Très chers cons,
Sachez d’abord que vous n’êtes pas des citoyens. Tout ce que vous avez entendu à ce sujet n’est que sirop et glu pour les petites mouches. Vous n’appartenez à personne, pas plus à la famille, à la cité, à une entreprise qu’à l’état. L’état, ce n’est pas vous. Les soi-disant élus ne le sont pas. Ce ne sont que des voleurs et des vampires qui se nourrissent de votre sueur, de votre sang.
Ils n’ont qu’une seule arme : la poudre de Perlimpinpin. Ou poudre d’endormissement, qu’ils vous jettent au visage, en psalmodiant, du fond de leurs antres de sorciers, de l’autre côté du miroir : dors, je le veux. Dors, tu m’appartiens. Tu es à moi.
Leur seul pouvoir est un pouvoir de sorcier, par lequel ils disposent à leur gré de votre existence.
Personne d’autre que vous ne peut rompre ce cercle. Vous le pouvez. Ce pouvoir vous appartient. C’est un vrai pouvoir.
Guerre après guerre, on vous a appelé à l’assaut, frères contre frères. Les tambours ont battu, jusqu’à ce que la terre vomisse tout ce sang que vous avez répandu ou versé, les uns contre les autres. Mais ça ne les gêne pas de marcher dans le sang, ils ont la peau dure. Ca ne leur coûte rien, ce n’est pas leur précieux sang.
Le seul pouvoir des voleurs de vie réside dans leur sorcellerie, et leur sorcellerie est puissante. Elle vous suit jour après jour de votre radio-réveil à la dernière émission de télévision. A chaque instant vous obéissez aux ordres : feu rouge, interdit, stop ! feu vert, permis, et aux invitations : clique, achète, emprunte, réponds, heureux élu, vote, choisis, compare, donne ton avis, homme important, on s’occupe de tout, dors, dors, JE LE VEUX.
Quand l’invitation ne fonctionne pas, on vous convoque. De concitoyens, vous devenez des convoqués. Toujours des cons. Complices consentants et considérés comme rien.
Votre nom ne sert qu’à vous classer par ordre alphabétique. Regardez votre numéro de téléphone : il commence par ce que vous êtes, ce que nous sommes tous aux yeux de nos manipulateurs : ZERO. On sonne zéro, et tout le monde décroche. Petit, on voulait être Zorro, et puis…
Guerre après guerre, vos grand – pères, vos pères, séduits par de grandes et nobles idées de patrie et de civilisation sont allés répandre leurs tripes parmi la tripe adverse, pour ne pas rentrer ou rentrer amer et vaincus, déchirés, estropiés, pour satisfaire les appétits de pouvoir et les délires démesurés de nabots hystériques.
Ils ont servi de marche-pieds, de paillassons, vos glorieux et crétins ancêtres. Et les miens.
Aujourd’hui, on vous demande de vous prononcer sur l’identité française. Au lieu de réfléchir sur le passé, vous vous prenez gravement le menton pour essayer de répondre à cette formidable énigme : qu’est-ce qu’un français ? Moi je peux y répondre : un français ne se distingue en aucune manière de qui que ce soit, car c’est un con, comme les autres. Il passe sa vie à essayer de répondre à des questions qui n’en sont pas, qui sont des pièges faits pour qu’on y tombe. Rien d’autre. Demandez-vous – et ça, c’est une vraie question – ce qu’a pu penser le pauvre con de poilu pas encore complètement étripé le 11 novembre 1918, et qui après avoir étripé du boche, du schleuh, du vert de gris durant 4 ans, s’est vu interdire de continuer au motif que la guerre était finie. Finie ? Oui, finie. C’est bon. On a gagné. Merci, et casse toi, pauvre con, va bosser, retourne dans ta cambrousse, ton usine, qu’on fasse du commerce avec ces braves allemands qui sont nos frères, après tout. Du moment qu’ils paient au terme convenu.
Aujourd’hui, moi qui ne suis rien, pas élu, obscure vermine du fond du trou du cul du monde, je vous appelle une fois encore au combat, à l’insurrection. Oh, je ne vous demande pas de prendre les armes – il n’y en a plus, elles sont toutes entres mains de leurs milices gouvernementales – ou de jeter des bombes, pour tuer de pauvres cons comme vous, assez de sang !
