Par Ian Hamel
Le livre « Comment le peuple juif fut inventé » (1) passe par-dessus bord toutes nos certitudes quant à l’expulsion du peuple de Judée par les Romains en l’an 70 après Jésus-Christ. Et s’il n’y avait pas eu d’Exil ?
Avant d’ouvrir cet ouvrage, il faut savoir que son auteur n’est ni un nostalgique du IIIe Reich, ni un Palestinien qui aurait perdu toute sa famille sous les bombardements de l’armée israélienne. Shlomo Sand enseigne l’histoire contemporaine à l’université de Tel-Aviv. Et que son livre, « Comment le peuple juif fut inventé », est un succès de librairie dans l’ancien royaume de David et de Salomon.
Que dit Shlomo Sand de si révolutionnaire ? Que les Romains n’ont jamais pratiqué l’expulsion systématique d’aucun « peuple ». Pour la seule raison qu’un peuple produit des denrées agricoles sur lesquelles l’impôt était levé. Une expulsion n’était donc nullement rentable. De plus, « il n’existe aucune trace, pas le moindre indice, d’une quelconque expulsion du pays de Judée, pas même dans la riche documentation que Rome nous a léguée », souligne l’historien.
Les habitants de Judée (qui devaient être autour de 800 000 à l’époque), contrairement aux Grecs et aux Phéniciens, étaient majoritairement des paysans, pas des marins et des commerçants.
Des descendants de cavaliers khazars
Alors d’où viennent les juifs d’Afrique du Nord et d’Europe ? Shlomo Sand affirme que dans l’Antiquité, la religion juive se livrait au prosélytisme tout autour du bassin de la Méditerranée. A son apogée dans l’Empire romain, le judaïsme englobait 7 à 8 % de la population. Le qualificatif de « juif » ne s’appliquait pas seulement aux habitants de la Judée, mais « à tous les convertis ainsi qu’à leurs descendants ».
Pour l’auteur, les deux grandes réussites de ce mouvement de prosélytisme juif ont été l’Afrique du Nord, alors peuplée par les Berbères, et la fondation du royaume juif des Khazars, sur les steppes voisines de la Volga et du Nord Caucase.
Alors de quand date cette invention d’un peuple juif ? De la fin du XIXe siècle et de la tenue du premier congrès sioniste en 1897, répond Shlomo Sand. « Si les juifs de l’époque moderne n’étaient pas les descendants directs des premiers exilés, comment légitimer leur installation sur une Terre sainte censée être le “pays exclusif d’Israël” ? », écrit ce professeur d’histoire, diplômé de l’Ecole des hautes études en sciences sociales de Paris.
En d’autres termes, on aurait inventé une fiction, celle du « peuple juif », plutôt que de reconnaître que les Israéliens sont des descendants de guerriers berbères et de cavaliers khazars… Car si les habitants de la Judée sont restés après la destruction du Temple de Jérusalem, on peut légitimement en déduire que les Palestiniens sont les descendants des juifs anciens, convertis à l’islam au VIIe siècle après la conquête arabe !
Ian Hamel
Ian hamel est écrivain et journaliste indépendant. Il publie régulièrement des articles sur le site Oumma.com
1 : Shlomo Sand, Comment le peuple juif fut inventé, Fayard, 432 pages.
source :
http://www.mecanopolis.org/?p=5328
« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal; nous avons pris leur pays. Il est vrai que Dieu nous l’a promis, mais comment cela pourrait-il les concerner ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter cela ? »
l’ancien premier ministre israélien David Ben Gourion
En effet, on se demande bien pourquoi. Du point de vue du droit, la revendication d’un territoire après 2000 ans ou plus sous le prétexte d’un « droit historique » est une absurdité qui ne tient pas la route un instant. Il n’est pas difficile de concevoir les bouleversements qui auraient lieu dans le monde si on reconnaissait à chaque peuple le droit de revendiquer des territoires sous le prétexte d’un « droit historique ». Mais, à part l’absurdité de la notion du « droit historique », en fait, la prétention sioniste est insoutenable, pour la raison que les Juifs de nos jours ne possèdent pas de lien racial avec les Hébreux de l’antiquité.
