Anti Nouvel Ordre Mondial

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    Ben Laden s'en prend à Obama

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    Message  skwet 3/6/2009, 23:02

    Alors que le président américain est en pleine tournée de réconciliation dans le monde musulman, le chef d'Al-Qaïda est sorti de son silence, accusant Barack Obama de suivre la même politique que George W. Bush au Moyen-Orient.
    e chef d'Al-Qaïda Oussama ben Laden a accusé le président américain Barack Obama de «suivre la même politique d'hostilité» à l'égard des musulmans que son prédécesseur George W. Bush, dans un enregistrement sonore diffusé par la chaîne TV Al-Jazira du Qatar.

    «Obama suit les pas de son prédécesseur dans sa politique d'hostilité à l'égard des musulmans (...) il pose ainsi les fondements à des guerres de longue durée», a déclaré le chef d'Al-Qaïda dans les extraits de son message diffusés par Al-Jazira, peu après l'arrivée à Ryad (Arabie Saoudite) du président américain.

    Dans le cadre de sa tournée au Moyen-Orient, ce dernier qui doit tenir un discours de réconciliation aux musulmans jeudi au Caire, s'est vu accusé de «jeter les semences pour plus de haine et de volonté de revanche contre l'Amérique».

    Ben Laden a donné comme exemple l'offensive menée par l'armée pakistanaise contre les talibans dans la vallée de Swat, qui a causé 1300 victimes parmi les insurgés selon l'ONU. Le chef d'Al-Qaïda a reproché au président pakistanais Asif Ali Zardari d'avoir «reçu avec son armée les ordres d'Obama pour empêcher les habitants de Swat d'appliquer la charia», la loi islamique.

    article de libération ---->http://www.liberation.fr/monde/0101571101-ben-laden-s-en-prend-a-obama
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    Message  Solstice 3/6/2009, 23:37

    le chef d'Al-Qaïda a raison . je me suis expliqué sur le forum de libération et je puis vous assurer que la conscience des francais est en train de s'élever.

    j'interviens depuis quelque jours sur les forum de libé et je rencontre de moins en moins de résistance pour ne pas dire aucune résistance.
    ( voir ce forum ou j'interviens, peu de résistance)
    http://www.liberation.fr/monde/0101571101-ben-laden-s-en-prend-a-obama

    Article original sur Libération
    http://www.liberation.fr/monde/0101568738-tache


    mon intervention :

    c'est une question légitime que l'on est en droit de se poser. Obama l'avait promis.

    Voici mon point de vue en 2 étapes.
    mes sources proviennent de plusieurs sites américains. et je vais ajouter mon analyse personnel.

    1ere étape: Plongé dans une crise sociale, économique et financiere sans précedent, l'amérique change tres rapidement de visage et s'enfonce progressivement dans une politique qui pourrait aboutir à une dictature.

    Le ministère de la Sécurité intérieure du gouvernement américain définit désormais comme « terroristes » ceux qui croient en la Constitution, au premier, deuxième et quatrième amendements. Les anciens combattants de retour font la cible d’un déni des droits que leur accorde le deuxième amendement. Une Terrorist Watchlist (liste des terroristes sous surveillance) de plus de un million de noms, et en croissance rapide, sert de base pour refuser aux citoyens le droit de voyager et travailler.

    Obama est aujourd’hui en train de songer à l'idée d’une détention indéfinie, sans jugement, pour le citoyen étasunien. Et cela de la part d'un professeur en Constitution ! Il y a au Congrès des projets de loi pour criminaliser la liberté d'expression sur Internet grâce au Cyberbullying Act, qui pénalisera la pensée criminelle humaine notamment envers Israel. Exactement comme le Patriot Act, ça se transformera en criminalisation de la liberté d'expression politique et de toute critique contre le gouvernement.


    Le « cyberterrorisme » sert de prétexte pour mettre la réglementation gouvernementale dans le dernier bastion de l'information impartiale. Washington, réalisant qu’il est de plus en plus difficile de s’en tirer avec ses ordres fascistes, s’active vers le contrôle de terrain. La population devient de plus en plus consciente du genre de « changement » qu’Obama avait l’intention d’apporter.


    Il y a une résistance croissante au niveau national, avec plusieurs invoquant les droits que leur accorde le 9ème et 10ème amendements, dans une démarche courageuse pour que le Vampire fédéral cesse le drainage des dernières gouttes de sang, des derniers vestiges de Liberté et d’Espoir.


