu'Israël et les États-Unis sont de tels « proches alliés» que les Israéliens ne penseraient jamais -- jamais -- à faire quelque chose de désagréable à un président américain -- pas même à celui qui était fermement déterminé à empêcher Israël d'établir un système de défense nucléaire que les dirigeants nationaux considéraient comme étant essentiel à la survie de la nation.

    Je dois ajouter que le revirement du président français De Gaulle sur la question du soutien français qui était clairement crucial pour les ambitions nucléaires d'Israël est tout à fait significatif en effet, particulièrement à la lumière de ce qui est documenté dans Final Judgment.

    Sans entrer dans tous les détails ici (qui peuvent être facilement trouvés dans Final Judgment où ils sont largement explicités), le fait est que Permindex, l'opération du Mossad de blanchiment d'argent et de trafic d'armes que le District Attorney de la Nouvelle-Orleans Jim Garrison a exposé lors de son enquête sur l'assassinat de JFK avait également été relié à des tentatives d'assassinat contre Charles De Gaulle avant l'assassinat du président Kennedy.

    Ce n'est pas par hasard que Permindex soit relié à des complots d'assassinat visant deux dirigeants étrangers qui se trouvaient à être unis dans leur opposition aux ambitions nucléaires d'Israël.

    En outre, ainsi que le documente Final Judgement en se basant sur une variété de sources "responsables", les Israéliens avaient encore une autre raison de s'opposer à De Gaulle:

    Le président français avait accordé l'indépendance à la colonie française d'Algérie arabe, une action qui enflamma non seulement Israël, mais aussi certains éléments des services secrets et militaires de De Gaulle, ce qui les poussa à conclure une alliance avec Israël contre De Gaulle.

    Les lecteurs intéressées à cette affaire peuvent se référer à Final Judgment, mais contentons-nous de dire qu'il y a beaucoup plus dans cette "French Connection" qu'il paraît.

    En tout cas, ce qui s'est passé entre JFK et le nouveau Premier ministre israélien, Levi Eshkol, qui succéda à Ben Gourion après la démission de celui-ci est très significatif.

    Immédiatement après l'intronisation d'Eshkol, JFK écrivit une lettre au nouveau Premier ministre qui était évidemment encore plus féroce que les précédentes communications de JFK avec Ben Gourion. Avner Cohen écrit:

    Jamais depuis le message d'Eisenhower à Ben Gourion au milieu de la crise de Suez en Novembre 1956 un président américain n'avait été si brutal avec un Premier ministre israélien.

    Kennedy dit à Eshkol que l'engagement et le soutien des États-Unis envers Israël "pourraient être sérieusement compromis" si Israël ne laisse pas les États-Unis obtenir "des informations fiables" sur ses efforts dans le domaine nucléaire.

    Kennedy présente des instructions techniques détaillées sur la manière dont ses requêtes doivent être exécutées.

    Les demandes de Kennedy étaient sans précédent. Elles révélaient en fait un ultimatum.

    Cohen relève à la page 159 que: "Du point de vue [d'Eshkol], les demandes de Kennedy semblaient diplomatiquement inappropriées; elles étaient incompatibles avec la souveraineté nationale. Il n'y avait aucune base légale ou précédent politique pour de telles demandes ", dit Cohen, "la lettre de Kennedy a provoqué une situation de quasi-crise dans le bureau du Premier ministre. "

    Ainsi, Kennedy était tout aussi bouleversant pour le nouveau Premier ministre qu'il l'avait été pour David Ben-Gourion!

    Les pressions de Kennedy sur Israël n'ont pas pris fin avec la démission de Ben Gourion. Au lieu de cela, elles se sont clairement intensifiées.

    Cohen décrit ensuite une "réunion secrète de novembre" qui s'est tenue à Washington DC (13-14 novembre) entre des Israéliens et des Américains et affirme qu'Israël "avait un ordre du jour plus large. . . que les États-Unis étaient prêts à discuter. "

    Pourtant, Cohen indique que la question nucléaire était si sensible que, durant la rencontre secrète face-à-face entre les États-Unis et les autorités israéliennes où ils discutaient d'autres questions, le sujet de la bombe nucléaire d'Israël n'a pas été pas discuté.

    La question était à ce point brûlante. Elle fut reportée à des discussions futures. Mais JFK a été assassiné au bout de huit jours, et la dynamique des relations Us-israéliennes a changé dramatiquement par voie de conséquence.

    Le journal israélien Ha'aretz a publié une critique du livre de Cohen, le 5 Février 1999, qualifiant ce livre de "véritable bombe." La critique de Ha'aretz, par Reuven Pedatzur, est assez intéressante. Elle se lit en partie:

    L'assassinat du Président américain John F. Kennedy a mis une fin abrupte aux pressions massives appliquées par l'administration américaine sur le gouvernement d'Israël pour qu'il mette fin à son programme nucléaire.

    Cohen démontre en long et en large que les pressions exercées par Kennedy sur Ben-Gourion. Il livre l'échange fascinant de lettres entre les deux hommes, dans lequel Kennedy affirme très clairement au Premier ministre israélien qu'il n'acceptera en aucun cas de laisser Israël devenir un Etat nucléaire.

    Le livre suggère que si Kennedy était resté en vie, il est douteux qu'Israël aurait aujourd'hui une option nucléaire.

    (...)

    Qu'en est-il de la Commission Warren, qui a enquêté -- la plupart estimeront qu'elle a plutôt «couvert» la vérité -- sur l'assassinat?

    Veuillez prendre note que des 22 procureurs de personnel de la Commission Warren, au moins neuf d'entre eux étaient juifs. Un autre était marié à une femme juive. En outre, plusieurs autres avaient des liens connus et intimes avec le lobby israélien en Amérique.

    L'un des membres les plus actifs de la Commission -- Rep. Gerald R. Ford (R-Mich.) -- était le protégé de Max Fisher, un homme d'affaires millionnaire ayant des liens étroits à la fois au Mossad et au Syndicat du crime Lansky. Un autre, John McCloy, était connecté à la famille Bronfman, les commanditaires de l'entité Permindex mentionnée précédemment, et à l'empire bancaire juif international Warburg.

    Bien sûr, le Washington Post, le New York Times, et une foule d'autres journaux "responsables" n'ont pas révisé Final Jufgment, même si je leur ai envoyé des copies.

    Pourtant, à cet égard, je ne peux m'empêcher de noter que lorsque, le 22 Novembre 1964, le Washington Post a missioné quelqu'un pour écrire ce qui s'est avéré être un examen favorable du rapport de la Commission Warren, accompagné de commentaires négatifs de plusieurs ouvrages critiques du rapport, le Washington Post a choisi Eugene Rostow, alors doyen de la Faculté de droit de Yale. Voici ce que le prestigieux Dean Rostow a écrit sur le rapport Warren: s'il-vous-plaît suivez bien. C'est vraiment "trop"! Rostow a écrit:

    Le rapport est un document d'État magistral et convaincant. Il a le poli de la rédaction juridique à son meilleur, bien composés, laconique, sobre et méticuleuse. [Il a] un ton détaché et judicieux . . .

    Mais voilà le problème . . .

    Ce que ni le Washington Post, ni Rostow a révélé, c'est que Rostow était lui-même la première personne à suggérer au président Johnson qu'une commission d'enquête telle que la Commission Warren soit mise sur pied!

    Et en passant, juste pour la mémoire, si le Mossad avait une main dans l'assassinat de JFK, vous pouvez être certain que Rostow n'aurait jamais écrit sur celle-ci. Voici pourquoi:

    Rostow a été membre du conseil de l'Institut Juif pour les Affaires de sécurité nationale (Jewish Institute for National Security Affairs), qui a été décrit comme étant "dirigée par des personnes étroitement identifiées avec les intérêts israéliens et peut être considérée comme étant à toute fins pratique une organisation de lobbying pour l'État d'Israël."

    Bien entendu, l'assassinat en 1968 du Sénateur Robert F. Kennedy, le frère cadet du président assassiné, était essentiel pour que reste occultée la vérité sur l'assassinat de JFK.

    Si RFK s'était rendu à la Maison Blanche, il aurait enfin eu le pouvoir de livrer les tueurs de son frère à la justice.

    Le meurtre de Robert F. Kennedy relie non seulement Israël et ses alliés de la CIA, mais aussi la SAVAK, la police secrète du Shah d'Iran. La SAVAK était une création conjointe de la CIA et du Mossad, ainsi que des services secrets britanniques, et a coopéré étroitement avec ces agences sur de nombreux fronts -- y compris l'assassinat de RFK. Cet aspect est examiné dans les pages de Final Judgment.

    Le lien entre l'assassinat de Kennedy et l'affaire du Watergate qui a renversé Richard Nixon a été la base d'une quantité incroyable de mésinformation et de désinformation depuis la chute du président Nixon en 1974.

    Il ya en effet une connexion entre le Watergate et l'assassinat de JFK, mais ç'en est une que même les chercheurs les plus intrépides de l'assassinat de JFK semblent en quelque sorte avoir manqué.

    La véritable connection Dallas-Watergate se trouve dans le rôle longtemps caché de l'homme d'Israël au sein de la CIA, James Jesus Angleton -- le principal moteur de la CIA non seulement derrière l'assassinat de JFK, mais aussi derrière la démission forcée de Richard M. Nixon. Cela est également exploré dans Final Judgment.


    (...)

    Pour Conclure:

    Un lecteur de Final Judgment a rencontré le célèbre reporter de nouvelles de CBS M. Cronkite à Martha's Vineyard. Il a informé Cronkite de la théorie mise de l'avant dans Final Judgment, et Cronkite écouté attentivement. Face à la mer, Cronkite a remarqué assez succinctement: «Je ne peux penser à aucun groupe -- à l'exception des services de renseignement israéliens -- qui ait pu cacher le complot d'assassinat de JFK pendant si longtemps.»

    Il s'agit de notre "jugement final": le Mossad israélien est un acteur primordial (et critique) agissant derrière la scène dans la conspiration qui a mis fin à la vie de John F. Kennedy. Grâce à ses vastes ressources et ses contacts internationaux dans la communauté du renseignement et du crime organisée, Israël avait les moyens, il avait eu l'occasion, et il avait le motif pour jouer un rôle majeur de premier plan dans le crime du siècle -- et il l'a fait.

