La santé vers l'immortalité:
5 participants
conférence Ghislaine Lanctôt.
nex- Modérateur
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- Message n°1
conférence Ghislaine Lanctôt.
nex- Modérateur
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Date d'inscription : 23/08/2008
- Message n°2
Re: conférence Ghislaine Lanctôt.
"TRANSFERT DE POUVOIR" avec Ghislaine Lanctôt
La suite...
https://www.dailymotion.com/user/agriselin/video/x8d5q7?hmz=707265766e657874
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https://www.dailymotion.com/user/agriselin/video/x8d5q7?hmz=707265766e657874
Un autre bâton- Nombre de messages : 27
Age : 37
Localisation : Hénin-Beaumont
Date d'inscription : 19/05/2009
- Message n°3
merci
tres bonne conférence :p j'aime bien les images qu'elles donnent, faciles à comprendre et donc pour tous ... arreter d'etre un mouton peureux qui donne sa laine, arreter d'etre un mouton tout court, simple et pourtant si profond si compréhension faite
Ps: j'avais pas grillé l'avatar Nex... il est sublime cette brebis n'a meme pas peur d'un lion, c'est dire si la peur est quelque chose qui se controle en soi
Ps: j'avais pas grillé l'avatar Nex... il est sublime cette brebis n'a meme pas peur d'un lion, c'est dire si la peur est quelque chose qui se controle en soi
KYRHA- Nombre de messages : 23
Date d'inscription : 21/05/2009
- Message n°4
Re: conférence Ghislaine Lanctôt.
Cette dame est excellente, elle a écrit des livres qui ont plus de 20 ans et qui traitaient avec grande précision déjà à l'époque de toutes ces folies dont on entend parler aujourd'hui.
indiscretion- Nombre de messages : 404
Age : 44
Date d'inscription : 01/05/2008
- Message n°5
conférence Ghislaine Lanctôt.
Salut les amis!
Lors de mes 2 mois d'éloignement de ce forum (mon dieu le retard accumulé ) j'ai pu voir le premier mais pas le transfert.
Très intéressant en tout cas nex. Je me permets de mettre le lien sur youtube étant donné la liberté de parole sur cette prison en forme de globe...
Lors de mes 2 mois d'éloignement de ce forum (mon dieu le retard accumulé ) j'ai pu voir le premier mais pas le transfert.
Très intéressant en tout cas nex. Je me permets de mettre le lien sur youtube étant donné la liberté de parole sur cette prison en forme de globe...
nex- Modérateur
- Nombre de messages : 3187
Date d'inscription : 23/08/2008
- Message n°6
Re: conférence Ghislaine Lanctôt.
Claude Castonguay, "le père de l'assurance maladie" Québecquoise
CLAUDE CASTONGUAY... TON NOM A SA PLACE DANS UN FORUM COMME CELUI-CI !!!
CLAUDE CASTONGUAY DEGENERE ! ORDO AB CHAO ADDICT !!
http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=385
CLAUDE CASTONGUAY... TON NOM A SA PLACE DANS UN FORUM COMME CELUI-CI !!!
CLAUDE CASTONGUAY DEGENERE ! ORDO AB CHAO ADDICT !!
http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=385
nex- Modérateur
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Date d'inscription : 23/08/2008
- Message n°7
Re: conférence Ghislaine Lanctôt.
Entrevue avec Mme Ghis:
____________De La mafia médicale 1994 à La mafia médicale 2002?par http://www.alternativesante.com
Je n’avais jamais rencontré Guylaine LANCTÔT. Pour se rendre chez cette femme médecin qui ne pratique plus suite à ses démêlés avec le Collège des médecins, j’ai suivi un chemin qui ressemblait, ma foi, aux routes empruntées par les diligences dans les western de mon enfance. Des bosses et des trous des deux côtés de cette route de campagne. Pas d’apaches par contre. J’arrive et je suis ravi.
L’endroit est beau sous le soleil de mai. Un instant de bonheur comme ça arrive des fois quand on ne s’y attend pas. La grande maison blanche regarde un petit lac privé où une mère et son enfant jouait ce jour là. Une femme me rejoint à mon auto et me demande qui je viens voir. Je ne savais pas à ce moment que notre rencontre avait été annulée la veille puisque que comme à l’habitude, je n’avais pas écouté mes messages. J’attends près du lac en me disant non ça ne se peut pas. Je ne me suis pas tapé cette randonnée pour rien. Alors je vois ce petit bout de femme venir vers moi. Elle est radieuse et dégage un fort magnétisme. Près de moi elle est encore plus petite mais quel sourire. Elle accepte avec joie que nous nous rencontrions quand même. À la fin de l’entrevue j’ai visité son atelier et je me suis procuré de son excellent sirop d’érable que je déguste à chaque semaine depuis. Merci Guylaine. Voici le résumé de mon entretien.
N.D. : Si le premier livre, la Mafia médicale, était à refaire, referiez-vous les choses de même manière ??
G.L. : Eh bien, je l’ai refait, et c’est exactement le même livre. La question tombe bien ! Je l’ai refait en 2002. Les informations sont cependant plus d’actualité que jamais. J’ai mis plus d’emphase sur la privatisation, les monopoles. La population ne réalise pas que la privatisation = monopole privé. Étatisation = monopole public. Et pour passer de ce qui appartient aux gens (tout le monde) et l’amener en privé, il faut passer par un monopole public. La seule raison d’être de l’assurance maladie, c’était de créer le monopole public pour ensuite le transformer en monopole privé.
Le but de tout, c’est les monopoles privés. Mais si tu le dis à la population on s’occupe de votre santé et on met ça dans les mains d’un monopole privé, les gens ne voudront pas. On dit qu'on s’occupe de votre santé, on ne mentionne jamais le mot « monopole » on utilise plutôt le mot « étatisation ». Étatisation = monopole public. Privatisation = monopole privé. J’ai mis plus d’emphase dans mon livre à ce sujet.
De plus, en 1970, l’assurance maladie n’a été faite que pour ça. Ce qui est intéressant, c’est que tout a été fait en fonction d’aboutir à un monopole privé. On y arrive. Qui en a été l’initiateur en 1970 : Castonguay (vous rappelez-vous de la Castonguette?). L’assurance maladie est l’œuvre de Castonguay qui a fait l’assurance médicaments il y a de cela 3 ans et qui était chef du Groupe de l’assurance médicaments, il était le chef de l’équipe qui mettait le projet en place. Qui était aux côtés de Mario Dumont et qui disait il faut privatiser la médecine
C’est Claude Castonguay, financier, banquier, assureur, des assurances Laurentienne. La Banque et les assurances Laurentienne.
