source:
http://www.partiantisioniste.com/communications/l-apres-deuxieme-tour-des-elections-regionales-0376.html
L'après deuxième tour des élections régionales
C’est volontairement que nous avons laissé passer la petite déferlante médiatico-politique qui a suivi le 2ème tour des élections régionales. Un peu de distance permet souvent d’aller à l’essentiel. Cette élection est caractérisée par la forte abstention qui se situe autours de 50 % , cette abstention ayant une conséquence sur le résultat réel de tous les partis politiques en compétition. Tous ces partis ont en effet perdu des voix (chute du nombre réel de votants). Ce sont donc des partis largement minoritaires qui auront la gestion de nos régions.
On remarquera que, malgré les appels pressants aux abstentionnistes entre les deux tours, les citoyens ont continué à bouder les urnes massivement. Le Parti Anti Sioniste avait appelé à l’abstention considérant que cette élection était un leurre. Quels pouvoirs peut avoir une assemblée régionale au moment même où les principaux États européens se déclarent impuissants face aux marchés financiers ? Que peut faire un conseil régional lorsque les décisions vitales se prennent ailleurs ? Il semble que tous ces Français abstentionnistes aient fait le même raisonnement.
Malgré ce désaveu que constitue cette abstention massive, la classe politique du Système a réagi selon son habitude : un mini remaniement (dit technique) du gouvernement, et déjà dans tous les partis les querelles de personnes en vue de l’élection présidentielle de 2012.
Nous observons que le pouvoir personnel et insolent du Président Sarkozy a été quelque peu bousculé par ses propres parlementaires. Ceux-ci en effet, inquiets pour leur avenir, lui ont fait connaitre leur mécontentement en ovationnant M. Fillon, 1er Ministre, lui indiquant par là que la recherche d’un remplaçant pour 2012 avait commencé...
Nous savons que M. Sarkozy n’a pu parvenir à la présidence qu’avec l’aide tenace du lobby sioniste en France. On peut penser que devant l’impopularité de ce Président, le lobby lui-même est en recherche d’un successeur plus présentable. Nous relevons la déclaration de Mme Carla Bruni, épouse du Président, souhaitant que son mari éventuellement ne soit pas candidat en 2012 (Le Monde, 26/03/10). S’agit-il d’un simple souhait ou d’un avertissement destiné à tous ceux qui en politique ont l’oreille fine ?
M. Sarkozy a déjà rempli une large part du contrat souhaité par le lobby : réintégration de la France dans l’OTAN, participation active aux préparatifs de guerre contre l’Iran, soutien sans faille à Israël, et enfin le CRIF chargé de la « formation » des magistrats, policiers, et enseignants afin d’inculquer la pensée « correcte » et contrôler chaque jour davantage la classe politique.
Les sionistes étant connus pour leur ingratitude envers ceux qui ne leur sont plus utiles, M. Sarkozy pourrait peut être d’ores et déjà se considérer en sursis. Il semble que la même recherche d’un candidat présentable pour le lobby existe aussi à gauche. Le sioniste Georges Frêche qui s’est fait élire contre la direction du Parti Socialiste sur une base populiste, et Mme Ségolène Royale dont un des conseillers politiques est M. Bernard-Henri Levy, semblent déjà constituer un axe pour barrer la route à Mme Aubry si cette dernière voulait empêcher M. Strauss-Kahn de se présenter…
Comme on le voit, toutes ces combinaisons d’appareils ne sont pas seulement liées à des ambitions personnelles mais à une stratégie bien précise : quel « ami d’Israël » peut-on commencer à formater pour faire croire aux Français qu’il sera leur sauveur en 2012 ?
Pendant ce temps, la crise financière continue, et après la Grèce en faillite les noms du Portugal, de l’Irlande et de l’Espagne sont publiquement prononcés dans les plus hautes instances de l’Union Européenne comme pays pouvant suivre. Tout cela se traduit bien-sûr par le chômage, la précarité, les bas salaires et la destruction des services publics, autant de domaines dans lesquels les conseils régionaux n’ont pas un grand pouvoir effectif...
