ETATS-UNIS : Quand HENRY FORD inspirait ADOLF HITLER
source : http://lepetitblanquiste.blogs.letelegramme.com/archive/2008/10/24/l-industriel-americain-henry-ford-inspirateur-de-hitler.html
En Occident, où on excelle à infantiliser l'opinion, la mémoire de Henry Ford est essentiellement liée à la légende édifiante du grand industriel moderne promoteur de la voiture fabriquée en grande série et vendue bon marché.
Le fait que Henry Ford ait été un virulent antisémite au point qu'Hitler lui-même admira ses écrits et sa personne, a été largement occulté tant aux Etats-Unis que dans nos contrées.
Traduit dès 1921 en allemand, l’ouvrage antisémite de HENRY FORD, "Der Internationale Jude" (Le Juif international), a été l’une des principales sources d'inspiration des nazis.
Dès décembre 1922, un journaliste du New York Times rapporte que « le mur situé derrière la table de Hitler, dans son bureau privé, est décoré d’un large tableau représentant Henry Ford » et que dans l’antichambre, une table est couverte d’exemplaires de "Der Internationale Jude".
En février 1923, un autre article du même journal publie les déclarations du vice-président de la Diète bavaroise qui accuse ouvertement Ford de financer Hitler, parce qu’il est favorable à son programme prévoyant l’« extermination des Juifs en Allemagne ».
Enfin, le 8 mars 1923, dans une interview au Chicago Tribune, Hitler lui-même déclare : « Nous considérons Heinrich Ford comme le leader du mouvement fascisti croissant en Amérique. (...) Nous admirons particulièrement sa politique antijuive, qui est celle de la plate-forme des fascisti bavarois ».
Dans "Mein Kampf", les idées de "Der Internationale Jude" sont omniprésentes et certains passages en sont extraits presque littéralement, notamment en ce qui concerne le rôle des "conspirateurs juifs" dans les révolutions en Allemagne et en Russie.
Quand en 1933 le parti nazi parvient au pouvoir, le gérant de la filiale allemande de Ford raconte que "Der Internationale Jude" était utilisé par le nouveau gouvernement pour éduquer la nation allemande dans la compréhension de la "question juive".
En 1938, Hitler fait attribuer à Henry Ford la "grande croix de l’ordre suprême de l’aigle allemand" (une croix de Malte entourée de svastikas), distinction créée en 1937 pour honorer de grandes personnalités étrangères.
Il existe des centaines, voire plusieurs milliers de livres, susceptibles de
nous aider à mieux comprendre ce monde complexe dans lequel nous
vivons. Mais il n’en existe qu’une poignée capable de nous éclairer avec la
pertinence et la lucidité du Juif International. Ici, point de doctes
circonlocutions académiques, ni de fumeuses théories humanitaires :
l’auteur est un homme avisé, riche et puissant, en mesure de dire sans
détours ce qu’il sait et ce qu’il pense. De par sa vaste expérience des
affaires et des choses de la vie, Henry Ford savait de quoi il parlait. C’est
pourquoi son discours a déplu à un certain lobby ultra-minoritaire. Ce qui
est arrivé à Henry Ford, et ce qui s’est passé par la suite tout au long du XXe
siècle, n’ont fait que confirmer ses dires. Obligé après un rude combat de
se rétracter publiquement pour sauver du chômage ses dizaines de milliers
d’employés, suite au boycott de sa production, Henry Ford aurait pu dire,
comme Galilée : « Et pourtant, ce monde tourne bien dans le sens que j’ai
indiqué ». A l’heure où la police de la pensée s’impose partout, Henry Ford
nous rappelle que le « politiquement correct » n’est pas un phénomène
nouveau. Le Juif International n’avait jamais été traduit en français : près de
huitante ans après la parution de son livre-clé, les dérives totalitaires qui
frappent nos sociétés nous confirment la pertinence des avertissements
que Henry Ford prodiguaient alors.
