Attention : vous avez dans cet article de quoi faire sauter 20 fois Israël
D’après Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ha%C3%AFm_Michael_Dov_Weissmandl
« Chaim Michael Dov Weissmandl (1903-1957) (plus connu sous le nom de Michael Ber Weissmandl) était un rabbin et shtadlan (porte-parole de sa communauté), particulièrement actif dans les efforts qu’il déploya durant la Shoah pour sauver les Juifs de Slovaquie de l’extermination. »
Cet homme a prévenu les dirigeants du monde, à l’époque où l’extermination avait lieu, pour faire en sorte d’arrêter le génocide : churchill, roosevelt, ou encore le pape.
Il se libère d’un train qui le mène, lui et sa famille, à Auschwitz, d’une manière digne de James Bond (allez sur l’article de wikipédia pour en savoir plus).
Vous êtes toujours là ? Accrochez-vous, car la suite risque de vous donner mal à la tête.
Il crée un « groupe de travail » pour racheter les familles juives de la mort. Le deal avec les nazis était simple : chaque famille rachetée de la mort valait un certain montant (1000 dollars), somme que le groupe de travail devait payer à l’avance. La note s’avérant rapidement salée, le rabbin est allé tapé à la porte de groupes juifs riches : il fallait trouver 1 à 2 millions de dollars. Toujours d’après Wikipédia, « une telle rançon aurait permis de mettre fin à la plupart des déportations vers la fin de 1942″.
Le problème, c’est que selon le rabbin ces groupes, tenez-vous bien, ont fait preuve d’une trop grande indifférence et n’ont donc pas participé à la hauteur de ce qu’ils auraient dû.
La faute à qui ? Selon le rabbin, les principaux responsables étaient les organisations sionistes elles-mêmes.
Pourquoi ? Parce que le mufti de Jérusalem de l’époque, devant lutter contre l’expansionnisme sioniste en Palestine, avait conclu un accord avec les nazis : en cas d’expulsion de juifs, la Palestine ne devrait jamais être une destination.
Le rabbin avait donc proposé d’autres destinations, pour accueillir les familles rachetées de la mort, telles que l’Espagne, ce qui a été catégoriquement refusé par les organisations sionistes, qui ont tenu grosso modo le discours suivant : « la Palestine, sinon rien ! »
Nous ne résistons pas à vous publier ses accusations, très fortes et très lourdes, portées en 1944 par le rabbin à destination de la direction sioniste de Palestine mandataire :
Dans une lettre, datée du 15 mai 1944, adressée à la direction sioniste en Palestine mandataire, le rabbin Weissmandl interpelle les dirigeants sionistes, leur demandant d’entamer une action plus énergique envers le judaïsme européen, détruit méticuleusement et systématiquement par le régime nazi : « Et vous – nos frères de Palestine, de tous les pays libres, et vous ministres de tous ces pays – comment pouvez-vous demeurer muets devant ce grand meurtre ? Muets tandis que des milliers de milliers, à présent six millions de Juifs, étaient assassinés. Muets tandis que des dizaines de milliers sont encore assassinés ou en voie de l’être ? Leurs cœurs détruits vous implorent à l’aide tout en déplorant votre cruauté. Brutaux, vous êtes, et assassins aussi, à cause du sang-froid du silence dans lequel vous observez. »
Pas joli joli, hein ?
Voici maintenant les 10 questions qui tuent, trouvées sur alterinfo.net, il s’agit d’une traduction trouvée d’une publication datant de 1948 (par le rabbin) et maintes fois réédité. Cette information a été trouvée sur le site des Naturei Karta, à propos desquels nous aurons l’occasion de revenir.
1/ Est-il vrai qu’en 1941, puis à nouveau en 1942, la Gestapo allemande a offert à tous les juifs européens la possibilité de transiter en Espagne, s’ils renoncent à tous leurs biens en Allemagne et en France occupée, aux deux conditions ci-après :
a) aucun des déportés ne devraient partir d’Espagne pour la Palestine ;
b) tous les déportés seraient acheminés d’Espagne aux Etats-Unis ou dans des colonies britanniques, afin d’y demeurer ; des visas d’entrée seraient accordés aux juifs vivant dans ces contrées ; une rançon d’un montant de 1 000 dollars pour chaque famille serait fournie par l’Agence [juive], à l’arrivée desdites familles à la frontière espagnole, au rythme de mille familles par jour ?
2/ Est-il vrai que les dirigeants sionistes de Suisse et de Turquie ont accepté cette offre, pleinement conscient du fait que l’exclusion de la Palestine, comme destination des déportés, était fondée sur un accord passé entre la Gestapo et le Mufti [de Jérusalem] ?
3/ Est-il exact que la réponse faite par les dirigeants sionistes fut négative, et accompagnée des commentaires suivants :
a) Seule, la Palestine pourrait être considérée une destination acceptable pour les déportés ;
b) Les juifs européens doivent souffrir davantage et mourir en plus grand nombre que les autres nations, afin que les alliés, une fois victorieux, avalisent un « Etat juif » à la fin de la guerre ;
c) Aucune rançon ne sera payée ?
4/ Est-il exact que la réponse à l’offre de la Gestapo a été faite dans une connaissance totale du fait que l’alternative à cette offre, c’étaient les chambres à gaz ?
5/ Est-il vrai qu’en 1944, à l’époque des déportations en Hongrie, une offre similaire avait été faite, ce qui aurait permis de sauver tous les juifs de ce pays ?
6/ Est-il vrai que cette même hiérarchie sioniste a, à nouveau, refusé cette offre (après que les chambres à gaz aient déjà prélevé leur effroyable tribut de plusieurs millions de victimes) ?
7/ Est-il vrai qu’au plus haut des tueries, durant la guerre, 270 membres du Parlement britannique ont proposé d’évacuer quelque 500 000 juifs d’Europe, et de les réinstaller dans des colonies britanniques, dans le cadre de négociations diplomatiques avec l’Allemagne ?
8/ Et n’est-il pas vrai que cette offre a été rejetée par les dirigeants sionistes, avec ce commentaire : « Vers la Palestine, sinon rien ! » ?
9/ Est-il exact que le gouvernement britannique a accordé des visas à 300 rabbins et membres de leur famille, leur permettant de se rendre dans l’Île Maurice, ainsi qu’un sauf-conduit pour les personnes évacuées via la Turquie. Les dirigeants de l’ « Agence juive » ont saboté ce plan, faisant remarquer qu’il était déloyal vis-à-vis de la Palestine et que les 300 rabbins, ainsi que les membres de leur famille méritaient d’être gazés.
10/ Est-il vrai que durant les négociations mentionnées plus haut, Chaim Weitzman, le premier « homme d’Etat juif » déclara : « La partie la plus précieuse de la nation juive est d’ores et déjà en Palestine, et ces juifs-là, qui vivent en-dehors de la Palestine, n’ont pas tellement d’importance ». L’adjoint de Weitzman, Greenbaum, aggrava cette déclaration, faisant la remarque suivante : « Une vache, en Palestine, est plus précieuse que tous les juifs d’Europe » ?
A méditer…
source :
http://www.jaimepasisrael.com/les-10-questions-qui-tuent-du-rabbin-rabbin-weissmandl-a-poser-a-tout-sioniste/