    COMMENT L'ARSENAL NUCLÉAIRE ISRAÉLIEN NOUS MET TOUS EN DANGER
    http://www.alterinfo.net/Comment-l-arsenal-nucleaire-d-Israel-nous-met-tous-en-danger_a36837.html

    L’occupation israélienne de l’Amérique
    Hesham Tillawi - The Palestine Chronicle Mardi 15 Septembre 2009
    http://www.alterinfo.net/L-occupation-israelienne-de-l-Amerique_a36685.html

    Nucléaire: l'AIEA invite Israël à adhérer au traité de non-prolifération
    http://cristos.over-blog.com/article-36231823.html

    L'arsenal atomique d'Israel "préoccupe" la Conférence générale de l'AIEA
    http://www.algerius.com/article-36239676.html

    Kosher Nostra
    http://pascasher.blogspot.com/2009/07/kosher-nostra.html


    Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!! FinalJudgment
    FINAL JUDGMENT
    The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy
    by Michael Collins Piper
    ebook: http://www.amfirstbooks.com/catalog/product_info.php?products_id=17
    livre: http://www.amazon.com/Final-Judgment-Missing-Assassination-Conspiracy/dp/0935036539
    gratuit sur le net: http://www.scribd.com/doc/8546122/Michael-Collins-Piper-Final-Judgment


    Notez que le petit merdeux d'Hufschmid a fait et continue de faire le maximum pour discréditer et salir la réputation de Michael Collins Piper, l'auteur du livre "Final Judgment: The Missing Links in The JFK Assassination Conspiracy" qui est responsable d'avoir démontré la connexion israélienne de l'assassinat de JFK et d'avoir révélé les informations explosives sur la guerre secrète entre Israel et Kennedy au sujet de la bombe atomique. Il accuse Piper d'être un agent sioniste! Quel débile! Un superbe cas d'inversion accusatoire, s'il en est! Ça serait complètement incompréhensible comme accusation... si l'on ne savait pas déjà que le travail d'Hufschmid consiste à salir la réputation des vrais bons chercheurs... Mais lorsque je constate l'ampleur des dégâts qu'a fait Hufshcmid dans les esprits des plus dupes et ignorants d'entre nous, il y a pas à dire: les deux bras m'en tombent...
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    Message  Druide 25/9/2009, 12:56

    Avez-vous entendu parler du discours de Kadhafi à l'ONU dans lequel il a parlé de l'assassinat de JFK comme étant lié au fait qu'il voulait inspecter les installations de Dimona?

    https://www.youtube.com/watch?v=4WXG--3l3q4
    À partir de 4min 35sec. en anglais seulement

    Il mentionne aussi le fait que Jack Ruby (l'homme qui tua Oswald) était un Israélien... [note: il était payé par Bronfman et faisait partie de la pègre Lansky]
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    Message  2befree 12/3/2010, 14:38

    Nucléaire Israélien, l’Europe à l’abri ?



    Selon un communiqué de l’AFP (08/03/2010), Israël annonce faire appel à la France pour la construction d’une centrale nucléaire (Conférence internationale sur le nucléaire civil, Paris 09/03/2010). Il s’agit d’un «projet commun avec la Jordanie voisine, sous la supervision de la France qui fournirait la technologie». La même dépêche s’empresse de rappeler qu’ «Israël n’est pas signataire du Traité de non-prolifération nucléaire et qu’il n’adhère pas non plus au projet d’un Moyen-Orient dénucléarisé que défend le Président américain Barack Obama». Sans doute pour relativiser la portée du nucléaire civil israélien, il est précisé également «que l’État hébreu s’est doté de 200 ogives nucléaires ainsi que de missiles à longue portée».

    On a vite compris le but de cette Conférence : continuer à diaboliser et isoler l’Iran, qui, lui, signataire du Traité de non-prolifération, est tout de même soumis à des sanctions à la demande d’Israël. Pourtant les nombreuses inspections confirment le caractère civil du nucléaire iranien. L’autre but est de «nous faire oublier» le nucléaire militaire sioniste que les gouvernements occidentaux (soumis au sionisme) se gardent bien de vouloir inspecter.

    Nous voulons vous parler de ce nucléaire israélien, le nucléaire militaire, jamais inspecté, rarement mentionné, qui est la vraie menace. Non seulement pour le Moyen-Orient, mais également pour la Russie et l’Europe. Ce sont les socialistes français (gouvernement Guy Mollet, avec Maurice Bourgès Maunoury, Ministre de la Défense Nationale à l’époque) qui ont offert l’arme nucléaire à Israël en 1956 lors de l’agression coloniale franco-anglaise contre l’Égypte (affaire dite de «Suez»). Le prix à payer pour la participation de l’entité sioniste à l’agression mais aussi la preuve d’une adhésion sans complexe des socialistes français au sionisme. Toute cette affaire s’est faite à l’insu des autres membres du Gouvernement, de l’Assemblée et du Sénat, et bien entendu du Peuple français. Les socialistes français portent devant l’histoire la terrible responsabilité d’avoir introduit l’arme nucléaire au Moyen-Orient en l’offrant à Israël (offerte et non vendue !). Depuis, grâce au soutien des États-Unis, de l’Union Européenne et surtout de la complicité active des réseaux sionistes dans le complexe militaro-industriel mondial, Israël est aujourd’hui une puissance nucléaire : 200 têtes selon les experts et des missiles à longue portée qui en font une puissance stratégique autonome.

    Ce ne sont pas seulement les États du Moyen-Orient, la Turquie et l’Iran qui peuvent être des cibles, mais également la Russie et l’Europe. De plus, selon le quotidien Libération (14/10/2003), Israël dispose de 3 sous-marins nucléaires équipés de lance-missiles. Aujourd’hui, le nucléaire israélien fait courir au monde le principal risque de guerre, d’autant plus que le lobby sioniste (largement présent dans les sphères gouvernementales et médiatiques) cherche partout (notamment en France) à entraîner d’autres nations dans sa guerre.

    Longtemps le nucléaire israélien a été tabou pour le grand public. Peu mettait en garde le monde contre un tel danger. Un homme courageux, le physicien et pacifiste israélien, Mordechai Vanunu a beaucoup aidé à briser le tabou. Technicien à la centrale nucléaire de Dimona (Israël), il alerte l’opinion en présentant plusieurs photos des laboratoires et services au quotidien britannique «Sunday Times». Kidnappé à Rome en 1986 par le Mossad, condamné à Tel-Aviv en 1988, il ne sera libéré qu’en 2004. Dix-huit ans de prison dans la «seule démocratie du Moyen-Orient» pour avoir dénoncé, preuves à l’appui, ce dont on se doutait. Depuis, des officiels israéliens ont reconnu à mi-mot l’existence du nucléaire.

    En ce domaine aussi, les grands médias appliquent le «deux poids deux mesures». Chaque jour l’opinion est intoxiquée au sujet du «nucléaire iranien», à usage civil selon les organismes internationaux de contrôle. Aujourd’hui, dans la propagande de l’USraël, «le nucléaire iranien» joue le même rôle que les fameuses «armes de destruction massive» avant l’attaque contre l’Irak : préparer l’opinion mondiale à une agression contre l’Iran. Ainsi, Israël, un pays non signataire du Traité de non-prolifération, refusant un Moyen-Orient dénucléarisé, refusant toute inspection …, pousse à la guerre contre une nation elle, signataire dudit Traité, qui accepte des inspections permanentes. Malgré cela l’Iran est soumis à l’injuste embargo décidé par Tel-Aviv.

    Trop souvent les Européens (notamment les Français) pensent que la question du nucléaire israélien ne concerne que la région du Moyen-Orient et l’Iran. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, ils se croient à l’abri de toute guerre, limitant souvent leur préoccupation politique aux questions économiques et sociales. Pourtant l’Europe n’est pas à l’abri. Les nombreuses zones d’ombre qui continuent à entourer les attentats du 11 septembre, le récent assassinat d’un leader palestinien à Dubaï démontrent amplement que le sionisme ne reconnait aucune frontière. Il s’est donné le droit de frapper où bon lui plait. Pour cela il compte sur l’impunité que son lobby lui fournit depuis plus de 60 ans. Nous avons déjà attiré l’attention sur le risque d’un nouvel 11 Septembre, cette fois en Europe. Un tel crime permettrait à l’USraël de relancer sa machine de guerre en cherchant à unir les Européens autour de Washington et Tel-Aviv en vue d’une nouvelle agression. Chaque année de nombreux composants destinés au nucléaire (voir par exemple le site en ligne du Financial Times, repris par l’agence de presse Belga en date du 19/06/2008) disparaissent sans que cela n’alerte outre mesure les gouvernements. On connait l’importance des réseaux sionistes dans le domaine de l’armement sophistiqué et des protections dont ils disposent. Voilà pourquoi ce nouvel 11 Septembre en Europe pourrait bien être nucléaire. Et bien entendu « la traçabilité » de l’arme du crime conduirait comme par hasard à des commanditaires …musulmans.

    Sommes-nous devenus «conspirationistes» ? Certainement pas. Mais n’oublions jamais que quelqu’un qui aurait parlé du 11 Septembre une semaine avant qu’il ne se produise n’aurait pas été cru ! Et pourtant…





    Le Président,
    M. Yahia Gouasmi

    source:
    http://www.partiantisioniste.com/communications/nucleaire-israelien-l-europe-a-l-abri-question-0366.html
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    Message  2befree 18/3/2010, 22:30

    source
    http://www.partiantisioniste.com/communications/nucleaire-israelien-danger-et-urgence-0369.html




    On a fait état ces derniers jours des déclarations de Martin Van Creveld, universitaire israélien et historien militaire spécialisé dans les questions stratégiques. Dans ces déclarations publiées en 2003 dans l’hebdomadaire néerlandais Elsevier, Martin Van Creveld parle du nucléaire israélien et n’hésite pas à exercer un chantage atomique à l’encontre des Européens. Souhaitant l’expulsion de tous les Palestiniens y compris ceux des territoires occupés depuis 1967, l’auteur fait observer que les Européens ne pourront pas réagir car dit-il, les têtes nucléaires israéliennes sont pointées vers les capitales européennes, y compris Rome.

    Même si cette déclaration remonte à 2003, il faut savoir que M. Martin Van Creveld est encore aujourd’hui très écouté dans les milieux gouvernementaux israéliens et américains.

    C’est pourquoi, cette déclaration doit être prise très au sérieux. La majorité des Européens vit encore dans le souvenir et la nostalgie des Trente Glorieuses : ces années de croissance économique pendant que les guerres, souvent coloniales, se déroulaient au Moyen-Orient, en Asie ou en Afrique. Cela a fini par créer un état d’esprit généralisé qui fait croire aux Européens qu’ils sont à l’abri de tout conflit. Ajoutons la propagande quotidienne désignant « le terrorisme islamiste » ou le nucléaire civil iranien comme ennemis de l’Europe et nous voyons que la propagande atteint son but : détourner l’attention contre les Musulmans.

    Pourtant un professeur israélien n’hésite pas à désigner ouvertement les capitales européennes comme cibles potentielles des missiles sionistes. Et cela, dans le plus grand silence de nos grands médias et de nos gouvernements.

    On peut alors se poser une question : l’Europe vit-elle sous le chantage nucléaire israélien ? Autrement dit, en plus du chantage moral permanent, que les sionistes appellent antisémitisme, n’y a-t’il pas un autre chantage moins apparent mais tout aussi efficace de la part d’Israël ? Il est à remarquer que dans sa déclaration concernant les capitales européennes, Martin Van Creveld n’en mentionne qu’une nommément, à savoir Rome. Pourquoi ? Parce que Rome contient une puissance symbolique et spirituelle particulières. Capitale de l’Empire romain devenue capitale du Catholicisme, Rome apparaît à beaucoup de sionistes comme un barrage à leur influence, une dernière digue qu’il faut faire sauter.