En réalité, la Palestine est un pays qui, de tous temps, a été habité par les Palestiniens. Il existe une fausse idées qui suggère que les Palestiniens arabes ont habité le pays durant treize siècle seulement et qu’ils seraient les descendant des musulmans venus de la Péninsule d’Arabie lors de la conquête musulmane du VIIème siècle. Or, cette théorie est historiquement fausse. L’apport de la conquête musulmane de la Palestine a été surtout un apport en religion plutôt qu’un apport en population. La population qui vivait alors en Palestine ne fut ni déplacée ni exterminée. Un certain nombre d’habitants embrassèrent l’Islam, mais la plupart d’entre-eux, surtout les chrétiens arabes, gardèrent leur religion. Les Arabes, il faut le rappeler, sont un peuple pré-islamique et les Palestiniens, à la différence des Hébreux qui avaient envahi la Palestine vers le XIIème siècle avant Jésus-Christ, n’ont jamais été des envahisseur, mais les habitants autochtones du pays. Ils étaient les descendant des Cananéens, des Philistins et autres tribus qui avaient habité la terre de Canaan depuis l’aube de l’histoire. Même au sommet de l’invasion hébraïque venue d’Égypte, les Cananéens continuèrent à lutter contre les envahisseurs. Quant aux Philistins, ils ne furent jamais subjugués en continuèrent à contrôler le littoral sud du pays.
Un autre fantasme, d’ailleurs très savamment répandu, voudrait faire croire que les Juifs de nos jours sont les descendants des Hébreux qui auraient envahi la Palestine dans les temps bibliques. Cette fausse conception a été forgée par les sionistes au début du siècle dernier, de sorte à donner une apparence de droit à leur revendication d’un foyer national juif en Palestine. Mais en fait, les Juifs de descendance palestinienne constituent une infime minorité. Les Juifs ont été d’aussi zélés convertisseurs que les chrétiens ou musulmans. Avant l’ère chrétienne, les Juifs avaient converti à la religion monothéiste de Moïse d’autres sémites (ou arabes), des Grecs, Des Égyptiens, des Roumains en grand nombre. Le prosélytisme juif ne s’exerça pas avec une moindre activité par la suite, en Asie, dans tout le nord de l’Afrique, en Italie, en Espagne, en Gaule. L’immense majorité des Juifs russes, polonais, galiciens, descend des Khazars, population tartare du sud de la Russie qui se convertit massivement au judaïsme au temps de Charlemagne. On le voit bien, pour parler d’un « peuple juif » qui trouverait son origine en Palestine, il faut être ignorant ou de mauvaise foi : il n’y a jamais eu de « peuple juif ».
Aussi, l’indignation et le départ des délégations européennes à cette conférence ressemble surtout à habile manœuvre de diversion, sous couvert d’antisémitisme, pour couvrir les propos du président Ahmadinejad, de sorte à ce que les populations d’Europe ne puissent savoir sur quels mensonges s’est édifié l’État d’Israël. Assurément,la culpabilité qui hante les dirigeants européens les contraint à considérer toute critique envers l’occupant sioniste comme une offense et une atteinte à leur propre intégrité.
A aucun moment, lors de son allocution, le président iranien n’a appelé à la destruction d’Israël, ni nié ou minimisé la Shoah. Il a seulement rappelé une vérité qui dérange en nous invitant à regarder l’histoire en face : l’Etat d’Israël n’a aucune légitimité, ni historique, ni en droit.
Frédéric Courvoisier, pour Mecanopolis
________________________________________________________
La définition du Juif selon Hitler
Pour Hitler, le « Juif » n’est pas d’abord une communauté religieuse, ni un nomade. C’est une race biologique, un peuple qui a, comme toute autre race, le besoin vital de maintenir la pureté de son sang. Mais, à la différence des autres, cette race ne possède pas de territoire délimité : son territoire est sans limites, universellement illimité dans l’espace, un Etat dans les Etats... La race juive est par nature destructrice, parasitaire et totalitaire (elle vise la domination mondiale). Les juifs, grâce au capitalisme internationalisent les économies et les dominent, et grâce au communisme divisent les peuples entre eux et provoquent des guerres intestines pour mieux les dominer.