Cette fois, je vous convoque comme les presque morts que vous êtes déjà à vous réveiller, à ouvrir les yeux et à comprendre l’enjeu en cours.
La guerre n’a pas lieu comme on vous le rabâche, comme le psalmodient les sorciers dans leurs antres, la guerre n’est pas entre le monde civilisé et les terroristes, non. La guerre est allumée entre les pouvoirs en place et l’espèce humaine. Eteignez les télévisions et les radios, n’achetez plus vos journaux favoris, qui sont tous les instruments des pouvoirs, et laissez vous, allez, une semaine, une semaine, ce n’est rien, pour soulever le voile, et rien n’est plus facile.
Tout le monde a vu le film de Peter Jackson : le Seigneur des Anneaux. Chacun se souvient du roi Theoden envoûté par Grima « langue de serpent », instrument du mage Saroumane. Nous sommes tous des rois, et tous envoûtés par la langue de serpent des medias officiels. Pour le savoir, il faut fermer la langue de serpent.
Très chers cons, qui êtes mes très chers frères en humanité, je vous adjure de renoncer, ne serait-ce qu’une semaine, à votre délicieuse et atroce cure de morphine. Fermez tous les écrans, éteignez toutes les radios, surtout laissez vos journaux en tas, ne les ouvrez pas.
Une semaine durant, allez, faites cela pour Noël, ce sera enfin un vrai Noël, une semaine durant, sortez de l’envoûtement, asseyez-vous, comme vous voulez, où vous voulez, voyez, vous êtes libres, personne n’a d’ordre ou de suggestion à vous faire, posez-vous, sortez de la triple malédiction du travail, de la responsabilité et de la subsistance qui a été mise sur vos épaules, comme un joug sur le bétail, respirez avec conscience et délicatesse, sans hâte (votre vie n’est que hâte !) et dites : JE SUIS. JE SUIS. JE SUIS VIVANT.
Si vous êtes vraiment, si vraiment vous êtes vivant, votre être va se manifester. Par des larmes, souvent, au début.
Mes chers amis, voici l’arme dont vous serez équipés dans cette guerre d’un genre nouveau, celle des hommes contre les vampires qui prétendent être vos chefs, sans aucune légitimité.
La majorité sert-elle de légitimité ? Même si c’était vrai – et c’est entièrement faux, car NUL N’A DE DROIT SUR QUICONQUE – la majorité en France n’est-elle pas celle des non votants ? Alors quelle légitimité a le soi-disant président (minuscule mais dangereux vibrion) qui passe, repasse et occupe la télé, comme si ça coulait de source ?
Vous, vous passez à la télé ? Pour dire, par exemple : Personne, je dis bien : PERSONNE n’a le droit de penser et de parler à ma place !
Quelle est la légitimité des partis politiques ? Les socialistes d’opérette – Strauss-Kahn, Fabius, Ségolène – et les faux facteurs vous semblent-ils dignes d’être vos chefs ? Avez-vous besoin de chefs ?
Mais il faut bien une autorité, direz-vous. Ah bon ? N’êtes-vous pas une autorité suffisante ? N’êtes vous pas votre propre maître ? N’avez-vous pas envie, au moins une fois dans le laps de temps qui vous est imparti de devenir ce que Vous êtes : un Maître ?
Etre un maître, ce n’est évidemment pas grimper sur les autres pour leur empêcher d’être ce qu’ils sont : des maîtres.
Chers frères et sœurs humains, aujourd’hui je vous appelle à une mobilisation d’un genre nouveau : la guerre des maîtres contre les esclavagistes. Votre guerre contre celle de ceux qui prétendent être vos maîtres.
Ouvrez les yeux, et voyez ce que vous êtes, et ce que sont vos prétendus maîtres. Choisissez enfin de ne pas mourir comme du bétail que vous n’êtes pas, et de vivre comme des femmes et des hommes : DEBOUT. Refusez les poisons et toutes les addictions.
