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La TC a été crée en 1973 à l'initiative de membres du CFR comme l'éminent politologue Zbigniew Brzezinski et le milliardaire David Rockefeller actionnaire de ExxonMobil. Le but de la TC est de promouvoir une coopération entre les élites des trois principaux pôles mondiaux, à savoir les Etats-Unis, l'Europe et l'Asie.
Zbigniew Brzezinski, qui a supervisé le rapport Crisis Of Democracy (voir plus bas), a notamment écrit en 1997 Le Grand Echiquier où il parle des méthodes pour maintenir l'hégémonie américaine le plus longtemps possible avant la fusion dans un Etat mondial. Il explique que c'est grâce à l'attaque de Pearl Harbor que les Etats-Unis ont pu entrer dans le deuxième guerre mondial, et qu'à présent, il fallait le sentiment d'une menace extérieure directe et massive pour modeler un nouveau consensus planétaire, qui est en train d'être tenté ces temps-ci.
Exxon s'appelait auparavent Esso (phonétique de S.O.), et encore avant Standard Oil, qui a été créé par John Davison Rockefeller, le grand-père de David Rockefeller. Cette entreprise a été très impliquée dans le régime nazi puisqu'elle a fournit le procédé pour produire du carburant à partir du charbon (les nazis n'avait pas ou peu de gisement de pétroles). Bien entendu, il y a d'autres entreprises américaines qui ont collaboré comme IBM (traçage des juifs) et Ford.
Dès 1975, la TC publie le rapport Crisis of Democracy qui étudie la gouvernabilité des démocraties, autrement dit, comme il est possible de manoeuvrer une démocratie. En principe, une démocratie est dirigée par son peuple et ses représentants via notamment l'opinion publique. On a donc recours au modelage de l'opinion pour faire accepter des décisions qui lui sont en fait extérieures. Le rapport étudie la viabilité d'un tel système, expliquant qui si cela ne marchait plus, il faudrait revenir aux dictatures traditionnelles. Il conclut comme premier dysfonctionnement des démocraties la perte de confiance dans les gouvernements.
Parmi les co-auteur du rapport, il y a Michel Crozier, un sociologue français, qui conclut à la vulnérabilité européenne. Il identifie comme "problème" les intellectuels qui poursuivent une valeur et critique l'autorité, et le fait que les européens ont un esprit "rationnel".
On trouve aussi Samuel Huntington qui étudie le cas des Etats-Unis et qui conclut aussi à la baisse de confiance envers le gouvernement. Huntington a par ailleurs théorisé le Choc de civilisations où il promeut l'idée d'une guerre de civilisation entre le christianisme et l'Islam.
Zbigniew Brzezinski, qui a supervisé le rapport Crisis Of Democracy (voir plus bas), a notamment écrit en 1997 Le Grand Echiquier où il parle des méthodes pour maintenir l'hégémonie américaine le plus longtemps possible avant la fusion dans un Etat mondial. Il explique que c'est grâce à l'attaque de Pearl Harbor que les Etats-Unis ont pu entrer dans le deuxième guerre mondial, et qu'à présent, il fallait le sentiment d'une menace extérieure directe et massive pour modeler un nouveau consensus planétaire, qui est en train d'être tenté ces temps-ci.
Exxon s'appelait auparavent Esso (phonétique de S.O.), et encore avant Standard Oil, qui a été créé par John Davison Rockefeller, le grand-père de David Rockefeller. Cette entreprise a été très impliquée dans le régime nazi puisqu'elle a fournit le procédé pour produire du carburant à partir du charbon (les nazis n'avait pas ou peu de gisement de pétroles). Bien entendu, il y a d'autres entreprises américaines qui ont collaboré comme IBM (traçage des juifs) et Ford.
Dès 1975, la TC publie le rapport Crisis of Democracy qui étudie la gouvernabilité des démocraties, autrement dit, comme il est possible de manoeuvrer une démocratie. En principe, une démocratie est dirigée par son peuple et ses représentants via notamment l'opinion publique. On a donc recours au modelage de l'opinion pour faire accepter des décisions qui lui sont en fait extérieures. Le rapport étudie la viabilité d'un tel système, expliquant qui si cela ne marchait plus, il faudrait revenir aux dictatures traditionnelles. Il conclut comme premier dysfonctionnement des démocraties la perte de confiance dans les gouvernements.
Parmi les co-auteur du rapport, il y a Michel Crozier, un sociologue français, qui conclut à la vulnérabilité européenne. Il identifie comme "problème" les intellectuels qui poursuivent une valeur et critique l'autorité, et le fait que les européens ont un esprit "rationnel".
On trouve aussi Samuel Huntington qui étudie le cas des Etats-Unis et qui conclut aussi à la baisse de confiance envers le gouvernement. Huntington a par ailleurs théorisé le Choc de civilisations où il promeut l'idée d'une guerre de civilisation entre le christianisme et l'Islam.
