En complément de l'article de pétale,sur la mafia Rockefeller et
l'empire pharmaceutique,interconnecté à l'empire pétrochimique et à
l'empire bancaire,sous l'emprise de cette dynastie satanique juive.
L’Empereur David RockefellerPar Nos Libertés le dimanche 6 décembre 2009
Traduction par Antoine le 4 décembre 2009, pour le collectif "Nos Libertés"
Cette présentation a été réalisée par Chris Fairhurst au tribunal de La Haye, le 14 juin 2003
Article original publié au sein de La Fondation pour la santé du Dr Rath
Je vais parler des pratiques commerciales douteuses d’une industrie
mondiale (et en particulier de l’industrie pharmaceutique) et des
groupes d’intérêts financiers qui les soutiennent. Je me référerais
collectivement à cette industrie et ses financiers comme le «business de
la maladie», pour des raisons qui seront vite évidentes.
Dans le monde du «business de la maladie», chaque décision est prise en
fonction uniquement du profit et de l’augmentation des marges. Pour les
hommes contrôlant ces entreprises, l’important n’est pas la façon dont
ces profits (et donc la richesse) sont générés, mais simplement qu’ils
le soient.
Certaines des plus grosses sociétés dans le monde réalisent de vastes
profits à partir de domaines variés, comme les programmes informatiques,
le commerce de détail, l’assurance, le pétrole, voire même votre santé.
Plus précisément, je devrais dire votre mauvaise santé.
Dans le monde du «business de la maladie», et il n’y a pas de commerce
plus grand dans le monde que l’industrie pharmaceutique, votre bien-être
ne garantit pas de profits substantiels pour les actionnaires,
contrairement à votre mauvaise santé.
Considérez les éléments suivants : le «business de la maladie» fait plus
de profits que n’importe quelle autre industrie sur Terre (ndlr : ceci
est exact jusqu’en 2003, où l’explosion des prix du pétrole a changé un
peu la donne). En fait, il est plus rentable que l’automobile, la chimie
et l’aviation confondues. Et ces bénéfices sont réalisés au détriment
de votre santé. Pour expliquer pourquoi il en est ainsi, il est
nécessaire d’examiner brièvement l’évolution historique du «business de
la maladie».
Au début du 20e siècle, un certain nombre d’individus riches et
puissants qui possédaient ou géraient une part importante de la richesse
des entreprises des États-Unis, richesse qui avait été gagnée au cours
de la révolution industrielle de la dernière partie du 19e siècle, a
estimé que l'«industrialisation» des soins de santé leur offrirait de
nouvelles possibilités pour contrôler encore plus de richesse et de
puissance.
En "rationnalisant", comme ils l’ont décrit, la distribution des soins
de santé publics et en incorporant dans ce processus les développements
technologiques qui ont eu lieu dans la chimie au début du 20e siècle,
ces hommes ont développé les soins de santé comme un business, qui est
devenu, au fil du temps, l’industrie pharmaceutique d’aujourd’hui, basée
sur des brevets.
La vaste richesse de ces personnes leur a permis de mettre en place et
de perfectionner les institutions et les entreprises qui plus tard leur
garantiraient un contrôle total de la machine de l’offre de santé
publique.
En affinant en permanence, et en finançant, ces opérations tout au long
de la première moitié du 20e siècle, ces hommes ont réussi à développer
le modèle commercial de l’industrie pharmaceutique, que nous connaissons
aujourd’hui : un modèle qui consiste en l’exploitation financière des
droits de brevets sur la technologie utilisée et sur les médicaments
fabriqués synthétiquement.
La plus importante de ces personnes était un Américain du nom de John D.
Rockefeller. On peut lire l’histoire détaillée de sa volonté de créer
un système de soins de santé industrialisé sur le site de la Fondation
pour la santé du Dr Rath. Le livre décrivant la façon dont cet homme a
utilisé ses talents indéniables dans les affaires à la création d’une
nouvelle industrie, pour accroître sa richesse et son pouvoir déjà
énormes, est intitulé "Rockefeller Medicine Men" et vous le trouverez
sur la page ‘History of the ‘Business With Disease’' du site de la Fondation.
Rockefeller aimait être perçu comme un philanthrope, quelqu’un qui
utilise sa grande richesse pour le bénéfice de l’humanité mais, en fait,
il était probablement l’un des plus impitoyables avares d’Amérique.
