Après la grippe aviaire, et autres pandémies, voici venir le temps du cochon.
Comme à son habitude, la France ne se sent pas concernée, et assure que toutes les précautions sont prises, sauf qu’il n’y a pas de vaccins.
La ministresse de la santé est au taquet, et fait tout pour éviter la panique.
Il faut dire que son choix vestimentaire toujours dans la couleur rose, pourrait laisser penser à un insolent humoriste qu’elle a quelques affinités avec la race porcine.
Quoi de plus normal, car il est si proche de nous qu’il est utilisé pour tester les nouveaux médicaments qui nous sont destinés et puis
Comme chacun sait, au cœur de tout Français, il y a un cochon qui sommeille.
Tout est bon dans le cochon, sauf ce qui ne l’est pas.
Déjà, les islamistes le condamnent, sur le fait qu’il est jugé impur.
A la lecture du Coran, cette affirmation a du plomb dans l’aile, car la traduction des textes n’est pas si catégorique.
Mais le cochon est montré du doigt.
Le cochon serait sale ?
A voir.
ce qui est sûr c'est qu'il est injuste de donner son nom à cette grippe, car le mot de "grippe mexicaine" parait plus approprié.
A preuve du contraire, le cochon préfère l’herbe tendre à un cachot obscur, dans lequel sont déversés les aliments que nous n’avons pu, ou voulu manger.
Une sorte de poubelle en quelque sorte.
Pourtant, avec un peu de chance, chacun peut observer des cochons tout roses et proprets, gambadants dans l’herbe d’un champ, en toute liberté.
Mais revenons à la « grippe ».
plus de 100 morts au Mexique à ce jour.
C’est peu et beaucoup à la fois.
Une fois de plus, on cherche à nous rassurer.
Les Français ont l’habitude du silence depuis Tchernobyl, puisque nous avons du attendre de nombreuses semaines avant d’apprendre que nous avions été tous, plus ou moins contaminés.
Au bout du compte, des milliers de cochons passeront peut être à l’incinération, déversant leur lot de dioxines.
Mais ce qui nous intéresse, c’est le risque que représente cette nouvelle affaire sanitaire.
Selon l’OMS, le nombre de morts est peu élevé,
(57) mais ce n’est que la partie visible de « l’iceberg ».
nous venons de passer du risque 4 au risque 5 sur une échelle qui compte 6 barreaux.
Cette maladie est transmissible à l’homme, et fait vraiment peser la menace d’une pandémie humaine.
Il s’agit d’un virus dit grippal de type A.
A la différence de la grippe aviaire, cette grippe est directement transmissible à l’homme, tout comme la grippe que nous connaissons.
Ce type de virus, inconnu à ce jour du système immunitaire humain, pourrait avoir les caractéristiques nécessaires pour nous poser pas mal de problèmes.
Par le passé, seulement deux cas de décès avaient été enregistrés, mais d’après le CDC américain (centre de contrôle des maladies) le 17 avril deux enfants américains ont été concernés par ce virus.
Pourtant, ils n’avaient pas été en contact avec des cochons.
Il faut avant tout savoir que les vaccins contre la grippe humaine ne nous protègent pas contre cette nouvelle grippe.
En haut lieu on nous rassure : Ce virus est détruit par la cuisson du porc (71° celsius minimum).
En attendant, les Etats-Unis ont déclaré l’état d’urgence sanitaire, 6 cas s’étant déclarés au Canada.
L’évolution du virus est observée de très près par des internautes avisés.
Au Mexique, d’où est partie l’épidémie, le nombre de morts ne cesse de grimper et 1614 malades sont sous surveillance.
Mexico est au cœur du problème, et les 20 millions d’habitants font tout pour lutter contre la contagion.
Les Etats Unis sont au « score » de 20 décès, et au Canada 6 personnes ont été contaminées, contre 9 en Colombie.
L’Asie, grosse consommatrice de porc est sur le pied de guerre, tout comme la Nouvelle Zélande ou 10 lycéens présenteraient des symptômes de la grippe porcine.
Les ministres de la santé européenne ont décidé de se réunir le 30 avril pour en parler.
Çà ne mange pas de pain.
En Espagne, où notre Prez a essayé de raccommoder les morceaux, suite à ses allusions pas très diplomatiques, concernant l’intelligence de Zapatéro, 6 nouveaux cas ont été découverts.
Gageons que Sarkozy ne nous a pas ramené ce virus dont personne ne veut.
Car comme disait un vieil ami africain :
« Quelque soit la puanteur du poulailler, le coq reste toujours le roi ».
