Pas de panique. Rassurez-vous, le gouvernement du Québec et l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal vous assurent qu’il n’y pas de quoi s’en faire. Voici ce qu’ils en disent:
"Le thimérosal est un agent de conservation à base de mercure utilisé dans le procédé de fabrication des vaccins et contenu dans certains flacons de vaccin à doses multiples afin de prévenir la croissance bactérienne et fongique et de stabiliser le vaccin de façon à en préserver l’efficacité dans le temps.
La quantité de thimérosal contenue dans les doses administrées aux bébés est minime et il ne permet pas une accumulation de mercure sanguin (démontré en 2003). Contrairement au méthyl mercure présent partout dans l’environnement, le mercure présent dans le thimérosal des vaccins, l’éthyl mercure, ne s’accumule pas dans l’organisme.
De nombreuses études, effectuées auprès d’environ 1 million d’enfants (au total), soit au Canada (Montréal), aux ÉU, en Angleterre, au Danemark, ne trouvent aucun lien entre les doses données de vaccins contenant du thimérosal et le développement de l’autisme. Pour ces études , une revue des dossiers des enfants a été effectué jusqu’à l’âge de 10 ans (études publiées en 2002, 2003, 2004 et 2006)."
Ils ont intérêt à avoir raison, car le nombre de poursuite en justice pour les cas d’autisme causés par le mercure contenu dans les vaccins continuent d’augmenter à un rythme effarant et si le lien venait qu’à être démontré, ce sont des poursuites de l’ordre de milliards de dollars qui seront entamées contre le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques.
Aux États-Unis, il y avait en 2008 plus de 4 900 poursuites en justice cherchant des indemnisations pour les dommages causés par le mercure contenu dans les vaccins pour enfants. Le lien a toujours été refusé par les compagnies pharmaceutiques et par le gouvernement. Mais pour la première fois, il y a eu une poursuite l’année dernière qui fut admise en cour par le gouvernement américain.
Il s’agit d’un cas d’une fillette qui a développé de l’autisme après avoir reçu une batterie de vaccins. La poursuite contre le gouvernement fut admise en cour de justice après que le personnel médical de la HHS Division of Vaccine Injury Compensation (DVIC) ait revu son cas pour en venir à la conclusion que « la demande de compensation était appropriée ». Les docteurs ont concédé que la fillette était en bonne santé et s’était développée normalement jusqu’à l’âge de 18 mois, moment où elle a reçu une batterie de vaccins contre neufs maladies d’un seul coup, dont deux qui contenaient du thimérosal. Quelques jours plus tard, elle commençait une spirale descendante dans une cascade de maladies et de problèmes pour se terminer sept mois plus tard avec un cas d’autisme diagnostiqué par le docteur Andrew Zimmerman, un important neurologiste de la clinique de neurologie de l’hôpital pour enfants Kennedy Krieger. Elle présentait des symptômes d’autisme comme la perte de réponse à des directions verbales, perte de capacités du langage, pas de contacts visuels, perte du lien relationnel avec autrui, insomnie et des hurlements incessants, pour ne nommer qu’eux.
Une enquête du gouvernement américain admet maintenant le lien possible entre l’autisme et les vaccins. Les cas d’autisme sont passés de 1 enfant sur 100 000 il y a vingt ans, à 1 enfant sur 175 aujourd’hui, chiffre du Centers for Disease Control and Prevention. Les doses vaccinales ont augmentées de trois fois aux États-Unis. Lorsque les effets cumulatifs des quantités de thimérosal que les enfants reçoivent à travers la trentaine de vaccins furent finalement mesurés en 1999, la FDA a découvert que les jeunes enfants recevaient plus de 100 fois les doses maximales sécuritaires fixées par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) dès l’âge de 18 mois.
Pour les parents qui voudraient en connaitre plus sur les ingrédients contenus dans les vaccins avant de les injecter dans le sang de leurs enfants, il y a une liste des ingrédients que vous pouvez consulter ici http://www.informedchoice.info/cocktail.html
En plus du thimérosal, vous découvrirez que plusieurs contiennent plusieurs autres ingrédients à faire sourciller, tel que des organismes génétiquement modifiés (OGM), des organismes clonés, des virus vivants, des fluides d’animaux , de la formaldéhyde, des éléments d’aluminium, du MSG et plus.
À Chicago, le Homefirst Medical Services traite des milliers d’enfants qui n’ont jamais été vaccinés. Le docteur Mayer Eisenstein a déclaré que des 30 000 ou 35 000 enfants non-vaccinés qu’ils ont traités au fil des ans, aucun cas d’autisme ne fut répertorié. Même situation pour les enfants des Amish qui ne sont pas vaccinés.
Ainsi donc, au lieu de prendre la chance suicidaire d’avouer que le mercure dans les vaccins et les remplissages dentaires sont nocifs et toxiques, la FDA qui était prise dans un paradoxe en nous avertissant du danger de la présence du mercure dans le poisson en même temps qu’elle nous assure que celui contenu dans les vaccins et les remplissages dentaires est sans danger, a décidé de déclarer que le poisson contaminé au mercure est sain et sans danger pour les bébés, les enfants et les femmes enceintes.
Puisque déjà engagée sur cette route de la protection des intérêts des compagnies pharmaceutiques, alimentaires et du gouvernement au détriment de la population, la FDA a récemment annoncé que la mélamine contenue dans la nourriture pour enfants était aussi sans danger pour la santé et même chose pour le Bisphénol-A que le Canada vient de bannir.
http://www.centpapiers.com/une-cure-de-grippe-aviaire-et-de-mercure/5735/
Dernière édition par nex le 17/7/2009, 00:05, édité 1 fois