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    Un bon rappel historique : Hitler a triomphé du marxisme

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    Message  GarfieldLove 5/10/2010, 09:29

    Hitler a triomphé du marxisme. C’est un des éléments les plus marquants de l’histoire mondiale, de l’histoire européenne et de l’histoire des idées et des religions (le marxisme est une religion sécularisée). Puisque la demi Allemagne démocratique, submergée par les populations afro-turques fête sa réunification dans le cadre de son actuelle désintégration, revenons aux sources de cette partition.

    C’est bel et bien le national-socialisme qui a laminé le communisme porté en son temps par l’URSS. Le communisme s’il avait l’espace pour lui après la conquête des vastes espaces eurasiatiques ne disposait pas du facteur temps. Chaque année supplémentaire succédant à 1917 ne faisait que démontrer l’inanité meurtrière du projet rouge. Déjà dans les années 20 puis après les procès de Moscou, la plupart des peuples européens savaient à quoi s’en tenir sur les merveilles du monde marxiste. Staline et les dirigeants rouges avaient pris conscience que la séduction du communisme ne pourrait pas imposer ce dernier aux delà des frontières russes et que seule une vaste guerre mondiale pouvait fournir à l’URSS une échappatoire à son propre projet. Car si le marxisme coexistait avec d’autres modèles, le temps se chargerait de le convaincre de sénilité.

    La seule mesure de Staline consista à industrialiser le pays à un rythme militariste, engendrant d’immenses saignées dans la population. Un vaste complexe militaro-industriel naquit, dans un pays encore paysan et arriéré dirigé il y a quelques années encore comme un état féodal. Cette structure gigantesque ne visait pas à produire des biens de consommation mais une armée de dimension mondiale capable d’emporter en quelques années l’Europe entière, donc l’Eurasie, c’est à dire le monde.

    Le danger communiste agitait l’Europe entière et la guerre d’Espagne mit tout le monde face à ce qui adviendrait dans l’Europe bolchevique. Le front ploutocratique dit “populaire” lié à la banque anglaise ne s’aventura pas dans un soutien aux moscoutaires, on savait trop que Staline ne faisait de cadeaux à personne et que le communisme n’entendait ne rien laisser debout, sociale-démocratie y compris. Cela était parfaitement clair dans le jeu joué par Staline en Allemagne, lequel laissa le KPD se faire liquider en refusant toute politique de soutien au SPD. Staline poussa volontairement l’Allemagne dans la voie du réarmement plutôt que dans une tentative de sauvetage d’une république de Weimar dont le maintien signifiait la main mise démocratique sur le continent.

    En 1935, l’URSS prit naturellement ses précautions en renouvelant l’alliance franco-russe du premier conflit mondial tout en participant à des programmes d’armement secrets avec le Reich, c’est à dire en favorisant les conditions d’un conflit “inter-capitaliste”. Il s’agissait de conjurer tout accord tacite de la part des alliés avec l’Allemagne dans le sens d’une guerre d’agression allemande à l’est. Le monde fût sous le choc lorsque Staline signa le pacte germano-soviétique en août 1939. Pourtant le maître du Kremlin avait soigneusement fait monter les enchères de telle sorte qu’il put aborder la situation au meilleur de ses intérêts (Annexion des Pays Balte, d’un tiers de la Pologne, de la Bessarabie).

    Le calcul soviétique était alors très simple: attendre patiemment que le conflit mondial futur saigne à blanc Allemands et Alliés pour lancer une gigantesque offensive jusqu’à l’Atlantique et la Méditerranée. À l’hiver 1940 Staline voulut s’assurer au nord de la destruction de la Finlande, petit pays bordant la mer baltique. La surprise fût totale lorsqu’il apparut que l’armée finlandaise parvint à contenir la poussée russe et à lui infliger de lourdes pertes. Au Kremlin, cet échec fût interprété comme un signe de faiblesse envoyé à Berlin. Mais ce fût la victoire écrasante d’Hitler en France qui terrorisa Staline. Le conflit d’attrition attendu n’avait pas eu lieu, Hitler était maître du continent.

    Malgré une armée déjà massive, le commandement allemand demeure supérieur à tous les niveaux. Les purges effectuées en 1937 ayant encore d’importantes conséquences sur les compétences du commandement soviétique.