Donc, rien n’est dû au hasard et c’était un plan à long terme. Si les gens n’ont pas compris ce qui se passait avec la Mafia médicale, ils ne comprendront pas mon dernier livre non plus. Ce qui est important de comprendre, c’est que c’est l’OMS qui mène. Par exemple, prenons la pneumonie, l’OMS peut faire fermer une ville comme Toronto ou Pékin, elle peut condamner la Chine. La pneumonie atypique n’existe pas, c’est un mensonge. C’est un syndrome, comme le sida. Dans mon livre, on peut substituer les deux mots.
N.D. : Pensez-vous que ce pourrait être relié à un stress ? ?
G.L. : La seule chose qui rend malade et qui fait mourir, c’est la peur. Un article de l’OMS avait pour titre récemment : La peur à tout prix. C’est aussi le slogan d’un laboratoire pour vendre des vaccins et qui a été repris, mot à mot, par l’OMS. Ils font peur aux gens, de n’importe quelle façon. L’OMS a même recommandé de dramatiser, de faire peur avec la maladie pour vendre et engranger les profits financiers générés par les vaccinations massives. C’est une campagne de peur, de toutes pièces. Les assurances sont aussi basées sur la peur : si on n’a pas peur, on n’achète pas d’assurance.
Avec l’assurance maladie, tu paies pour avoir peur d’être malade. C’est également basé sur la déresponsabilisation. Comment peux-tu déresponsabiliser quelqu’un ?
En déresponsabilisant ceux qui ne sont personne. Il faut que tu agisses en créateur. Personnellement, je suis consciente du fait que je sois créatrice, alors je ne prends pas d’assurance.
N.D. : Et d’après vous Mme LANCTÔT, tout le monde est-il créateur
G.L. : Certainement. Par contre, en sommes-nous conscients ? Je crée à ma ressemblance. Si je me prends pour un pauvre mouton, victime, impuissante et plus, je crée une société à mon image et à ma ressemblance… de pauvre mouton.
Dans mon nouveau livre, j’ai mis plus d’emphase sur l’étatisation et la privatisation. Encore plus intéressant dans le livre, c’est l’épilogue. J’ai rajouté un épilogue, et ça, c’est nouveau. Le reste du livre reste le même, je garde mes positions. J’aimerais dire aux gens, n’achetez plus mon livre, il n’est plus d’actualité, mais malheureusement, il l’est toujours, et même encore plus. La mafia médicale est plus puissante que jamais. J’explique qui contrôle, qui est l’OMS. C’est la finance qui contrôle le monde. L’argent. On le sait tous, mais on ne sait pas exactement comment puisque ça n’a jamais été expliqué. L’argent mène le monde, donc l’argent mène la santé. Si c’était Rockfeller qui donnait les ordres pour les vaccinations, ça ne fonctionnerait pas, alors ça prend absolument un « cover up ». Ça prend une scène de théâtre. On appelle cette scène la scène politique. Autrement dit, le spectateur, le citoyen, ne voit que les marionnettes. Il ne sait pas qui tire les ficelles. J’ai exposé les marionnettistes, j’ai joué avec les ficelles dans Mafia Médicale, mais ce n’est pas encore dans la conscience des gens. Tout ce qui est politique n’est donc qu’illusoire, ça n’existe pas. La politique existe au niveau mondial (par l’ONU). Ils donnent des ordres, soi-disant, sous le couvert américain. On dit que les États-Unis gouvernent le monde. D’accord. Mais qui gouverne les États-Unis?
Il faut toujours remonter au créateur. Qui est là, en bout de ligne? La source, peu importe le nom. Je veux parler au patron, comme lorsque je ne suis pas satisfaite lorsque je mange au restaurant.
ND : Qui crée ce qui se passe au Canada ?
G.L. : En médecine, j’ai pu remonter jusqu’au patron, c’est mon domaine. Et le patron du système médical, c’est Rockfeller, les banquiers, qui se cachent tous derrière des marionnettes, qui sont les politiciens. L’ONU tire les ficelles, les financiers tirent les ficelles de l’ONU et le ministère de la santé de l’ONU s’appelle l’OMS. L’OMS tire les ficelles des tous les systèmes de santé du monde entier.
Tout est contrôlé par les financiers. Tout est très clairement expliqué dans la Mafia Médicale. Et justement, le but premier de l’écriture de cet ouvrage était d’expliquer le fonctionnement du système de santé. Il n’y a que 5 joueurs. Le système de santé est bien décrit sur 2 pages. Le tout est très facile à comprendre. Il s’agit de se conscientiser.
N.D. : Les gens ne le comprennent pas par contre, lorsqu’ils visitent leur médecin
G.L. : Non, les gens doivent comprendre que le médecin est un vendeur de pilules, de chirurgies et de tests à la solde des financiers.
Jamais un journaliste m’a demandé ce que je proposais comme solution. Jamais mes solutions n’ont été proposées, elles ont causé un tel choc. Pourtant, la réponse prend à peu près 1/3 de tout l’ouvrage. L’épilogue, c’est un regard différent. La solution est la souveraineté individuelle, donc de prendre conscience que le pouvoir ultime appartient à l’individu, le malade. Le pouvoir ultime, le pouvoir souverain, si on en prend conscience, s’arrête là. Il n’y a que Dieu, la Source, peu importe le nom qu’on lui donne, qui est au-dessus de nous. On est donc divins.
La majorité des gens ne pensent pas qu’ils sont créateurs, ils ne pensent pas qu’ils sont divins et ils ne prennent pas conscience de leur pouvoir souverain. Ils le laissent donc aux autres. Si quelqu’un nous frappe avec son automobile, ce n’est pas notre faute, nous en sommes la victime. Il y a deux choix : la victime ou le créateur. Moi, je suis consciente que suis créatrice. Si quelqu’un me frappe, l’autre personne n’est pas coupable, je suis l’unique créatrice, l’unique garante de tout ce qui m’arrive. Donc je suis créatrice de ma santé, de ma maladie et de ma guérison.
