C'est fait ! La majorité socialiste au pouvoir à Athènes a voté le plan draconien de rigueur, imposé au peuple grec par les dirigeants de l’Union Européenne et par M. Strauss-Kahn (FMI), sous peine d’acculer la Grèce à la banqueroute.
De quoi s’agit-il ? D’un surendettement organisé par les grandes banques mondiales, avec le soutien et la complicité des dirigeants politiques à leur service.
Cette fois, c’est tout un peuple qui est pris en otage par la grande finance internationale, pour le plus grand profit de ceux qui l’ont enfermé dans cette situation. De la crise bancaire de 2008, nous sommes passés à la faillite des Etats. On parle ouvertement des prochaines victimes qui pourraient être l’Espagne, le Portugal et toute l’Europe occidentale. Le prix à payer pour cette crise de toute la zone euro est connu : non seulement le chômage et la pauvreté pour les populations, mais surtout une faillite globale de tout un continent. Nous entrons en Europe dans une période de convulsions (luttes sociales, émeutes, guerres ethniques provoquées, etc.) dont personne ne peut prévoir les conséquences.
Au-delà des causes économiques, cette crise a une cause politique bien plus profonde : la soumission depuis longtemps de nos dirigeants à l’USraël, dont les deux armes principales sont le dollar et les frappes militaires.
Déjà, lors de sa conférence de presse du 04 février 1965, le Général de Gaulle avait dénoncé les « privilèges exorbitant du dollar » ainsi que tout le système monétaire international fondé sur le billet vert. Récemment aux conférences de l’OPEP, des dirigeants politiques de premier plan tels le Président iranien Mahmoud Ahmadinejad ou le Président vénézuélien Hugo Chavez ont, à plusieurs reprises, proposé qu’une partie importante des transactions pétrolières soit effectuée en euros. Ceci devait permettre, comme le souhaitait M. de Gaulle en son temps, de libérer en partie l’économie européenne de la tutelle du dollar et du lobby qui le gère. Peine perdue, les alliés de l’USraël (dont l’Arabie Saoudite) s’y sont toujours opposés.
Nous avons à faire à un système bancaire mondial, interconnecté, dont les racines et les liens se trouvent depuis longtemps dans ce qu’il est convenu d’appeler le sionisme. Il n’est peut-être pas vain de faire un parallèle entre l’aggravation de la crise de l’Etat d’Israël, et l’aggravation de la crise du système monétaire international…
La contagion de la crise grecque à toute la zone euro est maintenant inéluctable. Nous ne nous hasarderons à aucun pronostic quant aux délais. Mais il reste une certitude : la misère et le malheur pour les populations innocentes ; une fuite en avant : peut-être la guerre pour le lobby.
Terminons en faisant remarquer que le dirigeant du FMI (Fond Monétaire International) chargé d’étrangler les peuples au profit de la grande banque internationale n’est autre que le socialiste Dominique Strauss-Kahn. Celui-là même qui, selon ses propres dires, se demande chaque jour ce qu’il peut faire pour Israël ! Curieux hasard, certains médias sionistes le verraient comme candidat à l’Elysée en 2012, face à l’autre candidat du lobby sioniste Nicolas Sarkozy. Les Français pourraient alors choisir « démocratiquement » entre la peste et le choléra…
Mais d’ici 2012, y aura-t-il encore une France ou bien une succursale du lobby administrée par un syndic en faillite ? Tout maintenant peut aller très vite !
Le Président,
Yahia Gouasmi.
http://www.partiantisioniste.com/communications/banqueroute-a-qui-le-tour-0404.html
De quoi s’agit-il ? D’un surendettement organisé par les grandes banques mondiales, avec le soutien et la complicité des dirigeants politiques à leur service.
Cette fois, c’est tout un peuple qui est pris en otage par la grande finance internationale, pour le plus grand profit de ceux qui l’ont enfermé dans cette situation. De la crise bancaire de 2008, nous sommes passés à la faillite des Etats. On parle ouvertement des prochaines victimes qui pourraient être l’Espagne, le Portugal et toute l’Europe occidentale. Le prix à payer pour cette crise de toute la zone euro est connu : non seulement le chômage et la pauvreté pour les populations, mais surtout une faillite globale de tout un continent. Nous entrons en Europe dans une période de convulsions (luttes sociales, émeutes, guerres ethniques provoquées, etc.) dont personne ne peut prévoir les conséquences.
Au-delà des causes économiques, cette crise a une cause politique bien plus profonde : la soumission depuis longtemps de nos dirigeants à l’USraël, dont les deux armes principales sont le dollar et les frappes militaires.
Déjà, lors de sa conférence de presse du 04 février 1965, le Général de Gaulle avait dénoncé les « privilèges exorbitant du dollar » ainsi que tout le système monétaire international fondé sur le billet vert. Récemment aux conférences de l’OPEP, des dirigeants politiques de premier plan tels le Président iranien Mahmoud Ahmadinejad ou le Président vénézuélien Hugo Chavez ont, à plusieurs reprises, proposé qu’une partie importante des transactions pétrolières soit effectuée en euros. Ceci devait permettre, comme le souhaitait M. de Gaulle en son temps, de libérer en partie l’économie européenne de la tutelle du dollar et du lobby qui le gère. Peine perdue, les alliés de l’USraël (dont l’Arabie Saoudite) s’y sont toujours opposés.
Nous avons à faire à un système bancaire mondial, interconnecté, dont les racines et les liens se trouvent depuis longtemps dans ce qu’il est convenu d’appeler le sionisme. Il n’est peut-être pas vain de faire un parallèle entre l’aggravation de la crise de l’Etat d’Israël, et l’aggravation de la crise du système monétaire international…
La contagion de la crise grecque à toute la zone euro est maintenant inéluctable. Nous ne nous hasarderons à aucun pronostic quant aux délais. Mais il reste une certitude : la misère et le malheur pour les populations innocentes ; une fuite en avant : peut-être la guerre pour le lobby.
Terminons en faisant remarquer que le dirigeant du FMI (Fond Monétaire International) chargé d’étrangler les peuples au profit de la grande banque internationale n’est autre que le socialiste Dominique Strauss-Kahn. Celui-là même qui, selon ses propres dires, se demande chaque jour ce qu’il peut faire pour Israël ! Curieux hasard, certains médias sionistes le verraient comme candidat à l’Elysée en 2012, face à l’autre candidat du lobby sioniste Nicolas Sarkozy. Les Français pourraient alors choisir « démocratiquement » entre la peste et le choléra…
Mais d’ici 2012, y aura-t-il encore une France ou bien une succursale du lobby administrée par un syndic en faillite ? Tout maintenant peut aller très vite !
Le Président,
Yahia Gouasmi.
http://www.partiantisioniste.com/communications/banqueroute-a-qui-le-tour-0404.html