Cette crise, qui n’est pas prête de se terminer, s’accompagne de menaces d’agression contre l’Iran. Le Président Obama, qui ne peut rien refuser au lobby sioniste à qui il doit tant, propose d’accentuer les sanctions économiques contre l’Iran tout en s’efforçant de conserver l’image positive que les médias et tous les bobos de la planète lui ont donnée. Dans ces préparatifs de guerre, le gouvernement français est totalement partie prenante, se substituant même parfois à M. Obama. Et bien-sûr en France, majorité et opposition se retrouvent unies pour servir cette politique dictée par Tel Aviv.
C’est ce que comprennent, de plus en plus confusément, ces millions de Français qui en s’abstenant n’ont pas voulu voter pour l’UMPS : le Parti du lobby et de ses satellites. Ce sentiment est encore majoritairement confus même si les citoyens, par expérience ou intuition, savent que les crises et les guerres sont étroitement liées. Ils savent aussi qui profite de ces guerres : ceux-là même qui ont intérêt à les déclencher pour continuer leur politique de domination.
Il nous incombe donc de continuer notre travail : clarifier pour le plus grand nombre ce qui est encore perçu confusément, à savoir qu’en France tous les partis du Système sont tenus par le lobby sioniste, que ce lobby veut entraîner les Français dans une guerre pour le seul intérêt de Tel Aviv et du sionisme international, et que par ailleurs aucune solution n’est envisageable sans libérer préalablement la France du lobby qui la gouverne.
Ajoutons pour conclure que, sur ces questions vitales pour notre avenir, tous les dirigeants politiques français sans exception sont totalement silencieux. Peuvent-ils seulement, même s’ils le souhaitaient, parler librement ? Se poser la question c’est déjà y répondre…
Le Président,
Yahia Gouasmi.
http://www.partiantisioniste.com/communications/l-apres-deuxieme-tour-des-elections-regionales-0376.html
L'après deuxième tour des élections régionales
C’est volontairement que nous avons laissé passer la petite déferlante médiatico-politique qui a suivi le 2ème tour des élections régionales. Un peu de distance permet souvent d’aller à l’essentiel. Cette élection est caractérisée par la forte abstention qui se situe autours de 50 % , cette abstention ayant une conséquence sur le résultat réel de tous les partis politiques en compétition. Tous ces partis ont en effet perdu des voix (chute du nombre réel de votants). Ce sont donc des partis largement minoritaires qui auront la gestion de nos régions.
On remarquera que, malgré les appels pressants aux abstentionnistes entre les deux tours, les citoyens ont continué à bouder les urnes massivement. Le Parti Anti Sioniste avait appelé à l’abstention considérant que cette élection était un leurre. Quels pouvoirs peut avoir une assemblée régionale au moment même où les principaux États européens se déclarent impuissants face aux marchés financiers ? Que peut faire un conseil régional lorsque les décisions vitales se prennent ailleurs ? Il semble que tous ces Français abstentionnistes aient fait le même raisonnement.
Malgré ce désaveu que constitue cette abstention massive, la classe politique du Système a réagi selon son habitude : un mini remaniement (dit technique) du gouvernement, et déjà dans tous les partis les querelles de personnes en vue de l’élection présidentielle de 2012.
Nous observons que le pouvoir personnel et insolent du Président Sarkozy a été quelque peu bousculé par ses propres parlementaires. Ceux-ci en effet, inquiets pour leur avenir, lui ont fait connaitre leur mécontentement en ovationnant M. Fillon, 1er Ministre, lui indiquant par là que la recherche d’un remplaçant pour 2012 avait commencé...
