Le 5 mars entrera comme une date historique dans l’histoire du XXIe siècle, celle du début de la plus grande hyperinflation des temps modernes.
Car ce jour, pour la première fois depuis sa longue existence de 315 ans, la Banque d’Angleterre, par la voix de son gouverneur Mervyn King et du Chancelier de l’échiquier Alistair Darling, a annoncé qu’elle mettait en route la planche à billets. Il s’agit d’imprimer 75 milliards de livres (environ 85 milliards d’euros), première tranche d’un total de 150 milliards de livres. Après avoir baissé son taux à 0,5%, le gouvernement Britannique estime qu’il s’agit de l’arme ultime capable d’empêcher que l’économie britannique sombre dans une grande dépression ou « souffre » d’un « excès de déflation ». En réalité, l’argent fraîchement imprimé servira à racheter des emprunts d’Etat et des obligations d’entreprise, en bref, à colmater les brèches d’un système bancaire agonisant.
Cependant, même en Angleterre, personne n’est assez niais pour ne pas y voir le spectre menaçant de la grande crise hyperinflationniste de l’Allemagne de Weimar ou celle qui a ruiné plus récemment le Zimbabwe. Un éditorialiste du Telegraph note que « créer de l’argent, après tout, est une illusion – et, en temps normaux, conduit à une hyperinflation du type Zimbabwe ». [...] Source: Solidarité et Progrès
L'hyperinflation sera mondiale cette fois. Au lieu d'éliminer les actifs pourris, on fait marcher les planches à billets, ce qui a pour effet de détruire le pouvoir d'achats et les économies de la population. Nous allons donc payer la note, comme d'habitude, pendant que l'oligarchie financière s'accapare les ressources et les moyens de production, de façon à largement dominer le système prochain.
Car ce jour, pour la première fois depuis sa longue existence de 315 ans, la Banque d’Angleterre, par la voix de son gouverneur Mervyn King et du Chancelier de l’échiquier Alistair Darling, a annoncé qu’elle mettait en route la planche à billets. Il s’agit d’imprimer 75 milliards de livres (environ 85 milliards d’euros), première tranche d’un total de 150 milliards de livres. Après avoir baissé son taux à 0,5%, le gouvernement Britannique estime qu’il s’agit de l’arme ultime capable d’empêcher que l’économie britannique sombre dans une grande dépression ou « souffre » d’un « excès de déflation ». En réalité, l’argent fraîchement imprimé servira à racheter des emprunts d’Etat et des obligations d’entreprise, en bref, à colmater les brèches d’un système bancaire agonisant.
Cependant, même en Angleterre, personne n’est assez niais pour ne pas y voir le spectre menaçant de la grande crise hyperinflationniste de l’Allemagne de Weimar ou celle qui a ruiné plus récemment le Zimbabwe. Un éditorialiste du Telegraph note que « créer de l’argent, après tout, est une illusion – et, en temps normaux, conduit à une hyperinflation du type Zimbabwe ». [...] Source: Solidarité et Progrès
L'hyperinflation sera mondiale cette fois. Au lieu d'éliminer les actifs pourris, on fait marcher les planches à billets, ce qui a pour effet de détruire le pouvoir d'achats et les économies de la population. Nous allons donc payer la note, comme d'habitude, pendant que l'oligarchie financière s'accapare les ressources et les moyens de production, de façon à largement dominer le système prochain.