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    Chronique des interventions bien opportunes de Ben Laden.

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    Message  ziril 30/10/2010, 13:36

    Ben Laden, Le Fantôme De La CIA, Menace La France
    28 Octobre 2010



    http://www.conspipedia.fr/?p=2518

    Ça y est, ils nous refont le coup et nous ressortent l'épouvantail Ben Laden made in CIA. Je pense que le message est clair : "N'allez plus manifester, c'est dangereux, restez devant TF1 et fermez là".

    Les mondialistes qui dirigent en arrière plan les groupuscules terroristes, pour peu que certains soient réels, lancent un message très clair à l'humanité libre : "Ce sera la terreur et le terrorisme pour tout peuple qui daigne rallier une noble cause en participant à un mouvement de dissidence d'ampleur nationale".
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    Message  ziril 30/10/2010, 13:38

    Comme prévu, Obama utilise lui aussi la menace fantôme d’Al Qaïda 4 jours avant les élections…



    30 Octobre 2010


    Dans 4 jours auront lieu aux USA les fameuses élections de mi-mandat qui s’annoncent catastrophiques pour le Chef de guerre en Irak, au Pakistan et en Afghanistan le Prix Nobel de la Paix Obama et gênantes pour les plans politiciens établis par les élites pro-NWO.

    Et sans surprise, comme l’avaient annoncé les observateurs indépendants de la vie publique aux Etats-Unis dont Alex Jones, Obama et les élites pro-NWO ont eu recours à une énième opération médiatique centrée sur la menace d’attentats imminents orchestrés par la nébuleuse fantôme Al Qaïda : Cette fois-ci des colis explosifs confectionnés par Al Qaïda Yemen.

    Ne pouvant se permettre un nouvel attentat sur le sol US ou directement contre un avion US (ou de ses proches alliés britanniques principalement), au risque de passer pour incompétentes dans la défense de leurs pays, les élites ont opté comme prévu là aussi, et ce depuis Juillet 2005, un scénario impliquant systématiquement des horribles attentats déjoués in extrémis : cette fois-ci ce sont des institutions juives sises aux USA, tout près du fief électoral d’Obama, Chicago, qui auraient été soit-disant épargnées par la vigilance des services secrets US…

    Vidéo : La chasse aux colis suspects confectionnés par Al Qaïda Yémen bat son plein aux Etats-Unis – Youtube


    Désormais, tous les dirigeants affiliés à l’idéologie néo-mondialistes soutenus par les élites pour accélérer dans leur pays le programme vers le Nouvel Ordre Mondial ressortent dès qu’ils sont en difficulté le Spectre Al Qaïda et Ben Laden, comme Nicolas Sarkozy vient de le faire lui-même en France, au moment où le conflit contre les retraites est en train d’être jugulé avec l’aide des grandes centrales syndicales plus ou moins « fluidifiées »…

    Les insaisissables Ben Laden et Al Qaïda (au sens propre comme au sens figuré, et pour cause !) sont ainsi devenus des personnages centraux des grands rendez-vous politiques dans le Monde occidental grâce aux mises en scènes savamment orchestrées par les « story tellers » de l’ombre (des raconteurs d’histoires officiels et occultes) et grâce aux relais médiatiques complices, la CNN en langue arabe Al Jazeera en tête.

    L’idée de fond est de faire bloc avec les dirigeants adoubés, et de limiter par la peur et par la menace invisible les risques de voir se développer des Mouvements politiques hors du contrôle des élites néo-mondialistes, tout en permettant un durcissement sans fin des législations, rapprochant peu à peu nos pays autrefois libres d’une prochaine dictature mondiale.

    Tant que les gens se laisseront berner par le discours officiel de la PEUR et de la menace fantôme, les élites pro-NWO pourront dérouler en toute quiétude leur agenda néo-mondialiste.

    « N’ayez pas peur ! « , aimait à répéter Jean Paul II à ses ouailles ; ce message était, comme on le voit jour après jour, empli de bon sens.

    Mais comme toujours à chacun et chacune de se forger sa propre opinion…



    source: http://911nwo.info/2010/10/30/comme-prevu-obama-utilise-lui-aussi-la-menace-fantome-dal-qaida-4-jours-avant-les-elections/
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    Message  ziril 30/10/2010, 13:41

    Si quelqu'un se sent le courage de faire le récapitulatif de toutes ces interventions bien opportunes depuis 2001, se serait très éclairant pour ceux qui doutent encore de cette fabuleuse supercherie.
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    Message  lorelianeGTQ 30/10/2010, 13:51

    Dur travaille, mais il est vrai que ce serait une chronologie bien utile.

    Déja je poste ça rapidement.

    Ron Paul s’exprimant devant le Congrès note que tout comme les États-Unis ont créé Ben Laden, Israël a créé le Hamas (voir aussi ceci(1), ceci(2), et ceci(3)).