Prenons l’exemple de la pneumonie atypique : c’est un virus. Donc, ce virus est en dehors de moi, il ne m’atteint pas. Si je fais une pneumonie, c’est ma création. Un point c’est tout, et je suis la seule qui puisse me guérir. Et si je meurs, je me serai laisser mourir. Et ce n’est pas grave de mourir.
Mon corps n’est qu’une manifestation de qui je suis. Je suis un être divin donc éternelle et immortelle. Et si je crois que je suis immortelle, je ne mourrai pas.
Dans mon livre Que diable suis-je venue faire sur cette terre ?, j’explique comment vivre en personne souveraine au quotidien. Je développe la solution.
N.D. : Voyez-vous la ménopause comme une phase de vie ou une maladie qui devrait être soignée ?
G.L. : Je ne vois rien de ça. Je dois devenir consciente de qui je suis : une créatrice et non une reproductrice. Quand on arrête de se prendre pour des reproductrices, on devient créatrice. Notre biologie est la même que celle des animaux puisque nous sommes dans une conscience animale. Nous avons donc des organes de reproduction. Lorsque je serai dans la conscience créatrice, je me manifesterai dans un corps où il n’y aura pas d’organes de reproduction. On crée à partir de rien, on ne reproduit pas. Si en tant qu’artiste je crée une toile, c’est l’original. Si je reproduis, je fais des copies.
Nous avons un corps pour que celui-ci nous guide. Il nous fait voir les parties malades de notre âme que nous ne voyons pas. La maladie physique est la manifestation de la maladie de l’âme tel que je l’expliquais déjà dans mon livre. Ce n’est pas le corps qui est malade mais plutôt l’âme. Le corps sert donc de miroir pour l’âme qu’on ne voit pas.
L’homme est présentement dans une phase d’évolution vers le divin. Nous sommes en fin d’évolution de l’humanité. Comme si nous faisions un bond en avant de notre conscience, comme autrefois celui du singe à l’homme. Nous sommes dans une voie d’autodestruction et l’humanité tire à sa fin.
N.D. : L’humanité telle qu’on la conçoit ?
G.L. : L’Humanité a toujours été semblable mais la conscience humaine elle, évolue. Ce n’est pas la survie de l’espèce qui est importante quand on évolue vers un plan divin. Quand je passe à la conscience divine, je deviens éternelle, pourquoi aurais-je le souci de la survie de l’espèce qui est une préoccupation plutôt de l’inconscience de mon immortalité ? ??
N.D. : Les parents peuvent-ils enseigner aux enfants à se défendre contre ces peurs qu’on tente de nous inculquer ?
G.L. : Non. Les dirigeants n’ont pas à nous inculquer des peurs, nous les avons en nous. Ils les nourrissent et les font vibrer. Mais si tu n’as pas peur, je ne peux pas te faire peur. Les parents aussi, alors ils ne peuvent certainement pas aider leurs enfants avec ça. Tout le monde vit dans la peur. La sécurité à tout prix et elle a un prix, avec les assurances qui assurent la sécurité !
N.D. : Pensez-vous que la sédentarité a joué un rôle dans l’insécurité dont souffre l’homme moderne en comparaison avec l’homme d’autrefois qui devait se déplacer souvent pour survivre ?
G.L. : Les facteurs extérieurs n’y sont pour rien. C’est le degré de conscience qui détermine mon état de santé. Plus je monte en conscience plus j’améliore ma santé.
Comme sur cette image qui représente le monde de la matière et le monde de l’esprit. L’esprit est dans l’esprit créateur et la matière est dans la création de l’esprit créateur. C’est l’arbre rouge qui crée l’autre arbre rouge. Si l’arbre était malade il refléterait un arbre malade.
La médecine scientifique, tout comme les médecines alternatives (même si elles sont moins agressives) traitent l’illusion. Je demeure d’opinion que la maladie n’est pas dans le corps mais dans l’âme. Tout ce qui est médecine ne traite que les corps : physique, mental ou spirituel et cela demeure le corps.
N.D. : La spiritualité actuelle est donc une illusion ?
G.L. : Oui. La spiritualité est représentée par les religions douces. Dans un tableau de la Mafia médicale, j’expliquais l’importance pour une personne d’être consciente de son pouvoir créateur. Sinon, ton rôle est celui de mouton, un emblème représentant la pauvre créature non créatrice. L’impuissance et l’obéissance aux ordres par la peur. Les dirigeants nous font peur et nous sommes tous comme des moutons vivant dans une grande illusion. Nous avons oublié qui nous étions. Des esprits créateurs. L’Humanité tout entière est maintenant rendue à prendre conscience de cette réalité. Il n’y a rien d’autre à comprendre. Je suis la créature ET la créatrice. Dans mon image, le mouton ne sachant pas qu’il a l’esprit créateur, l’expérience du bien-être passe donc par le ‘’Bon Pasteur’’ et si quelque chose de mauvais arrive, c’est alors la faute du méchant loup. Tout vient de l’extérieur jamais de l’intérieur du mouton. Voilà la pièce de théâtre qui se joue. L’éternel triangle; Victime bourreau sauveur.
La prise de conscience que nous devons faire c’est que la fonction du bon pasteur c’est de tondre les moutons et quand ils ne produisent plus de les conduire à l’abattoir. Tout notre système est basé là-dessus. L’assurance maladie c’est le Sauveur, donc de nous tondre et de nous conduire à l’abattoir. Les assurances automobiles et médicaments sont faites pour ça, nous tondre. Quand le mouton n’est pas content il rouspète pour que le berger devienne un bon berger. Depuis des milliers d’années on change de berger. On coupe des cous, on révolutionne, on déclare des guerres, pourquoi
Pour changer de bon pasteur. On fait donc du sur place. Il est temps que nous changions ce que nous sommes. Sans mouton, pas de loup et pas de bon pasteur. C’est pourquoi on garde les moutons dans la peur pour que la conscience ne monte pas et qu’ils s’éveillent à leur vraie nature, celle de Jument Ailée.
____________De La mafia médicale 1994 à La mafia médicale 2002?par http://www.alternativesante.com
Je n’avais jamais rencontré Guylaine LANCTÔT. Pour se rendre chez cette femme médecin qui ne pratique plus suite à ses démêlés avec le Collège des médecins, j’ai suivi un chemin qui ressemblait, ma foi, aux routes empruntées par les diligences dans les western de mon enfance. Des bosses et des trous des deux côtés de cette route de campagne. Pas d’apaches par contre. J’arrive et je suis ravi.