« Car la conception spatiale précise d’un Etat présuppose toujours une disposition d’esprit idéaliste chez la race qui le constitue, mais surtout une juste conception de la notion du travail. C’est précisément dans la mesure où cette orientation est défectueuse ou même fait totalement défaut, qu’échoue toute tentative de former et même de maintenir un Etat territorialement délimité. Par suite, il lui manque la seule base sur laquelle peut naître une civilisation. »
Mein Kampf - Adolf Hitler
Hitler va plus loin : plus qu’une race physique, la race juive est une « Race mentale », par nature inassimilable. C’est un peuple « porteur de la Loi et de la Parole » qui pose une définition de l'Histoire : la fidélité obstinée à une trajectoire dont le symbole est l’errance, Histoire en opposition totale avec la conception hitlérienne basée sur le « Blut und Boden » : c'est cette histoire que Hitler et les nazis vont s’employer à détruire par l'anéantissement radical de la Loi et par la perversion de la parole.
« C'est le Juif qui offre le plus extrême contraste avec l'Aryen »
Mein Kampf, L I ch. XI
« Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de la génétique, de race juive (...) La race juive est avant tout une race mentale (...) Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable qu'une race tout court. Transplantez un Allemand aux Etats Unis, vous en faites un américain. Le Juif, où qu'il aille, demeure un juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce caractère même qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair ! »
(13/2/45; Testament politique de Hitler, notes recueillies par Martin Bormann, version française de Françoise Genou Arthème Fayard, 1959)
« Voici mon argument : même s’il n’y avait pas eu une seule synagogue, pas une seul école juive, même s’il n’y avait pas eu l’Ancien testament et la Bible, l’esprit juif serait quand même là, avec ses effets. Depuis le début il a été là, et il n’y a pas un seul Juif, pas un seul, qui n’en soit pas l’incarnation. »
Discours, 1920
Pour les Aryens, le sol est la base de la lutte pour la vie. Ce n’est pas le cas pour les juifs, qui n’ont pas de sol pour y prospérer et l’accroître. Manquant de sol et de facultés créatrices propres, la race juive va donc utiliser le travail et l’activité créatrice des autres races comme base de sa propre existence : de ce fait elle devient un parasite. « L’objectif final de la lutte des Juifs pour la vie est... la mise en esclavage des peuples dont l’activité est plus productrice. » (Mein Kampf) Le but de la lutte pour la vie des Juifs n’est pas le sol, mais la « dénationalisation » du monde. Les juifs sont donc des vampires assoiffés du sang des peuples, des bacilles, des parasites dans le corps des autres peuples, des champignons pourrisseurs... des poux qu’il faut détruire...
« Son but dernier est de dénationaliser, d’abâtardir les autres peuples par un mélange confus, d’abaisser le niveau racial des peuples les plus élevés et de dominer ce magma de races en extirpant les intelligences de ces peuples et en les remplaçant par les membres de son propre peuple. »
… « Le juif est l'asticot d'un corps en corruption, une pestilence, pire que la peste noire d'autrefois; c'est un porteur de bacilles de la pire espèce, l'éternel champignon diviseur (« Spaltpilz » ou schizophylle commun) de l'humanité, le frelon fainéant qui s'introduit chez les autres, l'araignée qui suce lentement le sang des peuples, une bande de rats qui se combattent jusqu'au sang, le parasite dans le corps des autres peuples, le parasite typique, un pique-assiette, qui va se multipliant comme un microbe nuisible, la sangsue éternelle, le parasite des peuples, le vampire des peuples. »… (Ensemble de citations parsemées dans Mein Kampf)
… « Le juif reste à l'endroit où il s'est établi et s'y cramponne, à tel point qu'on ne peut l'en chasser que très difficilement, même en employant la violence. Il est et demeure le parasite type, l'écornifleur qui, tel un bacille nuisible, s'étend toujours plus loin dès qu'un sol nourricier favorable l'y invite. L'effet produit est celui des plantes parasites : là où il se fixe, le peuple qui l'accueille s'éteint. »
Mein Kampf - Adolf Hitler
http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article.php?pArticleId=146&pChapitreId=15471
Le livre « Comment le peuple juif fut inventé » (1) passe par-dessus bord toutes nos certitudes quant à l’expulsion du peuple de Judée par les Romains en l’an 70 après Jésus-Christ. Et s’il n’y avait pas eu d’Exil ?