    Si ces propos n’avaient pas été tenus par un universitaire israélien, ils n’auraient pas une très grande importance. Mais nous connaissons le sionisme et sa longue et triste histoire. C’est un mélange de provocations et de violences qui, souvent, cherche à se dissimuler sous le masque de la victime.

    En Europe, ce masque est tombé depuis longtemps. Quel Européen croit aujourd’hui qu’Israël c’est la paix ? Quel Européen de bonne foi peut ignorer qu’Israël c’est soixante ans d’illégalités internationales ? Qui ignore en France la puissance et la malfaisance du lobby sioniste ? Et c’est justement parce que la vérité finit par s’imposer que le sionisme, se sentant acculé, est capable du pire.

    Nous avons déjà dit qu’un 11 septembre qui se déroulerait cette fois en Europe n’est pas du tout à exclure. Et rien ne nous assure qu’il se produise avec des moyens conventionnels. Il faut donc que les Européens prennent conscience de ce danger. L’absence de guerre en Europe depuis 1945 (excepté en Yougoslavie) a fini par créer chez beaucoup une idée fausse : la guerre c’est pour les autres. Maintenant que la crise est installée pour longtemps en Europe (voyez l’Islande et la Grèce en attendant que d’autres pays suivent), les Européens commencent à ouvrir les yeux et à comprendre que la misère, ce n’est pas seulement pour les « autres ». Le même raisonnement doit être appliqué à la guerre. Et aujourd’hui, la principale cause de guerre et d’instabilité dans le monde est Israël dans sa volonté de domination.

    Seule une union de tous — Musulmans, Chrétiens, Juifs anti sionistes, humanistes — peut empêcher le pire. Il est encore temps !




    Le Président,
    Yahia Gouasmi.



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    Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!! Empty USraël : la menace nucléaire

    Message  2befree 10/4/2010, 19:51

    source
    http://www.partiantisioniste.com/communications/usrael-la-menace-nucleaire-0386.html




    USraël : la menace nucléaire



    Une conférence internationale portant sur le désarmement se tiendra à Téhéran, les 17 et 18 avril prochains. Cette Conférence aura pour thème : « L’énergie nucléaire pour tous, les armes atomiques pour personne ». On attend la participation de plus de 60 pays, dont la Chine.

    Cette conférence aura lieu après la publication de la doctrine nucléaire d’Obama (« Nuclear Posture Review »). Cette nouvelle doctrine, tout en prétendant restreindre l’usage du nucléaire, indique clairement la volonté d’Obama d’utiliser l’arme atomique et chimique contre les Etats qui ne se soumettent pas à sa volonté. L’Iran et la Corée du Nord sont désignés.

    Cette politique d’Obama n’est qu’un pas de plus dans les préparatifs de guerre contre l’Iran. Tous les spécialistes (y compris et surtout ceux de l’AIEA) savent que le programme nucléaire de l’Iran est civil. C’est sa ferme position antisioniste qui en fait la cible principale de Tel-Aviv (on est beaucoup plus « modéré » avec la Corée du Nord qui n’est pas impliquée dans le combat contre le sionisme…). Et c’est pour obéir à ses maîtres sionistes qu’Obama tente de resserrer la pression autour de l’Iran.

    Si la Russie (affaiblie économiquement, déstabilisée par de récents attentats) semble disposée à se rallier à des sanctions, la Chine, aujourd’hui incontournable, paraît beaucoup plus réticente et veut toujours favoriser la voie diplomatique dans la question iranienne.

    L’annonce de la Conférence de Téhéran intervient alors qu’une réunion doit se tenir ce jeudi 8 avril à New-York entre les 5 membres permanents du Conseil de Sécurité (Chine, États-Unis, Russie, France, Royaume-Uni) plus l’Allemagne. La Conférence de Téhéran est donc la riposte diplomatique appropriée, compte tenu du nombre de participants escomptés et surtout de la Chine qui se permettra le luxe d’être à New-York et à Téhéran à la fois ! C’est déjà une victoire pour la diplomatie iranienne et un camouflet pour Obama qui ne peut plus cacher son alignement sur le lobby sioniste qui l’a mis en place afin de mieux endormir l’opinion (les brouilles avec Israël ne sont que des manœuvres de diversion).

    Dans ce contexte le Parti Anti Sioniste se réjouit de l’initiative diplomatique de l’Iran et souhaite que cette Conférence agisse concrètement pour le désarmement. Et en ce domaine, on ne peut être honnête et cohérent qu’en dénonçant l’arsenal nucléaire de l’entité sioniste. Aujourd’hui, le principal facteur de guerre dans le monde est le sionisme avec son idéologie de domination et son armement nucléaire.

    La France, parce qu’elle a donné la bombe atomique à Israël en 1956 (merci les socialistes!), porte une responsabilité particulière. Par ailleurs, nous avons expliqué le partage des rôles entre Sarkozy et Obama, dans le cadre d’une agression contre l’Iran (voir sur notre site l’article « Les deux complices... »).

    Voilà pourquoi c’est en France que l’action antisioniste doit, chaque jour, monter en puissance pour dénoncer ce lobby qui mène le monde à la guerre pour le seul profit de quelques uns.




    Le Président,
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    Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!! Empty Re: Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!!

    Message  Auda 11/4/2010, 09:17

    Reste à espérer que cette conférence réunisse bien les 60 pays annoncés et que le rôle de la Chine n'y sera pas que de la figuration...
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    Message  Auda 12/4/2010, 16:35


    Désarmement nucléaire: la Russie participera à la conférence de Téhéran

    17:43 12/04/2010
    MOSCOU, 12 avril - RIA Novosti
    Sur le même sujet

    La Russie participera à la conférence internationale sur le désarmement nucléaire qui se déroulera les 17 et 18 avril prochains à Téhéran, a annoncé lundi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov sur les ondes de la radio Echo de Moscou.

    "Quant à la conférence organisé par l'Iran, nous y sommes invités et nous y participerons. Il est encore tôt de parler du niveau (de la délégation), mais nous avons déjà confirmé aux Iraniens notre participation", a indiqué le diplomate.

    Des représentants de plus de soixante pays; ainsi que de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) assisteront à la conférence sur le désarmement nucléaire à Téhéran. Les autorités iraniennes ont organisé cette conférence en réponse à celle du président américain Barack Obama, les 12 et 13 avril. Cette contre-conférence iranienne aura pour thème "l'énergie nucléaire pour tous, des armes atomiques pour personne".

    Ces deux conférences ont lieu au moment où les discussions concernant le programme nucléaire iranien semblent dans l'impasse. Les Etats-Unis font pression sur le Conseil de sécurité de l'Onu pour que de nouvelles sanctions soient votées.


    (source)
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    Message  stg45 9/11/2010, 22:18


    Martin Van Creveld parle du nucléaire israélien et n’hésite pas à exercer un chantage atomique à l’encontre des Européens.

    on peut jouer a ca a plusieurs...

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    Message  Bardamu 9/11/2010, 22:26

    Dis donc stg45, la Luftwaffe a fait bien des progrès depuis le Stuka Razz
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    Message  stg45 9/11/2010, 22:31

    déja dépasse au moment de la bataille d'angleterre. ils ont fait mieux depuis:
    http://www.luft46.com/misc/3bsanger.jpg



    mais ne paniquez pas, l'"option samson" n'est qu'un gros bobard, les israeliens n'ayant pas vaiment le sens du sacrifice.

    http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1108388

    http://pascasher.blogspot.com/2009/01/sils-vont-en-enfer-ils-nous-entranent.html

    http://pascasher.blogspot.com/2009/09/loption-samson-contre-rome.html


    https://novusordoseclorum.1fr1.net/nouvel-ordre-mondial-f1/les-sionistes-revent-ils-d-atomiser-le-vatican-t4557.htm



    Dernière édition par stg45 le 9/11/2010, 23:01, édité 2 fois
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    Message  Bardamu 9/11/2010, 22:45

    Ce qu'on appelle "l'équilibre de la terreur ?

    Tu sais avec des fanatiques suffisamment pervers pour avoir, notamment, monté et exécuté les évènements du 11/9 en toute impunité, il faut s'attendre à tout ! Cette faction n'a t'elle pas aussi sur les mains le sang de centaine de milliers de gens de leur propre race pour justifier la création de leur état totalitaire dans l'après GM2 ? Sans parler de tout le reste !! Comme dans les tours du WWT, les juifs sionistes les plus virulents ne seront pas là où ça risque de tomber !

    Le risque dont parle Gouasmi est bien réel. Un attentat avec une bombe sale sur une capitale européenne et qu'ils attribueraient à une cellule terroriste proche du Hamas ou du Hezbollah, et c'est reparti comme en 2001, l'Iran est vitrifié et l'empire israélo-américain domine la totalité du Proche-Orient !


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    Message  stg45 9/11/2010, 22:51

    Bardamu a écrit:Un attentat avec une bombe sale sur une capitale européenne et qu'ils attribueraient à une cellule terroriste proche du Hamas ou du Hezbollah, et c'est reparti comme en 2001

    ca c'est bien plus vraisemblable (pour ne pas dire probable) qu'une attaque directe et officiele de l'état israelien envoyant des missiles sur le vatican, new york, berlin, washington et paris.

    ils perdraient tout soutien de la aprt des pays occidenteaux .

    tandis qu' une operation false flag....
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    Message  mako 9/11/2010, 23:01

    Comme il a été dit plus haut, ils se moquent de leur semblables.
    Dans cette optique je trouve plus probable qu'ils effectuent une false flag attaque sur leurs territoire et de plus si cela touche les palestiniens sa ferraient un coup double dans leur esprit de psychopathes...
    L'enquête serait plus facile à falsifier et ils pourraient entré en guerre plus rapidement... je les imagine déjà retrouver des passeports iranien partout autour de l'impact.... Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad
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    Message  Invitée 9/11/2010, 23:51

    euhh, merde, moi qui pensait aller à Londres... ça me fait penser qu'il y a un court métrage d'un jeune réalisateur israëlien qui traite de la corruption morale, l'endoctrinement militaire de son pays.
    https://www.dailymotion.com/video/x8jnfa_le-coeur-damos-klein_shortfilms
    c'est drôle, le coeur de son personnage est tout pourri.
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    Message  Bardamu 12/11/2010, 21:28

    Encore un travail remarquable de traduction de la part de Nicole sur son blog
    Source : http://www.les-attentats-du-11-septembre-vus-par-une-conspirationniste.com/article-gordon-duff-en-jeu-le-complot-pour-detruire-les-etats-unis-60824837.html

    Cet article plus lisible au format PDF : http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/67/15/03/GORDON-DUFF---COMPLOT-CONTRE-US.pdf


    GORDON DUFF : EN JEU : LE COMPLOT POUR DETRUIRE LES ETATS-UNIS
    REGARDEZ LE VENIR ET ARRETEZ LE, MEME SI CA VOUS COUTE TOUT


    Les élections de 2010 ont eu un but, la guerre avec l'Iran, même si le risque est un conflit mondial, et si le véritable perdant, quoi qu'il arrive sur le champ de bataille, est les Etats-Unis.