    C'est dans cette anomalie de développement cauchemardesque que se trouvent les États-Unis aujourd'hui, et chaque jour amène de nouvelles atteintes contre la liberté et la raison. La structure du contrôle total de la population, de l'économie et des médias, est en cours de développement dans le cadre de l’inflation incessante du pouvoir gouvernemental. Obama est assis au sommet de son nouvel Empire, toujours souriant de manière peu sincère à en être écœurant, entouré de ses courtisans aguerris, qui travaillent depuis des décennies à faire entrer les États-Unis dans une nouvelle ère du nouvel ordre mondial.

    Mon opinion.
    Comment est-il possible pour Obama et son gouvernement, d'aborder la question de guantanamo quand le peuple américain lui même, est menacé de sa liberté d'expression, de sa liberté de voyager et demain, sera peut privé de ses droits les plus élémentaires ? il devient évident que pour une pays en crise de cette ampleur, Guantanamo est un sujet bien moins prioritaire qu'il y a 1 an lors de la campagne électorale.

    bien sur, me direz vous, Obama l'avait pourtant promis. voyons voir

    2ieme étapes
    Obama est victime de sa propre politique de guerre en orient et de celle de son prédecesseur.

    une incroyable confrontation publique à eu lieu entre le président Barack Obama et l’ancien vice-président Dick Cheney

    Lors de son discours public aux Archives nationales de Washington, Obama a accusé la précédente administration de violer la Constitution. Ce discours d’Obama, consacré à la défense de sa décision de fermer le camp de prisonniers de Guantanamo, avait été planifié à la dernière minute. L’objectif était clairement de contrecarrer l’attaque de Cheney, le président en ayant été averti.

    L’attaque est survenue seulement quelques minutes après la fin des remarques d’Obama. Cheney, s’adressant à des membres d’un groupe de réflexion de droite du renseignement, a dénoncé le président de façon provocatrice et acerbe. Tournant en dérision les critiques d’Obama sur la politique d’ « interrogatoire musclé » de l’administration Bush, autrement dit la torture, l’ancien vice-président a presque accusé le président de vouloir aider et encourager les ennemis des Etats-Unis.

    Cheney se trouve au centre d’une campagne de plus en plus incisive visant à mobiliser l’opposition au Congrès et, encore plus inquiétant, parmi ses alliés politiques et sympathisants dans l’armée et la Central Intelligence Agency, contre l’administration Obama. Le développement de l’influence de cette campagne a été reflété par le vote écrasant mercredi au Congrès qui s’est opposé au plan d’Obama de fermer la prison de Guantanamo. Le Sénat, dont la plupart des démocrates, soutenu par le témoignage du directeur du FBI, Robert Mueller III, qui a soulevé la menace posée par le transfert potentiel de prisonniers vers les pénitenciers des Etats-Unis, a voté contre la proposition de fermeture de Guantanamo.

    En tentant de défendre les politiques de son administration, Obama a présenté ses propres décisions comme un certain effort d’arrière-garde désespéré pour rétablir le gouvernement constitutionnel aux Etats-Unis après huit ans d’illégalité endémique de la part de l’administration précédente.

    Il a souligné la gravité de la menace posée au pouvoir constitutionnel en faisant remarquer qu’il prononçait son discours dans un couloir qui affichait les documents fondateurs de la démocratie américaine : la Déclaration d’indépendance, la Constitution et la Déclaration des droits. Obama rappela à son auditoire qu’il avait « juré de préserver, protéger et défendre la Constitution », et déclara que « nous ne devons jamais, par opportunisme, tourner le dos à ces principes durables ».

    Obama a affirmé que sous la précédente administration, « notre gouvernement a pris des décisions basées sur la peur plutôt que la prévoyance; et bien trop souvent notre gouvernement a changé les faits et les preuves pour les adapter aux prédispositions idéologiques ».

    Appelant au rétablissement de « la loi et du jugement en bonne et due forme », Obama a déclaré que « les décisions prises au cours des huit dernières années ont établi une approche légale improvisée pour combattre le terrorisme qui n’était pas efficace et qui ne pouvait être soutenue : un cadre qui n’était pas basé sur nos traditions légales et institutions de longue date et qui ne s’est pas laissé guider par nos valeurs ». Les politiques de l’administration Bush, a-t-il dit, ont miné « la loi ».

