Lien vers le rapport original : http://www.infowars.com/bombshell-barack-obama-conclusively-outed-as-cia-creation/
Traduction du rapport par le Réseau Voltaire : http://www.voltairenet.org/article166848.html
Hussardelamort nous a traduit l'intervention de Wayne Madsen : https://www.dailymotion.com/video/xekmru_1-3-wayne-madsen-la-famille-soetoro_news https://www.dailymotion.com/video/xelrcz_2-3-wayne-madsen-la-famille-soetoro_news https://www.dailymotion.com/video/xem18m_3-3-wayne-madsen-la-famille-soetoro_news
Site de Wayne Madsen : http://www.waynemadsenreport.com/
Autres liens : http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/index.php?idblogp=954838 http://www.infowars.com/new-report-suggests-that-barack-obama-is-a-cia-creation/ http://www.presstv.ir/detail/140093.html
Pour ceux qui auraient encore des doutes sur Obama la Raclure !!!!
(femmes sensibles s'abstenir)
Obama défend l'INFENTICIDE (il défend le fait que tous enfant résultant d'un avortement provoqué soit laissé sans aucuns soins , voir meme qu'on l'aide un petit peu a mourir)
VOILA LA NOUVELLE PRATIQUE D'AVORTEMENT QU'OBAMA AUTORISE !!!! Donc je le redit Obama Raclure !!!!
traduit par la-matrice_org Article relié: http://www.scribd.com/doc/35163631/Stanley-Ann-Dunham-Obama-Soetoro-Passport-Application-File-Strunk-v-Dept-of-State-FOIA-Release-7-29-10
La biographie cachée des Obama : une famille au service de la CIA http://www.alterinfo.net/La-biographie-cachee-des-Obama-une-famille-au-service-de-la-CIA-2nde-partie_a50004.html
Vidéos reliées: Wayne Madsen: La famille Soetoro/Obama 1/3 https://www.dailymotion.com/video/xfbjy8_wayne-madsen-la-famille-soetoro-oba_news
Y'a un peu de poussière ici ! Obama se cache dessous allez op on remonte tout ça. Pour rappel le coup d'état au Honduras est le premier de l'administration d'Obama. ça fait du bien de relire du Mondialisation.ca et oui y'a pas que les syriens qui se font massacrer.
Honduras : Un escadron de la mort sème la terreur Par André Maltais Mondialisation.ca, 22 mars 2013
Le Congrès hondurien, l’un des protagonistes du coup d’état de 2009 contre le président Manuel Zelaya, ne cesse, depuis ce temps, de voter des lois au service du capital étranger, dans un pays devenu l’épicentre du trafic de drogue en Amérique centrale et l’un des endroits les plus violents sur la planète.
Ce constat de l’Organisation fraternelle des noirs du Honduras (OFRANEH), paru dans un communiqué du 28 janvier dernier, n’est vécu nulle part ailleurs avec autant d’intensité que dans la région du Bajo Aguan, sur la côte caribéenne du Honduras.
Là-bas, depuis trois ans, ont jusqu’à maintenant été assassinés près d’une centaine de membres et sympathisants d’organisations paysannes, comme le Mouvement unifié des paysans de l’Aguan (MUCA) et le Mouvement paysan pour la récupération de l’Aguan (MOCRA), qui cherchent à protéger les petits fermiers contre l’appropriation des terres par l’oligarchie de l’agrobusiness.
Pour le gouvernement de Porfirio Lobo, ces meurtres sont le triste résultat d’une confrontation entre les forces de sécurité des grands producteurs d’huile de palme et les organisations paysannes et on ne peut rien faire de plus que de recourir aux forces de l’ordre pour mettre fin au conflit.
Mais un rapport de l’organisme Rights Action, publié le 20 février, souligne que seulement six des assassinats ont eu lieu sur des terres occupées par les paysans ou pendant les opérations d’éviction de ces derniers. Tous les autres sont des meurtres ciblés alors que les victimes sont tuées à la maison ou sur la route.