    Les plans sont dans les tuyaux pour une attaque sous "fausse bannière" aux Etats-Unis. L'Iran sera blâmé, tout le monde le sait, et l'Iran sera complètement innocent. C'est la dernière chose que l'Iran souhaite voir arriver.

    La scénario le plus probable est une attaque nucléaire.

    Deux bombes manquent, des bombes construites par Israël en Afrique du Sud et perdues il y a longtemps. C'étaient soit disant les bombes de Saddam. Maintenant on nous dit que l'Iran les a. Israël les a depuis le début et la peur existe qu'elles soient déjà aux Etats-Unis.

    Le jeu Israélien avec ces armes est l'un des secrets les plus mal gardés du monde et a déjà coûté la vie à nombre de personnes. Ça ne prendra pas plus que la détonation de l'une de ces ogives Israéliennes du calibre de celles d'Hiroshima pour pousser l'Amérique à la guerre avec l'Iran, pas plus, non plus que la chasse après ces ogives dont Israël a informé le Président Bush qu'elles étaient en Irak, avant de laisser "le décideur" à la tête de l'une des nombreuses bévues de sa carrière. Notre prochain 9/11 sera nucléaire.

    Le but est de pousser l'Amérique dans une guerre de 20 ans qui détruira l'Iran et le Pakistan, fera monter le pétrole à plus de 300 $ le baril et s'effondrer le dollar et l'euro. L'Iran n'est pas l'Irak de 2003, édentée et affamée. Ce sera la dernière aventure militaire de l'Amérique, et la fin de la place de l'Amérique dans le monde telle que nous la connaissons. Nous connaissons les détails de la campagne militaire proposée et les dirigeants militaires et politiques qui la soutiennent sont les plus incompétents imaginables, doublés de traîtres.

    Envahir l'Iran est une tâche impossible pour l'Amérique. Outre qu'il n'y a pas de raison pour s'engager dans pareille folie, qui, ces dernières années semble concerner de moins en moins d'Américains. Allumez la TV, si le "rodéo clown" dit "éliminez-les" alors faites-le.

    Envahir l'Iran est impossible pour l'Amérique. Aller sur la lune était plus facile. Qu'importe la mesure dans laquelle c'est insensé, impossible, la décision a été prise, plus à Tel Aviv qu'à Washington, pour sûr, mais c'est une décision qui sera respectée.

    Il y a seulement deux scénarios qui peuvent réaliser le cauchemar qu'Israël et ses brillants nouveaux congressistes ont en magasin pour nous. L'un est une attaque nucléaire préventive sur l'Iran et l'autre une guerre totale à grande échelle avec jusqu'à 500,000 Américains enrôlés dans l'armée.

    MANQUEMENT DE "L'ARMEE VOLONTAIRE"...TEL QU'ISRAEL LE VOIT

    Forcer l'Amérique à refaire une conscription et à commencer une guerre Racisme.jpg importante, une que l'Amérique ne pourra jamais vraiment gagner comme pour l'Irak et l'Afghanistan, sans oublier le Vietnam, est vital pour mettre la corde au cou d'un Démocrate, tout particulièrement un d'origine Africaine Américaine. Quiconque ne pense pas que le véritable coeur de la politique Américaine a toujours été le racisme est un menteur. Les valeurs familiales signifient les valeurs des familles "blanches". Les Africains Américains connaissent la honte qu'ils ont ressentie en voyant des Musulmans ciblés pour persécution. Chaque prise de position politique dans l'Amérique d'aujourd'hui provient du racisme institutionnalisé, que ce soit l'immigration, la santé ou la "constitution".

    Quand des personnes qui ne reconnaîtraient pas le document sur un menu Croate à emporter, évoquent un retour à la "constitution", la réalité est toujours la race, la peur, la haine et l'envie, la glu qui retient la société Américaine prisonnière. Il y a des décennies, et même plus récemment pendant notre dernière élection présidentielle, les Africains Américains étaient représentés comme des animaux, des "goys" pour les Juifs. Maintenant nous jouons "Tuer le chamelier"["camel jockey", insulte raciste pour les Américains]" Est-ce pour cela que l'armée Christianisée que nous avons envoyée en Afghanistan tue des civils innocents pour le sport ?

    Une Amérique en complète faillite économique va avoir besoin d'un autre "décideur" et de davantage de "Patriot Acts", même plus totalitaires et vicieux que le dernier, ça et la fin des élections même grotesques que nous avons, inondées de l'argent de la drogue et de cash en provenance de corporations étrangères basées aux US.

    C'est le plan et un gang criminel en Amérique, au sein du gouvernement et de l'armée mais plus encore derrière la scène, des "banksters" des magnats de la presse, tous en lien avec Israël, travaillent fiévreusement à le réaliser. Quelque intelligents que les planificateurs pensent être, leurs mécanismes peuvent être pistés par le biais des médias, l'armée de "Wolf Blitzers" qui "travaillent" le peuple Américain avec la subtilité de comparses soit disant dépourvus de liens["carny shills" dans le texte].

    POURQUOI NOUS DETESTENT-ILS TANT ?

    Pourquoi quelqu'un voudrait-il détruire l'Amérique, tuer des millions de personnes, laisser une nation qui a répondu présent pour sauver le monde entier dans un état de dévastation ? Si vous pensez que le gouvernement castré de l'Amérique ou l'armée, maintenant relégués à un rôle de mercenaires pour le compte de barons de la drogue, de cartels du pétrole et de bizarres complots Sionistes, ont la volonté ou la capacité d'arrêter ce qui a déjà commencé, vous n'avez pas été très attentifs depuis un moment. Tandis que le "cirque de la tromperie" se déployait, la "guerre contre le terrorisme" complètement fabriquée, les ennemis imaginaires, le désastre 9/11, orchestrés par Israël et ses marionnettes, Israël a décidé que l'Amérique ferait la guerre à l'Iran. Le nouveau congrès, celui dont Israël se targue de ce qu'il est sous son total contrôle, va faire en sorte que ça arrive, c'est la raison de leur présence à ces postes. La guerre à venir va laisser les Etats-Unis infirmes, castrés, une puissance nucléaire du "tiers monde" comme l'ancienne Union soviétique. Le complot n'est pas contre l'Iran et le Pakistan, c'est juste une excuse. L'ennemi véritable est ce qui reste de l'Amérique libre et démocratique.

    Le véritable objectif est de mettre fin au rôle de leadership de l'Amérique dans le monde.

    Israël a des plans pour la Russie, la Chine et l'Inde, spécialement l'Inde, pour diriger le monde tandis qu'ils tirent les ficelles. L'Amérique a été leur "vache à lait" quelque temps, maintenant la vache va à l'abattoir.http://www.les-attentats-du-11-septembre-vus-par-une-conspirationniste.com/article-gordon-duff-en-jeu-le-complot-pour-detruire-les-etats-unis-60824837.html



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    Message  Druide 5/2/2011, 23:42

    Alter-info a posté une traduction d'article mal foutue. Voici ma version corrigée:

    Le Mossad et l'assassinat de JFK

    "Israël ne doit pas s'excuser pour l'assassinat de ceux qui cherchent à la détruire. Le premier ordre du jour pour tous les pays est la protection de son peuple. "
    Washington Jewish Week, October 9, 1997


    En Mars 1992, le Représentant de l'Illinois Paul Findley disait dans le rapport de Washington sur les affaires du Moyen-Orient, "Il est intéressant - mais pas surprenant - de noter que dans tout ce qui fut écrit et prononcé au sujet de l'assassinat de Kennedy, l'agence de renseignement israélien, le Mossad, n'a jamais été mentionnée."

    Considérant que le Mossad est sans doute l'agence de renseignement la plus efficace et cruelle dans le monde, il est plutôt singulier qu'il n'ait jamais été investigué en relation avec l'assassinat de Kennedy, surtout quand pratiquement toutes les autres entités dans le monde (à court d'imitateurs d'Elvis) ont été mis en cause.

    Mais tout cela a changé en Janvier 1994 avec la sortie du livre de Michael Collins Piper: Final Judgment. Dans ce livre, Piper dit, "le Mossad israélien a été un joueur de première importance (et critique) dans les coulisses de la conspiration d'assassinat de JFK. Grâce à ses ressources très vastes et à ses contacts internationaux dans la communauté du renseignement et du crime organisé, Israël avait les moyens, il avait l'opportunité, et il avait le motif de jouer un rôle de premier plan dans l'un des plus grands crimes du siècle - et il l'a fait ".

    Leur motivation? Le renommé Premier ministre israélien David Ben-Gourion, qui a gouverné ce pays depuis sa création en 1948 jusqu'à sa démission le 16 Juin 1963, était tellement furieux que John F. Kennedy n'ait pas permis à Israël de devenir une puissance nucléaire que dans ses derniers jours au pouvoir, affirme Piper, il a commandé le Mossad d'élaborer un complot pour assassiner le président américain

    Ben Gourion était tellement convaincu que la survie même d'Israël était menacée qu'il a dit que dans une de ses dernières lettres à JFK: "Monsieur le Président, mon peuple a le droit d'exister, et cette existence est en danger."

    Dans les jours qui ont précédé la démission de Ben-Gourion, lui et JFK s'étaient embarqués dans un discret mais controversé débat sur la possibilité d'Israel d'obtenir des capacités nucléaires. Leur désaccord a finalement dégénéré en une véritable guerre de mots qui a été pratiquement ignorée par la presse. Ethan Bronner a écrit sur cette bataille secrète entre JFK et Ben Gourion des années plus tard, dans un article du New York Times du 31 octobre 1998, le qualifiant de "secret farouchement gardé". En fait, les conversations entre Kennedy / Ben Gourion sont toujours classées par le Gouvernement des États-Unis. Peut-être que c'est le cas parce la rage et la frustration de Ben Gourion est devenue si intense - et sa puissance si grande en Israël - que Piper soutient qu'il a été au centre de la conspiration pour tuer John Kennedy. Cette position est soutenue par banquier newyorkais Abe Feinberg, qui décrit la situation ainsi: "Ben-Gourion pouvait être vicieux, et il avait une telle haine du vieux [Joe Kennedy, Sr., le père de JFK]. Ben Gourion méprisait Joe Kennedy parce qu'il sentait qu'il était non seulement un antisémite, mais qu'il avait également favorisé Hitler dans les années 1930 et 40. [Nous allons aborder cet aspect de l'histoire dans un prochain article intitulé La CIA et le crime organisé: les deux faces de la même médaille].

    Quoi qu'il en soit, Ben Gourion était convaincu qu'Israël avait besoin d'armes nucléaires pour assurer sa survie, alors que Kennedy était résolument contre. Cette incapacité à parvenir à un accord a entraîné des problèmes évidents. L'un de ces problèmes a découlé de la décision de Kennedy de faire de l'Amérique sa priorité en matière de politique étrangère, et non pas Israël! Kennedy prévoyait honorer la Déclaration tripartite de 1950 qui dit que les États-Unis useraient de représailles contre tout pays au Moyen-Orient qui en attaquerait un autre. Ben Gourion, d'autre part, voulait que l'administration Kennedy leur vende des armes offensives, en particulier des missiles Hawk.