    Hitler de son coté ne voulait pas d’une guerre à l’ouest. Il ne voulait pas non plus d’une guerre sur deux fronts. Il sait que les USA vont entrer en guerre par le truchement anglais. Mais il sait aussi que les russes seront prêts pour la guerre en 1943 mais que virtuellement ils sont en mesure d’attaquer à leur avantage l’Allemagne compte tenu des disproportions des forces en présence. Hitler dans une conversation secrète avec son allié le Maréchal Mannerheim estime l’arme blindée soviétique à 35 000 tanks.

    Un rapide coup d’oeil sur la production de guerre révèle que si en 1940 la Russie ne produit que 2200 chars (s’ajoutant à un immense parc) et l’Allemagne 2800, en 1942 l’URSS en produit 24 700 annuellement confirmant les chiffres divulgués par Hitler à ses partenaires finlandais. Durant cette même année 1942 et bien qu’engagés dans la guerre depuis trois ans dont deux avant les soviétiques, les allemands ne produisent que 9 400 chars. L’URSS disposait donc d’un complexe militaro-industriel extrêmement performant conçu pour produire en une seule année 10 fois plus de blindés que ceux réunis par l’Allemagne lors de l’invasion de la Russie. Et encore, les russes durent déménager leurs usines dans l’Oural ce qui n’alla pas sans troubler le rythme de production.

    L’action d’Hitler fût décidée après la rencontre avec Molotov, ministre des affaires étrangères soviétique à Berlin en novembre 1940. Le Führer entend percer à jour les véritables ambitions russes et s’assurer de son intuition qui le pousse à croire que ceux-ci entendent frapper l’Allemagne au moment opportun. Hitler propose aux russes de concentrer leurs efforts vers l’Océan Indien. Il se dit indifférent du sort des Indes Britanniques. Si les soviétiques acceptent de pousser au sud, Hitler se déclare disposé à recevoir l’URSS dans l’alliance incluant déjà le Reich, l’Italie et le Japon. Molotov se montre arrogant, parfois presqu’ irrespectueux. Les Russes se bornent à répéter inlassablement qu’ils ne consentiront à une telle alliance que si on leur cède la Bulgarie et la Turquie, le traditionnel objectif méditerranéen tsariste. Les Russes évoquent d’autres conditions qui permettraient leur pénétration en Europe Centrale. Lors du départ du ministre soviétique Hitler est fixé: les Russes n’ont pas changé de perspectives. Molotov a essayé d’obtenir de l’Allemagne les bases de départ de son action stratégique à l’est. Sans succès, le Führer ayant le nez fin.

    Hitler redoute à présent une offensive russe pour l’été 1941 voire l’automne. À ce moment précis, l’Allemagne démobilise après sa victoire sur la France, les effectifs baissent. Hitler aurait souhaité obtenir une paix blanche à l’ouest, mais cette option s’est évanouie. La menace russe se précise et devient plus dangereuse encore avec la possibilité d’une alliance anglo-soviétique, la même alliance qui perdit Napoléon. Les russes cependant de leurs cotés ne veulent pas entamer un conflit aussi tôt. Ils prennent soin de freiner les accords commerciaux avec les Allemands. Staline redoute que l’Angleterre ne cherche à orienter vers la Russie une armée allemande en état de guerre. Le maître du Kremlin a déjà perdu une importante manche avec la destruction de la France, il ne veut pas aborder un conflit qu’il n’ait pas décidé.

    Selon toute vraisemblance l’Union Soviétique n’entendait frapper qu’à la condition d’un engagement allié à l’ouest et tant que le différentiel industriel jouerait grandement en faveur de l’URSS. Hitler cependant ne va pas laisser aux Russes le luxe du temps et le 22 juin, 3,3 millions d’hommes et 3 700 chars s’élancent contre l’URSS. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les Allemands attaquent en infériorité numérique. Les soviétiques alignent au minimum 15 000 chars (5 fois plus), 9 000 avions (3 fois plus). Le bilan dressé par le commandement allemand à la fin 1941 évoque la destruction de 20 000 tanks, 35 000 canons et 5,5 millions de tués et prisonniers soviétiques. Une puissance militaire qui trahit bien un vaste programme d’armement visant à l’anéantissement des armées occidentales. Seule la supériorité du commandement et du soldat allemand associés à la surprise permettent à l’Allemagne d’enregistrer des succès initiaux aussi impressionnants.