    Dans la section la plus significative de son discours, qui nous informe sur la nature des luttes politiques qui ont fait rage aux plus hauts échelons de l’Etat, Obama a déclaré que les opposants de sa politique « adopte une perspective qui peut être résumée ainsi : “Tout est permis”. Leurs arguments suggèrent que l’objectif de la lutte contre le terrorisme peut justifier tous les moyens et que le président devrait avoir toute l’autorité voulue pour faire ce qu’il désire, admettant qu’ils soient d’accord avec ce président. »

    Ayant recours à des euphémismes contredisant le sérieux de ses déclarations, Obama a mis en garde contre la présence de puissantes forces qui étaient prêtes à rompre avec les normes constitutionnelles : « De temps en temps, a-t-il dit, certains pensent que la sécurité et le succès des Etats-Unis exigent que nous nous éloignions des principes sacrés enchâssés dans cet édifice. Nous pouvons entendre de telles voix aujourd’hui. »

    La voix principale à laquelle il faisait référence était celle de Cheney. Le président ne se serait pas senti obligé de répliquer à l’ancien vice-président si Obama le percevait comme un excentrique de droite mécontent. En fait, Obama sait que Cheney, celui qui prenait vraiment les décisions dans l’administration Bush et l’homme qui avait dirigé un gouvernement secret, détient une énorme influence au Pentagone, à la CIA et dans d’autres sections moins connues de la bureaucratie du renseignement et de l’armée qui exerce un vaste pouvoir et qui n’est responsable devant personne.

    Dans ses remarques devant l’American Enterprise Institute, Cheney est passé à l’offensive contre Obama, traitant personnellement avec mépris l’administration et le président.

    Les critiques d’Obama des méthodes d’interrogatoire « sont très injustes envers ceux qui travaillent dans les renseignements et les avocats qui méritent beaucoup mieux pour leurs services dévoués, » a déclaré Cheney. « Le danger ici est la perte de l’emphase sur la sécurité nationale et ce que ça requiert. »

    Sur un ton menaçant, Cheney ajouta : « Je conseillerais à l’administration d’être très prudente à l’avenir. »

    Sans ambiguïté, l’ancien vice-président a défendu les techniques d’interrogation de l’administration Bush, insistant que « complètement exclure les méthodes d’interrogations musclées dans le futur est imprudent à l’extrême ».

    Il a continué en dénonçant la décision d’Obama de fermer Guantanamo, en lançant un avertissement : « Je pense que le président trouvera, après réflexion, que d’amener les pires terroristes aux États-Unis sera cause de grands dangers et regrets dans les années à venir. »

    Ce n’est pas une exagération que d’affirmer que cette confrontation publique entre Obama et Cheney n’a pas de précédent dans l’histoire américaine moderne. Croire que cet échange amer entre le président et l’ancien vice-président ne soulève pas d’importantes questions sur la viabilité de la démocratie américaine est le comble de la complaisance.

    Soyons clairs : Cheney parle pour les sections puissantes de la classe dirigeante, soutenue par des sections substantielles de l’appareil militaire et des services du renseignement, qui sont profondément hostiles à la démocratie.

    Quant à Obama, sa propre position est minée par des contradictions politiques profondes et insolubles. Son plaidoyer pour que la constitution soit respectée est complètement infirmé par le fait que son administration a accepté sans question les prémisses essentielles sur lesquelles étaient basées la politique étrangère de l’administration Bush : les Etats-Unis mènent une lutte desespérée contre le « terrorisme ».

    Tout en s’opposant à certains gestes de l’administration Bush, Obama évite prudemment de défier le mensonge politique fondamental à l’origine de tous ses crimes.

    « Al-Qaïda planifie activement une autre attaque contre nous » a déclaré Obama dans le même discours mardi. « Nous savons que cette menace planera sur nous pour longtemps et que nous devons utiliser tous les composantes de notre pouvoir pour la défaire. » Et en fait, a affirmé Obama, son administration mène cette lutte de façon plus cohérente en « luttant contre les extrémistes en Afghanistan et au Pakistan qui nous ont attaqué le 11-Septembre ».

    En indiquant qu’il ne poursuivra les conspirateurs autour de Cheney, Obama ne continue en fait que sa politique de couardise et d’accommodation qui a caractérisé son administration depuis sa mise en place. Chacune des ces concessions a encouragé les sections les plus à droite de l’Etat et a facilité la conspiration contre les droits démocratiques.

    Si Obama dit la vérité (que l’administration précédente a adopté une politique où « tout était permis »), alors les responsables doivent être poursuivis en tant que criminels politiques. Au lieu de cela, Obama est venu à leur défense en les décrivant comme étant trop zélés dans la poursuite d’une noble cause. « Confronté à des menaces incertaines, a-t-il dit, notre gouvernement a pris une série de décisions rapides. Et je crois que ces décisions étaient motivées par le désir sincère de protéger la population américaine. »

    En deux occasions, Obama a insisté que personne ne serait amené en justice pour les politiques de huit dernières années. Il s’est opposé à la création d’une commission indépendante et a insisté qu’il n’y aurait aucune tentative de « se concentrer sur le passé ».

