Mon cheminement personnel m'a amené sur une voie qui ne nécessite pas de Dieu pour établir ma confiance.
Cette confiance qui amène à une sérénité propre à engranger un certain discernement, demande un réceptacle pour être accueillie. Car on met toujours sa confiance EN quelqu'un ou quelque chose...
S'il faut que ce soit en Dieu pour certains, je le comprends parfaitement...
Chacun fait son propre cheminement...
Ma confiance, je l'ai placée en moi... Même si ce n'est pas toujours évident, tant les indices de mes propres limitations tentent à me démontrer à quel point je peux être un ennemi pour moi-même...
D'éducation judéo-chrétienne, je me suis vite lassé de sa répression dogmatique sur ma liberté de penser, sur ma curiosité... Pouf! me voilà catapulté athée... dans le plus pur esprit scientifique, empiriste même.
Mais si la science est un outil formidable pour étudier et comprendre la matière, elle devient vite obsolète concernant l'esprit.
Or mon intuition me porte à penser que l'esprit est autre chose qu'un agglomérat fortuit d'activités bio-électriques dans le cerveau. C'est réduire la vie à bien peu de chose...
La voie vers le Bouddhisme était toute tracée...
Je ne veux convertir personne... Cette philosophie répond à ma propre sensibilité.
Ce qui m'a tout de suite séduit dans l'enseignement bouddhiste, c'est l'introduction: "Ne crois pas en ma parole par respect pour moi, mais éprouve-la... Expérimente et vérifie par toi-même la véracité de mes propos..."
Voilà une philosophie qui me plaît!
L'enseignement n'est pas prédigéré... Il ne suffit pas de citer quelques phrases en les brandissant en tant que Vérité émanant d'ailleurs, d'un endroit inaccessible à mon appréhension, de l'Invisible...
Ma compréhension du Bouddhisme est limitée à l'expérience de ce que j'ai pu vérifier par moi-même... c-à-d pas grand chose pour l'instant... Mais au moins, cette connaissance ne m'est dictée par rien d'autre que ma propre expérimentation, et je peux donc y établir une confiance inébranlable...
De surcroît, un des piliers de cette philosophie repose sur la démystification du principe de dualité (bien/mal, et tous opposés) sur lequel repose notre appréhension habituelle de la réalité. Réussir à cerner la notion d'interdépendance permet d'accéder à la compréhension de la non-dualité, et renvoie vers plus de relativisme, moins de contradiction, moins de tension ,moins de violence, plus de compassion, plus de paix, plus de sérénité....
Ici, pas de Dieu qui énonce des lois et qui punit ceux qui ne les suivent pas...
Juste un élève qui entend un enseignement dont le but est d'apprendre à connaître qui est l'élève qui apprend...
Je pense que la plus grande des libertés, c'est de se connaître soi-même.
Pourtant, je ne rejette pas le fait que certains trouvent leur épanouissment dans les grandes religions. Mais pour ces gens de bonne foi, je constate souvent que leur intégrité morale, leur sagesse, leur compassion,... tient moins de la stricte observance des lois de Dieu que de leur aptitude à être en confiance dans le lien d'empathie (conscience de l'interdépendance) qu'ils entretiennent avec leur environnement.
Cette confiance qui amène à une sérénité propre à engranger un certain discernement, demande un réceptacle pour être accueillie. Car on met toujours sa confiance EN quelqu'un ou quelque chose...
S'il faut que ce soit en Dieu pour certains, je le comprends parfaitement...
Chacun fait son propre cheminement...
Ma confiance, je l'ai placée en moi... Même si ce n'est pas toujours évident, tant les indices de mes propres limitations tentent à me démontrer à quel point je peux être un ennemi pour moi-même...
D'éducation judéo-chrétienne, je me suis vite lassé de sa répression dogmatique sur ma liberté de penser, sur ma curiosité... Pouf! me voilà catapulté athée... dans le plus pur esprit scientifique, empiriste même.
Mais si la science est un outil formidable pour étudier et comprendre la matière, elle devient vite obsolète concernant l'esprit.
Or mon intuition me porte à penser que l'esprit est autre chose qu'un agglomérat fortuit d'activités bio-électriques dans le cerveau. C'est réduire la vie à bien peu de chose...
La voie vers le Bouddhisme était toute tracée...
Je ne veux convertir personne... Cette philosophie répond à ma propre sensibilité.
Ce qui m'a tout de suite séduit dans l'enseignement bouddhiste, c'est l'introduction: "Ne crois pas en ma parole par respect pour moi, mais éprouve-la... Expérimente et vérifie par toi-même la véracité de mes propos..."
Voilà une philosophie qui me plaît!
L'enseignement n'est pas prédigéré... Il ne suffit pas de citer quelques phrases en les brandissant en tant que Vérité émanant d'ailleurs, d'un endroit inaccessible à mon appréhension, de l'Invisible...
Ma compréhension du Bouddhisme est limitée à l'expérience de ce que j'ai pu vérifier par moi-même... c-à-d pas grand chose pour l'instant... Mais au moins, cette connaissance ne m'est dictée par rien d'autre que ma propre expérimentation, et je peux donc y établir une confiance inébranlable...
De surcroît, un des piliers de cette philosophie repose sur la démystification du principe de dualité (bien/mal, et tous opposés) sur lequel repose notre appréhension habituelle de la réalité. Réussir à cerner la notion d'interdépendance permet d'accéder à la compréhension de la non-dualité, et renvoie vers plus de relativisme, moins de contradiction, moins de tension ,moins de violence, plus de compassion, plus de paix, plus de sérénité....
Ici, pas de Dieu qui énonce des lois et qui punit ceux qui ne les suivent pas...
Juste un élève qui entend un enseignement dont le but est d'apprendre à connaître qui est l'élève qui apprend...
Je pense que la plus grande des libertés, c'est de se connaître soi-même.
Pourtant, je ne rejette pas le fait que certains trouvent leur épanouissment dans les grandes religions. Mais pour ces gens de bonne foi, je constate souvent que leur intégrité morale, leur sagesse, leur compassion,... tient moins de la stricte observance des lois de Dieu que de leur aptitude à être en confiance dans le lien d'empathie (conscience de l'interdépendance) qu'ils entretiennent avec leur environnement.