Le premier combat de cette nouvelle guerre, et ce n’est pas le dernier sur le chemin de votre liberté enfin retrouvée, c’est de ne pas accepter dans l’intime de votre corps le venin des vaccins faits pour vous diminuer, vous estropier ou vous tuer. Au mieux, ils ne servent à rien. Qu’à engraisser fabuleusement les vampires. Au pire, ils vous tueront, vous ou les vôtres.
Le premier acte de cette guerre d’un genre nouveau, c’est d’éteindre vos téléphones et vos écrans. De prendre le temps. De réfléchir avant d’acheter, de répondre aux injonctions de toutes sortes. De ne pas aller systématiquement partout où l’on vous convie, même et SURTOUT si TOUT LE MONDE vous répète sans relâche que c’est justement là qu’il faut aller. N’achetez plus les best seller, n’allez plus voir les films cultes, snobez les stars, ignorez les pipol, achetez des bagnoles merdiques, marchez à pied, ne vous parfumez plus, traversez hors des passages cloutés. Faites tout ce qui vous est modérément interdit. Traînez les pieds, devenez sourds, rétifs, réticents. Laissez-vous exister, penser, réfléchir. Roulez à 10 km / heure dans les villes et à 30 là où on vous permet 70. Devenez-conscients que la désobéissance n’est pas une vertu en soi, bien sûr, mais qu’elle vous rend conscient de la liberté qui est la vôtre et qu’on vous enlève à chaque instant. Car à chaque instant, vous pouvez poser une ou toutes les chaînes. C’est entre vos mains. Les vôtres.
Levez-vous, dites : NON, mon corps est mon bien, pas celui des buveurs de sang. Bien sûr, les sirènes, aimables d’abord, puis casquées ensuite viendront vous exposer votre culpabilité, votre responsabilité de citoyen.
Mais, mes très chers cons, souvenez-vous que vous êtes UNIQUES. Soyez vraiment cons, refusez ce genre de citoyenneté obligatoire ou fortement recommandée à coup de propagande : dites NON. Chacun de nous est unique et précieux. Et respecter l’autre, c’est d’abord se respecter soi-même. La propagande de l’ennemi répète à chaque minute que s’empoisonner est un acte vertueux. Et que ceux qui refuseront de boire le poison sont des monstres et des traîtres. La terrifiante pandémie annoncée est morte de fatigue. Qu’importe, il faudra payer les millions de doses de pourriture achetée à votre compte. Qu’importe ? Il faudra que les esclaves-médecins prescrivent à tour de bras et à titre préventif (de quoi ?) le Tamiflu, dont vous devriez quand même, si vous aimez vraiment vous faire peur, lire les effets indésirables.
Très chers cons, n’en avez-vous pas assez d’être pris pour des cons ? L’êtes-vous vraiment, ou n’êtes vous qu’endormis et hypnotisés, victimes de l’ensorcellement des vampires ?
Si vous tenez vraiment à dormir, tant pis pour vous. Vous serez laissé à votre sort, sur le tapis roulant, et vous deviendrez le bétail qui accepte tout.
Si ce message vous parvient, alors tenez-vous prêt. Nul ne sait ce que sera demain. Une seule certitude : toutes les guerres ont été gagnées par le petit nombre de ceux qui n’ont pas plié, quel qu’en soit le nombre. Ce n’est pas le nombre qui importe, mais la détermination. Pas la quantité, la qualité.
Vous pouvez être de sacrés cons, des cons sacrés, et renverser, avec l’aide de Dieu, les murs qui se resserrent autour de vous, quelle que soit votre identité – française, chrétienne, bouddhiste, musulmane.
Si vous êtes de ceux qui sont venus ici, en ce lieu, en ce temps pour vous battre et galvaniser les énergies des hommes, alors ne pliez pas, préparez-vous à la guerre, quelle qu’en soit la forme.
Cette guerre est nouvelle et unique, car c’est la guerre des hommes et femmes (n’oublions pas les nombreux enfants) du monde entier contre l’envahisseur, le maître des images et de toutes les sorcelleries.
Cette guerre, comme toutes les guerres, nous la gagnerons.