Avant d’ouvrir cet ouvrage, il faut savoir que son auteur n’est ni un nostalgique du IIIe Reich, ni un Palestinien qui aurait perdu toute sa famille sous les bombardements de l’armée israélienne. Shlomo Sand enseigne l’histoire contemporaine à l’université de Tel-Aviv. Et que son livre, « Comment le peuple juif fut inventé », est un succès de librairie dans l’ancien royaume de David et de Salomon.
Que dit Shlomo Sand de si révolutionnaire ? Que les Romains n’ont jamais pratiqué l’expulsion systématique d’aucun « peuple ». Pour la seule raison qu’un peuple produit des denrées agricoles sur lesquelles l’impôt était levé. Une expulsion n’était donc nullement rentable. De plus, « il n’existe aucune trace, pas le moindre indice, d’une quelconque expulsion du pays de Judée, pas même dans la riche documentation que Rome nous a léguée », souligne l’historien.
Les habitants de Judée (qui devaient être autour de 800 000 à l’époque), contrairement aux Grecs et aux Phéniciens, étaient majoritairement des paysans, pas des marins et des commerçants.
Des descendants de cavaliers khazars
Alors d’où viennent les juifs d’Afrique du Nord et d’Europe ? Shlomo Sand affirme que dans l’Antiquité, la religion juive se livrait au prosélytisme tout autour du bassin de la Méditerranée. A son apogée dans l’Empire romain, le judaïsme englobait 7 à 8 % de la population. Le qualificatif de « juif » ne s’appliquait pas seulement aux habitants de la Judée, mais « à tous les convertis ainsi qu’à leurs descendants ».
Pour l’auteur, les deux grandes réussites de ce mouvement de prosélytisme juif ont été l’Afrique du Nord, alors peuplée par les Berbères, et la fondation du royaume juif des Khazars, sur les steppes voisines de la Volga et du Nord Caucase.
Alors de quand date cette invention d’un peuple juif ? De la fin du XIXe siècle et de la tenue du premier congrès sioniste en 1897, répond Shlomo Sand. « Si les juifs de l’époque moderne n’étaient pas les descendants directs des premiers exilés, comment légitimer leur installation sur une Terre sainte censée être le “pays exclusif d’Israël” ? », écrit ce professeur d’histoire, diplômé de l’Ecole des hautes études en sciences sociales de Paris.
En d’autres termes, on aurait inventé une fiction, celle du « peuple juif », plutôt que de reconnaître que les Israéliens sont des descendants de guerriers berbères et de cavaliers khazars… Car si les habitants de la Judée sont restés après la destruction du Temple de Jérusalem, on peut légitimement en déduire que les Palestiniens sont les descendants des juifs anciens, convertis à l’islam au VIIe siècle après la conquête arabe !
Ian Hamel
Ian hamel est écrivain et journaliste indépendant. Il publie régulièrement des articles sur le site Oumma.com
1 : Shlomo Sand, Comment le peuple juif fut inventé, Fayard, 432 pages.
source :
http://www.mecanopolis.org/?p=5328
« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal; nous avons pris leur pays. Il est vrai que Dieu nous l’a promis, mais comment cela pourrait-il les concerner ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient-ils accepter cela ? »
l’ancien premier ministre israélien David Ben Gourion
En effet, on se demande bien pourquoi. Du point de vue du droit, la revendication d’un territoire après 2000 ans ou plus sous le prétexte d’un « droit historique » est une absurdité qui ne tient pas la route un instant. Il n’est pas difficile de concevoir les bouleversements qui auraient lieu dans le monde si on reconnaissait à chaque peuple le droit de revendiquer des territoires sous le prétexte d’un « droit historique ». Mais, à part l’absurdité de la notion du « droit historique », en fait, la prétention sioniste est insoutenable, pour la raison que les Juifs de nos jours ne possèdent pas de lien racial avec les Hébreux de l’antiquité.