    Les deux dirigeants se sont ainsi engagés dans un échange épistolaire brutale, mais Kennedy ne voulait pas bouger. Ben-Gourion, obsédé par cette question, a glissé dans la paranoïa totale, pressentant que l'obstination de Kennedy était une menace flagrante à l'existence même d'Israël en tant que nation. Piper écrit: "Ben-Gourion avait consacré toute sa vie la création d'un Etat juif et à le guider dans l'arène mondiale. Et, dans les yeux de Ben Gourion, John F. Kennedy était un ennemi du peuple juif et de son Etat d'Israël bien-aimé. Il poursuit: « L'option nucléaire » était non seulement au cœur même de la vision personnelle du monde de Ben-Gourion, mais le fondement même de la politique de sécurité nationale d'Israël."

    Ben Gourion était tellement préoccupé par l'obtention d'armes nucléaires que le 27 juin 1963, onze jours après avoir démissionné de ses fonctions, il a annoncé: «Je ne connais aucune autre nation dont les voisins déclarent qu'ils souhaitent la détruire, et ne le déclarent pas seulement, mais s'y préparent par tous les moyens à leur disposition. Nous devons avoir aucune illusion que ce qui est déclaré tous les jours au Caire, à Damas, et l'Irak sont que des mots. C'est la pensée qui guide les dirigeants arabes ... Je suis convaincu que la science ... est en mesure de nous fournir les armes qui serviront la paix et dissuaderont nos ennemis. "

    Avner Cohen, dans son livre Israel and the Bomb (Israël et la bombe), publié par Columbia University Press, renforce ce sentiment d'urgence en écrivant: «Imprégné des leçons de l'Holocauste, Ben Gourion était consumé par des craintes pour la sécurité ... L'angoisse de l'Holocauste a dépassé Ben Gourion pour insuffler la pensée militaire d'Israël." Il ajoute de la substance à ce point en soulignant, "Ben-Gourion n'a aucun scrupule quant à la nécessité pour Israël d'obtenir des armes de destruction massive", et "la vision du monde de Ben-Gourion et son style de gouvernance est ce qui a donné forme à son rôle crucial dans le déclenchement nucléaires de progression Israël."

    Kennedy, d'autre part, a été catégorique dans son refus de promouvoir l'accession d'Israël sur la scène nucléaire. Avner Cohen souligne, dans "Israel and the Bomb: «Aucun président américain n'a été plus préoccupé par le danger de la prolifération nucléaire que John Fitzgerald Kennedy. Il était convaincu que la prolifération des armes nucléaire rend le monde plus dangereux et mine les intérêts des États-Unis". Cohen continue à la fin de ce passage, "Le seul exemple que Kennedy a invoqué sur ce point était Israël."

    Réalisant que Kennedy ne changerait pas d'avis, Ben Gourion a décidé de joindre ses forces avec la Chine communiste. Les deux pays se sont montrés très intéressés dans la création d'un programme nucléaire, et c'est ainsi que commencèrent leur relations secrètes conjointes. Travaillant à l'unisson par l'intermédiaire de Shaul Eisenberg, qui a été partenaire du trafiquant d'armes et comptable du Mossad Tibor Rosenbaum, Israël et la Chine procédèrent donc à développer leurs propres capacités nucléaires à l'insu des États-Unis.

    Si vous trouvez ce scénario improbable, je vous encourage vivement à lire l'excellent livre de Thomas Gordon, Seeds of Fire (Graines de feu), dans lequel il expose comment le Mossad et le CSIS (les services secrets chinois) ont conspiré à de multiples occasions, non seulement pour voler des secrets militaires américains, mais également pour espionner le programmes de renseignement américains par le biais du logiciel PROMIS du Département de la Justice. Cet exemple, j'en ai bien peur, n'est qu'un premier exemple dans lequel l'écho de l'assassinat de JFK résonne encore aujourd'hui dans notre monde post- 11 septembre. Le danger que représentait la course d'Israël et la Chine en vue d'obtenir la Bombe est devenue une situation très volatile, et a été étroitement surveillé par la CIA.

    Dans l'intention de poursuivre sur cette voie, les Israéliens ont construit l'installation nucléaire de Dimona. Quand Kennedy a demandé que les États-Unis inspectent ces installations, Ben Gourion était si furieux qu'il a construit un autre FAUX établissement qui ne présentait aucune preuve de recherche et de développement nucléaire. (Ce scénario ne sonne-t-il pas étrangement familier dans le contexte de ce qui se passe actuellement concernant l'Irak de Saddam Hussein?) Pleinement conscients de leurs manigances, JFK a dit à Charles Bartlett, "Les fils de pute me mentaient constamment sur leurs capacités nucléaires. "

    Avner Cohen, dans "Israel and the Bomb", réitère cette déclaration en disant que Ben-Gourion prenait la question nucléaire tellement à cœur qu'il en "a conclu qu'il ne pouvait pas dire la vérité sur Dimona aux dirigeants américains, pas même en privé. "

    Dr. Gerald M. Steinberg, professeur de sciences politiques à l'Université Bar-Ilan de BESA Center for Strategic Studies à Tel Aviv, insiste en disant: "Entre 1961 et 1963, l'administration Kennedy a exercé de grandes pression sur Ben-Gourion afin qu'il accepte l'inspection internationale de Dimona et qu'Israël abdique leurs armes nucléaires. Cette pression ne semble pas avoir modifié la politique israélienne, mais elle a été un facteur contribuant à la démission de Ben-Gourion en 1963."

    Pour exprimer en termes modernes à quel point la situation était rendue grave, regardez ce qui se passe en Irak avec l'inspection par les équipes de sécurité des Nations Unies des palais royaux et des bunkers cherchant des armes et des matériaux nucléaires. Cette question est si urgente que notre pays est sur le bord de la guerre. Quarante ans plus tôt, la pression que JFK a exercée sur Ben-Gourion était aussi forte que celle que George Bush impose à Saddam Hussein aujourd'hui.

    Dans "Israel and the Bomb", Avner Cohen renforce ce point. Pour forcer Ben-Gourion à accepter les conditions, Kennedy a utilisé le levier le plus efficace à la disposition d'un président américain face à Israël: la menace qu'une solution insatisfaisante compromettrait l'engagement et le soutient du gouvernement des États-Unis envers Israël."

    La pression sur Ben-Gourion était si intense qu'il a fini par quitter son poste. Mais Kennedy, dans un vrai style pit-bull, n'épargna pas le successeur de Ben-Gourion, Levi Eshkol, selon ce que rapporte Avner Cohen. "Kennedy dit à Eshkol que l'engagement et le soutien des États-Unis envers Israël 'pourrait être sérieusement compromis' si Israël ne laissait pas les États-Unis obtenir des 'informations fiables' au sujet de ses efforts dans le domaine nucléaire. Les demandes de Kennedy étaient sans précédent. Elles conduisent, en effet, à un ultimatum." Cohen conclut cette pensée en affirmant: "La lettre de Kennedy a précipité une situation proche de la crise dans le bureau d'Eshkol."

    En fin de compte, comme nous le savons tous, Kennedy a été assassiné en novembre 1963, mais le fait que la Chine a effectué son premier test nucléaire en Octobre 1964 est certainement beaucoup moins connu. Ce qui rend cet événement plus profond est la déclaration de Piper qui dit que même si Israël a déclaré que ses premiers essais nucléaires ont eu lieu en 1979, en fait ils ont réellement eu lieu en octobre 1964 en collaboration avec les Chinois! Si cela est vrai, alors en plus du mois d'août 1945, lorsque les États-Unis ont largué des bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, le mois d'octobre 1964 pourrait avoir été le mois le plus dangereux dans l'histoire du 20e siècle.

    Revenons à l'assassinat de JFK et à ses résultats directs en ce qui concerne le lobby juif, la politique étrangère américaine et la militarisation d'Israël. Pour estimer la puissance considérable du lobby israélien dans ce pays, le vénérable sénateur J. William Fulbright a déclaré à l'émission Face the Nation (CBS) le 15 avril 1973, "Israël contrôle le Sénat des États-Unis". Le Sénat est subordonnée, mais beaucoup trop; nous devrions être plus concernés par les intérêts des États-Unis plutôt que de suivre les ordres d'Israël. La grande majorité du Sénat des États-Unis - autour de 80% - appuie complètement Israël; tout ce qu'Israël veut, Israël l'obtient. Cela a été démontré maintes et maintes fois, et cela a rendu [la politique étrangère] difficile pour notre gouvernement. "

    Vous avez entendu ce que le sénateur Fulbright a dit? Ce n'est pas un théoricien de la conspiration, un fou ou un antisémite du KKK. C'est un sénateur américain très respecté qui dit qu'environ 80% du Sénat est dans la poche d'Israël. Ajoutant du poids à cet argument, le Rep. Paul Findley a dit, qui était cité dans le rapport de Washington sur les affaires du Moyen-Orient en mars 1992: "Durant la campagne de John Kennedy à la présidence, un groupe juif de New York avait proposé en privé de couvrir ses frais de campagne s'il voulait les laisser mener sa politique au Moyen Orient. Il n'était pas d'accord ... En tant que président, il a fourni un soutien limité à Israël."

    Pour comprendre l'importance des décisions de Kennedy lors de sa présidence de courte durée, nous devons nous pencher sur la question du financement des campagnes électorales. Considérant l'influence que le lobby israélien exerce dans le Sénat des États-Unis (répercutant les paroles du sénateur Fulbright), il a dû être tellement furieux lorsque le président Kennedy a décidé de vraiment couper court aux pratiques en vigueur de financement des campagnes, car cette méthode rendait tant de politiciens dépendants de l'énorme source de financement de la part de groupes d'intérêts particuliers ("lobbyistes"). Malheureusement, Kennedy n'a pas eu le temps de mettre en œuvre ce programme, et à ce jour notre système politique est toujours monopolisé par les lobbyistes des mêmes groupes d'intérêts spéciaux. On peut seulement imaginer quels changements auraient pu se produire dans notre politique étrangère si Kennedy avait éradiqué ces vipères et suceurs de sang des salles de congrès.

    Tragiquement, les idées Kennedy ne se sont jamais réalisées, et sa dure bataille avec le Premier ministre Ben Gourion à savoir si Israël devrait être autorisée à développer un programme nucléaire a été finalement perdue. La raison en est que Lyndon Baines Johnson, que Kennedy voulait rejeter de son ticket de 1964 en raison de son aversion extrême à son égard, fut à l'origine d'un renversement complet de la politique étrangère. Comme vous le verrez, non seulement le programme d'armes nucléaires d'Israël allait se poursuivre loin de toute supervision, mais Israël est également devenu le principal bénéficiaire de notre aide étrangère.