Nous sommes seuls, minables. Mais nous sommes nombreux, bien que le petit nombre. Nos armes : la lucidité, la sincérité. Nos alliés : les forces de lumière. Le rire, la joie, la liberté intérieure. Et plus nous irons, plus cela sera menacé, et plus cela grandira.
C’est ici la guerre de la légèreté, de la danse, du rire, de la joie, de l’amour contre les forces machinales de la pesanteur. La guerre d’Abel, l’ami de Dieu contre les armées de Caïn. ÊTRE contre avoir.
Notre ennemi n’a qu’une seule arme : la peur, le sort jeté, l’ensorcellement, la répétition d’un seul message, sous des milliers de formes : Bétail, tu m’appartiens.
Frères et sœurs, chers cons, chers amis, chère chair toujours meurtrie, chère lumière dans des habits de peau, le temps est venu de montrer quelle lumière est la vôtre. Vos ennemis sont morts, et des simulacres. Vous êtes vivants. La mort de vos corps est sans importance. Eux se reproduisent à l’infini, car ils ne sont que le reflet d’un esprit unique, un esprit qui n’EST pas, alors que Vous ÊTES.
Eveillez vous, ouvrez les yeux. Il n’y aura pas de message, pas de mot d’ordre, pas de consigne. Cette guerre est vraiment nouvelle. Vous saurez toujours quelle conduite tenir, car vous êtes libres. Pas d’état-major, de planqués qui envoient le bétail au casse-pipe. Cette guerre est la guerre d’hommes libres contre les rouages d’une machine. Tout comportement machinal sera donc une victoire de l’ennemi. Tout comportement véritablement humain rapprochera la défaite de l’ennemi.
La ligne de front est dans le cœur de chacun.
Comme disaient les héros d’autrefois : UN POUR TOUS, TOUS POUR UN. C’est la devise des hommes de cœur. UN, c’est l’Esprit qui nous unit tous, quelles que soient nos différences apparentes. C’est sur ces différences que table la Bête. Oublions-les.
http://www.mecanopolis.org/?p=11994
honneur et bienvenue à ce nouveau media alternatif
http://www.newsoftomorrow.org/http://www.newsoftomorrow.org/
Sachez d’abord que vous n’êtes pas des citoyens. Tout ce que vous avez entendu à ce sujet n’est que sirop et glu pour les petites mouches. Vous n’appartenez à personne, pas plus à la famille, à la cité, à une entreprise qu’à l’état. L’état, ce n’est pas vous. Les soi-disant élus ne le sont pas. Ce ne sont que des voleurs et des vampires qui se nourrissent de votre sueur, de votre sang.
Ils n’ont qu’une seule arme : la poudre de Perlimpinpin. Ou poudre d’endormissement, qu’ils vous jettent au visage, en psalmodiant, du fond de leurs antres de sorciers, de l’autre côté du miroir : dors, je le veux. Dors, tu m’appartiens. Tu es à moi.
Leur seul pouvoir est un pouvoir de sorcier, par lequel ils disposent à leur gré de votre existence.
Personne d’autre que vous ne peut rompre ce cercle. Vous le pouvez. Ce pouvoir vous appartient. C’est un vrai pouvoir.
Guerre après guerre, on vous a appelé à l’assaut, frères contre frères. Les tambours ont battu, jusqu’à ce que la terre vomisse tout ce sang que vous avez répandu ou versé, les uns contre les autres. Mais ça ne les gêne pas de marcher dans le sang, ils ont la peau dure. Ca ne leur coûte rien, ce n’est pas leur précieux sang.
Le seul pouvoir des voleurs de vie réside dans leur sorcellerie, et leur sorcellerie est puissante. Elle vous suit jour après jour de votre radio-réveil à la dernière émission de télévision. A chaque instant vous obéissez aux ordres : feu rouge, interdit, stop ! feu vert, permis, et aux invitations : clique, achète, emprunte, réponds, heureux élu, vote, choisis, compare, donne ton avis, homme important, on s’occupe de tout, dors, dors, JE LE VEUX.
Quand l’invitation ne fonctionne pas, on vous convoque. De concitoyens, vous devenez des convoqués. Toujours des cons. Complices consentants et considérés comme rien.