Ces meurtres systématiques exécutés par des tueurs masqués ont commencé, note Annie Bird, co-directrice de Rights Action, quand, en janvier 2010, une unité des forces spéciales du 15e bataillon de l’armée hondurienne est arrivée dans l’Aguan, fraîchement entraînée par le Commandement des opérations spéciales du Commandement Sud de l’armée des Etats-Unis (SOCSOUTH).
Baptisée Opération Tumbador, cette première militarisation répondait à l’occupation de 10,000 hectares de terres appartenant au plus grand propriétaire terrien du pays, Miguel Facussé, par des milliers de paysans du MUCA.
Médias et gouvernement, raconte German Reyes, du Front national de résistance populaire (FNRP) hondurien, avaient alors accusé les militants paysans d’avoir créé une cellule de guérilla, financée par le trafic de drogue, pour déstabiliser le pays.
Après Tumbador, aucune annonce n’a suivi à propos de la supposée guérilla, continue Reyes. Aucune saisie d’armes ni capture de guérillero. Pendant que militaires et policiers se concentraient à déloger les paysans des terres occupées et que commençaient les meurtres ciblés de paysans par ce qui semble être un escadron de la mort, le SOCSOUTH états-unien finançait l’agrandissement et la modernisation de la base militaire de Rio Claro, là où avait été entraîné le 15e bataillon.
Mais les auteurs du rapport font plus que de souligner la coïncidence entre l’Opération Tumbador et le début des assassinats. Les conditions entourant plusieurs des meurtres de paysans, révèlent-ils, découlent des techniques enseignées aux militaires et policiers honduriens par le SOCSOUTH, parmi celles-ci, la « conduite automobile offensive », le « tir de précision à distance » et « l’insertion » dans les domiciles ou lieux de travail.
Or, s’inquiète madame Bird, plusieurs dizaines de meurtres sont survenus suite à des poursuites automobiles à haute vitesse tandis que plusieurs autres paysans sont morts ou ont survécu à des tirs de « snipers » ou ont été attaqués à la maison ou au travail par des commandos de tueurs.
Les résidents locaux et la presse nationale signalent la présence de Rangersétats-uniens dans la région, depuis au moins 2008, ce que confirment, écritRights Action, des documents publics du gouvernement des Etats-Unis.
Pour les organisations paysannes, il ne fait aucun doute que la police et les militaires participent à cette tuerie tellement elles ont été témoin d’actes de violence et d’intimidation de leur part dans les communautés agraires. Il est, par ailleurs, de notoriété publique que des éléments de la police commettent de nombreux délits, au Honduras, spécialement des meurtres commandités, du trafic de drogue et des enlèvements avec extorsion.
Bien que Tumbador ait aggravé la situation dans l’Aguan, le gouvernement y dépêchait, en 2011, une nouvelle unité conjointe de l’armée et de la police, l’unité Xatruch qui, en 2004, a participé à l’occupation iraquienne par les Etats-Unis et à ses opérations spéciales de contre-insurrection.
Pour OFRANEH, le conflit meurtrier de l’Aguan, avec sa population armée de machettes coincée entre les AK-47 des trafiquants de drogue et des milices terriennes, pourrait se reproduire partout au pays tellement le gouvernement est anxieux d’en livrer les ressources aux investisseurs étrangers.
En octobre 2011, Lobo est allé à Washington se faire photographier et annoncer au monde que son pays est ouvert à des affaires qui, toutes, augmentent la pression sur la terre hondurienne: agro-combustibles, tourisme, sylviculture et mines à ciel ouvert.
Le 23 janvier dernier, le Congrès putschiste adoptait un projet de villes-modèle, parrainé par l’économiste états-unien, Paul Romer, et baptisé Loi des régimes spéciaux de développement (RED), qui consiste à transformer des portions du territoire hondurien en villes-états autonomes, répliques de paradis fiscaux comme Singapour ou les îles Caïmans.
