Le mérite de la modestie
Le Messager de Allah a dit : hadith sûr, ce qui signifie : « Certes vous passez à côté d'une des meilleures adorations : la modestie ».
Mouslim a rapporté que le Messager de Allah a dit : ce qui signifie : « Celui qui fait preuve de modestie par recherche de l'agrément de Allah, Allah l'élève en degré ».
La modestie est chose requise avec les plus âgés, les plus jeunes, les riches et les pauvres, par recherche de l'agrément de Allah. Par contre, faire preuve de modestie à l’égard du riche en raison de sa fortune est une chose blâmable, tout comme faire preuve d’orgueil est une chose blâmable vis à vis du croyant et des non-croyants car les prophètes lorsqu’ils ont appelé les gens à la religion, ils ne faisaient pas preuve d’orgueil vis à vis d’eux. En effet, s’ils avaient fait preuve d’orgueil à leur égard, les mécréants les auraient fuit.
Le comportement et l’état du Prophète et des autres prophètes que lui indiquent cela.
Il est arrivé qu’un fils de Isra’il de Médine avait contracté avec le Prophète une vente à échéance. Puis ce fils de Isra’il était venu au Prophète et lui avait dit : « Ô vous fils de ^Abdou l-Mouttalib ! Vous retardez le remboursement de vos dettes ». Là-dessus, le Prophète ne l’a pas violenté et n’a pas manifesté de colère envers lui. Le Prophète a ordonné qu’on lui rembourse sa dette avec largesse. Le Messager de Allah n’a pas eu le visage qui a changé face à ce fils de Isra’il qui l’avait blâmé lui et sa tribu. En effet, les propos de ce fils de Isra’il l’englobaient lui et sa tribu, c’est comme s'il avait dit : « Ô toi Mouhammad ainsi que ta tribu ! Vous retardez le remboursement de vos dettes ». Or ce fils de Isra’il est entré en Islam car il avait voulu faire passer une épreuve au Prophète pour voir s'il trouverait en lui les signes qui étaient mentionnés dans certains livres anciens concernant les caractères de Mouhammad. Lorsqu’il les avait vus réunis en lui, il est entré en Islam.
Il est arrivé également à notre maître Ar-Rifa^iyy, que Allah l’agrée, une histoire semblable à cela. Notre maître Ahmad un jour marchait avec un groupe de ses disciples (mourid). Un fils de Isra’il en fut informé. Il avait entendu que notre maître Ahmad Ar-Rifa^iyy était indulgent, modeste et il avait voulu lui faire passer une épreuve pour voir s’il était véritablement comme le décrivaient les gens ou non. Il était venu à lui et lui avait dit : « Ô maître, est-ce toi qui es meilleur ou le chien ? » Alors notre maître Ar-Rifa^iyy, que Dieu l’agrée, lui a répondu : « Si je suis sauvé sur As-Sirat (le pont), je suis meilleur que lui ». Alors ce fils de Isra’il était entré en Islam tout comme sa famille et beaucoup de ses connaissances. S’il n’avait pas fait preuve de modestie envers lui, il ne serait pas entré en Islam. S’il avait manifesté des traces de colère sur son visage, si son visage avait changé ou s'il lui avait dit une insulte, l’autre n’aurait pas désiré l’Islam. Seulement son extrême indulgence et sa modestie lui ont plu et il a reconnu en lui-même que la religion de ce maître était la religion correcte.
Le Messager de Allah a dit : hadith sûr, ce qui signifie : « Certes vous passez à côté d'une des meilleures adorations : la modestie ».
Mouslim a rapporté que le Messager de Allah a dit : ce qui signifie : « Celui qui fait preuve de modestie par recherche de l'agrément de Allah, Allah l'élève en degré ».
La modestie est chose requise avec les plus âgés, les plus jeunes, les riches et les pauvres, par recherche de l'agrément de Allah. Par contre, faire preuve de modestie à l’égard du riche en raison de sa fortune est une chose blâmable, tout comme faire preuve d’orgueil est une chose blâmable vis à vis du croyant et des non-croyants car les prophètes lorsqu’ils ont appelé les gens à la religion, ils ne faisaient pas preuve d’orgueil vis à vis d’eux. En effet, s’ils avaient fait preuve d’orgueil à leur égard, les mécréants les auraient fuit.
Le comportement et l’état du Prophète et des autres prophètes que lui indiquent cela.
Il est arrivé qu’un fils de Isra’il de Médine avait contracté avec le Prophète une vente à échéance. Puis ce fils de Isra’il était venu au Prophète et lui avait dit : « Ô vous fils de ^Abdou l-Mouttalib ! Vous retardez le remboursement de vos dettes ». Là-dessus, le Prophète ne l’a pas violenté et n’a pas manifesté de colère envers lui. Le Prophète a ordonné qu’on lui rembourse sa dette avec largesse. Le Messager de Allah n’a pas eu le visage qui a changé face à ce fils de Isra’il qui l’avait blâmé lui et sa tribu. En effet, les propos de ce fils de Isra’il l’englobaient lui et sa tribu, c’est comme s'il avait dit : « Ô toi Mouhammad ainsi que ta tribu ! Vous retardez le remboursement de vos dettes ». Or ce fils de Isra’il est entré en Islam car il avait voulu faire passer une épreuve au Prophète pour voir s'il trouverait en lui les signes qui étaient mentionnés dans certains livres anciens concernant les caractères de Mouhammad. Lorsqu’il les avait vus réunis en lui, il est entré en Islam.
Il est arrivé également à notre maître Ar-Rifa^iyy, que Allah l’agrée, une histoire semblable à cela. Notre maître Ahmad un jour marchait avec un groupe de ses disciples (mourid). Un fils de Isra’il en fut informé. Il avait entendu que notre maître Ahmad Ar-Rifa^iyy était indulgent, modeste et il avait voulu lui faire passer une épreuve pour voir s’il était véritablement comme le décrivaient les gens ou non. Il était venu à lui et lui avait dit : « Ô maître, est-ce toi qui es meilleur ou le chien ? » Alors notre maître Ar-Rifa^iyy, que Dieu l’agrée, lui a répondu : « Si je suis sauvé sur As-Sirat (le pont), je suis meilleur que lui ». Alors ce fils de Isra’il était entré en Islam tout comme sa famille et beaucoup de ses connaissances. S’il n’avait pas fait preuve de modestie envers lui, il ne serait pas entré en Islam. S’il avait manifesté des traces de colère sur son visage, si son visage avait changé ou s'il lui avait dit une insulte, l’autre n’aurait pas désiré l’Islam. Seulement son extrême indulgence et sa modestie lui ont plu et il a reconnu en lui-même que la religion de ce maître était la religion correcte.