Votre nom ne sert qu’à vous classer par ordre alphabétique. Regardez votre numéro de téléphone : il commence par ce que vous êtes, ce que nous sommes tous aux yeux de nos manipulateurs : ZERO. On sonne zéro, et tout le monde décroche. Petit, on voulait être Zorro, et puis…
Guerre après guerre, vos grand – pères, vos pères, séduits par de grandes et nobles idées de patrie et de civilisation sont allés répandre leurs tripes parmi la tripe adverse, pour ne pas rentrer ou rentrer amer et vaincus, déchirés, estropiés, pour satisfaire les appétits de pouvoir et les délires démesurés de nabots hystériques.
Ils ont servi de marche-pieds, de paillassons, vos glorieux et crétins ancêtres. Et les miens.
Aujourd’hui, on vous demande de vous prononcer sur l’identité française. Au lieu de réfléchir sur le passé, vous vous prenez gravement le menton pour essayer de répondre à cette formidable énigme : qu’est-ce qu’un français ? Moi je peux y répondre : un français ne se distingue en aucune manière de qui que ce soit, car c’est un con, comme les autres. Il passe sa vie à essayer de répondre à des questions qui n’en sont pas, qui sont des pièges faits pour qu’on y tombe. Rien d’autre. Demandez-vous – et ça, c’est une vraie question – ce qu’a pu penser le pauvre con de poilu pas encore complètement étripé le 11 novembre 1918, et qui après avoir étripé du boche, du schleuh, du vert de gris durant 4 ans, s’est vu interdire de continuer au motif que la guerre était finie. Finie ? Oui, finie. C’est bon. On a gagné. Merci, et casse toi, pauvre con, va bosser, retourne dans ta cambrousse, ton usine, qu’on fasse du commerce avec ces braves allemands qui sont nos frères, après tout. Du moment qu’ils paient au terme convenu.
Aujourd’hui, moi qui ne suis rien, pas élu, obscure vermine du fond du trou du cul du monde, je vous appelle une fois encore au combat, à l’insurrection. Oh, je ne vous demande pas de prendre les armes – il n’y en a plus, elles sont toutes entres mains de leurs milices gouvernementales – ou de jeter des bombes, pour tuer de pauvres cons comme vous, assez de sang !
Cette fois, je vous convoque comme les presque morts que vous êtes déjà à vous réveiller, à ouvrir les yeux et à comprendre l’enjeu en cours.
La guerre n’a pas lieu comme on vous le rabâche, comme le psalmodient les sorciers dans leurs antres, la guerre n’est pas entre le monde civilisé et les terroristes, non. La guerre est allumée entre les pouvoirs en place et l’espèce humaine. Eteignez les télévisions et les radios, n’achetez plus vos journaux favoris, qui sont tous les instruments des pouvoirs, et laissez vous, allez, une semaine, une semaine, ce n’est rien, pour soulever le voile, et rien n’est plus facile.
Tout le monde a vu le film de Peter Jackson : le Seigneur des Anneaux. Chacun se souvient du roi Theoden envoûté par Grima « langue de serpent », instrument du mage Saroumane. Nous sommes tous des rois, et tous envoûtés par la langue de serpent des medias officiels. Pour le savoir, il faut fermer la langue de serpent.
Très chers cons, qui êtes mes très chers frères en humanité, je vous adjure de renoncer, ne serait-ce qu’une semaine, à votre délicieuse et atroce cure de morphine. Fermez tous les écrans, éteignez toutes les radios, surtout laissez vos journaux en tas, ne les ouvrez pas.
Une semaine durant, allez, faites cela pour Noël, ce sera enfin un vrai Noël, une semaine durant, sortez de l’envoûtement, asseyez-vous, comme vous voulez, où vous voulez, voyez, vous êtes libres, personne n’a d’ordre ou de suggestion à vous faire, posez-vous, sortez de la triple malédiction du travail, de la responsabilité et de la subsistance qui a été mise sur vos épaules, comme un joug sur le bétail, respirez avec conscience et délicatesse, sans hâte (votre vie n’est que hâte !) et dites : JE SUIS. JE SUIS. JE SUIS VIVANT.