    Mais ce revirement absolu ne serait pas arrivé si Kennedy n'avait pas été assassiné. Jusqu'à ce que LBJ devienne président, Kennedy avait traité avec le Moyen-Orient d'une manière qui bénéficiait le plus aux États-Unis. Son objectif principal - et qui serait le plus apte à maintenir la paix - était un équilibre des forces au Moyen-Orient afin que chaque pays soit en sécurité. Cette décision adhérait à la Déclaration tripartite que les États-Unis ont signé en 1950. Mais sous l'administration Johnson, ce fragile équilibre a été rompu, et en 1967 - soit quatre ans seulement après l'assassinat de Kennedy - les États-Unis étaient devenus le principal fournisseur d'armes d'Israël, alors que NOS intérêts étaient relégués loin derrière ceux d'Israël!

    Michael Collins Piper l'écrit: « Le bilan est le suivante: JFK était fermement déterminé à empêcher Israël de fabriquer la bombe nucléaire. LBJ a simplement détourné le regard dans la direction opposée. La mort de JFK s'est en effet avérée bénéfique pour les ambitions nucléaires d'Israël comme les preuves l'indiquent."

    Reuven Pedatzer écrivait, dans un compte-rendu critique du livre d'Avner Cohen "Israel and the Bomb" paru dans le quotidien israélien Ha'aretz du 5 février 1999: «L'assassinat du président américain John F. Kennedy a mis brutalement fin aux pressions massives exercées par l'administration américaine sur le gouvernement d'Israël en vue que ce dernier mette un terme à son programme nucléaire." Il poursuit, "Kennedy a dit très clairement au Premier ministre israélien qu'il n'accepterait en aucun cas qu'Israël devienne un État nucléaire". Pedatzer poursuit: «Si Kennedy était resté en vie, il est douteux qu'Israël détienne aujourd'hui l'option nucléaire», et que "la décision de Ben Gourion de démissionner en 1963 a été prise dans une large mesure dans le contexte de l'énorme pression que Kennedy exerçait sur lui concernant la question nucléaire."

    Si vous n'êtes toujours pas convaincu; que diriez-vous de quelques chiffres? Dans le dernier budget de Kennedy pour l'année 1964, l'aide israélienne était de 40 millions de dollars. Dans le premier budget de LBJ pour 1965, cette aide a grimpé à 71 millions de dollars, et en 1966 elle a plus que triplé par rapport aux deux années antérieures jusqu'à atteindre 130 millions de dollars! De plus, sous l'administration Kennedy, presque aucune aide américaine à Israël n'était de nature militaire. Au lieu de cela, elle était répartie également entre les prêts au développement et l'aide alimentaire en vertu du Programme PL480. Pourtant, en 1965 sous l'administration Johnson, 20% de notre aide à Israël était pour l'armée, tandis qu'en 1966, 71% a été utilisé pour du matériel de guerre.

    Poursuivant dans cette même veine, en 1963, l'administration Kennedy a vendu 5 missiles Hawk à Israël dans le cadre d'un système de défense aérienne. En 1965-66, cependant, LBJ a concédé 250 chars sur Israël, 48 avions d'attaque Skyhawk, plus des fusils et de l'artillerie qui étaient tous de nature offensive. Si vous vous demandiez quand la machine de guerre israélienne a été créée, eh bien voilà! LBJ en a été le père.

    Selon Stephen Green, dans son livre Taking Sides: America's Secret Relations with a Militant Israel: "Les 92 millions de dollars d'aide militaire fournie durant l'année fiscale 1966 dépassaient le total de toute l'aide militaire officielle fournie à Israël cumulativement pendant toutes les années depuis la fondation de cette nation en 1948."

    Green poursuit: «70% de toute l'aide officielle des États-Unis à Israël a été militaire. Les États-Unis ont donné à Israël plus de 17 milliards $ d'aide militaire depuis 1946, dont la quasi-totalité - plus de 99% - ont été fournis depuis 1965."

    Pouvez-vous voir ce qui se passe ici? Moins de deux ans après l'assassinat de JFK, Israël est passé d'un pays faible membre de la volatile communauté moyen-orientale qui n'était pas été autorisé à développer des armes nucléaires, à celui d'un pays en bonne voie de devenir une force militaire indéniable sur la scène mondiale. John Kennedy a mis catégoriquement son poing sur la table et a refusé de permettre à Israël de développer un programme nucléaire, alors que LBJ a fait exactement le contraire en l'aidant et en le soutenant. «En 1968, le président n'avait pas l'intention de faire quoi que ce soit pour arrêter la bombe israélienne."

    Le résultat de ce changement de cap entre les administrations Kennedy et Johnson est, à mon avis, la raison principale derrière nos problèmes actuels au Moyen-Orient qui ont abouti aux attaques du 11 septembre et à notre prochaine guerre contre l'Irak (et au-delà). J'ai une grande confiance en cette déclaration, car tel que Michael Collins Piper le souligne, voici les résultats de l'assassinat de john F. Kennedy:

    1) Notre aide étrangère et militaire à Israël a augmenté de façon spectaculaire après que LBJ soit devenu président.

    2) Plutôt que d'essayer de maintenir un équilibre au Moyen-Orient, Israël a soudainement émergé comme la force dominante.

    3) Depuis l'administration LBJ, Israël a toujours eu des armes de loin supérieures à ses voisins directs.

    4) En raison de cette évident et indéniable accroissement de la machine de guerre israélienne, le Moyen-Orient est dans la tourmente constante.

    5) LBJ a également permis à Israël de poursuivre son développement nucléaire, ce qui lui permit de devenir la sixième plus grande force nucléaire au monde.

    6) Enfin, nos énormes dépenses en aide étrangère à Israël (qui représente au bout du compte environ 10 milliards $ / an) a créé une situation de belligérance et de représailles sans fin au Moyen-Orient, plus un mépris et une hostilité envers les États-Unis pour leur rôle favorisant l'armée d'Israël. En Israël, et surtout aux yeux de David Ben-Gourion à l'époque, quelles étaient leurs alternatives -- rester affaibli (ou au moins équilibré) par rapport à leurs voisins et les mains liées par le refus de JFK de se plier à leur volonté, ou encore TUER l'homme qui les empêche de devenir la force dominante au Moyen-Orient, le bénéficiaire d'énormes quantités d'aide militaire, et l'une des forces nucléaires de première importance dans le monde? C'est quelque chose à penser. Aussi, tandis que ces pensées se bousculent dans votre tête, posez-vous cette question. Si Kennedy, Lyndon B. Johnson, et toutes les administrations ultérieures avaient adhéré à la Déclaration tripartite de 1950 et fait tout en leur pouvoir pour maintenir l'équilibre au Moyen-Orient au lieu de pousser Israël à l'avant-garde, nos tours jumelles auraient-elles été attaquées le 11 septembre 2001, et serions-nous aujourd'hui au bord d'une guerre potentiellement catastrophique? C'est certainement quelque chose à méditer.




    À Lire (pdf gratuits!):

    -- Final Judgment: The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy, by Michael Collins Piper
    #http://www.megaupload.com/?d=16PTX3RW

    --The Golem: A World Held Hostage - Israel's Nuclear Hell Bomb, by Michael Collins Piper
    #http://www.4shared.com/document/QmxV0LrC/Michael_Collins_Piper_-_The_Go.html

    --Israel and the Bomb, by Avner Cohen
    http://books.google.ca/books?id=Y4xBmM-f06cC&printsec=frontcover

    --Israel et la bombe atomique: la face cachée de la politique américaine, par Mohamed Abdel Azim
    http://books.google.ca/books?id=Y4xBmM-f06cC&printsec=frontcover

    --The Secret History Of The Atomic Bomb, by Eustace Mullins
    http://happyharry.net/nwo/text/SecretAtomicBomb.pdf

    --Open Secrets: Israeli Foreign and Nuclear Policies - (pdf), by Israel Shahak
    http://www.norwichpsc.org.uk/Open_Secrets_Extracts_from_Shahak_s_book.pdf

    --The Samson Option: Israel's Nuclear Arsenal and American Foreign Policy, by Seymour Hersh
    http://www.scribd.com/doc/29073753/The-Samson-Option-by-Seymour-Hersh

    --Will The Jewish State Destroy the World? Let there be no doubt that Israel's nuclear weapons of mass destruction are the cornerstone of Israel's national defense policy and that this is founded on a deep-rooted, underlying religious (even racist) fanaticism., by Willis A. Carto
    http://www.amfirstbooks.com/IntroPages/ToolBarTopics/Articles/Featured_Authors/Carto,_Willis/Barnes_2006-2010/Willis_A._Carto_2010_05-06_TBR;_Will_the_Jewish_State_Destroy_the_World.html

    --The Third Temple's Holy of Holies: Israel's Nuclear Weapons, by W.D. Farr et al.
    http://www.bibliotecapleyades.net/archivos_pdf/israel_nuclearweapons.pdf

    --The Zionist Plan for the MiddleEast (translated by Israel Shahak), based on A Strategy for Israel in the Nineteen Eighties by Oded Yinon
    http://www.archive.org/download/TheZionistPlanForTheMiddleEast/MicrosoftWord-TheZionistPlanForTheMiddleEas1.pdf

    --Israel and Chemical - Biological Weapons: History, Deterrence, and Arms Control, by Avner Cohen
    http://anonymouse.org/cgi-bin/anon-www.cgi/http://www.vho.org/aaargh/fran/actu/actu03/doc2003/Cohen.pdf
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    Message  Druide 12/4/2011, 02:21

    Professeur militaire israélien Martin Van Crevel:
    « Nous possédons plusieurs centaines d’ogives atomiques et de fusées et pouvons atteindre nos cibles dans toutes les azimuts, et même Rome. La plupart des capitales européennes font partie des cibles potentielles de notre Armée de l’air ».

    David Perlmutter, professeur à l'université de l'État de Louisianne, écrivait dans le The Los Angeles Times du 7 avril 2002:
    Qu'est-ce [Israël] va faire? J'ai d'autres rêves aussi - des rêves apocalyptiques. Je pense que: Israël construit des armes nucléaires depuis trente ans. Les juifs ont compris ce que l'acceptation passive et impuissante de leur malheur a signifié pour eux dans le passé et ils se sont assurés contre une telle éventualité. Masada n'était pas un exemple à suivre - ça n'a pas fait mal aux Romains le moins du monde, mais, Samson à Gaza? Avec une bombe H?

    Qu'est-ce qui ferait mieux payer au monde haineux des juifs pour ces milliers d'années de massacres, qu'un hiver nucléaire? Ou inviter tous ces chefs d'État européens bien-pensants et des militants pacifistes à nous rejoindre dans les fours?

    Pour la première fois dans l'histoire, un peuple qui a fait face à l'extermination pendant que le tout le monde ricanait ou détournait le regard ... détient le pouvoir de détruire le monde. La justice ultime?




    Voici le compte-rendu d'un nouveau livre qui élabore sur le rôle d'Israël dans le déclenchement -- plus que jamais probable -- d'un Armageddon nucléaire.

    Le livre est disponible sur google books en v.o.a.


    Un nouveau livre dit que les Sionistes sont prêts à déclencher la Troisième Guerre Mondiale

    Par Michael Collins Piper

    Un nouveau livre dérangeant, How The End Begins: The Road To A Nuclear World War III, établit clairement que la troisième guerre mondiale, impliquant probablement l'utilisation d'armes nucléaires, pourrait être déclenchée par Israël. Bien que l'auteur, l'écrivain juif américain Ron Rosenbaum, croit qu'il y a un certain nombre de points chauds possibles pouvant mener à une guerre nucléaire, il place Israël parmi les premières sources d'une telle conflagration.