Rockefeller’s Standard Oil Company a dominé l’industrie du pétrole
durant toutes les premières années du 20e siècle et la plupart des
grandes compagnies pétrolières d’aujourd’hui comme Exxon Mobil et Esso
sont des descendants directs de la Standard Oil. Je reviendrai sur cette
connexion plus tard.
Le banquier JP Morgan, représentant américain pour la famille de
banquiers Rothschild et la Banque d’Angleterre, faisait parti des
associés d’affaires de Rockefeller. Ensemble, ces deux hommes ont
contribué à créer la Federal Reserve Board des États-Unis, une
institution qui régit toutes les opérations financières dans ce pays et
qui existe encore aujourd’hui.
Vous êtes sans doute familiers avec le nom de JP Morgan, grâce au groupe
bancaire JP Morgan Chase. Dans le nom de ce groupe, on retrouve le nom
de Chase, pour Chase Bank, propriété de la famille Rockefeller, montrant
que ces premières associations ont été maintenues et survivent jusqu’à
ce jour. J’examinerai plus en détail la société JP Morgan Chase plus
loin dans cette présentation. À ce stade de cet exposé, il convient
d’examiner les faits suivants.
La famille Rockefeller, via la Chase Bank et la Standard Oil Company,
ainsi que JP Morgan via la Banque Morgan, étaient les principaux
soutiens financiers du troisième Reich nazi en Allemagne. En fait,
Standard Oil était le principal actionnaire de IG Farben qui était elle
aussi, avec la famille Rockefeller, le plus important actionnaire de la
Standard Oil.
Grâce à cette relation, et bien d’autres comme celle-ci, le modèle
industrialisé de santé publique consistait à gagner de l’emprise sur
tous les pays développés du monde. En investissant massivement dans la
recherche médicale, la formation des médecins, la fabrication et la
distribution de médicaments, ainsi que dans la politique de santé
publique, les systèmes de soin anciens, centrés sur le patient qui était
traité comme une personne, ont été progressivement engloutis ou
détruits.
Le modèle industrialisé, favorisé par les «médecins» de Rockefeller,
traite le patient comme un client et les médicaments qu’il produit comme
une marchandise. Tout est orienté vers la vente de produits chimiques,
et si les produits s’avèrent avoir des effets secondaires, cela crée un
marché pour d’autres produits nouveaux à vendre, c’est un marché sans
fin. Et c’est encore aujourd’hui le modèle utilisé.
Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessus, au cours de la
période allant de 1996 à 2000, les dépenses de l’industrie
pharmaceutique pour la promotion des médicaments délivrés sur ordonnance
sont passées de 9,2 milliards de dollars par an à 15,7 milliards de
dollars par an.
En raison de ces pratiques commerciales, le modèle industrialisé de la
santé exerce une contre-incitation intrinsèque à l’élimination des
maladies communes. Éliminer les maladies diminuerait les opportunités de
vendre d’avantage de médicaments et donc de faire plus d’argent,
qu’avec une mauvaise santé permanente.
Ce modèle industriel a été affiné et étendu pendant toute la seconde
moitié du 20e siècle, à tel point que l’industrie pharmaceutique a
dépassé l’industrie pétrochimique et est devenue l’industrie la plus
importante et le plus rentable au monde.
Comme vous pouvez le voir sur le tableau ci-dessus, plus d’un quart des
50 plus grandes sociétés dans le monde aujourd’hui sont soit des
entreprises pharmaceutiques, soit des entreprises pétrochimiques. Le
modèle Rockefeller fonctionne manifestement très bien.
Les entreprises de ce tableau sont classées selon la valeur à laquelle
elles sont estimées, en milliards de dollars américains. Il faut ajouter
6 zéros aux chiffres du tableau pour arriver aux vraies valeurs.
Le seul autre secteur proche de ce niveau de production de richesses est
le monde de la finance internationale : banques, compagnies d’assurance
et groupes de gestion d’investissement. Je reviendrai sur ce groupe
plus tard dans ma présentation. Pour l’instant, je voudrais juste vous
demander de noter que JP Morgan Chase apparaît dans ce tableau, à la 50e
place. En troisième place dans le tableau on trouve Pfizer
Incorporated. Je vais à présent examiner de plus près leurs chiffres.