L’endroit est beau sous le soleil de mai. Un instant de bonheur comme ça arrive des fois quand on ne s’y attend pas. La grande maison blanche regarde un petit lac privé où une mère et son enfant jouait ce jour là. Une femme me rejoint à mon auto et me demande qui je viens voir. Je ne savais pas à ce moment que notre rencontre avait été annulée la veille puisque que comme à l’habitude, je n’avais pas écouté mes messages. J’attends près du lac en me disant non ça ne se peut pas. Je ne me suis pas tapé cette randonnée pour rien. Alors je vois ce petit bout de femme venir vers moi. Elle est radieuse et dégage un fort magnétisme. Près de moi elle est encore plus petite mais quel sourire. Elle accepte avec joie que nous nous rencontrions quand même. À la fin de l’entrevue j’ai visité son atelier et je me suis procuré de son excellent sirop d’érable que je déguste à chaque semaine depuis. Merci Guylaine. Voici le résumé de mon entretien.
N.D. : Si le premier livre, la Mafia médicale, était à refaire, referiez-vous les choses de même manière ??
G.L. : Eh bien, je l’ai refait, et c’est exactement le même livre. La question tombe bien ! Je l’ai refait en 2002. Les informations sont cependant plus d’actualité que jamais. J’ai mis plus d’emphase sur la privatisation, les monopoles. La population ne réalise pas que la privatisation = monopole privé. Étatisation = monopole public. Et pour passer de ce qui appartient aux gens (tout le monde) et l’amener en privé, il faut passer par un monopole public. La seule raison d’être de l’assurance maladie, c’était de créer le monopole public pour ensuite le transformer en monopole privé.
Le but de tout, c’est les monopoles privés. Mais si tu le dis à la population on s’occupe de votre santé et on met ça dans les mains d’un monopole privé, les gens ne voudront pas. On dit qu'on s’occupe de votre santé, on ne mentionne jamais le mot « monopole » on utilise plutôt le mot « étatisation ». Étatisation = monopole public. Privatisation = monopole privé. J’ai mis plus d’emphase dans mon livre à ce sujet.
De plus, en 1970, l’assurance maladie n’a été faite que pour ça. Ce qui est intéressant, c’est que tout a été fait en fonction d’aboutir à un monopole privé. On y arrive. Qui en a été l’initiateur en 1970 : Castonguay (vous rappelez-vous de la Castonguette?). L’assurance maladie est l’œuvre de Castonguay qui a fait l’assurance médicaments il y a de cela 3 ans et qui était chef du Groupe de l’assurance médicaments, il était le chef de l’équipe qui mettait le projet en place. Qui était aux côtés de Mario Dumont et qui disait il faut privatiser la médecine
C’est Claude Castonguay, financier, banquier, assureur, des assurances Laurentienne. La Banque et les assurances Laurentienne.
Donc, rien n’est dû au hasard et c’était un plan à long terme. Si les gens n’ont pas compris ce qui se passait avec la Mafia médicale, ils ne comprendront pas mon dernier livre non plus. Ce qui est important de comprendre, c’est que c’est l’OMS qui mène. Par exemple, prenons la pneumonie, l’OMS peut faire fermer une ville comme Toronto ou Pékin, elle peut condamner la Chine. La pneumonie atypique n’existe pas, c’est un mensonge. C’est un syndrome, comme le sida. Dans mon livre, on peut substituer les deux mots.
N.D. : Pensez-vous que ce pourrait être relié à un stress ? ?
G.L. : La seule chose qui rend malade et qui fait mourir, c’est la peur. Un article de l’OMS avait pour titre récemment : La peur à tout prix. C’est aussi le slogan d’un laboratoire pour vendre des vaccins et qui a été repris, mot à mot, par l’OMS. Ils font peur aux gens, de n’importe quelle façon. L’OMS a même recommandé de dramatiser, de faire peur avec la maladie pour vendre et engranger les profits financiers générés par les vaccinations massives. C’est une campagne de peur, de toutes pièces. Les assurances sont aussi basées sur la peur : si on n’a pas peur, on n’achète pas d’assurance.
Avec l’assurance maladie, tu paies pour avoir peur d’être malade. C’est également basé sur la déresponsabilisation. Comment peux-tu déresponsabiliser quelqu’un ?
En déresponsabilisant ceux qui ne sont personne. Il faut que tu agisses en créateur. Personnellement, je suis consciente du fait que je sois créatrice, alors je ne prends pas d’assurance.
N.D. : Et d’après vous Mme LANCTÔT, tout le monde est-il créateur
G.L. : Certainement. Par contre, en sommes-nous conscients ? Je crée à ma ressemblance. Si je me prends pour un pauvre mouton, victime, impuissante et plus, je crée une société à mon image et à ma ressemblance… de pauvre mouton.
Dans mon nouveau livre, j’ai mis plus d’emphase sur l’étatisation et la privatisation. Encore plus intéressant dans le livre, c’est l’épilogue. J’ai rajouté un épilogue, et ça, c’est nouveau. Le reste du livre reste le même, je garde mes positions. J’aimerais dire aux gens, n’achetez plus mon livre, il n’est plus d’actualité, mais malheureusement, il l’est toujours, et même encore plus. La mafia médicale est plus puissante que jamais. J’explique qui contrôle, qui est l’OMS. C’est la finance qui contrôle le monde. L’argent. On le sait tous, mais on ne sait pas exactement comment puisque ça n’a jamais été expliqué. L’argent mène le monde, donc l’argent mène la santé. Si c’était Rockfeller qui donnait les ordres pour les vaccinations, ça ne fonctionnerait pas, alors ça prend absolument un « cover up ». Ça prend une scène de théâtre. On appelle cette scène la scène politique. Autrement dit, le spectateur, le citoyen, ne voit que les marionnettes. Il ne sait pas qui tire les ficelles. J’ai exposé les marionnettistes, j’ai joué avec les ficelles dans Mafia Médicale, mais ce n’est pas encore dans la conscience des gens. Tout ce qui est politique n’est donc qu’illusoire, ça n’existe pas. La politique existe au niveau mondial (par l’ONU). Ils donnent des ordres, soi-disant, sous le couvert américain. On dit que les États-Unis gouvernent le monde. D’accord. Mais qui gouverne les États-Unis?
Il faut toujours remonter au créateur. Qui est là, en bout de ligne? La source, peu importe le nom. Je veux parler au patron, comme lorsque je ne suis pas satisfaite lorsque je mange au restaurant.