    Dès lors l’URSS va connaître sur son sol la guerre qu’elle entendait mener en Europe. Ce qui signifie l’anéantissement de sa stratégie originale. L’Armée Rouge se voit contrainte de mener une guerre défensive qui au surplus permet aux Alliés de préparer l’invasion du continent mais suffisamment tard pour que l’Allemagne saigne à blanc l’URSS. Staline exige dès 1942 que les anglo-américains ouvrent un second front à l’ouest, ce que se garderont bien de faire les Alliés.

    En réalité si l’Allemagne n’avait pas eu à affronter les Alliés à l’ouest en 1944, nous aurions assisté à l’équilibrage progressif des forces à l’est et très certainement à un nouveau recul soviétique au cours de l’année 1945 donnant au conflit germano-russe l’aspect d’une immense guerre d’attrition. La production militaire allemande en effet ne cesse en 1943 de rattraper la production militaire russe et en 1944, au plus fort des bombardements alliés sur les centres de production, de produire autant que l’URSS. Ainsi la production d’acier du Reich en 1944 est-elle toujours 3 fois supérieure à celle de l’immense URSS, le nombre de chars produits par l’Allemagne est de 27 300 contre 29 000, le nombre d’avions étant de 38 000 contre 40 300. Malgré une main d’oeuvre 2 fois supérieure, une production d’acier 3 fois plus importante, les USA ne produisent que 60% d’avions supplémentaires en 1944, tandis que leur production de chars n’atteindra au mieux de son effort de guerre que les mêmes niveaux du Reich.

    C’est dire si en 1944 l’échec du débarquement annonçait de graves revers pour les Alliés et un rééquilibrage majeur du rapport de force germano-soviétique. Et ce malgré les défaites de Moscou, Stalingrad et Koursk. Plus d’un “expert” a jugé Hitler comme piteux stratège, un entêté sans sens militaire. C’est bien plutôt que son obsession de la conservation du terrain visait à ralentir au maximum la progression soviétique vers les centres de production stratégiques dans le cadre de ce rééquilibrage en cours. Les projections tendent à démontrer que le III° Reich aurait pu se doter de l’arme nucléaire à l’automne 1945. L’arme balistique dont il était déjà le maître parachevait, une fois couplée à la puissance de l’atome, de donner à l’Allemagne les moyens d’anéantir tous ses adversaires. Perspectives présentées par Joseph Goebbels au sujet des “armes nouvelles” dont on apercevait alors que le simple bégaiement. Par ailleurs le nettoyage politique en cours après le 20 juillet 1944 assurait que les dernières poches pro-occidentales étaient en voie de liquidation, surtout dans l’armée régulière, et offrait à la SS de grandes perspectives militaires et politiques.

    Malgré la défaite allemande officielle, le bilan objectif est en réalité bien plus positif avec la destruction de la menace mondiale soviétique dans l’oeuf avec son corollaire de goulags non pas pour des terroristes ou des criminels mais bien pour le quidam moyen. L’Allemagne a certes été vaincue mais ses potentialités stratégiques moins diminuées que celles de l’URSS. En 2010 l’Allemagne est de facto la puissance numéro 1 du continent, ses objectifs de guerre sont tous complétés puisqu’elle étend son influence jusque dans une Russie profondément affaiblie.

    La destruction de 10 millions de soldats soviétiques ainsi que celle de la partie la plus riche et la plus peuplée du pays et la saignée de 15 millions de civils ont privé le pays de ses ambitions européennes et mondiales. L’Allemagne a ainsi détruit en URSS l’équivalent de vingt ans de production et d’investissements. Ces pertes gigantesques ne pourront jamais être compensées car le système soviétique devait pour survivre impérativement détruire toute coexistence avec un autre modèle en Eurasie. L’URSS se doit donc de se barricader mais elle ne pourra plus agir au niveau mondial, d’autant que la Chine émerge en 1949 comme un pouvoir allié mais concurrent. La suite ne sera que long effondrement du titan rouge.

