Ces scientifiques ont étudié des macaques (macaca fuscata) sur l’île de Koshima en 1952. Certains de ces singes avaient appris à laver des patates douces et les scientifiques ont alors observé que ce nouveau comportement s'était répandu à tous les jeunes singes de l’île par mimétisme.
Watson prétend cependant que ce comportement se serait même répandu aux singes de toutes les îles avoisinantes sans qu’il y ait la moindre transmission visible et cela au moment où un nombre clé aurait été atteint, le fameux centième singe, à partir duquel l’espèce entière aurait acquis un nouveau savoir.
L’histoire a été rendue populaire par Ken Keyes dans son livre « le centième singe » dont il applique le concept à la société humaine. Depuis, l’histoire a été acceptée comme un fait et est apparue dans de nombreux ouvrages dont certains écrits par des universitaires.
Watson prétend cependant que ce comportement se serait même répandu aux singes de toutes les îles avoisinantes sans qu’il y ait la moindre transmission visible et cela au moment où un nombre clé aurait été atteint, le fameux centième singe, à partir duquel l’espèce entière aurait acquis un nouveau savoir.
L’histoire a été rendue populaire par Ken Keyes dans son livre « le centième singe » dont il applique le concept à la société humaine. Depuis, l’histoire a été acceptée comme un fait et est apparue dans de nombreux ouvrages dont certains écrits par des universitaires.