Adopter la monnaie toute électronique serait une prison pour les citoyens; préserver la monnaie physique est une des menues garanties de pouvoir un peu échapper aux mafias financières.
Autre danger :
"Les possesseurs d'un Kindle, cet appareil commercialisé par Amazon permettant de télécharger et de lire des livres en version électronique, ont eu une mauvaise surprise vendredi s'ils étaient en train de lire « 1984 » ou « la Ferme des animaux » de George Orwell. Certaines versions de ces ouvrages ont purement et simplement disparu, effacées de leur Kindle, sans qu'ils sachent pourquoi.
Le fautif ? C'est Amazon qui a procédé à leur destruction à distance. Un porte-parole a justifié cette décision par le fait que Mobile Reference, l'entreprise qui vendait en ligne les ouvrages concernés sur le magasin Kindle, n'en détenait pas les droits et qu'il s'agissait par conséquent de copies illicites. Amazon a simultanément remboursé les clients des livres.
Ironie de l'histoire : dans « 1984 », l'un des romans victimes de l'opération, les censeurs gouvernementaux effaçaient toute trace d'écrits embarrassants pour Big Brother. Le New York Times n'hésite pas à faire le rapprochement avec la décision d'Amazon.
Cet épisode rappelle aux lecteurs de livres électroniques que leurs ouvrages sont réduits à l'état de fichiers informatiques. Achetés en ligne, ils peuvent de la même manière être modifiés à distance voire détruits. "
http://eco.rue89.com/2009/07/19/sur-le-kindle-amazon-detruit-des-livres-quil-a-vendus
La méthode est pour le moins brutale, et révélatrice du totalitarisme rampant qui gagne du terrain.
Autre danger :
"Les possesseurs d'un Kindle, cet appareil commercialisé par Amazon permettant de télécharger et de lire des livres en version électronique, ont eu une mauvaise surprise vendredi s'ils étaient en train de lire « 1984 » ou « la Ferme des animaux » de George Orwell. Certaines versions de ces ouvrages ont purement et simplement disparu, effacées de leur Kindle, sans qu'ils sachent pourquoi.
Le fautif ? C'est Amazon qui a procédé à leur destruction à distance. Un porte-parole a justifié cette décision par le fait que Mobile Reference, l'entreprise qui vendait en ligne les ouvrages concernés sur le magasin Kindle, n'en détenait pas les droits et qu'il s'agissait par conséquent de copies illicites. Amazon a simultanément remboursé les clients des livres.
Ironie de l'histoire : dans « 1984 », l'un des romans victimes de l'opération, les censeurs gouvernementaux effaçaient toute trace d'écrits embarrassants pour Big Brother. Le New York Times n'hésite pas à faire le rapprochement avec la décision d'Amazon.
Cet épisode rappelle aux lecteurs de livres électroniques que leurs ouvrages sont réduits à l'état de fichiers informatiques. Achetés en ligne, ils peuvent de la même manière être modifiés à distance voire détruits. "
http://eco.rue89.com/2009/07/19/sur-le-kindle-amazon-detruit-des-livres-quil-a-vendus
La méthode est pour le moins brutale, et révélatrice du totalitarisme rampant qui gagne du terrain.