    Tel est le bilan véritable du national socialisme qui ne s’est effondré que par l’action tardive des armées alliées à l’ouest, attitude que le Führer ne comprit jamais, attendant encore en avril 1945 que les USA retournent leurs alliance et signent une paix blanche avec l’Allemagne. Bien que divisée, l’année 2010 nous révèle que l’Allemagne, quoique dévorée par le cancer ploutocratique judéo-cosmopolite, dispose encore d’atouts stratégiques déterminants que ne possèdent plus l’Angleterre (sa flotte, ses colonies et sa banque sont liquidées). Le mirage de la victoire de Churchill ne satisfait que les imbéciles. Il fût au contraire la pire calamité politique que l’Angleterre eut connu et il précipita la chute de ce vieux foyer de pestilence. Roosevelt à l’ascendance et à l’épouse juives n’en était pas moins le pantin d’intérêts qui d’une victoire éclatante proclamèrent le début de la fin des États Unis qui pouvaient encore en 1945, à la condition d’une politique d’isolement et de protection raciale, demeurer l’île de paix dans un monde sous pourrissement marxiste. Hélas la finance juive et le venin anglo-saxon se piquèrent d’aller répandre de concert avec les moscoutaires hystériques le feu aux quatre coins du monde.

    Il est assez clair que derrière les serments atlantistes se cachent chez les Allemands le moyen de poursuivre la même politique géostratégique. Nous sommes d’avis qu’il ne faut pas prendre le peuple allemand à la légère malgré les apparences. Au risque de surprendre le lecteur, il nous paraît fondé d’accorder toute notre attention aux positions géopolitiques du temps long plus qu’à celles du moment. Nous ne serions pas étonnés de voir une Russie désireuse de pousser ses pions à l’Ouest lorsque celui s’effondrera et de trouver sur son chemin une Allemagne guérie de sa pusillanimité et s’imposant comme le centre d’une Europe d’une nouvelle nature. Et dans cette recombinaison générale, de voir l’Angleterre revirer ses alliances et appuyer la Russie pour conjurer son anéantissement en cours qui la voue à la disparition géopolitique. Nous pourrions assister un pacte germano-américain de raison face à une curieuse alliance russo-anglaise sur fond de montée en puissance chinoise. Car la Chine procède actuellement à un armement massif à vocation agressive. Quant à la France, il semble désormais évident que comme l’Angleterre sa grandeur soit derrière elle.

    http://www.le-projet-juif.info/?p=2245
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    Message  Bardamu 5/10/2010, 09:41

    Très intéressant cet article, passionnant même !!! Merci Moby Smile Ce n'est pas le genre d'analyse que l'on risque de trouver dans les manuels scolaires de nos bambins !!!




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    Message  Bardamu 5/10/2010, 13:14

    Je viens de parcourir ce Pdf, merci Ratman, document rare sans aucun doute !!
    Maintenant, quand je lis ça, je me dis que toutes ces analyses sont un prétexte pour discréditer le Chancelier Hitler. Essayer de nous convaincre qu'il souffrait d'une forme sévère du complexe d'Oedipe, je trouve ça totalement navrant, pitoyable.

    Marrant d'ailleurs comme coïncidence que Moby ai eu l'excellente idée de poster un sujet cette semaine sur ce dégénéré de Shlomo Freud , ça nous permet de relativiser la portée de ce rapport et de ne ternir en rien le rôle essentiel de l'Allemagne Nationale-socialiste comme barrage à l'expansion du communisme en Europe !

    En ce qui me concerne, je range cette étude de L'OSS dans mes archives avec la mention "à lire avec recul" study


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    Message  ziril 5/10/2010, 18:43

    Pour chipoter...

    Staline n'était pas un Marxiste, mais plutôt un opportuniste a la sauce Bonapartiste...

    Au bon endroit au bon moment pour rafler le pouvoir... C'est Trotsky qui s'en mord encore les doigts...


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    Message  Bardamu 5/10/2010, 18:49

    ça y est ! Ziril s'est mis en mode taquin Razz

    Pour Trotsky, on peut même aller jusqu'à dire que ça lui a fait mal à la tête lol!


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    Message  aryo-romain 5/10/2010, 23:51


    On pourrait opposer une autre thèse à celle défendue par cette article :à savoir que le marxisme fut liquidé par STALINE , par la lutte impitoyable menée contre le trostkisme cosmopolite soutenu par les U.S.A .
    Sur les plans géopolitique et idéologique, les erreurs (et donc crimes contre l'Europe) d'Hitler furent multiples par méconnaissance des Principes Traditionnels .
    Son nationalisme et son racisme biologique le poussèrent à rechercher une alliance à l'Ouest avec des Anglo Saxons spiritellement sémitisés, au détriment d'un pacte germano soviétique solide avec un monde slave plus proche des valeurs aryennes .
    Les milieux de la Révolution Conservatrice allemande luttèrent contre ces tendances et pronèrent une alliance à l'Est contre l'Occident capitaliste et décadent .
    A ce sujet , on lira avec intérets les ouvrages suivants :
    -Le troisième Reich de Moller Van Den Bruck
    - Le fascisme vu de Droite et les notes sur le 3e Reich de Julius Evola
    -la métaphysique du national bolchevisme d'Alexandre Douguine .
    -la grande guerre des continents d'Alexandre Douguine
    snr

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    Message  Alfred88_2 14/7/2021, 20:57

    Je suis passé par là et je me suis dit tant qu'à faire, autant poster quelques petites analyses historiques même si (presque) tout le monde s'en fout lol!