    Il prévoit une frappe «préventive» par Israël, utilisant des armes nucléaires ou conventionnelles, contre une autre nation, sans doute l'Iran, afin de l'empêcher d'acquérir des armes nucléaires. Cela pourrait déclencher une réaction en chaîne résultant en l'utilisation d'armes nucléaires au cours de la crise qui suivra, impliquant potentiellement les États-Unis, la Russie, le Pakistan, l'Inde---et la liste continue.

    En fait, Rosenbaum note qu'en 2007, quand Israël a lancé une attaque militaire sur une installation nucléaire syrienne présumée, le Spectator (basé à Londres) a publié, le 6 octobre, un article ayant passé inaperçu, citant un haut responsable britannique: «Si les gens avaient su à quel point nous sommes passés proches de la Troisième Guerre Mondiale, ce jour-là nous aurions vu une véritable panique de masse. . . [Et nous] aurions vraiment eu affaire au Livre de l'Apocalypse et au sanglant Armageddon. "

    Rosenbaum écrit:

    . . . Le fait que la main de l'homme se trouve de manière récurrente à écrire de manière obsessionnelle une conclusion d'auto-immolation cataclysmique à la saga de l'homme pourrait bien être, à tout le moins, une prophétie qui s'auto-réalise. Cela voudrait aussi dire qu'au fond, nous sommes vraiment une espèce obsédée par sa propre auto-destruction. . .

    Cette idée d' "auto-destruction" profondément enracinée est particulièrement terrifiante considérant que les politiques nucléaires d'Israël se fondent dès l'origine sur l'option Samson, immortalisée par le juif américain lauréat du prix Pulitzer et critique d'Israël Seymour Hersh dans son livre du même titre.

    Comme le Samson biblique qui a fait s'écrouler le temple sur lui-même et ses ennemis, l '«option Samson» est le concept selon lequel Israël commettrait un suicide nucléaire et entraînerait avec lui le reste du monde si les dirigeants d'Israël en venaient à croire qu'Israël est sur le point d'être vaincu. Ce thème remonte à la célèbre légende juive antique de Massada---le prétendu "dernier combat" des guerriers juifs, qui se sont suicidés face à une attaque romaine perdue d'avance.

    Bien que les chercheurs israéliens aient prouvé que l'histoire de Massada n'en grande partie qu'un mythe, l'importance de la légende pour l'État moderne d'Israël est telle que les officiers nouvellement intronisés de l'armée israélienne sont assermentés en promettant que "Massada ne doit jamais tomber à nouveau".

    Selon Rosenbaum, l'esprit moderne israélien est profondément enraciné dans la crainte d'un «second Holocauste». Ce concept, écrit Rosenbaum, "est une expression qui est devenue un motif en puissance, si ce n'est un déclencheur, pour la déflagration de la Troisième Guerre au Moyen-Orient." Rosenbaum rapporte: « Les Israéliens me disent que l'utilisation de l'expression «second Holocauste» est devenu normalisée là-bas ».

    Rosenbaum suggère que les Israéliens croient que la conférence internationale sur l'Holocauste***, tenue à Téhéran en 2006 par le gouvernement iranien (à laquelle a assisté le présent auteur), constitue une incitation au génocide, un appel délibéré pour un "second Holocauste", et fournit donc une certaine justification à Israël pour lancer une attaque "préventive" contre l'Iran pour empêcher un "second Holocauste". Aucun de ces thèmes a été discuté lors de la conférence.

    En ce qui concerne la moralité d'une telle action, Rosenbaum cite Moshe Halbertal, professeur d'éthique et de droit international de la guerre à la fois à la New York University Law School et à l'Université hébraïque de Jérusalem, décrivant Halbertal comme "l'un des penseurs les plus respectés sur les dilemmes moraux et éthiques de la guerre moderne", à avoir rédigé un code de déontologie pour les Forces de Tsahal.

    Halbertal dit que, dans certains cas, une attaque préventive nucléaire peut être "morale", même s'il croit, comme l'indique Rosenbaum, que "des représailles après avoir été frappé par des armes nucléaires ne peut pas l'être".

    Pourtant, alors que Halbertal croit qu'Israël pourrait avoir le droit de lancer une attaque préventive contre l'Iran, Halbertal, selon l'auteur, semble dire: "Cela va arriver que je le veuille ou non."

    Rosenbaum conclut: "C'est presque un aveu fataliste qu'il le fera."

    Rosenbaum conclut:

    Tout cela rend plus probable que---tôt ou tard---Israël va lancer ses armes nucléaires [et] risque d'inaugurer la Troisième Guerre mondiale---pour empêcher ce qu'ils perçoivent comme une attaque nucléaire imminente. Israël ne va pas attendre que les autres frappent les premiers. Ils peuvent même pas attendre d'être sûr de leurs renseignements. . . cela est une certitude inébranlable. Ils ne peuvent pas se permettre de prendre ce risque. Ce n'est pas quelque chose que je préconise, c'est quelque chose que je prédis.

    Rosenbaum---qui se dit "laïc, libéral, non-pratiquant, non-sioniste, Juif né en Amérique dont aucun membre de sa famille immédiate n'a péri dans l'Holocauste"---craint à juste titre la guerre nucléaire, qu'elle soit lancée par Israël ou par quiconque. Il ferme son livre avec cet appel:

    . . . Si vous êtes en mesure de lancer, qui que vous soyez, maintenant ou dans l'avenir, si vous êtes en mesure d'envoyer les codes de ciblage, s'il n'en tient qu'à vous, qui que vous soyez, mon exhortation est que «Rien ne justifie de suivre des ordres de génocide. N'envoyez pas ces codes, n'appuyez pas sur ce bouton. "


    ***Pour avoir la preuve que les Juifs (peu importe le nombre) n'ont jamais été gazés par Adolf Hitler, envoyez 10$ US pour recevoir le numéro spécial (100 pages) de la revue THE BARNES REVIEW entièrement consacrée à ce sujet. Assemblé par Michael Collins Piper du journal American Free Press, ce numéro “All-Holocaust” contient toutes les informations dont vous avez besoin pour comprendre que l'holocauste est le plus grand canular du 20e siècle. Envoyez votre requête et paiement à TBR, P.O. Box 15877, Washington, D.C. 20003.


    Article original (au cas où la traduction serait quelque peu boiteuse)

    New Book Says Zionists Ready to Start WWIII

    By Michael Collins Piper

    A disturbing new book, How the End Begins: The Road to a Nuclear World War III, makes it clear that a third world war, involving the likely use of nuclear weapons, may be instigated by Israel. Although the author, Jewish-American writer Ron Rosenbaum, believes there are a number of possible flashpoints for nuclear war, he places Israel among the foremost sources for such a conflagration.

    He foresees a “preemptive” strike by Israel, using either nuclear or conventional weapons, against some other nation, probably Iran, in order to prevent that nation from acquiring nuclear arms. This could set off a chain reaction resulting in the further use of nuclear weapons in the ensuing crisis, potentially involving the United States, Russia, Pakistan, India—the list goes on.

    In fact, Rosenbaum notes that in 2007 when Israel launched a military strike on a presumed Syrian nuclear installation, the London-based Spectator published a little-noticed article on Oct. 6 quoting a senior British official: “If people had known how close we came to World War III that day there’d have been mass panic. . . [and we] really would have been dealing with the bloody Book of Revelation and Armageddon.”

    Rosenbaum writes:

    . . . The fact that the hand of man finds itself recurrently, obsessively scripting fiery, self-immolating cataclysmic conclusions to the human saga may well be, at the very least, self-fulfilling prophecy. It may also say that deep down, we really are a species obsessed with its own self-destruction . . .

    This idea of “self-destruction” being deeply rooted is particularly chilling since Israel’s nuclear policy— from the beginning—has been based on the Samson Option, immortalized by Jewish-American Pulitzer Prize winner and critic of Israel Seymour Hersh in his book by that title.

    Like Samson of the Bible who brought the temple down upon himself and his enemies, the “Samson Option” is the concept that Israel would commit nuclear suicide and bring the rest of the world down with it if Israel’s leaders believed Israel was about to be conquered. This theme goes back to the much-heralded ancient Jewish legend of Masada—the purported “last stand” of Jewish warriors, who committed suicide in the face of a Roman onslaught.

    Although Israeli scholars have proven the Masada story to be largely a myth, the importance of the legend to modern Israel is such that newly anointed Israeli military officers are sworn into their posts proclaiming: “Masada shall never fall again.”

    According to Rosenbaum, the modern Israeli mind-set is deeply rooted in the fear of a “second Holocaust.” This concept, writes Rosenbaum, “is a phrase that has become a potential motive, if not a trigger, for the outbreak of World War III in the Middle East.” Rosenbaum says: “Israelis tell me that the use of the phrase ‘second Holocaust’ has become normalized there.”

    Rosenbaum suggests the Israelis believe the international conference on the Holocaust,* held in Tehran in 2006 by the Iranian government which this writer attended, was an incitement to genocide, a deliberate call, in effect, for a “second Holocaust,” and therefore provides some rationale for Israel to launch a “preemptive” strike against Iran to prevent a “second Holocaust.” No such topic was discussed at the conference.

    As for the morality of such an action, Rosenbaum cites Moshe Halbertal, a professor of ethics and the international law of war at both New York University Law School and the Hebrew University in Jerusalem, describing Halbertal as “one of the most widely respected thinkers on the moral and ethical dilemmas of modern warfare,” who has authored a code of ethics for the Israeli Defense Forces.

    Halbertal says that, in some cases, a preemptive nuclear strike can be “moral” although, in Rosenbaum’s assessment of his views, “retaliation after being struck by nuclear weapons cannot be.”

    Yet, while Halbertal believes Israel could have the right to launch a preemptive strike against Iran, Halbertal, according to the author, seems to be saying, “It’s going to happen whether I like it or not.”

    Rosenbaum concludes: “It’s almost a fatalistic admission that it will.”

    Rosenbaum concludes:

    All this will make it more likely that—sooner or later—Israel will unleash nuclear weapons [and] risk inaugurating World War III—to prevent what they perceive as an impending nuclear strike. Israel will not wait for the world to step in. They may not even wait to be sure their intelligence . . . is rock-solid certain. They can’t afford to take that chance. It is not something I advocate; it is something I foresee.


    Rosenbaum—who calls himself a “secular, liberal, nonobservant, non-Zionist, American-born Jew with no immediate family members murdered in the Holocaust”—rightly fears nuclear war, whether instigated by Israel or otherwise. He closes his book with this plea:

    . . . If you’re in a position to launch, whoever you are, now or in the future, if you’re in a position to send the targeting codes, if it’s up to you, whoever you are, my plea is “Nothing justifies following orders for genocide. Don’t send those codes, don’t twist those keys.”