Pfizer est la plus importante entreprise pharmaceutico-pétrochimique et est actuellement évaluée à environ 265 milliards de dollars.L'entreprise détient les droits de brevet de 8 des 25 meilleures ventes mondiales de médicaments synthétiques (comme le Lipitor,le Viagrra,le Diflucan et le Zoloft par exemple) et ces droits de propriété ont permis à Pfizer de gagner 32 milliards de dollars en 2002 de la vente de leurs produits.
Pour mettre ces chiffres dans une certaine perspective, la valeur
marchande actuelle de Pfizer est supérieure à la richesse de plusieurs
grands pays prospères, d’après les mesures de la Banque mondiale.
En retournant à notre tableau, on trouve en quatrième place ExxonMobil,
la plus grande entreprise mondiale de produits pétrochimiques. Je me
suis référé à cette société au début de ma déclaration. C’est un
descendant direct de la Standard Oil Company, propriété de Rockefeller,
et cette liaison est la raison pour laquelle les entreprises
pétrochimiques font partie de mon analyse. Considérons maintenant la
situation financière d’Exxon.
Une fois encore, les chiffres sont presque au-delà de la compréhension.
Vous vous demandez peut-être pourquoi Exxon a une valeur de marché
légèrement inférieure à Pfizer, alors que son chiffre d’affaires est six
fois plus important.
C’est parce que l’activité pétrochimique a des coûts opérationnels plus
élevés que l’industrie pharmaceutique. En termes simples, comme nous
l’avons déjà vu, l’industrie pharmaceutique est beaucoup plus rentable.
La question à se poser est : qui contrôle ces immenses richesses ?
Toutes les entreprises mondiales dont les actions sont négociées sur les
marchés boursiers ont un conseil d’administration qui dirige la société
au nom des propriétaires, qui sont les actionnaires. Si vous détenez
des actions de l’une de ces sociétés, vous êtes copropriétaire de cette
entreprise.
Cependant, vos participations sont individuellement trop petites pour
vous donner de nombreux avantages en tant que propriétaire. Les
principaux actionnaires sont ceux qui ont ces droits et qui jouissent
des immenses richesses et du pouvoir que cela apporte.
Je voudrais maintenant examiner attentivement les administrateurs et les
actionnaires principaux des deux sociétés à l’étude. J’ai étudié le cas
du laboratoire Pfizer, et, après enquête, j’ai pu trouver les noms des
responsables clés de leur conseil d’administration.
Veuillez noter les autres mandats détenus par ces hommes, mis en
évidence dans le tableau ci-dessus, afin de vous en rappeler lorsque je
vais présenter les membres du conseil d’ExxonMobil.
Le même schéma d’interconnexion des conseillers d’administration est à
nouveau démontré dans le conseil d’Exxon. Comme ces gens se réunissent
régulièrement aux réunions du Conseil, aux comités d’investissement et
aux réunions des actionnaires, je les rassemble en un groupe.
Ce groupe, qui contrôle les opérations quotidiennes de deux des plus
grandes sociétés du monde, ne siège pas seulement aux conseils
d’administration des deux sociétés, mais aussi au conseil
d’administration de l’une des plus grandes institutions mondiales
d’investissement, une institution qui a d’énormes participations dans
des sociétés pharmaceutiques et pétrochimiques : JP Morgan Chase.
Rappelez-vous que ce sont les actionnaires qui détiennent les
entreprises et le contrôle des richesses donc, si vous êtes à la fois le
principal actionnaire et le directeur d’une entreprise, vous avez le
contrôle total de cette société.
Vous avez le contrôle de la façon dont la société fait de l’argent, mais
aussi ce qui est fait avec cet argent, et qui en profite. Dans le cas
du «business de la maladie», ces avantages financiers de plusieurs
billions de dollars sont tirés de la promotion systématique des maladies
au détriment de la bonne santé.
Je reviendrai à la personne mystère dans ce groupe, un peu plus loin. À
ce stade, il convient d’examiner le rôle de JP Morgan Chase dans le
«business de la maladie».
Le point commun ici, à part les conseils d’administration partagés, est
que, comme je l’ai mentionné il y a un instant, JP Morgan Chase est un
actionnaire important de sociétés pharmaceutiques et pétrochimiques.
Voici un échantillon de quelques-unes des vastes participations de JP
Morgan Chase. Mes recherches m’ont amené à me demander si le même modèle
d’administrateurs communs se répétait dans les autres sociétés. J’ai
donc analysé ensuite Merck. Voici les résultats de ces recherches :
Merck & Co Incorporated, une autre société pharmaceutique, dispose
également de deux administrateurs qui siègent au conseil
d’administration de JP Morgan Chase, dont l’un est non seulement
président de JP Morgan Chase, mais aussi un administrateur de la Bourse
de New York.