    J'ai donc décrypté un discours pour le moins révélateur lorsqu'on lit entre les lignes.

    Adolf Hitler, premier discours en tant que chancelier, 1er février 1933.

    Appel au peuple allemand. Plus de quatorze ans se sont écoulés depuis ce jour malheureux. Subitement aveuglé par des promessses dans notre pays et à l'étranger, le peuple allemand a perdu de vue les atouts les plus précieux de notre passé et de notre Reich, son honneur et sa liberté et qui par conséquence a tout perdu. Depuis ce jour de trahison, Précisons bien le terme trahison car les puissances à la tête de l'Allemagne en 1918 ont tout fait pour que la guerre soit stoppée et que le triomphe hautement probable de l'armée allemande à 40km de Paris ne voit pas le jour. Des termes ont été négociés en 1918 selon lesquels l'Allemagne capitulerait et accepterait les conditions humiliantes du Traité de Versailles le tout puissant a suspendu ses bénédictions envers notre peuple. La discorde et la haine se sont abattues sur nous. Les puissances occidentales contrôlées par l'Illuminisme ayant pour but de détruire sans exception tous les empires depuis leur première révolution en 1789, n'auront de cesse de destabiliser l'Allemagne humiliée avec ''la terreur rouge'' après la première guerre mondiale qui verra l'anéantissement définitif d'un des derniers grands empires d'Europe, celui d'Autriche-Hongrie en 1918. Empire lui-même affaibli durant ces dernières décennies par les révolutions illuministes sous le masque de révolutions sociales en faveur de droit et d'égalité. Avec une profonde détresse des millions parmi les meilleurs hommes et femmes allemands ont vu disparaître l'unité de la nation se dissolvant dans une confusion d'opinions politiques et personnelles et d'intérêts économique et de différences idéologiques. Là aussi, le Führer nous décrit implicitement quelles ont été les conséquences de la destruction de l'Empire Austro-Hongrois. Chacune des parties qui le constituaient ont en outre été rendues indépendantes. Le masque de la Démocratie y a été instauré en remplacement des monarchies existantes jusqu'à 1918, et par là même apparaîtront multitude de partis politiques de tout bord en réalité tous financés par les mêmes individus que nous connaissons. Depuis ce jour, comme souvent dans le passé, l'Allemagne a donné d'elle une image de désordre navrante depuis le jour de la révolution. Nous n'avons jamais reçu l'égalité et la fraternité qu'on nous avait promis et nous avons perdu notre liberté. La décomposition de l'unité et de la volonté de notre peuple a été suivie de la désintégration de sa position politique dans le monde. L'Allemagne est devenue après la guerre le pays d'Europe le plus corrompu, le plus débauché, avec un niveau de vie lamentablement bas, sans aucune aide sociale, ni aucune assistance quelconque. Taux de suicide relativement élevé. Une nation surpeuplée qui s'est vue de plus confisquer une partie de ses territoires qu'elle possédait depuis toujours en faveur de la Pologne ou la France. L'Alsace, la Sarre et la Lorraine étant, à l'origine, allemandes, ce qu'on a tendance à un peu trop oublier. Nous sommes fermement convaincus que le peuple allemand est entré dans la lutte en 1914 sans le moindre sentiment de culpabilité de sa part et qu'elle était seulement remplie du désir de défendre le Reich qui était attaqué et de préserver la liberté, voir, l'existence même des Allemands. La doctrine Illuministe de cette guerre étant d'en venir à la chute de l'avant-dernier grand Empire, le suivant étant celui des Tsar en 1917. La guerre viendra à bout de l'Empire d'Autriche-Hongrie, mais la destruction de l'Empire Russe viendra de la terreur rouge. Cela étant, nous ne pouvons que constater le sort désastreux qui nous a rattrapés depuis novembre 1918, résultat de notre effondrement. Mais le reste du monde, aussi, a soufert tout autant depuis à cause des crises répétitives. L'équilibre des pouvoirs qui a contribué dans une mesure non négligeable au développement d'une compréhension de la solidarité des nations, avec tous ses avantages pour les échanges commerciaux, a été mis de côté. Cette conception absurde vainqueurs/vaincus a détruit la confiance existant entre les nations et, en même temps, l'industrie du monde entier. La misère de notre peuple est horrible. Des millions de prolétaires et de l'industrie sont au chômage, l'ensemble de la classe moyenne et les