Le lavage de cerveau opéré par la télévision :
« Que la télévision, utilisée de manière appropriée, soit l’instrument le plus merveilleux de corruption mentale, est un fait qu’on n’a pas besoin d’enseigner à l’élite politique. » Cela correspond, selon lui, au désir inconscient de ne pas avoir à penser par soi-même. Il recommande le rite de la « déclaration de deux minutes », parce que, quelle que soit la question, ce type de déclaration empêche toute réflexion approfondie. La culture télévisuelle préfère « l’actualité » à l’histoire. Le public ne voit que « la surface du processus, pas son évolution historique et surtout pas de projection dans l’avenir. Il pense que ces déclarations de deux minutes créent un genre de « maladie d’Alzheimer synthétique ».
je voudrais aborder un aspect qui fait encore l’objet de recherches, même si les données disponibles indiquent un lien étroit entre la télévision et une certaine difficulté de concentration. Nous exposons nos enfants à cette succession d’images ultrarapide. Le constant changement d’écran agresse leur cerveau, comme un martèlement dans la tête. Par conséquent, l’enfant s’habitue à recevoir des données en images fugitives, sans jamais développer la capacité de se concentrer sur une période de temps plus longue. La télévision détruit cette faculté. Puis, lorsqu’il a six ans, on envoie l’enfant à l’école. Là, debout devant la classe, l’enseignante parle comme un disque qui tourne trop lentement : L-e v-e-r-b-e t-r-a-n-s-i-t-i-f e-s-t... Assis à sa place, l’enfant essaie désespérément de changer de chaîne ! Il devient fou d’impatience, il n’en peut plus. Quelle est la réponse « normale » des adultes à ce type de situation ? On prescrit des médicaments, sous prétexte que l’enfant souffre d’un trouble de l’attention, qu’il est trop agité pour se concentrer.
voir :
http://www.solidariteetprogres.org/article2906.html
« Que la télévision, utilisée de manière appropriée, soit l’instrument le plus merveilleux de corruption mentale, est un fait qu’on n’a pas besoin d’enseigner à l’élite politique. » Cela correspond, selon lui, au désir inconscient de ne pas avoir à penser par soi-même. Il recommande le rite de la « déclaration de deux minutes », parce que, quelle que soit la question, ce type de déclaration empêche toute réflexion approfondie. La culture télévisuelle préfère « l’actualité » à l’histoire. Le public ne voit que « la surface du processus, pas son évolution historique et surtout pas de projection dans l’avenir. Il pense que ces déclarations de deux minutes créent un genre de « maladie d’Alzheimer synthétique ».
je voudrais aborder un aspect qui fait encore l’objet de recherches, même si les données disponibles indiquent un lien étroit entre la télévision et une certaine difficulté de concentration. Nous exposons nos enfants à cette succession d’images ultrarapide. Le constant changement d’écran agresse leur cerveau, comme un martèlement dans la tête. Par conséquent, l’enfant s’habitue à recevoir des données en images fugitives, sans jamais développer la capacité de se concentrer sur une période de temps plus longue. La télévision détruit cette faculté. Puis, lorsqu’il a six ans, on envoie l’enfant à l’école. Là, debout devant la classe, l’enseignante parle comme un disque qui tourne trop lentement : L-e v-e-r-b-e t-r-a-n-s-i-t-i-f e-s-t... Assis à sa place, l’enfant essaie désespérément de changer de chaîne ! Il devient fou d’impatience, il n’en peut plus. Quelle est la réponse « normale » des adultes à ce type de situation ? On prescrit des médicaments, sous prétexte que l’enfant souffre d’un trouble de l’attention, qu’il est trop agité pour se concentrer.
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http://www.solidariteetprogres.org/article2906.html