ND : Qui crée ce qui se passe au Canada ?
G.L. : En médecine, j’ai pu remonter jusqu’au patron, c’est mon domaine. Et le patron du système médical, c’est Rockfeller, les banquiers, qui se cachent tous derrière des marionnettes, qui sont les politiciens. L’ONU tire les ficelles, les financiers tirent les ficelles de l’ONU et le ministère de la santé de l’ONU s’appelle l’OMS. L’OMS tire les ficelles des tous les systèmes de santé du monde entier.
Tout est contrôlé par les financiers. Tout est très clairement expliqué dans la Mafia Médicale. Et justement, le but premier de l’écriture de cet ouvrage était d’expliquer le fonctionnement du système de santé. Il n’y a que 5 joueurs. Le système de santé est bien décrit sur 2 pages. Le tout est très facile à comprendre. Il s’agit de se conscientiser.
N.D. : Les gens ne le comprennent pas par contre, lorsqu’ils visitent leur médecin
G.L. : Non, les gens doivent comprendre que le médecin est un vendeur de pilules, de chirurgies et de tests à la solde des financiers.
Jamais un journaliste m’a demandé ce que je proposais comme solution. Jamais mes solutions n’ont été proposées, elles ont causé un tel choc. Pourtant, la réponse prend à peu près 1/3 de tout l’ouvrage. L’épilogue, c’est un regard différent. La solution est la souveraineté individuelle, donc de prendre conscience que le pouvoir ultime appartient à l’individu, le malade. Le pouvoir ultime, le pouvoir souverain, si on en prend conscience, s’arrête là. Il n’y a que Dieu, la Source, peu importe le nom qu’on lui donne, qui est au-dessus de nous. On est donc divins.
La majorité des gens ne pensent pas qu’ils sont créateurs, ils ne pensent pas qu’ils sont divins et ils ne prennent pas conscience de leur pouvoir souverain. Ils le laissent donc aux autres. Si quelqu’un nous frappe avec son automobile, ce n’est pas notre faute, nous en sommes la victime. Il y a deux choix : la victime ou le créateur. Moi, je suis consciente que suis créatrice. Si quelqu’un me frappe, l’autre personne n’est pas coupable, je suis l’unique créatrice, l’unique garante de tout ce qui m’arrive. Donc je suis créatrice de ma santé, de ma maladie et de ma guérison.
Prenons l’exemple de la pneumonie atypique : c’est un virus. Donc, ce virus est en dehors de moi, il ne m’atteint pas. Si je fais une pneumonie, c’est ma création. Un point c’est tout, et je suis la seule qui puisse me guérir. Et si je meurs, je me serai laisser mourir. Et ce n’est pas grave de mourir.
Mon corps n’est qu’une manifestation de qui je suis. Je suis un être divin donc éternelle et immortelle. Et si je crois que je suis immortelle, je ne mourrai pas.
Dans mon livre Que diable suis-je venue faire sur cette terre ?, j’explique comment vivre en personne souveraine au quotidien. Je développe la solution.
N.D. : Voyez-vous la ménopause comme une phase de vie ou une maladie qui devrait être soignée ?
G.L. : Je ne vois rien de ça. Je dois devenir consciente de qui je suis : une créatrice et non une reproductrice. Quand on arrête de se prendre pour des reproductrices, on devient créatrice. Notre biologie est la même que celle des animaux puisque nous sommes dans une conscience animale. Nous avons donc des organes de reproduction. Lorsque je serai dans la conscience créatrice, je me manifesterai dans un corps où il n’y aura pas d’organes de reproduction. On crée à partir de rien, on ne reproduit pas. Si en tant qu’artiste je crée une toile, c’est l’original. Si je reproduis, je fais des copies.
Nous avons un corps pour que celui-ci nous guide. Il nous fait voir les parties malades de notre âme que nous ne voyons pas. La maladie physique est la manifestation de la maladie de l’âme tel que je l’expliquais déjà dans mon livre. Ce n’est pas le corps qui est malade mais plutôt l’âme. Le corps sert donc de miroir pour l’âme qu’on ne voit pas.
L’homme est présentement dans une phase d’évolution vers le divin. Nous sommes en fin d’évolution de l’humanité. Comme si nous faisions un bond en avant de notre conscience, comme autrefois celui du singe à l’homme. Nous sommes dans une voie d’autodestruction et l’humanité tire à sa fin.
N.D. : L’humanité telle qu’on la conçoit ?
G.L. : L’Humanité a toujours été semblable mais la conscience humaine elle, évolue. Ce n’est pas la survie de l’espèce qui est importante quand on évolue vers un plan divin. Quand je passe à la conscience divine, je deviens éternelle, pourquoi aurais-je le souci de la survie de l’espèce qui est une préoccupation plutôt de l’inconscience de mon immortalité ? ??
N.D. : Les parents peuvent-ils enseigner aux enfants à se défendre contre ces peurs qu’on tente de nous inculquer ?
G.L. : Non. Les dirigeants n’ont pas à nous inculquer des peurs, nous les avons en nous. Ils les nourrissent et les font vibrer. Mais si tu n’as pas peur, je ne peux pas te faire peur. Les parents aussi, alors ils ne peuvent certainement pas aider leurs enfants avec ça. Tout le monde vit dans la peur. La sécurité à tout prix et elle a un prix, avec les assurances qui assurent la sécurité !
N.D. : Pensez-vous que la sédentarité a joué un rôle dans l’insécurité dont souffre l’homme moderne en comparaison avec l’homme d’autrefois qui devait se déplacer souvent pour survivre ?
G.L. : Les facteurs extérieurs n’y sont pour rien. C’est le degré de conscience qui détermine mon état de santé. Plus je monte en conscience plus j’améliore ma santé.
Comme sur cette image qui représente le monde de la matière et le monde de l’esprit. L’esprit est dans l’esprit créateur et la matière est dans la création de l’esprit créateur. C’est l’arbre rouge qui crée l’autre arbre rouge. Si l’arbre était malade il refléterait un arbre malade.
La médecine scientifique, tout comme les médecines alternatives (même si elles sont moins agressives) traitent l’illusion. Je demeure d’opinion que la maladie n’est pas dans le corps mais dans l’âme. Tout ce qui est médecine ne traite que les corps : physique, mental ou spirituel et cela demeure le corps.