Trois mois auparavant, la Cour suprême de justice avait pourtant déclaré le projet de loi RED inconstitutionnel mais, le 12 décembre, le Congrès hondurien destituait illégalement les quatre magistrats qui avaient voté contre l’initiative néocoloniale.
Comme le Chili de Pinochet, le Honduras d’après 2009 est devenu un laboratoire politique, social et économique, dont les enseignements visent à être appliqués à d’autres pays latino-américains plus importants. Dans un avenir pas si lointain, prédit OFRANEH, les Cours supérieures des pays restés sous la férule impériale seront prisonnières des législateurs soumis aux intérêts du Nord.
Selon le Groupe de travail de l’ONU sur l’emploi des mercenaires, le Honduras de Porfirio Lobo compte 706 entreprises privées de sécurité qui emploient entre 60,000 et 70,000 personnes, soit plus du double des éléments que comptent ensemble la police nationale et l’armée.
Il y a cinq gardes de sécurité privés pour un policier, au Honduras et cela ne comprend même pas les entreprises de sécurité illégales. Il est clair, dit Patricia Arrias, membre du groupe de travail onusien, que, dans un contexte de législation insuffisante et très faible encadrant ces entreprises, cela facilite les violations des droits humains.
Le congrès hondurien, conclut l’OFRANEH, est en train d’écrire un Manuel de destruction de l’état et de la démocratie pour les nuls, en quatre chapitres : coup d’état pour éliminer les forces qui s’opposent au pillage des ressources; tolérance des cartels de la drogue qui contrôlent des pans entiers du territoire national; sape de ce qui reste de l’administration de la justice et, en guise de happy end, don de la terre et du sous-sol du pays aux néo-colonialistes.
Mais reste à voir ce qu’en dira la population. 2013, au Honduras, est une année d’élections présidentielles. Or, tous les sondages montrent jusqu’à maintenant qu’une élection libre donnera gagnante Xiomara Castro, épouse de l’ex-président, Manuel Zelaya, et son parti Liberté et refondation (LIBRE).
Il ne porte certes pas la kippa durant le récit biblique de la sortie d’Égypte, le séder, mais lui et sa femme sont sensibles aux histoires d’esclavage qui les concernent personnellement.
Sa femme Michelle n’oublie pas qu’elle est descendante d’esclaves mais surtout arrière-petite-fille d’une Cohen, et nièce d’un rabbin de la congrégation juive d’Éthiopie à Chicago.
PS c'est le premier US président à faire ça, un "Séder de Pessah à la Maison Blanche".
G Bush Jr "J'ai mis ce programme en place (PRISM) pour protéger le pays des menaces extérieures. L'une des certitudes est qu'il a permis de garantir les libertés individuelles". D'après lui, le compromis entre sécurité et vie privée est difficile à établir. "Je pense qu'un équilibre (entre les deux) est nécessaire et, comme le président (Obama) l'a expliqué, ce programme le respecte".
http://www.7sur7.be/7s7/fr/2864/Dossier-Obama/article/detail/1661560/2013/07/01/George-W-Bush-estime-que-Snowden-nuit-a-la-securite-du-pays.dhtml Pour voir George faire de la peinture "CNN exclusive: George W. Bush on AIDS, Mandela, Snowden and his legacy" http://edition.cnn.com/2013/07/01/politics/bush-interview/index.html?hpt=hp_c2
Théorie sur les coups de pressions sioniste (impeachment ?) pour pousser Obama à la guerre (Michael Collins Piper)
Le feuilleton Snowden démarre t-il à un moment particulier dans le temps géopolitique ?
Pourquoi Snowden a finit en Russie ?
Pourquoi les médias parlent de l'espionnage US et ne parlent jamais du false flag du 911 ? Les médias savaient très bien que le patriot act concerne directement les services secrets de l'UE qui n'est qu'un remaniement du stay-behind en europe, directement relié au coup d'état sioniste/neo-con aux USA en 2001.