En réalité, la Palestine est un pays qui, de tous temps, a été habité par les Palestiniens. Il existe une fausse idées qui suggère que les Palestiniens arabes ont habité le pays durant treize siècle seulement et qu’ils seraient les descendant des musulmans venus de la Péninsule d’Arabie lors de la conquête musulmane du VIIème siècle. Or, cette théorie est historiquement fausse. L’apport de la conquête musulmane de la Palestine a été surtout un apport en religion plutôt qu’un apport en population. La population qui vivait alors en Palestine ne fut ni déplacée ni exterminée. Un certain nombre d’habitants embrassèrent l’Islam, mais la plupart d’entre-eux, surtout les chrétiens arabes, gardèrent leur religion. Les Arabes, il faut le rappeler, sont un peuple pré-islamique et les Palestiniens, à la différence des Hébreux qui avaient envahi la Palestine vers le XIIème siècle avant Jésus-Christ, n’ont jamais été des envahisseur, mais les habitants autochtones du pays. Ils étaient les descendant des Cananéens, des Philistins et autres tribus qui avaient habité la terre de Canaan depuis l’aube de l’histoire. Même au sommet de l’invasion hébraïque venue d’Égypte, les Cananéens continuèrent à lutter contre les envahisseurs. Quant aux Philistins, ils ne furent jamais subjugués en continuèrent à contrôler le littoral sud du pays.
Un autre fantasme, d’ailleurs très savamment répandu, voudrait faire croire que les Juifs de nos jours sont les descendants des Hébreux qui auraient envahi la Palestine dans les temps bibliques. Cette fausse conception a été forgée par les sionistes au début du siècle dernier, de sorte à donner une apparence de droit à leur revendication d’un foyer national juif en Palestine. Mais en fait, les Juifs de descendance palestinienne constituent une infime minorité. Les Juifs ont été d’aussi zélés convertisseurs que les chrétiens ou musulmans. Avant l’ère chrétienne, les Juifs avaient converti à la religion monothéiste de Moïse d’autres sémites (ou arabes), des Grecs, Des Égyptiens, des Roumains en grand nombre. Le prosélytisme juif ne s’exerça pas avec une moindre activité par la suite, en Asie, dans tout le nord de l’Afrique, en Italie, en Espagne, en Gaule. L’immense majorité des Juifs russes, polonais, galiciens, descend des Khazars, population tartare du sud de la Russie qui se convertit massivement au judaïsme au temps de Charlemagne. On le voit bien, pour parler d’un « peuple juif » qui trouverait son origine en Palestine, il faut être ignorant ou de mauvaise foi : il n’y a jamais eu de « peuple juif ».
Aussi, l’indignation et le départ des délégations européennes à cette conférence ressemble surtout à habile manœuvre de diversion, sous couvert d’antisémitisme, pour couvrir les propos du président Ahmadinejad, de sorte à ce que les populations d’Europe ne puissent savoir sur quels mensonges s’est édifié l’État d’Israël. Assurément,la culpabilité qui hante les dirigeants européens les contraint à considérer toute critique envers l’occupant sioniste comme une offense et une atteinte à leur propre intégrité.
A aucun moment, lors de son allocution, le président iranien n’a appelé à la destruction d’Israël, ni nié ou minimisé la Shoah. Il a seulement rappelé une vérité qui dérange en nous invitant à regarder l’histoire en face : l’Etat d’Israël n’a aucune légitimité, ni historique, ni en droit.
Frédéric Courvoisier, pour Mecanopolis
________________________________________________________
La définition du Juif selon Hitler
Pour Hitler, le « Juif » n’est pas d’abord une communauté religieuse, ni un nomade. C’est une race biologique, un peuple qui a, comme toute autre race, le besoin vital de maintenir la pureté de son sang. Mais, à la différence des autres, cette race ne possède pas de territoire délimité : son territoire est sans limites, universellement illimité dans l’espace, un Etat dans les Etats... La race juive est par nature destructrice, parasitaire et totalitaire (elle vise la domination mondiale). Les juifs, grâce au capitalisme internationalisent les économies et les dominent, et grâce au communisme divisent les peuples entre eux et provoquent des guerres intestines pour mieux les dominer.