petits artisans ont été appauvris. Lorsque cet effondrement touchera finalement les paysans, nous serons confrontés à une catastrophe sans précédent. Car alors, ce n'est pas le Reich qui sera mis en danger, mais tout un héritage de deux mille ans d'histoire comprenant cetains des produits les plus élevés de la culture humaine et la civilisation. Nous avons là, par l'usage de crises économiques, de révolutions ou de guerres, un exemple frappant de réalité de ce qu'est le principe de l'Illuminisme dans sa volonté de détruire la civilisation. Chose que le Führer a toujours défendu plus que tout. Ces deux mille ans d'histoire, comprendre par là la culture, l'architecture, la litterature, le théâtre... sont les cibles prioritaires de l'Illuminisme, c'est à dire ceux qui prônent la destruction même de tous les empires, de la religion et tout ce qui a trait à l'identité d'un pays. La destruction de tout ce qui constitue l'héritage culturel et patrimoniale, et qui a trait à la nation visée en particulier à travers les révolutions (basées sur un principe communiste) ne sont que leurs faits. Les signes avant-coureur de cette désintégration, nous les connaissons tous. Dans une unique et gigantesque attaque de puissance et de violence, la méthode de la folie communiste tente d'empoisonner et de perturber le peuple qui est ébranlé et déraciné à son noyau le plus intime, dans le but de le conduire vers une époque qui serait bien pire par rapport aux promesses des porte-parole communistes d'aujourd'hui, que la periode dont nous venons de sortir par rapport aux promesses des mêmes apôtres en novembre 1918. Il est clair que le Communisme est une idéologie barbare financée par les juifs de New York en vue d'utiliser des révolutionnaires assoiffés de sang contre des états ou des souverainetés qu'ils se sont fixés comme objectifs à abattre. Ce sont les membres de cette organisation, dont les leaders criminels juifs sont aujourd'hui considérés comme héros, qui ne reculent devant rien et sont, à la postérité, responsables des plus lourdes atrocités de l'histoire. C'est également pour cette raison que tout juif étant un révolutionnaire averti, sera par la suite arrêté et déporté, mis à contribution dans les camps pour l'effort de guerre, afin d'éviter des vagues de soulèvement ou d'attentats au sein même des nations dont ils se sont fixés pour objectif à abattre. En commençant par la famille, il a miné les fondements mêmes de la morale et de la foi et se moque de la nation et de la patrie, de la justice et de l'honneur. Jusqu'au fondement éternel de notre morale et notre foi, rien n'a été épargné par ce dogme négateur et destructeur. Le principe communiste appliquera fidèlement la doctrine de son créateur Illuministe,  à savoir, bannir toute forme de morale, de droiture, de rigueur et de culture, dans le but de rabaisser l'Homme à son état le plus bestial et à le soumettre dans la misère à ses supérieurs du ''peuple élu''. Quatorze ans de marxisme (Doctrine de Karl Marx, fondateur des principes élémentaires du Communisme) ont ruiné l'Allemagne, une année de bolchévisme détruirait l'Allemagne. Les territoires les plus riches et les plus belles cultures du monde seraient transformées en un tas de ruines fumantes. Même les souffrances de la dernière décennie et demi ne pourraient être comparées à la misère et la famine, au coeur de laquelle le drapeau rouge de la destruction aurait été hissé. Le Führer nous dresse là une anticipation de ce que deviendra l'Empire Communiste à partir de 1944, sachant pertinemment tout ce qui fut commis comme horreurs, notamment avec la famine en Ukraine, et tout ce qui arrivera aux peuples et à la civilisation si son triomphe devait avoir lieu. Les milliers de blessés, les centaines de morts que cette lutte intérieure a déjà couté à l'Allemagne devraient être un avertissement de la tempête qui viendrait. De mémoire d'homme, la tâche à laquelle nous sommes confrontés est la plus difficile qui se soit jamais présentée aux hommes d'états allemands. Mais nous sommes tous remplis d'une confiance illimitée car nous croyons en notre peuple et dans ses vertus impérissables. Les paysans, les travailleurs et la bourgeoisie doivent tous s'unir pour fournir les éléments constitutifs du nouveau Reich. Le gouvernement national considérera comme son premier et principal objectif de relancer dans le peuple l'esprit d'unité et de coopération. Il préservera