    *For proof that Jews (in any number) were not gassed by Adolf Hitler, send $10 for a 100-page special issue of THE BARNES REVIEW magazine dedicated to the subject. Assembled by AFP’s Michael Collins Piper, this “All-Holocaust” issue has all the information you need to convince yourself that the Holocaust is the biggest hoax of the 20th century. Send request with payment to TBR, P.O. Box 15877, Washington, D.C. 20003.


    L'auteur de ce compte-rendu, Michael Collins Piper, est l'auteur d'un ouvrage portant sur l'arsenal nucléaire infernal d'Israël et la menace d'une guerre en Iran: The Golem: A World Held Hostage - Israel's Nuclear Hell Bomb
    #http://www.4shared.com/document/QmxV0LrC/Michael_Collins_Piper_-_The_Go.html
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    Message  Bardamu 12/4/2011, 08:03

    Article remarquable et en même temps terrifiant !

    Force est de constater que l'on est contraint, quand on essaye de comprendre cette question particulière du nucléaire israélien et de sa finalité, de flirter avec des allégations qui nous placent de fait sous le coup des lois liberticides.

    Étant donnés les enjeux en cours, comment ne pas être totalement terrifiés et révoltés par ce paradoxe démoniaque que nous impose la main mise de la diaspora juive sur le savoir et la liberté d'expression et de recherche historique, paradoxe qui consiste à savoir possible un holocauste nucléaire qui sera peut être initié et justifié par les initiateurs du plus gros mensonge de l'Histoire, mensonge dont ils se sont finalement convaincus eux-même et avec eux le reste de l'humanité qui paiera ainsi doublement le prix de sa soumission.

    La nouvelle religion universelle pue la Mort et ce dans des proportions qui dépassent l'entendement !!

    http://robertfaurisson.blogspot.com/2011/04/les-dix-commandements-de-la-religion-de.html


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    Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!! Empty Re: Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!!

    Message  Bardamu 5/4/2012, 11:25

    Günter Grass, prix Nobel de littérature : "Pourquoi ne dis-je que maintenant (...) que la puissance atomique d'Israël menace la paix mondiale déjà fragile ? Parce qu'il faut dire ce qui pourrait être trop tard demain".



    BERLIN (AFP) - Le prix Nobel de littérature allemand Günter Grass a publié mercredi un poème dans lequel il défend l'Iran et estime qu'Israël, avec ses armes atomiques, "menace la paix mondiale déjà si fragile".

    Nucléaire isrélien: "danger et urgence"!!! Arsenalnucleaireisrael

    Intitulé "Ce qui doit être dit", le poème en prose paru dans le journal allemand Süddeutsche Zeitung dénonce d'éventuelles frappes préventives israéliennes contre des installations nucléaires iraniennes comme un projet qui pourrait mener à "l'éradication du peuple iranien parce que l'on soupçonne ses dirigeants de construire une bombe atomique".

    Dans le même temps, il y a "cet autre pays, qui dispose depuis des années d'un arsenal nucléaire croissant - même s'il est maintenu secret -, et sans contrôle, puisque aucune vérification n'est permise", poursuit le Nobel de littérature 1999, en visant Israël sans le nommer au début de son texte.

    Grass dénonce "le silence généralisé sur ce fait établi" - qu'il qualifie de "mensonge pesant" -, parce que "le verdict d'antisémitisme tombera automatiquement" sur qui le rompra.

    "Pourquoi ne dis-je que maintenant (...) que la puissance atomique d'Israël menace la paix mondiale déjà fragile ? Parce qu'il faut dire ce qui pourrait être trop tard demain", explique l'auteur.

    "Je ne me tairai plus, parce que j'en ai assez de l'hypocrisie de l'Occident" vis-à-vis d'Israël qui est le vrai "responsable de cette menace", selon Grass.

    Il demande également "un contrôle sans obstacle et permanent de l'arsenal atomique israélien et du programme nucléaire iranien par une instance internationale reconnue par les deux gouvernements".

    Ce poème a déjà valu à Günter Grass une réponse d'Henryk Broder, éditorialiste et polémiste. Il juge dans le quotidien Die Welt que "Grass a toujours eu un problème avec les Juifs, mais il ne l'avait jamais aussi clairement exprimé que dans ce poème".
    Pour Broder, Grass est "l'archétype de l'érudit antisémite", de l'Allemand qui, "poursuivit par la honte et le remord", ne trouvera "la paix de l'âme" qu'avec la disparition d'Israël.
    En 2006, Günter Grass, connu pour ses positions de gauche, avait reconnu avoir fait partie des Waffen SS dans sa jeunesse, lui qui renvoyait souvent l'Allemagne à son passé nazi.
    Le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Seibert a refusé de commenter le texte, au nom de la "liberté de création".
    © 2012 AFP



    "Ce qui doit être dit"
    mercredi 4 avril 2012, par Günter Grass

    Pourquoi je ne dis pas
    pourquoi ai-je tu pendant trop longtemps
    ce qui est pourtant évident
    et a fait l'objet de tant de simulations
    dans lesquelles nous, les survivants,
    sommes au mieux des notes de bas de page.
    On évoque le droit à une frappe préventive,
    l'éradication du peuple iranien soumis,
    tenu à une liesse sans joie par un fort en gueule,
    sous prétexte que ce potentat construirait une bombe atomique.
    Mais alors, pourquoi m'interdis-je
    de nommer cet autre pays
    qui dispose depuis des années,
    certes dans le plus grand secret,
    d'un potentiel nucléaire croissant
    et échappant à tout contrôle,
    puisque aucun contrôle n'est permis ?
    Le silence général autour de ce fait établi,
    ce silence auquel j'ai moi-même souscrit,
    je le ressens comme un mensonge pesant,
    une règle que l'on ne peut rompre
    qu'au risque d'une peine lourde et infamante :
    le verdict d'antisémitisme est assez courant.
    Mais aujourd'hui, alors que mon pays
    coupable de crimes sans commune mesure,
    pour lesquels il doit rendre des comptes encore et encore,
    mon pays donc, dans un geste purement commercial,
    certains parlent un peu vite de réparation,
    s'en va livrer un nouveau sous-marin à Israël,
    un engin dont la spécialité est d'envoyer
    des ogives capables de détruire toute vie
    là où l'existence de ne serait-ce qu'une seule
    bombe nucléaire n'est pas prouvée,
    mais où le soupçon tient lieu de preuve,
    je dis ce qui doit être dit.
    Pourquoi me suis-je tu aussi longtemps ?
    Parce que je croyais que mes origines,
    entachées par des crimes à jamais impardonnables,
    m'interdisaient d'exprimer cette vérité,
    d'oser reprocher ce fait à Israël,
    un pays dont je suis et veux rester l'ami.
    Pourquoi ne dis-je que maintenant,
    vieux, dans un ultime soupir de mon stylo,
    que la puissance nucléaire d'Israël
    menace la paix mondiale déjà fragile ?
    Parce qu'il faut dire maintenant
    ce qui pourrait être trop tard demain,
    et parce que nous, Allemands, avec le poids de notre passé,
    pourrions devenir les complices d'une crime,
    prévisible et donc impossible
    à justifier avec les excuses habituelles.
    Pourquoi je ne dis pas
    pourquoi ai-je tu pendant trop longtemps
    ce qui est pourtant évident
    et a fait l'objet de tant de simulations
    dans lesquelles nous, les survivants,
    sommes au mieux des notes de bas de page.
    On évoque le droit à une frappe préventive,
    l'éradication du peuple iranien soumis,
    tenu à une liesse sans joie par un fort en gueule,
    sous prétexte que ce potentat construirait une bombe atomique.
    Mais alors, pourquoi m'interdis-je
    de nommer cet autre pays
    qui dispose depuis des années,
    certes dans le plus grand secret,
    d'un potentiel nucléaire croissant
    et échappant à tout contrôle,
    puisque aucun contrôle n'est permis ?
    Le silence général autour de ce fait établi,
    ce silence auquel j'ai moi-même souscrit,
    je le ressens comme un mensonge pesant,
    une règle que l'on ne peut rompre
    qu'au risque d'une peine lourde et infâmante :
    le verdict d'antisémitisme est assez courant.
    Mais aujourd'hui, alors que mon pays
    coupable de crimes sans commune mesure,
    pour lesquels il doit rendre des comptes encore et encore,
    mon pays donc, dans un geste purement commercial,
    certains parlent un peu vite de réparation,
    s'en va livrer un nouveau sous-marin à Israël,
    un engin dont la spécialité est d'envoyer
    des ogives capables de détruire toute vie
    là où l'existence de ne serait-ce qu'une seule
    bombe nucléaire n'est pas prouvée,
    mais où le soupçon tient lieu de preuve,
    je dis ce qui doit être dit.
    Pourquoi me suis-je tu aussi longtemps ?
    Parce que je croyais que mes origines,
    entachées par des crimes à jamais impardonnables,
    m'interdisaient d'exprimer cette vérité,
    d'oser reprocher ce fait à Israël,
    un pays dont je suis et veux rester l'ami.
    Pourquoi ne dis-je que maintenant,
    vieux, dans un ultime soupir de mon stylo,
    que la puissance nucléaire d'Israël
    menace la paix mondiale déjà fragile ?
    Parce qu'il faut dire maintenant
    ce qui pourrait être trop tard demain,
    et parce que nous, Allemands, avec le poids de notre passé,
    pourrions devenir les complices d'une crime,
    prévisible et donc impossible
    à justifier avec les excuses habituelles.
    Je dois l'admettre aussi, je ne me tairai plus
    parce que j'en ai assez de l'hypocrisie de l'Occident
    et j'espère que nombreux seront ceux
    prêts à se libérer des chaînes du silence,
    pour appeler l'auteur d'une menace évidente
    à renoncer à la violence tout en exigeant
    un contrôle permanent et sans entraves
    du potentiel atomique israélien
    et des installations nucléaires iraniennes
    par une instance internationale
    acceptée par les deux gouvernements.
    Ce n'est qu'ainsi que pourrons aider
    les Israéliens et les Palestiniens,
    mieux encore, tous les peuples,
    frères ennemis vivant côte à côte
    dans cette région guettée par la folie meurtrière,
    et en fin de compte nous-mêmes.
    Je dois l'admettre aussi, je ne me tairai plus
    parce que j'en ai assez de l'hypocrisie de l'Occident
    et j'espère que nombreux seront ceux
    prêts à se libérer des chaînes du silence,
    pour appeler l'auteur d'une menace évidente
    à renoncer à la violence tout en exigeant
    un contrôle permanent et sans entraves
    du potentiel atomique israélien
    et des installations nucléaires iraniennes
    par une instance internationale
    acceptée par les deux gouvernements.
    Ce n'est qu'ainsi que pourrons aider
    les Israéliens et les Palestiniens,
    mieux encore, tous les peuples,
    frères ennemis vivant côte à côte
    dans cette région guettée par la folie meurtrière,
    et en fin de compte nous-mêmes.


    (Source Süddeutsche Zeitung)
    Traduction Michel Klepp

    http://blanrue.blogspot.fr/2012/04/gunter-grass-prix-nobel-de-litterature.html


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