    En indiquant qu’il ne poursuivra les conspirateurs autour de Cheney, Obama ne continue en fait que sa politique de couardise et d’accommodation qui a caractérisé son administration depuis sa mise en place. Chacune des ces concessions a encouragé les sections les plus à droite de l’Etat et a facilité la conspiration contre les droits démocratiques.


    Mon opinion:
    Obama joue donc sur 2 facettes , l'une qui consiste a condamner ses prédesseurs tout en minimisant leur responsabilité ( obama est juge et partie, observez la subtilité)) et de l'autre il offre la garantie que les coupatles ne seront pas jugés. comment alors pretendre relacher des prisonniers qui n'obiendront jamais justice ? ils representent alors pour le gouvernement un danger non parcequ'ils sont dangeureux comme le pretend cheney mais mais parcequ'ils sont innocents et la résonnace au sein de la dissidence de la communauté internationale serait un effet de levier tres fort pour amener a une prise de conscience de la cruauté du gouvernement BUSH.


    La temporisation d’Obama, ses reculs constants, sont déterminés par les intérêts de classe qu’il représente. Peu importe les critiques qu’il fera de la politique de l’administration Bush, Obama a les mêmes objectifs essentiels. En termes de sa politique intérieure, il a continué à donner d’immenses sommes aux banques et aux investisseurs de Wall Street. En termes de politique militaire, il continue l’occupation de l’Irak tout en élargissant la guerre en Afghanistan et au Pakistan. Sa défense de la légalité est contredite par le fait que son administration a remis sur pied les commissions militaires pour juger les prisonniers de Guantanamo, a refusé de publier les photos sur la torture et, en général, a maintenu les mesures antidémocratiques de son prédécesseur.

    Malgré les avertissements que donne Obama sur l’érosion de la démocratie aux Etats-Unis, son administration, par ses actes mêmes, en facilite et en accélère l’effondrement. Il est impossible de combiner la guerre impérialiste avec la démocratie. La dernière ne peut survivre sans une opposition à la première.
    La défense des droits démocratiques ne peut être entreprise par aucune faction de la classe dirigeante. Les institutions de la démocratie américaine sont déjà dans un état avancé de désintégration.

    Mon opinion:
    le masque tombe. Obama ne sera jamais l'homme providentiel tant espéré par son peuple. Obama est incapable d’exposer le véritable contenu social et politique de l’attaque de Cheney, parce que cela demanderait d’exposer les objectifs politiques et les intérêts qui motivent la « guerre au terrorisme » dans 2 pays. De plus, cela demanderait un appel à une large mobilisation du peuple américain en défense des droits démocratiques qui sont au bord d'être bafoué avec le peuple lui meme. Dans une époque où l’administration met en œuvre une politique intérieure qui défend Exclusivement les intérêts de l’élite financière, l’administration Obama n’a pas l’intention de changer la politique de son prédecesseur et n'en a jamais eu l'intention. Nous avons eu Bush I puis Bush II. aujourd'hui c'est Bush III qui dirige l'amérique.

    http://www.liberation.fr/monde/0102568738-tache:sortBy-lastCommented:page-1:target-698455#698455
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    Message  Northern_Child 4/6/2009, 00:28

    Ben Laden, Al Qaida... Vous croyez encore ces conneries?
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    Message  Solstice 4/6/2009, 01:09

    Northern_Child a écrit:Ben Laden, Al Qaida... Vous croyez encore ces conneries?

    Al Qaida oui. Ben Laden non il est mort en 2004. Ben Laden est éternel et sert la cause de ce putain de mouvement sioniste tant qu'il y aura des naïfs sur terre pour croire qu'il est encore vivant. sa dernière vidéo date de 2004, en 2007 il ont filmé un faux Ben Laden, les experts ont dénoncé la mascarade, depuis il font parler 'Ben Laden' par enregistrement audio, c'est dire a quel point ils prennent les citoyens pour des cons.

    "Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument " d'accord a 200% , cela explique pourquoi nous en somme arrivé là.
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    Cédric


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    Message  Cédric 4/6/2009, 21:07

    Ben Laden à toujours travaillé pour le CIA.
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    Message  Invité 4/6/2009, 21:38

    kikiloutou a écrit:le chef d'Al-Qaïda a raison

    Le chef d'al quaïda n'existe pas ...
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    Message  Balao 5/6/2009, 00:24

    Ben Laden ????

    Il est pas mort, lui ?

    Il est mort vers le 15 décembre 2004.
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    Message  Aurelien 5/6/2009, 02:10

    Vous avez rien compris, c'est de channeling qu'il s'agit lol!
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    Message  antipropagande 5/6/2009, 09:56

    Cédric a écrit:Ben Laden à toujours travaillé pour le CIA.

    Permet moi d' en douter.

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