Le négationnisme est un néologisme inventé après la seconde guerre mondiale pour dénommé ceux qui contredisent les génocides de l’Allemagne nazie. Pourquoi avoir inventé un nouveau mot pour eux alors qu’il s’agit de révisionnisme, cette appellation aurait amplement suffit. Mais c’est bien de la seconde guerre mondiale dont on parle, celle là même qui est le seule élément historique qui est, par la loi, interdit d’être revue. Une version de l’histoire existe à son propos, aucune autre ne doit être pensée.
La défense de la version de l’histoire est faite d’un tel zèle que ceux qui nient l’existence des chambres à gaz sont appelés progressivement négationnistes puis antisémites. Car considéraient que les chambre à gaz sont fictive seraient supportés le génocide des juifs donc le partie nazie ; voilà la méthode de réflexion des détracteurs, qui ne nécessite de critique écrite. Pourtant le génocide n’a pas était nié, bien au contraire. Nié l’existence des chambres à gaz, c’est sous-entendre que les plus de 6 millions de juifs, tzigane et prisonniers morts ont subit une morts atroce. Travailler sans relâche dans des camps de concentration, maigrir chaque jour un peu plus, subir la fatigue, subir la faim, voir ses amis mourir, connaître une peur continue, une maltraitance des militaires nazie. Voilà ce qu’est le négationnisme des chambres à gaz : ceux qui déplorent une souffrance ignoble, et les appelés anti-juifs serait de la mauvaise fois ou de l’illogisme. C’est bien ceux qui soutiennent l’utilisation du gaz Zyklon-B, gaz utilisé dans les chambres à gaz des prisons américaines depuis 1917, pour la mise à mort des prisonniers. L’utilisation de ce gaz à été choisies car elle représentait une mort plus humaine car sans douleurs. Alors considéré et défendre aveuglément que le régime nazie à utilisé ce gaz pour décimer le peuple juifs, c’est à mon goût faire preuve d’antisémitisme, de clamer que les juifs n’ont pas souffert et que Hitler et son gouvernement ont pris soin d’appliquer sans douleur et d’une façon humaine la solution finale et cela, c’est soutenir le régime nazie.
La défense de la version de l’histoire est faite d’un tel zèle que ceux qui nient l’existence des chambres à gaz sont appelés progressivement négationnistes puis antisémites. Car considéraient que les chambre à gaz sont fictive seraient supportés le génocide des juifs donc le partie nazie ; voilà la méthode de réflexion des détracteurs, qui ne nécessite de critique écrite. Pourtant le génocide n’a pas était nié, bien au contraire. Nié l’existence des chambres à gaz, c’est sous-entendre que les plus de 6 millions de juifs, tzigane et prisonniers morts ont subit une morts atroce. Travailler sans relâche dans des camps de concentration, maigrir chaque jour un peu plus, subir la fatigue, subir la faim, voir ses amis mourir, connaître une peur continue, une maltraitance des militaires nazie. Voilà ce qu’est le négationnisme des chambres à gaz : ceux qui déplorent une souffrance ignoble, et les appelés anti-juifs serait de la mauvaise fois ou de l’illogisme. C’est bien ceux qui soutiennent l’utilisation du gaz Zyklon-B, gaz utilisé dans les chambres à gaz des prisons américaines depuis 1917, pour la mise à mort des prisonniers. L’utilisation de ce gaz à été choisies car elle représentait une mort plus humaine car sans douleurs. Alors considéré et défendre aveuglément que le régime nazie à utilisé ce gaz pour décimer le peuple juifs, c’est à mon goût faire preuve d’antisémitisme, de clamer que les juifs n’ont pas souffert et que Hitler et son gouvernement ont pris soin d’appliquer sans douleur et d’une façon humaine la solution finale et cela, c’est soutenir le régime nazie.