TUT Broadcast: Michael Collins Piper joins the program to discuss the recent NSA spying
Michael Collins Piper joins the program to discuss the recent NSA spying ‘revelations’ and how this is an Israeli operation aimed at pressuring Obama into launching military actions against Syria, Iran and Russia.
http://blogtalk.vo.llnwd.net/o23/show/5/079/show_5079359.mp3 3 juillet 2013
Piper revient aussi un peu sur un autre exemple de pression avec l'affaire Lewinsky...
Il y a aussi l'affaire du BenghaziGate sur la tête d'Obama. http://www.lefigaro.fr/international/2013/08/05/01003-20130805ARTFIG00313-le-mystere-de-benghazi-entretient-le-soupcon-sur-la-maison-blanche.php
ils s'employaient à récupérer les missiles sol-air échappés des dépôts d'armes de Kadhafi.
Ou ceux qu'ils ont livré à Al-Qaida leur allié face à Khadafi (diabolisé par tout le monde.)
Pas ailleurs il n'y a jamais eu autant d'attentats en Irak qu'en juillet http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/reuters-00540125-plus-de-1-000-irakiens-tues-en-juillet-record-mensuel-depuis-2008-592039.php
Aussi Piper au 4/5 de l'audio dit qu'il n'a jamais cru que Ahmadinejad soit juif "tout ça est de la désinformation comme avec Yasser Arafat....pour diviser la population de ces pays sur l'intégrité de leurs dirigeants.... " Il revient aussi sur le délire de Boston avec les gens qui perdent leurs temps sur les "acteurs", "It's like a child toy" pour occuper les gens.
PS Si vous cherchez des juifs, Henrique Capriles Radonski (Vénézuela)= "catholique d’origine juive" http://america-latina.blog.lemonde.fr/2012/09/06/derapages-antisemites-de-la-campagne-de-chavez-au-venezuela
Obama déclare que le Kosovo a quitté la Serbie seulement après référendum, problème, il n'y a jamais eu de référendum du tout. Publié le 27 Mars, 2014 20:30
http://cdn.rt.com/files/news/24/4e/10/00/kosovo_2000_480p.mp4 Le président américain Barack Obama prononce un discours au Palais des Beaux-Arts (Palais des Beaux-Arts - BOZAR) à Bruxelles le 26 Mars 2014. (AFP Photo / Saul Loeb)
Le discours de Barack Obama sur la crise ukrainienne semble avoir laissé la confusion du public quand il prétendait que le Kosovo a rompu avec la Serbie "après un référendum». Mais les auditeurs attentifs ont rapidement souligné les lacunes d'Obama en histoire - il n'y avait pas de référendum au Kosovo.
Le président Obama a parlé mercredi au Centre des Beaux-Arts dans le cœur de Bruxelles, en Belgique, et a été dit à la foule des jeunes surtout sur le conflit russo-ukrainien sur la péninsule de Crimée stratégique. Il s'en est pris à la Russie pour "violation du droit international, à l'assaut de la souveraineté de l'Ukraine et de l'intégrité territoriale." Obama a rappelé le conflit autour du Kosovo et de l'implication de l'OTAN, faisant un contre-argument pour les déclarations de responsables russes, dans laquelle ils ont cité l'indépendance du Kosovo de la Serbie en 2008, le précédent. Il a dit: "Et le Kosovo n'a quitté la Serbie qu'après qu'un référendum a été organisé et pas en dehors des limites du droit international, mais en coopération prudent avec l'Organisation des Nations Unies et avec les voisins du Kosovo. Rien de tout cela c'est produit en Crimée ". En fait, "rien de tout cela ne c'est produit" au Kosovo.
Que s'est-il passé au Kosovo
Après trois mois bombardements de l'OTAN de l'ex-Yougoslavie en Juin 1999, le Kosovo a été placé sous l'administration de la Mission des Nations Unies au Kosovo (MINUK) et une force de maintien de la paix dirigée par l'OTAN, la KFOR, ont été autorisés à entrer dans la province.