« Car la conception spatiale précise d’un Etat présuppose toujours une disposition d’esprit idéaliste chez la race qui le constitue, mais surtout une juste conception de la notion du travail. C’est précisément dans la mesure où cette orientation est défectueuse ou même fait totalement défaut, qu’échoue toute tentative de former et même de maintenir un Etat territorialement délimité. Par suite, il lui manque la seule base sur laquelle peut naître une civilisation. »
Mein Kampf - Adolf Hitler
Hitler va plus loin : plus qu’une race physique, la race juive est une « Race mentale », par nature inassimilable. C’est un peuple « porteur de la Loi et de la Parole » qui pose une définition de l'Histoire : la fidélité obstinée à une trajectoire dont le symbole est l’errance, Histoire en opposition totale avec la conception hitlérienne basée sur le « Blut und Boden » : c'est cette histoire que Hitler et les nazis vont s’employer à détruire par l'anéantissement radical de la Loi et par la perversion de la parole.
« C'est le Juif qui offre le plus extrême contraste avec l'Aryen »
Mein Kampf, L I ch. XI
« Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de la génétique, de race juive (...) La race juive est avant tout une race mentale (...) Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable qu'une race tout court. Transplantez un Allemand aux Etats Unis, vous en faites un américain. Le Juif, où qu'il aille, demeure un juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce caractère même qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair ! »
(13/2/45; Testament politique de Hitler, notes recueillies par Martin Bormann, version française de Françoise Genou Arthème Fayard, 1959)
« Voici mon argument : même s’il n’y avait pas eu une seule synagogue, pas une seul école juive, même s’il n’y avait pas eu l’Ancien testament et la Bible, l’esprit juif serait quand même là, avec ses effets. Depuis le début il a été là, et il n’y a pas un seul Juif, pas un seul, qui n’en soit pas l’incarnation. »
Discours, 1920
Pour les Aryens, le sol est la base de la lutte pour la vie. Ce n’est pas le cas pour les juifs, qui n’ont pas de sol pour y prospérer et l’accroître. Manquant de sol et de facultés créatrices propres, la race juive va donc utiliser le travail et l’activité créatrice des autres races comme base de sa propre existence : de ce fait elle devient un parasite. « L’objectif final de la lutte des Juifs pour la vie est... la mise en esclavage des peuples dont l’activité est plus productrice. » (Mein Kampf) Le but de la lutte pour la vie des Juifs n’est pas le sol, mais la « dénationalisation » du monde. Les juifs sont donc des vampires assoiffés du sang des peuples, des bacilles, des parasites dans le corps des autres peuples, des champignons pourrisseurs... des poux qu’il faut détruire...
« Son but dernier est de dénationaliser, d’abâtardir les autres peuples par un mélange confus, d’abaisser le niveau racial des peuples les plus élevés et de dominer ce magma de races en extirpant les intelligences de ces peuples et en les remplaçant par les membres de son propre peuple. »
… « Le juif est l'asticot d'un corps en corruption, une pestilence, pire que la peste noire d'autrefois; c'est un porteur de bacilles de la pire espèce, l'éternel champignon diviseur (« Spaltpilz » ou schizophylle commun) de l'humanité, le frelon fainéant qui s'introduit chez les autres, l'araignée qui suce lentement le sang des peuples, une bande de rats qui se combattent jusqu'au sang, le parasite dans le corps des autres peuples, le parasite typique, un pique-assiette, qui va se multipliant comme un microbe nuisible, la sangsue éternelle, le parasite des peuples, le vampire des peuples. »… (Ensemble de citations parsemées dans Mein Kampf)
… « Le juif reste à l'endroit où il s'est établi et s'y cramponne, à tel point qu'on ne peut l'en chasser que très difficilement, même en employant la violence. Il est et demeure le parasite type, l'écornifleur qui, tel un bacille nuisible, s'étend toujours plus loin dès qu'un sol nourricier favorable l'y invite. L'effet produit est celui des plantes parasites : là où il se fixe, le peuple qui l'accueille s'éteint. »
Mein Kampf - Adolf Hitler
http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article.php?pArticleId=146&pChapitreId=15471
Dernière édition par MOBY37 le 11/6/2010, 07:29, édité 1 fois