et défendra les principes fondamentaux sur lesquels notre nation a été construite. Il considère le christianisme comme le fondement de notre morale et la famille comme la cellule germinale du corps de notre peuple et de l'état. Point très important à citer. La doctrine Chrétienne, basée sur une morale juste et droite, est en radicale opposition avec le principe barbare et destructeur de l'Illuminisme. La Doctrine Chrétienne c'est Dieu et le Christ, le partage, le pardon, l'amour, l'assistance. L'Illuminisme et leur Communisme, tel que décrit dans leurs plans et leurs paroles, c'est renier le Christ, vénérer Satan, la fin justifiant les moyens, il est donc nécessaire de n'avoir aucune limite pour parvenir à son but. D'où le principe de la Révolution et des atrocités qu'elle a occasionnées. Adolf Hitler, comme mentionné plus haut, se porte garant de défendre la civilisation et la culture en général. En face, nous avons des individus qui se portent garants de la détruire, commençant donc par là à éliminer toute forme d'intellectualisme. D'un côté, le Führer nous dresse à ce moment-là de son discours sa pensée future. Développer le savoir, l'intelligence, l'éveil, en protégeant le peuple et en le mettant à l'abri des difficultés avec entre autre le secours d'hiver, ce que ceux d'en face feront en sorte d'empêcher. Qui pourra nier que sous son règne, le peuple allemand ne manqua de rien et bénéficia du meilleur système social au monde ? Système sociale dont nous n'avons aujourd'hui plus que des miettes. Il réveillera notre peuple, au dela des limies du rang des classes, son sens de l'unité nationale et politique et ses devoirs résultants. Il établira une révérence pour notre grand passé et notre fierté dans nos anciennes traditions comme base de l'éducation de la nation allemande. Ainsi il déclarera une guerre impitoyable contre le nihilisme politique et culturel. Ce nihilisme politique et culturel dont parle Albert Pike lorsqu'il cite clairement: Nous lâcherons les athées et les nihilistes – deux termes qui se fondent en un - et nous provoquerons un formidable cataclysme qui dans son horreur, montrera clairement aux nations les effets de l'athéisme absolu, à la source de la sauvagerie et du bouleversement le plus sanglant. Alors partout, les citoyens, obligés de se défendre contre la minorité des révolutionnaires dans le monde, extermineront ces destructeurs de la civilisation et la multitude, désillusionnée du christianisme, se retrouvant dans ses aspirations déistes sans gouvernail ni direction, anxieuse d'un idéal, mais sans savoir à qui rendre son adoration, recevra la vraie lumière à travers la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, exposée finalement en pleine clarté. Cette manifestation résultera du mouvement général de réaction qui suivra la destruction du Christianisme et de l'athéisme, tous deux vaincus et exterminés dans le même temps. L'Allemagne ne doit pas et ne se noiera pas dans l'anarchie communiste. Nous remplacerons l'instinct turbulent de la discipline nationale comme règle de vie. Ce faisant, elle portera une grande attention aux institutions qui constituent les véritables garanties du pouvoir et de la force de notre nation. Le gouvernement nation a l'intention de résoudre l'immense tâche de réorganiser l'économie de notre peuple avec deux grands plans de quatre ans. Le salut du paysan allemand afin de maintenir l'approvisionnement alimentaire et donc la base de la vie de notre nation. Le salut du travailleur allemand dans une attaque énorme et omniprésente contre le chômage. En quatorze ans, les partis de novembre ont ruiné la paysannerie allemande. En quatorze ans, ils ont créé une armée de millions de chômeurs. Le gouvernement national, avec la détermination de fer et la fermeté inébranlable, proposera le plan suivant: D'ici quatre ans, le paysan allemand doit être mis à l'abri de la pauvreté. D'ici quatre ans, le chômage doit être complètement résolu. Dans le même temps, cela servira de terreau au rétablissement du reste de l'économie. Le gouvernement national va coupler cette tâche gigantesque de réorganisation avec la tâche et l'accomplissement de la réorganisation du Reich, des états fédéraux et des communautés à la fois en termes administratifs et budgétaires. Ce n'est que lorsque cela aura été fait que l'idée d'une continuité d'une existence fédérale de l'ensemble du Reich sera pleinement réalisée. Le