N.D. : La spiritualité actuelle est donc une illusion ?
G.L. : Oui. La spiritualité est représentée par les religions douces. Dans un tableau de la Mafia médicale, j’expliquais l’importance pour une personne d’être consciente de son pouvoir créateur. Sinon, ton rôle est celui de mouton, un emblème représentant la pauvre créature non créatrice. L’impuissance et l’obéissance aux ordres par la peur. Les dirigeants nous font peur et nous sommes tous comme des moutons vivant dans une grande illusion. Nous avons oublié qui nous étions. Des esprits créateurs. L’Humanité tout entière est maintenant rendue à prendre conscience de cette réalité. Il n’y a rien d’autre à comprendre. Je suis la créature ET la créatrice. Dans mon image, le mouton ne sachant pas qu’il a l’esprit créateur, l’expérience du bien-être passe donc par le ‘’Bon Pasteur’’ et si quelque chose de mauvais arrive, c’est alors la faute du méchant loup. Tout vient de l’extérieur jamais de l’intérieur du mouton. Voilà la pièce de théâtre qui se joue. L’éternel triangle; Victime bourreau sauveur.
La prise de conscience que nous devons faire c’est que la fonction du bon pasteur c’est de tondre les moutons et quand ils ne produisent plus de les conduire à l’abattoir. Tout notre système est basé là-dessus. L’assurance maladie c’est le Sauveur, donc de nous tondre et de nous conduire à l’abattoir. Les assurances automobiles et médicaments sont faites pour ça, nous tondre. Quand le mouton n’est pas content il rouspète pour que le berger devienne un bon berger. Depuis des milliers d’années on change de berger. On coupe des cous, on révolutionne, on déclare des guerres, pourquoi
Pour changer de bon pasteur. On fait donc du sur place. Il est temps que nous changions ce que nous sommes. Sans mouton, pas de loup et pas de bon pasteur. C’est pourquoi on garde les moutons dans la peur pour que la conscience ne monte pas et qu’ils s’éveillent à leur vraie nature, celle de Jument Ailée.
Dernière édition par nex le 26/5/2009, 16:56, édité 1 fois
nex- Modérateur
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Re: conférence Ghislaine Lanctôt.
N.D. : Pourquoi cette appellation de Jument Ailée ?
G.L. : Parce que PÉGASE est le symbole de la créativité. Un mythe le représente créant une source dans le désert avec son sabot. Dans ma démonstration, je donne priorité au principe masculin, la création, le principe féminin étant la créatrice. La priorité du principe féminin ou mon être passe avant mon avoir. Alors que le principe masculin est l’avoir avant l’être, paraître au lieu d’être, m’assurer de la survie de mon corps plutôt que de devenir conscient que je suis éternel.
On sait qu’on a une âme éternelle mais on n’a pas la conscience d’être créatrice. Quand je change de conscience et que je prends conscience que je suis créatrice, je deviens l’unique créatrice de ma vie, responsable et garante d’elle.
Dans ma nouvelle conscience divine je suis tout, la trinité entière, ses trois parties ne faisant qu’un en moi. Le Père, le créateur, le Fils, la création, le St-Esprit, la pénétration de l’esprit dans la matière qui lui donne sa vibration divine. Ça c’est la santé.
N.D. : Comment dans un monde tel que tu le décris, la matière se manifesterait-elle ?
G.L. : La matière va vibrer sur la vibration divine. Donc ce sera la paix, l’harmonie, l’abondance, la joie, toutes ces qualités qu’autrefois nous prétendions être celles d’un dieu extérieur. Je ne parle pas ici d’amour pur qui est la fin de l’étape de conscience de l’Humanité mais plutôt d’une partie de cette transformation qui est de prendre conscience que nous sommes créatrices, divines, la source ou quelque autre nom qu’on voudra bien donner
N.D. : Comment les gens peuvent- ils se rendre à cette conscience ? Par des exercices ?
G.L. : D’abord il faut faire un choix qui est ma différence avec l’animal qui a peur. Est-ce que je continue d’être dans la survie ou dans la vie?
Mourir à tous mes outils de survie. Laisser aller tout ça, les institutions, les croyances, c’est énorme. Laisser aller notre armure qui nous fait mourir, trop lourde à supporter. C’est d’affirmer que la survie ne m’intéresse plus. Que le matériel que j’ai accumulé ne me suivra pas dans mon cercueil. Il faut miser sur quelque chose qui dure, l’Être pas l’Avoir. S’occuper de son Être pour devenir conscient de qui nous sommes et réaliser que l’abondance vient d’elle-même en gardant son âme en santé. La réalité plutôt que l’illusion. Toutes ces questions sont abordées dans mon nouveau livre où je donne également des moyens sur comment se comporter comme les êtres divins que nous sommes.
N.D. : Un exemple au quotidien ?
G.L. : Dans le quotidien comme premier conseil, je dis qu’il faut toujours dire la vérité. Cesser de donner notre argent aux banques avec leurs chèques et cartes de crédit et ces hypothèques qui nous obligent à payer notre maison trois fois ce qu’elle vaut avec de l’argent qui n’existe pas. On revient au berger qui tond ses moutons.
N.D. : Ces conseils, les donnez-vous en consultation ?
G.L. : Si vous parlez de médecine, je ne pratique plus. Avant la sortie de La mafia Médicale, j’ai fermé, je devrais dire donné mes centres de santé, car il n’est plus question que je pratique la médecine sous aucune forme.
N.D. : Parlez-nous de votre expérience du procès qu’on vous a intenté ??
G.L. : Une expérience extraordinaire. J’étais consciente de ce que je faisais et de ce qui devait arriver. J’avais d’ailleurs écrit en treize points les détails de la punition pour insoumission dans mon livre avant le procès. Ma plus grande peur était qu’on s’en prenne à mes enfants. Je les ai dons réunis et je leur ai fait part de ça. Toujours dire la vérité. Je les préviens quoi qu’il leur arrive, je n’arrêterai jamais de dire la vérité malgré les menaces. Il m’était impossible de retourner en arrière. Mes enfants étaient d’accord. Vous voyez c’est un processus de conscience qui m’a pris plusieurs années. Déjà dans les années ’80, je voyais en médecine des patients qui avaient des problèmes qui n’étaient pas d’origine physique, par exemple le cas d’une femme avec des varices que je traite qui me revient trois mois plus tard avec autant de douleurs aux jambes alors que les varices avaient disparu. Des choses bizarres étaient sans réponse.