Nous savons que M. Sarkozy n’a pu parvenir à la présidence qu’avec l’aide tenace du lobby sioniste en France. On peut penser que devant l’impopularité de ce Président, le lobby lui-même est en recherche d’un successeur plus présentable. Nous relevons la déclaration de Mme Carla Bruni, épouse du Président, souhaitant que son mari éventuellement ne soit pas candidat en 2012 (Le Monde, 26/03/10). S’agit-il d’un simple souhait ou d’un avertissement destiné à tous ceux qui en politique ont l’oreille fine ?
M. Sarkozy a déjà rempli une large part du contrat souhaité par le lobby : réintégration de la France dans l’OTAN, participation active aux préparatifs de guerre contre l’Iran, soutien sans faille à Israël, et enfin le CRIF chargé de la « formation » des magistrats, policiers, et enseignants afin d’inculquer la pensée « correcte » et contrôler chaque jour davantage la classe politique.
Les sionistes étant connus pour leur ingratitude envers ceux qui ne leur sont plus utiles, M. Sarkozy pourrait peut être d’ores et déjà se considérer en sursis. Il semble que la même recherche d’un candidat présentable pour le lobby existe aussi à gauche. Le sioniste Georges Frêche qui s’est fait élire contre la direction du Parti Socialiste sur une base populiste, et Mme Ségolène Royale dont un des conseillers politiques est M. Bernard-Henri Levy, semblent déjà constituer un axe pour barrer la route à Mme Aubry si cette dernière voulait empêcher M. Strauss-Kahn de se présenter…
Comme on le voit, toutes ces combinaisons d’appareils ne sont pas seulement liées à des ambitions personnelles mais à une stratégie bien précise : quel « ami d’Israël » peut-on commencer à formater pour faire croire aux Français qu’il sera leur sauveur en 2012 ?
Pendant ce temps, la crise financière continue, et après la Grèce en faillite les noms du Portugal, de l’Irlande et de l’Espagne sont publiquement prononcés dans les plus hautes instances de l’Union Européenne comme pays pouvant suivre. Tout cela se traduit bien-sûr par le chômage, la précarité, les bas salaires et la destruction des services publics, autant de domaines dans lesquels les conseils régionaux n’ont pas un grand pouvoir effectif...
Cette crise, qui n’est pas prête de se terminer, s’accompagne de menaces d’agression contre l’Iran. Le Président Obama, qui ne peut rien refuser au lobby sioniste à qui il doit tant, propose d’accentuer les sanctions économiques contre l’Iran tout en s’efforçant de conserver l’image positive que les médias et tous les bobos de la planète lui ont donnée. Dans ces préparatifs de guerre, le gouvernement français est totalement partie prenante, se substituant même parfois à M. Obama. Et bien-sûr en France, majorité et opposition se retrouvent unies pour servir cette politique dictée par Tel Aviv.
C’est ce que comprennent, de plus en plus confusément, ces millions de Français qui en s’abstenant n’ont pas voulu voter pour l’UMPS : le Parti du lobby et de ses satellites. Ce sentiment est encore majoritairement confus même si les citoyens, par expérience ou intuition, savent que les crises et les guerres sont étroitement liées. Ils savent aussi qui profite de ces guerres : ceux-là même qui ont intérêt à les déclencher pour continuer leur politique de domination.
Il nous incombe donc de continuer notre travail : clarifier pour le plus grand nombre ce qui est encore perçu confusément, à savoir qu’en France tous les partis du Système sont tenus par le lobby sioniste, que ce lobby veut entraîner les Français dans une guerre pour le seul intérêt de Tel Aviv et du sionisme international, et que par ailleurs aucune solution n’est envisageable sans libérer préalablement la France du lobby qui la gouverne.
Ajoutons pour conclure que, sur ces questions vitales pour notre avenir, tous les dirigeants politiques français sans exception sont totalement silencieux. Peuvent-ils seulement, même s’ils le souhaitaient, parler librement ? Se poser la question c’est déjà y répondre…
Le Président,
Yahia Gouasmi.