Comme à son habitude, la France ne se sent pas concernée, et assure que toutes les précautions sont prises, sauf qu’il n’y a pas de vaccins.
La ministresse de la santé est au taquet, et fait tout pour éviter la panique.
Il faut dire que son choix vestimentaire toujours dans la couleur rose, pourrait laisser penser à un insolent humoriste qu’elle a quelques affinités avec la race porcine.
Quoi de plus normal, car il est si proche de nous qu’il est utilisé pour tester les nouveaux médicaments qui nous sont destinés et puis
Comme chacun sait, au cœur de tout Français, il y a un cochon qui sommeille.
Tout est bon dans le cochon, sauf ce qui ne l’est pas.
Déjà, les islamistes le condamnent, sur le fait qu’il est jugé impur.
A la lecture du Coran, cette affirmation a du plomb dans l’aile, car la traduction des textes n’est pas si catégorique.
Mais le cochon est montré du doigt.
Le cochon serait sale ?
A voir.
ce qui est sûr c'est qu'il est injuste de donner son nom à cette grippe, car le mot de "grippe mexicaine" parait plus approprié.
A preuve du contraire, le cochon préfère l’herbe tendre à un cachot obscur, dans lequel sont déversés les aliments que nous n’avons pu, ou voulu manger.
Une sorte de poubelle en quelque sorte.
Pourtant, avec un peu de chance, chacun peut observer des cochons tout roses et proprets, gambadants dans l’herbe d’un champ, en toute liberté.
Mais revenons à la « grippe ».
plus de 100 morts au Mexique à ce jour.
C’est peu et beaucoup à la fois.
Une fois de plus, on cherche à nous rassurer.
Les Français ont l’habitude du silence depuis Tchernobyl, puisque nous avons du attendre de nombreuses semaines avant d’apprendre que nous avions été tous, plus ou moins contaminés.
Au bout du compte, des milliers de cochons passeront peut être à l’incinération, déversant leur lot de dioxines.
Mais ce qui nous intéresse, c’est le risque que représente cette nouvelle affaire sanitaire.
Selon l’OMS, le nombre de morts est peu élevé,
(57) mais ce n’est que la partie visible de « l’iceberg ».
nous venons de passer du risque 4 au risque 5 sur une échelle qui compte 6 barreaux.
Cette maladie est transmissible à l’homme, et fait vraiment peser la menace d’une pandémie humaine.
Il s’agit d’un virus dit grippal de type A.
A la différence de la grippe aviaire, cette grippe est directement transmissible à l’homme, tout comme la grippe que nous connaissons.
Ce type de virus, inconnu à ce jour du système immunitaire humain, pourrait avoir les caractéristiques nécessaires pour nous poser pas mal de problèmes.
Par le passé, seulement deux cas de décès avaient été enregistrés, mais d’après le CDC américain (centre de contrôle des maladies) le 17 avril deux enfants américains ont été concernés par ce virus.
Pourtant, ils n’avaient pas été en contact avec des cochons.
Il faut avant tout savoir que les vaccins contre la grippe humaine ne nous protègent pas contre cette nouvelle grippe.
En haut lieu on nous rassure : Ce virus est détruit par la cuisson du porc (71° celsius minimum).
En attendant, les Etats-Unis ont déclaré l’état d’urgence sanitaire, 6 cas s’étant déclarés au Canada.
L’évolution du virus est observée de très près par des internautes avisés.
Au Mexique, d’où est partie l’épidémie, le nombre de morts ne cesse de grimper et 1614 malades sont sous surveillance.
Mexico est au cœur du problème, et les 20 millions d’habitants font tout pour lutter contre la contagion.
Les Etats Unis sont au « score » de 20 décès, et au Canada 6 personnes ont été contaminées, contre 9 en Colombie.
L’Asie, grosse consommatrice de porc est sur le pied de guerre, tout comme la Nouvelle Zélande ou 10 lycéens présenteraient des symptômes de la grippe porcine.
Les ministres de la santé européenne ont décidé de se réunir le 30 avril pour en parler.
Çà ne mange pas de pain.
En Espagne, où notre Prez a essayé de raccommoder les morceaux, suite à ses allusions pas très diplomatiques, concernant l’intelligence de Zapatéro, 6 nouveaux cas ont été découverts.
Gageons que Sarkozy ne nous a pas ramené ce virus dont personne ne veut.
Car comme disait un vieil ami africain :
« Quelque soit la puanteur du poulailler, le coq reste toujours le roi ».