Éduquée dans l’ancienne médecine, celle où on était à l’écoute du patient, à cette époque où il fallait établir un diagnostic avant d’obtenir le droit à faire passer un test spécial au patient.
N.D. : En tant que médecin, que pensez-vous de la qualité du diagnostic actuellement ?
G.L. : C’est la médecine de Rockfeller où l’argent prime. Le patient est un prétexte. C’est l’exploitation du mouton. L’inconscience qui nous fait croire que malgré la technologie et les longues études scientifiques, le taux de maladies augmente sans cesse. Pourquoi la ressource serait-elle uniquement le médecin ?
Parce que nous sommes des moutons qui ne posent pas de questions.
Mon premier réflexe devrait être de me demander si je suis créatrice, je suis peut-être créatrice de ma maladie étant créatrice de tout ce qui m’arrive. Au féminin, car cette conscience créatrice est féminine même chez les hommes.
N.D. : Comment voyez-vous l’avenir ??
G.L. : L’humanité ira au bout de son expérience d’illusion. Je pense que la conscience monte très vite en ce moment et que cette étape tire à sa fin. Par contre nous assistons à une montée de contrôle de toutes sortes qui tente de mettre un bâillon sur les connaissances qui se répandent de plus en plus vite à propos des monopoles qui jouent le rôle de berger.
N.D. : Vous reprenez en fait le même thème que l’Église, sauf que la Trinité se trouve au dedans de nous ?
G.L. : Exactement. Il n’y a pas de dieu à l’extérieur et à l’intérieur non plus car Je Suis. Ce n’est pas une parcelle de Dieu qui est en nous.
N.D. : Quand on ne sait pas comment faire et qu’on a besoin d’aide, qu’est-ce qu’on fait ?
G.L. : On va d’abord en soi accueillir ce qui se passe.
N.D. : On médite ?
G.L. : On se recueille. La méditation, c’est tellement galvaudé maintenant. Je vois ces rassemblements de méditation pour la paix par des gens qui continuent à payer des impôts qui financent les guerres, j’ai de la misère avec ça.
En plus de mes livres, nous offrons les ateliers du Grand portrait, que nous nommons Ma Souveraineté, auxquels beaucoup de gens adhèrent. J’ai personnellement instruit des formateurs qui donnent ces ateliers d’une semaine au Québec et en France. Des ateliers axés sur la prise de conscience qui changent la vie en permettant de passer d’un mouton à une jument qui devient ailée plus tard et qui n’a qu’un seul but, être l’autorité suprême en moi. C’est une décision personnelle et un engagement qui doivent être pris afin de vivre vraiment sa vie, de choisir d’être au lieu d’avoir, d’apprendre à faire la paix entre la créatrice et la création.
Il n’y a qu’une seule maladie : c’est l’inconscience de la souveraineté de l’âme
La guérison de l’âme et en même temps du corps, c’est de prendre conscience qu’elle est souveraine.
Lorsqu’elle a écrit son livre La Mafia médicale, elle le voyait un peu comme une malédiction alors que maintenant elle est consciente que l’OMS ou la Mafia sont aussi un peu sa création créée à son image, à sa ressemblance, pour voir de quoi elle aurait l’air. Dans l’épilogue de son nouveau livre, Guylaine LANCTÔT explique qu’en fait c’est une bénédiction pour l’Humanité cette expérience avec la Mafia médicale, cette illusion que nous vivons avec la médecine qui ne s’intéresse pas à l’âme, l’exemple typique du Bon Pasteur et du mouton. La maladie c’est la soumission de l’âme tandis que sa souveraineté c’est la santé. Il s’agit d’une étape que nous devons vivre jusqu’au bout pour comprendre et élever notre conscience vers notre vraie nature. Être souverain, c’est-à-dire choisir et agir avec son cœur. Quand l’autorité et l’obéissance ne font qu’un dans une même personne c’est la fin de la guerre. Si chaque personne arrive à ce niveau de conscience individuelle c’est la paix sur la terre grâce à la souveraineté individuelle.??Ghislaine Saint-Pierre Lanctôt? HYPERLINK "http://www.alternativesante.com/Livres/livres.asp?id=31" La mafia médicale
G.L. : Parce que PÉGASE est le symbole de la créativité. Un mythe le représente créant une source dans le désert avec son sabot. Dans ma démonstration, je donne priorité au principe masculin, la création, le principe féminin étant la créatrice. La priorité du principe féminin ou mon être passe avant mon avoir. Alors que le principe masculin est l’avoir avant l’être, paraître au lieu d’être, m’assurer de la survie de mon corps plutôt que de devenir conscient que je suis éternel.
On sait qu’on a une âme éternelle mais on n’a pas la conscience d’être créatrice. Quand je change de conscience et que je prends conscience que je suis créatrice, je deviens l’unique créatrice de ma vie, responsable et garante d’elle.
Dans ma nouvelle conscience divine je suis tout, la trinité entière, ses trois parties ne faisant qu’un en moi. Le Père, le créateur, le Fils, la création, le St-Esprit, la pénétration de l’esprit dans la matière qui lui donne sa vibration divine. Ça c’est la santé.
N.D. : Comment dans un monde tel que tu le décris, la matière se manifesterait-elle ?
G.L. : La matière va vibrer sur la vibration divine. Donc ce sera la paix, l’harmonie, l’abondance, la joie, toutes ces qualités qu’autrefois nous prétendions être celles d’un dieu extérieur. Je ne parle pas ici d’amour pur qui est la fin de l’étape de conscience de l’Humanité mais plutôt d’une partie de cette transformation qui est de prendre conscience que nous sommes créatrices, divines, la source ou quelque autre nom qu’on voudra bien donner
N.D. : Comment les gens peuvent- ils se rendre à cette conscience ? Par des exercices ?
G.L. : D’abord il faut faire un choix qui est ma différence avec l’animal qui a peur. Est-ce que je continue d’être dans la survie ou dans la vie?
Mourir à tous mes outils de survie. Laisser aller tout ça, les institutions, les croyances, c’est énorme. Laisser aller notre armure qui nous fait mourir, trop lourde à supporter. C’est d’affirmer que la survie ne m’intéresse plus. Que le matériel que j’ai accumulé ne me suivra pas dans mon cercueil. Il faut miser sur quelque chose qui dure, l’Être pas l’Avoir. S’occuper de son Être pour devenir conscient de qui nous sommes et réaliser que l’abondance vient d’elle-même en gardant son âme en santé. La réalité plutôt que l’illusion. Toutes ces questions sont abordées dans mon nouveau livre où je donne également des moyens sur comment se comporter comme les êtres divins que nous sommes.