travail obligatoire et la politique de retour à la terre sont deux principes fondamentaux de ce programme. Assurer le pain quotidien comprendra également l'exécution des tâches sociales envers les malades et les personnes âgées. Les bases du programme de réformes d'aides sociales du Parti-National Socialiste concernent entre autre l'assurance vieillesse étendue à tous, une couverture maladie pour tous, une assurance chômage, des congés payés dont on attribue à tort l'invention au juif Léon Blum, ainsi que le développement du secours d'hiver en faveur des plus démunis (Le principe de la fameuse soupe populaire que nous avons aujourd'hui) pour n'en citer que quelques-unes. Dans une administration d'austerité, de la promotion de l'emploi, le maintien de notre paysannerie, ainsi que l'exploitation de l'initiative individuelle donnent également la meilleure garantie pour éviter toute expérience qui mettrait en danger notre monnaie. En ce qui concerne la politique étrangère, le gouvernement national envisage comme priorité absolue de préserver pour notre peuple le droit de vivre et retrouver la liberté. En étant déterminé de mettre un terme à la situation chaotique de l'Allemagne, il aidera à restaurer pour la communauté des nations un état de valeur égale et par dessus-tout, il incombe au gouvernement l'immensité du devoir de préconiser, avec cette nation de droits et libre, la préservation et le maintien de la paix dont le monde a besoin aujourd'hui plus que jamais. Que la bonne intelligence de tous les autres nous aide à accomplir cela, ce qui est notre souhait le plus sincère, pour le bien-être de l'Europe et plus encore, pour le bien-être du monde entier. Aussi grand que soit notre amour pour notre armée comme porteur de nos armes et le symbole de notre grand passé, nous serions heureux si le monde, en limitant ses propres armements, ne nous rendait plus nécessaire d'augmenter le nôtre. Adolf Hitler tend ici la main, comme il le fera par la suite, en faveur d'un désarmement des nations. Son offre ne sera cependant jamais entendue. Cependant, si l'Allemagne doit faire l'expérience de ce renouveau politique et économique, et accomplir consciencieusement ses obligations envers les autres nations, une étape décisive est nécessaire: mettre un terme à l'installation communiste en Allemagne. Nous, les hommes du gouvernement, estimons que nous sommes responsables de l'histoire allemande pour rétablir l'ordre et la grandeur politique et ainsi finalement surmonter la folie des classes et la lutte des classes. Nous ne reconnaissons aucune classe dans le peuple allemand mais seulement des millions de paysans, bourgeois et ouvriers, qui, ensemble, vaincront les problèmes de leur temps ou y succomberont. Résolus et fidèles à notre serment, nous allons donc, en vue de l'incapacité actuelle du Reichstag à soutenir ce travail, demander au peuple allemand lui-même d'assumer cette tâche que nous considérons comme la nôtre. Le président Hindenburg nous a appelés et nous a ordonné d'utiliser notre propre unité afin de redonner à la nation une chance de se rétablir. Ainsi, nous appelons maintenant le peuple allemand à participer à la signature de son acte de réconciliation. Le gouvernement de l'insurrection nationale veut travailler et il y travaillera. Ce n'est pas ce gouvernement qui a conduit la nation allemande à la ruine depuis quatorze ans, ce gouvernement veut entrainer la nation au sommet à nouveau. Il est déterminé à payer la dette des quatorze années en quatre ans. Mais il ne peut pas laisser le travail de reconstruction dépendre de l'approbation de ceux qui se trouvent derrière cet affrontement. Les partis marxistes et leurs compagnons de voyage ont eu quatorze années afin de prouver leurs prouesses. Le résultat est un tas de ruines. Deuxième expression utilisée pour montrer à quel point l'idéologie Illuministe en coulisse est désastreuse lorsqu'elle a le désir de se déchaîner sur un pays. Maintenant, peuple allemand, donne-nous quatre ans et ensuite juge-nous. Conformément au commandement du maréchal Hindenburg, nous allons maintenant commencer. Que Dieu tout puissant veille avec bienveillance sur notre travail et conduise notre volonté sur le droit chemin en bénissant notre sagesse et nous récompense avec la confiance du peuple. Nous ne nous battrons pas pour nous-mêmes, mais pour l'Allemagne.

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