Serait-ce juste une coïncidence ? Hautement improbable. À mon avis, cela
témoigne d’une approche structurée pour le contrôle et la propriété de
certaines des plus grandes entreprises dans le monde.
Le groupe "Inner Circle" est maintenant un peu plus grand. Je n’ai pas
encore révélé l’identité de l’homme-mystère, parce qu’il est d’abord
nécessaire d’examiner à nouveau la société JP Morgan Chase.
Cette fois, j’ai regardé le Conseil Consultatif de la société. Les
sociétés d’investissement comme JP Morgan Chase ont des conseils
consultatifs qui contrôlent la politique d’investissement de la banque.
En d’autres termes, ils décident dans quels types d’entreprises il faut
investir et celles dont les actions sont à acheter.
Le JP Morgan International Council est le plus ancien conseil
consultatif, et après examen des membres de ce conseil, le personnage
clé, l’homme-mystère est enfin révélé :
C’est David Rockefeller, petit-fils de John D. Rockefeller, le créateur et la force directrice du «business de la maladie».
Le petit-fils de JD, David Rockefeller, fait du bon travail pour
consolider l’empire familial. En tant que propriétaire et ancien
président de la Chase Manhattan Bank (qui fait maintenant partie de JP
Morgan Chase) sa richesse, son pouvoir et son influence s’étend bien
au-delà du pétrole, des produits pharmaceutiques et de la banque - qui
reste la source première de la richesse Rockefeller - comme le
démontrent ses autres connexions.
Comme père fondateur de la Commission trilatérale, David Rockefeller a
bénéficié d’accès privés incomparables avec les dirigeants politiques du
monde pendant près de 30 ans, offrant à la dynastie Rockefeller la
possibilité de poursuivre son activité criminelle du «business de la
maladie» sans aucune opposition.
La famille a réussi à construire et à maintenir avec succès le «business
de la maladie» pendant plus de 60 ans, grâce à l’influence personnelle,
au contrôle des banques, à la propriété des sociétés pharmaceutiques et
pétrochimiques, à l’appui financier des hommes politiques favorables et
à une multitude d’autres pratiques développées à l’origine par le
patriarche John D Rockefeller. Comme le montre cet exposé, David
Rockefeller maintient les traditions.
Pour finir, je voudrais ajouter qu’en participant au tribunal de La Haye
vous contribuez à engager le processus par lequel le «business de la
maladie» sera finalement démantelé et traduit en justice. Les actes
criminels de cette industrie peuvent alors être remplacés par un système
de soins de santé qui se concentre sur des thérapies sûres, efficaces,
non brevetables et sans effet secondaire.
Le démantèlement de ce modèle d’entreprise pharmaceutique inspiré par la
Fondation Rockefeller va entraîner l’effondrement de l’empire financier
bâti sur ces pratiques illégales, et donc la libération de fonds
massifs pour le réinvestissement dans des changements qui mèneront à la
paix future, à la bonne santé et à la justice sociale pour nous tous.
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Pour aller plus loin :
- Les liens entre Standard Oil et : IG Farben (Bayer, BASF, Hoechst)
- L'histoire de l'empire pétrolier : L’Empire
- L'histoire du :
cartel pharmaceutique
- L'industrie de : la chimie brevetée
- La suppression des thérapies naturelles : contre le cancer
- La fable du tabagisme passif financée par : Pfizer
- Le financement des « experts » autorisés à parler par : Pfizer
- L'invention du tabagisme passif par les : Nazis en 1939
Agir :
1/ Ne plus être muet : faire circuler ces informations autour de soi.
2/ Ne plus financer la mondialisation : consommer uniquement local, régional, artisanal.
3/ Ne plus respecter les lois liberticides : désobéir.
4/ Ne plus consommer la propagande : jeter sa télévision et sa radio.
5/ Ne plus être invisible : parler, faire du situationisme, occuper la rue.
6/ Ne plus être un esclave : devenir paysan, artisan, commerçant, indépendant.
7/ Ne plus être dépendant : devenir autonome (énergie, alimentation, santé, culture).
8/ Ne plus être un robot : rire, danser, chanter, dessiner, fumer, boire, partager, découvrir, etc.
http://www.noslibertes.org/dotclear/index.php?post/2009/12/06/359