Quand la science met a jour notre vie spirituelle.

Vie après la mort Preuves scientifiques

Dr Jean-Jacques CHARBONNIER



Cerveau éteint, conscience active... Mais d'où vient elle alors?

ziril a écrit:Cerveau éteint, conscience active... Mais d'où vient elle alors?

Ce brave homme ne fait, en réalité, qu'ouvrir une porte largement ouverte – ou tout au moins connue depuis des millénaires – du fait de l'expérience initiatique. De ce point de vue, le cerveau n'est aucunement indispensable à la conscience. Il n'est, du reste, nullement le siège de la pensée comme se l'imaginent les scientifiques actuels, mais le réflecteur des pensées – d'où la "réflexion" précisément.

Voici d'ailleurs un cliché de la boîte cervicale vide d'un homme qui ne s'en aperçut qu'à la suite d'une banale radioscopie de routine (au grand effarement du praticien) =


Ceux-là seuls qui ignorent que le corps physique – et conséquemment le cerveau – tirent leur substance et vie d'une enveloppe éthérique immatérielle distincte trouveront extraordinaire qu'un homme puisse vivre, percevoir et penser sans encéphale physique.

Autre exemple : la boîte crânienne fuyante de l'homme de Néanderthal fit conclure à la stupidité de ce dernier : c'est encore la thèse officielle actuelle. C'est seulement ignorer que le cerveau éthérique de cet homme dépassait de beaucoup son front, directement lié, de ce fait, à la substance éthérique du monde, ce qui le rendait justement clairvoyant à un haut degré. Clairvoyance spirituelle qui se perdit au fur et à mesure que ce cette partie éthérique du cerveau se trouva recouverte et progressivement enfermée dans la boîte crânienne comme chez la plupart des hommes de notre époque. Ce sont là des connaissances de base que l'ésotérisme enseigne et permet de reconquérir.

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Un patient en état végétatif présumé communique par la pensée

Un homme considéré pendant cinq ans comme étant en état végétatif a réussi à répondre par "oui" et "non" à des médecins, uniquement par la pensée, révèle une étude dont les conclusions ont été publiées mercredi par le New England Journal of Medicine.

Photo d'un IRM (Imagerie par Résonnance Magnétique) dans un hôpital de Liège (Belgique), le 30 novembre 2007

Imagerie par Résonnance Magnétique

AFP/Archives

En 2003, cet homme de 29 ans, dont l'identité n'a pas été dévoilée, avait survécu à un grave accident de la route, explique dans un communiqué l'université de Liège (Belgique), dont des chercheurs ont participé à l'étude publiée par l'hebdomadaire scientifique américain.

Ne pouvant ni bouger, ni parler, l'homme, qui "vit dans un pays d'Europe de l'Est", a été considéré comme en état végétatif.

Son activité cérébrale a été toutefois été examinée par une technique de scanner récente, l'"imagerie par résonance magnétique fonctionnelle" (IRMF), par des équipes des universités de Liège et de Cambridge (Royaume-Uni).

Il est alors apparu que lorsqu'on lui posait des questions simples, telles que "Est-ce que votre papa s'appelle Thomas ?", les mêmes zones de son cerveau s'activaient que chez des personnes en bonne santé.

"Nous étions atterrés lorsque nous avons vu les résultats du scanner du patient. Il était capable de répondre correctement à des questions et cela simplement en modulant ses pensées, qui étaient ensuite décodées par l'IRMF", a déclaré Adrian Owen, professeur de neurologie à l'université de Cambridge.

L'étude portait en tout sur 23 patients diagnostiqués comme en état végétatif. Chez quatre d'entre eux (17%), des "signes de conscience" ont été détectés par cette technique.

Des personnes apparemment dans le coma "pourraient être interrogées sur leur douleur", explique la neurologue liégeoise Audrey Vanhaudenhuyse, en soulignant toutefois que "tous les patients en état végétatif ne sont pas conscients".

La technique de l'IRMF pourrait également "permettre à des patients d'exprimer leurs sentiments et de répondre eux-mêmes à des questions difficiles comme celle de l'euthanasie", a pour sa part déclaré le professeur de l'université de Liège Steven Laureys.

Cette histoire rappelle celle, révélée il y a deux mois, de Rom Houben, un Belge victime lui aussi d'un accident de voiture que ses médecins avaient considéré à tort comme étant dans le coma pendant 23 ans, avant que l'équipe du professeur Laureys découvre qu'il était conscient de son environnement.

Cet homme de 46 ans communique à présent en tapant des mots sur un ordinateur spécialement adapté et envisage d'écrire un livre.

Moi je respect l"idée que la conscience ne dépend pas du cerveau, mais je me pose des questions : pourquoi les gens atteins de problèmes neurologiques perdent leur capacité de réflexion ?

Si la conscience est indépendante, ça devrais pas poser de soucis...

Et on pourrait aussi se poser la question suivante : Pourquoi a t'ont un cerveau si on peut vivre sans...

le cerveau est le moyen a ton âme d'agir sur ton corps.L'âme étant immatérielle le cerveau est le point de liaison et s'il y a un dysfonctionnement le corps ne réagit pu comme il devrait. Je crois qu'un handicapé mental pense mais il ne peut pas peut agir sur son corps normalement et traduire ses pensés.