N.D. : Un exemple au quotidien ?
G.L. : Dans le quotidien comme premier conseil, je dis qu’il faut toujours dire la vérité. Cesser de donner notre argent aux banques avec leurs chèques et cartes de crédit et ces hypothèques qui nous obligent à payer notre maison trois fois ce qu’elle vaut avec de l’argent qui n’existe pas. On revient au berger qui tond ses moutons.
N.D. : Ces conseils, les donnez-vous en consultation ?
G.L. : Si vous parlez de médecine, je ne pratique plus. Avant la sortie de La mafia Médicale, j’ai fermé, je devrais dire donné mes centres de santé, car il n’est plus question que je pratique la médecine sous aucune forme.
N.D. : Parlez-nous de votre expérience du procès qu’on vous a intenté ??
G.L. : Une expérience extraordinaire. J’étais consciente de ce que je faisais et de ce qui devait arriver. J’avais d’ailleurs écrit en treize points les détails de la punition pour insoumission dans mon livre avant le procès. Ma plus grande peur était qu’on s’en prenne à mes enfants. Je les ai dons réunis et je leur ai fait part de ça. Toujours dire la vérité. Je les préviens quoi qu’il leur arrive, je n’arrêterai jamais de dire la vérité malgré les menaces. Il m’était impossible de retourner en arrière. Mes enfants étaient d’accord. Vous voyez c’est un processus de conscience qui m’a pris plusieurs années. Déjà dans les années ’80, je voyais en médecine des patients qui avaient des problèmes qui n’étaient pas d’origine physique, par exemple le cas d’une femme avec des varices que je traite qui me revient trois mois plus tard avec autant de douleurs aux jambes alors que les varices avaient disparu. Des choses bizarres étaient sans réponse.
Éduquée dans l’ancienne médecine, celle où on était à l’écoute du patient, à cette époque où il fallait établir un diagnostic avant d’obtenir le droit à faire passer un test spécial au patient.
N.D. : En tant que médecin, que pensez-vous de la qualité du diagnostic actuellement ?
G.L. : C’est la médecine de Rockfeller où l’argent prime. Le patient est un prétexte. C’est l’exploitation du mouton. L’inconscience qui nous fait croire que malgré la technologie et les longues études scientifiques, le taux de maladies augmente sans cesse. Pourquoi la ressource serait-elle uniquement le médecin ?
Parce que nous sommes des moutons qui ne posent pas de questions.
Mon premier réflexe devrait être de me demander si je suis créatrice, je suis peut-être créatrice de ma maladie étant créatrice de tout ce qui m’arrive. Au féminin, car cette conscience créatrice est féminine même chez les hommes.
N.D. : Comment voyez-vous l’avenir ??
G.L. : L’humanité ira au bout de son expérience d’illusion. Je pense que la conscience monte très vite en ce moment et que cette étape tire à sa fin. Par contre nous assistons à une montée de contrôle de toutes sortes qui tente de mettre un bâillon sur les connaissances qui se répandent de plus en plus vite à propos des monopoles qui jouent le rôle de berger.
N.D. : Vous reprenez en fait le même thème que l’Église, sauf que la Trinité se trouve au dedans de nous ?
G.L. : Exactement. Il n’y a pas de dieu à l’extérieur et à l’intérieur non plus car Je Suis. Ce n’est pas une parcelle de Dieu qui est en nous.
N.D. : Quand on ne sait pas comment faire et qu’on a besoin d’aide, qu’est-ce qu’on fait ?
G.L. : On va d’abord en soi accueillir ce qui se passe.
N.D. : On médite ?
G.L. : On se recueille. La méditation, c’est tellement galvaudé maintenant. Je vois ces rassemblements de méditation pour la paix par des gens qui continuent à payer des impôts qui financent les guerres, j’ai de la misère avec ça.
En plus de mes livres, nous offrons les ateliers du Grand portrait, que nous nommons Ma Souveraineté, auxquels beaucoup de gens adhèrent. J’ai personnellement instruit des formateurs qui donnent ces ateliers d’une semaine au Québec et en France. Des ateliers axés sur la prise de conscience qui changent la vie en permettant de passer d’un mouton à une jument qui devient ailée plus tard et qui n’a qu’un seul but, être l’autorité suprême en moi. C’est une décision personnelle et un engagement qui doivent être pris afin de vivre vraiment sa vie, de choisir d’être au lieu d’avoir, d’apprendre à faire la paix entre la créatrice et la création.
Il n’y a qu’une seule maladie : c’est l’inconscience de la souveraineté de l’âme
La guérison de l’âme et en même temps du corps, c’est de prendre conscience qu’elle est souveraine.
Lorsqu’elle a écrit son livre La Mafia médicale, elle le voyait un peu comme une malédiction alors que maintenant elle est consciente que l’OMS ou la Mafia sont aussi un peu sa création créée à son image, à sa ressemblance, pour voir de quoi elle aurait l’air. Dans l’épilogue de son nouveau livre, Guylaine LANCTÔT explique qu’en fait c’est une bénédiction pour l’Humanité cette expérience avec la Mafia médicale, cette illusion que nous vivons avec la médecine qui ne s’intéresse pas à l’âme, l’exemple typique du Bon Pasteur et du mouton. La maladie c’est la soumission de l’âme tandis que sa souveraineté c’est la santé. Il s’agit d’une étape que nous devons vivre jusqu’au bout pour comprendre et élever notre conscience vers notre vraie nature. Être souverain, c’est-à-dire choisir et agir avec son cœur. Quand l’autorité et l’obéissance ne font qu’un dans une même personne c’est la fin de la guerre. Si chaque personne arrive à ce niveau de conscience individuelle c’est la paix sur la terre grâce à la souveraineté individuelle.??Ghislaine Saint-Pierre Lanctôt? HYPERLINK "http://www.alternativesante.com/Livres/livres.asp?id=31" La mafia médicale
Paixman- Nombre de messages : 2
Date d'inscription : 25/05/2009
- Message n°9
salut
Salut a tous merci pour toutes ces bonnes choses que vous partagez!
Peace!
Peace!