Si vous êtes vraiment, si vraiment vous êtes vivant, votre être va se manifester. Par des larmes, souvent, au début.
Mes chers amis, voici l’arme dont vous serez équipés dans cette guerre d’un genre nouveau, celle des hommes contre les vampires qui prétendent être vos chefs, sans aucune légitimité.
La majorité sert-elle de légitimité ? Même si c’était vrai – et c’est entièrement faux, car NUL N’A DE DROIT SUR QUICONQUE – la majorité en France n’est-elle pas celle des non votants ? Alors quelle légitimité a le soi-disant président (minuscule mais dangereux vibrion) qui passe, repasse et occupe la télé, comme si ça coulait de source ?
Vous, vous passez à la télé ? Pour dire, par exemple : Personne, je dis bien : PERSONNE n’a le droit de penser et de parler à ma place !
Quelle est la légitimité des partis politiques ? Les socialistes d’opérette – Strauss-Kahn, Fabius, Ségolène – et les faux facteurs vous semblent-ils dignes d’être vos chefs ? Avez-vous besoin de chefs ?
Mais il faut bien une autorité, direz-vous. Ah bon ? N’êtes-vous pas une autorité suffisante ? N’êtes vous pas votre propre maître ? N’avez-vous pas envie, au moins une fois dans le laps de temps qui vous est imparti de devenir ce que Vous êtes : un Maître ?
Etre un maître, ce n’est évidemment pas grimper sur les autres pour leur empêcher d’être ce qu’ils sont : des maîtres.
Chers frères et sœurs humains, aujourd’hui je vous appelle à une mobilisation d’un genre nouveau : la guerre des maîtres contre les esclavagistes. Votre guerre contre celle de ceux qui prétendent être vos maîtres.
Ouvrez les yeux, et voyez ce que vous êtes, et ce que sont vos prétendus maîtres. Choisissez enfin de ne pas mourir comme du bétail que vous n’êtes pas, et de vivre comme des femmes et des hommes : DEBOUT. Refusez les poisons et toutes les addictions.
Le premier combat de cette nouvelle guerre, et ce n’est pas le dernier sur le chemin de votre liberté enfin retrouvée, c’est de ne pas accepter dans l’intime de votre corps le venin des vaccins faits pour vous diminuer, vous estropier ou vous tuer. Au mieux, ils ne servent à rien. Qu’à engraisser fabuleusement les vampires. Au pire, ils vous tueront, vous ou les vôtres.
Le premier acte de cette guerre d’un genre nouveau, c’est d’éteindre vos téléphones et vos écrans. De prendre le temps. De réfléchir avant d’acheter, de répondre aux injonctions de toutes sortes. De ne pas aller systématiquement partout où l’on vous convie, même et SURTOUT si TOUT LE MONDE vous répète sans relâche que c’est justement là qu’il faut aller. N’achetez plus les best seller, n’allez plus voir les films cultes, snobez les stars, ignorez les pipol, achetez des bagnoles merdiques, marchez à pied, ne vous parfumez plus, traversez hors des passages cloutés. Faites tout ce qui vous est modérément interdit. Traînez les pieds, devenez sourds, rétifs, réticents. Laissez-vous exister, penser, réfléchir. Roulez à 10 km / heure dans les villes et à 30 là où on vous permet 70. Devenez-conscients que la désobéissance n’est pas une vertu en soi, bien sûr, mais qu’elle vous rend conscient de la liberté qui est la vôtre et qu’on vous enlève à chaque instant. Car à chaque instant, vous pouvez poser une ou toutes les chaînes. C’est entre vos mains. Les vôtres.
Levez-vous, dites : NON, mon corps est mon bien, pas celui des buveurs de sang. Bien sûr, les sirènes, aimables d’abord, puis casquées ensuite viendront vous exposer votre culpabilité, votre responsabilité de citoyen.