Traduction partiel (helas) en Français (123 pages) :
http://www.the-savoisien.com/livres/Ford%20Henry%20-%20Le%20juif%20international.pdf
Version integrale en allemand (553 pages) :
http://uuurgh.net/FORDjuifinter/FORDinterjud.pdf
En anglais :
http://www.tworca.org/InternationalJew.pdf
source : http://lepetitblanquiste.blogs.letelegramme.com/archive/2008/10/24/l-industriel-americain-henry-ford-inspirateur-de-hitler.html
En Occident, où on excelle à infantiliser l'opinion, la mémoire de Henry Ford est essentiellement liée à la légende édifiante du grand industriel moderne promoteur de la voiture fabriquée en grande série et vendue bon marché.
Le fait que Henry Ford ait été un virulent antisémite au point qu'Hitler lui-même admira ses écrits et sa personne, a été largement occulté tant aux Etats-Unis que dans nos contrées.
Traduit dès 1921 en allemand, l’ouvrage antisémite de HENRY FORD, "Der Internationale Jude" (Le Juif international), a été l’une des principales sources d'inspiration des nazis.
Dès décembre 1922, un journaliste du New York Times rapporte que « le mur situé derrière la table de Hitler, dans son bureau privé, est décoré d’un large tableau représentant Henry Ford » et que dans l’antichambre, une table est couverte d’exemplaires de "Der Internationale Jude".
En février 1923, un autre article du même journal publie les déclarations du vice-président de la Diète bavaroise qui accuse ouvertement Ford de financer Hitler, parce qu’il est favorable à son programme prévoyant l’« extermination des Juifs en Allemagne ».
Enfin, le 8 mars 1923, dans une interview au Chicago Tribune, Hitler lui-même déclare : « Nous considérons Heinrich Ford comme le leader du mouvement fascisti croissant en Amérique. (...) Nous admirons particulièrement sa politique antijuive, qui est celle de la plate-forme des fascisti bavarois ».
Dans "Mein Kampf", les idées de "Der Internationale Jude" sont omniprésentes et certains passages en sont extraits presque littéralement, notamment en ce qui concerne le rôle des "conspirateurs juifs" dans les révolutions en Allemagne et en Russie.
Quand en 1933 le parti nazi parvient au pouvoir, le gérant de la filiale allemande de Ford raconte que "Der Internationale Jude" était utilisé par le nouveau gouvernement pour éduquer la nation allemande dans la compréhension de la "question juive".
En 1938, Hitler fait attribuer à Henry Ford la "grande croix de l’ordre suprême de l’aigle allemand" (une croix de Malte entourée de svastikas), distinction créée en 1937 pour honorer de grandes personnalités étrangères.
Il existe des centaines, voire plusieurs milliers de livres, susceptibles de
nous aider à mieux comprendre ce monde complexe dans lequel nous
vivons. Mais il n’en existe qu’une poignée capable de nous éclairer avec la
pertinence et la lucidité du Juif International. Ici, point de doctes
circonlocutions académiques, ni de fumeuses théories humanitaires :
l’auteur est un homme avisé, riche et puissant, en mesure de dire sans
détours ce qu’il sait et ce qu’il pense. De par sa vaste expérience des
affaires et des choses de la vie, Henry Ford savait de quoi il parlait. C’est
pourquoi son discours a déplu à un certain lobby ultra-minoritaire. Ce qui
est arrivé à Henry Ford, et ce qui s’est passé par la suite tout au long du XXe
siècle, n’ont fait que confirmer ses dires. Obligé après un rude combat de
se rétracter publiquement pour sauver du chômage ses dizaines de milliers
d’employés, suite au boycott de sa production, Henry Ford aurait pu dire,
comme Galilée : « Et pourtant, ce monde tourne bien dans le sens que j’ai
indiqué ». A l’heure où la police de la pensée s’impose partout, Henry Ford
nous rappelle que le « politiquement correct » n’est pas un phénomène
nouveau. Le Juif International n’avait jamais été traduit en français : près de
huitante ans après la parution de son livre-clé, les dérives totalitaires qui
frappent nos sociétés nous confirment la pertinence des avertissements
que Henry Ford prodiguaient alors.
Traduction partiel (helas) en Français (123 pages) :
http://www.the-savoisien.com/livres/Ford%20Henry%20-%20Le%20juif%20international.pdf
Version integrale en allemand (553 pages) :
http://uuurgh.net/FORDjuifinter/FORDinterjud.pdf
En anglais :
http://www.tworca.org/InternationalJew.pdf