Kosovars tiennent drapeaux albanais comme ils prennent part aux célébrations marquant le 6e anniversaire de la déclaration d'indépendance du Kosovo de la Serbie, à Pristina le 17 Février 2014. (AFP Photo / Armend Nimani)
Deux ans après que la MINUK et la KFOR sont arrivés là en mai, 14, 2001, l'ONU a approuvé un «cadre constitutionnel pour un gouvernement autonome provisoire au Kosovo." Il a appelé à un Parlement de 120 sièges, qui élirait un président et un premier ministre. En Novembre de cette année Kosovo a tenu ses premières élections législatives que l'ONU salué comme un grand «succès». L'année 2005 est également devenu non moins important pour le Kosovo en tant que secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a nommé M. Martti Ahtisaari pour diriger le processus sur le statut du Kosovo, ainsi, donnant la province "le feu vert" à se battre pour son indépendance. Après de nombreux entretiens avec des responsables à la fois de la Serbie et du Kosovo, en 2007 Ahtisaari est venu avec le plan qui comprenait «dix principes directeurs», qui décrit les pouvoirs d'administration générale et de la structure du gouvernement du Kosovo. Le soi-disant "plan Ahtisaari" représente un compromis entre les deux parties. Il a donné des dispositions générales pour l'autonomie du Kosovo, y compris la possibilité de conclure des accords internationaux et de devenir un membre des organisations internationales.
Les enfants du Kosovo brandissent des drapeaux du Kosovo et britanniques pendant les célébrations marquant le 6e anniversaire de la déclaration d'indépendance du Kosovo de la Serbie, à Pristina le 17 Février 2014. (AFP Photo / Armend Nimani)
Soutenu par le Groupe de contact (Etats-Unis, le Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie et Russie) et du Kosovo, dans le plan manquait encore l'accord serbe. La Russie finalement rejete le plan avec la Serbie et, en conséquence, les négociations sont dans une impasse. Cependant, malgré l'impasse dans le Groupe de contact, les autorités du Kosovo ont décidé de déclarer l'indépendance en Février 2008. Le 17 Février 2008, l'assemblée du Kosovo a adopté une déclaration d'indépendance "en pleine conformité avec les recommandations de l'envoyé spécial de l'ONU Martti Ahtisaari." Le même jour, les États-Unis et quatre pays européens ont reconnu le Kosovo comme un pays indépendant.
«Vous ne pouvez pas rattraper les faits»
«Je ne sais vraiment pas de quoi le président Obama parle", a déclaré l'historien serbe Nebojsa Malic RT. "Il n'y a jamais un tel référendum. Il n'a jamais eu lieu. Il n'existait pas. Je suis complètement déconcerté. "
Pendant ce temps, sur Twitter le faux-pas d'Obama n'est pas non plus passer inaperçu. Les gens ont accusé le président américain de "mentir sur le référendum".
En parlant à RT, Nebojsa Malic a suggéré que cela pourrait être le cas que la personne qui écrit des discours d'Obama juste “a confondu le référendum non-existant au Kosovo avec le référendum dans Montenegro qui est survenu en 2006.”
“Si c'est le référendum ils étaient la référence à, tout d'abord, il est juste déconcertant qu'ils ne peuvent pas dire à part le Kosovo et Montenegro. Deuxièmement, ce n'est pas exactement un modèle de démocratie dans les lois internationales non plus,” a dit Malic, en soulignant que que le référendum a été tenu dans les "circonstances très glauques quand les gens étaient achetés ouvertement.”
“Je ne suis pas vraiment sûr quelle sorte du point ils essayaient de faire, mais vous ne pouvez pas juste inventer vos propres faits pour promouvoir votre propre argumentation. C'est ridicule,” s'est-il terminé.
source avec les liens textes http://rt.com/news/obama-kosovo-russia-mistake-705