Mais, mes très chers cons, souvenez-vous que vous êtes UNIQUES. Soyez vraiment cons, refusez ce genre de citoyenneté obligatoire ou fortement recommandée à coup de propagande : dites NON. Chacun de nous est unique et précieux. Et respecter l’autre, c’est d’abord se respecter soi-même. La propagande de l’ennemi répète à chaque minute que s’empoisonner est un acte vertueux. Et que ceux qui refuseront de boire le poison sont des monstres et des traîtres. La terrifiante pandémie annoncée est morte de fatigue. Qu’importe, il faudra payer les millions de doses de pourriture achetée à votre compte. Qu’importe ? Il faudra que les esclaves-médecins prescrivent à tour de bras et à titre préventif (de quoi ?) le Tamiflu, dont vous devriez quand même, si vous aimez vraiment vous faire peur, lire les effets indésirables.
Très chers cons, n’en avez-vous pas assez d’être pris pour des cons ? L’êtes-vous vraiment, ou n’êtes vous qu’endormis et hypnotisés, victimes de l’ensorcellement des vampires ?
Si vous tenez vraiment à dormir, tant pis pour vous. Vous serez laissé à votre sort, sur le tapis roulant, et vous deviendrez le bétail qui accepte tout.
Si ce message vous parvient, alors tenez-vous prêt. Nul ne sait ce que sera demain. Une seule certitude : toutes les guerres ont été gagnées par le petit nombre de ceux qui n’ont pas plié, quel qu’en soit le nombre. Ce n’est pas le nombre qui importe, mais la détermination. Pas la quantité, la qualité.
Vous pouvez être de sacrés cons, des cons sacrés, et renverser, avec l’aide de Dieu, les murs qui se resserrent autour de vous, quelle que soit votre identité – française, chrétienne, bouddhiste, musulmane.
Si vous êtes de ceux qui sont venus ici, en ce lieu, en ce temps pour vous battre et galvaniser les énergies des hommes, alors ne pliez pas, préparez-vous à la guerre, quelle qu’en soit la forme.
Cette guerre est nouvelle et unique, car c’est la guerre des hommes et femmes (n’oublions pas les nombreux enfants) du monde entier contre l’envahisseur, le maître des images et de toutes les sorcelleries.
Cette guerre, comme toutes les guerres, nous la gagnerons.
Nous sommes seuls, minables. Mais nous sommes nombreux, bien que le petit nombre. Nos armes : la lucidité, la sincérité. Nos alliés : les forces de lumière. Le rire, la joie, la liberté intérieure. Et plus nous irons, plus cela sera menacé, et plus cela grandira.
C’est ici la guerre de la légèreté, de la danse, du rire, de la joie, de l’amour contre les forces machinales de la pesanteur. La guerre d’Abel, l’ami de Dieu contre les armées de Caïn. ÊTRE contre avoir.
Notre ennemi n’a qu’une seule arme : la peur, le sort jeté, l’ensorcellement, la répétition d’un seul message, sous des milliers de formes : Bétail, tu m’appartiens.
Frères et sœurs, chers cons, chers amis, chère chair toujours meurtrie, chère lumière dans des habits de peau, le temps est venu de montrer quelle lumière est la vôtre. Vos ennemis sont morts, et des simulacres. Vous êtes vivants. La mort de vos corps est sans importance. Eux se reproduisent à l’infini, car ils ne sont que le reflet d’un esprit unique, un esprit qui n’EST pas, alors que Vous ÊTES.
Eveillez vous, ouvrez les yeux. Il n’y aura pas de message, pas de mot d’ordre, pas de consigne. Cette guerre est vraiment nouvelle. Vous saurez toujours quelle conduite tenir, car vous êtes libres. Pas d’état-major, de planqués qui envoient le bétail au casse-pipe. Cette guerre est la guerre d’hommes libres contre les rouages d’une machine. Tout comportement machinal sera donc une victoire de l’ennemi. Tout comportement véritablement humain rapprochera la défaite de l’ennemi.
La ligne de front est dans le cœur de chacun.
Comme disaient les héros d’autrefois : UN POUR TOUS, TOUS POUR UN. C’est la devise des hommes de cœur. UN, c’est l’Esprit qui nous unit tous, quelles que soient nos différences apparentes. C’est sur ces différences que table la Bête. Oublions-les.
http://www.mecanopolis.org/?p=11994
honneur et bienvenue à ce nouveau media alternatif
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