    Lien associer au titre :

    1 - Hamas: Création du Mossad Israélien - http://www.casafree.com/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=31359
    2 - Flashback – Le Hamas est une création du Mossad - http://www.futurquantique.org/?p=583
    3 - La franc-maçonnerie, premier, deuxième, et troisième degré bleus - http://infoguerilla.fr/?p=2076





    les Etats-Unis n’ont jamais cessé de soutenir Ben Laden jusqu’au
    11-Septembre, dans le cadre d’opérations de déstabilisation en Asie
    Centrale :

    Sibel Edmonds : "Nous avons utilisé Ben Laden jusqu’au 11-Septembre"


    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/sibel-edmonds-la-cia-a-utilise-ben-60245





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    Message  Invité 30/10/2010, 14:07

    avril 2008

    Al Qaida fustige les conspirationnistes et réclame une attaque sur l’Iran…

    Al Qaida, la cellule terroriste internationale soupçonnée par de nombreux analystes indépendants d’être inspirée et/ou manipulée “en son sommet” par la CIA, vient de transmettre (tranquillement et en toute impunité) une interview tout particulièrement curieuse, que la CIA aurait pu signer elle-même des 2 mains.

    Dans cette interview, le numéroo 2 Al Qaida fustige les conspirationnistes en les accusant de s’en prendre à Israël ce qui est bien entendu est totalement ridicule pour toute personne ayant une connaissance sérieuse du dossier.

    Quelques temps auparavant, le magazine satirique en langue anglaise The Onion avait fait un skecth qui reprenait par avance cette information assez incroyable opposant Al Qaida au Mouvement pour la Vérité et la Paix

    Certes, le public est maintenant habitué des images étonnantes de Ben Laden rajeunissant au fil des années ou changeant de visage et entonnant des propos altermondialistes pour le moins suspects de la part de soi-disant fondamentalistes islamistes.Désormais, la nébuleuse qui n’est jamais inquiétée par la puissance de frappe étasunienne vient de rajouter une corde à son arc, en fustigeant les vilains conspirationnistes et en demandant d’attaquer l’Iran, suspecté de manipuler en sous-main le Mouvement pour la Vérité dans les pays occidentaux, ce qui évidemment n’a guère plus de sens que les théories du contrôle du Mouvement par des mouvements d’extrême-droite anti-sémite, les accusations d’Al Qaida d’une part et de la CIA et des médias alignés d’autre part se rejoignant étrangement sur les accusations soi-disant portées contre Israël, alors que c’est bel et bien contre certains éléments du pouvoir anglo-étasuniens que les soupçons sont portés en priorité…

    Décidément, on aura tout vu et tout entendu avec cette énorme farce médiatique d’Al Qaida, qui apparait de plus en plus comme un instrument de domination et d’intoxication manifeste pour l’installation des plans de la CIA et du Nouvel Ordre Mondial…

    Une vaste et tragique plaisanterie…

    Source ici[/quote]
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    Message  Invité 30/10/2010, 14:08

    Qu'a fait Oussama Ben Laden depuis 89 ???
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    Message  Invité 30/10/2010, 14:10

    oct 2010

    Le Ben Laden nouveau est arrivé !

    Chronique des interventions bien opportunes de Ben Laden. Oussam10

    Dans un nouvel enregistrement diffusé aujourd'hui, Oussama Ben Laden appelle les musulmans du monde entier à la solidarité face aux victimes des inondations qui frappent le Pakistan. Un message qui a du sembler trop pacifiste aux yeux de l'administration américaine, qui vient de rendre opportunément publique une « lettre » où le chef d'Al-Qaeda indiquerait qu'il « souhaite voir la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ciblés par une attaque terroriste de grande ampleur ».

    Dans le document audio publié ce matin sur le site as-ansar.com, intitulé « Réflexions sur les opérations de secours », Oussama Ben Laden exhorte les musulmans à venir en aide aux victimes des inondations au Pakistan.

    Il s'agit du premier enregistrement attribué chef d'Al-Qaeda depuis le 25 mars dernier. Contrairement aux précédents, ce message n'a pas de teneur politique. Au contraire même, le Ben Laden nouveau est écolo, peut-être même... pacifiste.

    Suite
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    Message  lorelianeGTQ 30/10/2010, 14:20

    Celle si aurait put se retrouver dans la section humour, posté par kiloutou dans la section infos diverses :

    Ben Laden menace la France et exige son retrait d'Afghanistan



    Le chef d’Al-Qaeda, Oussama ben Laden, a affirmé que la France ne connaîtrait la sécurité que si elle se retirait d’Afghanistan et cessait «ses injustices» à l’égard des musulmans, dans un message audio justifiant l’enlèvement de Français au Sahel, et diffusé mercredi sur al-Jazira. De quoi justifier, explique ce soir le ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux, le maintien du plan «Vigipirate» rouge.Dans ce court message sonore adressé «au peuple français», diffusé par la chaîne qatarie basée à Doha, Ben Laden estime en outre qu’il est «du droit» des musulmans de riposter par la violence contre «les envahisseurs français» à l’interdiction du voile intégral.
    Le chef d’Al-Qaeda affirme, dans son réquisitoire, vouloir expliquer «les raisons» qui justifient «les menaces contre votre sécurité et la prise en otages de vos fils».Fin septembre-début octobre, les autorités françaises avaient fait état d’une menace «réelle» dans le pays et appelé à la vigilance.
    «Le seul moyen de préserver votre sécurité est de mettre un terme à toutes vos injustices à l’égard de notre nation, notamment votre retrait de la maudite guerre de Bush en Afghanistan, et de mettre fin au colonialisme direct et indirect», dit Ben Laden. Environ 3.750 soldats français sont stationnés en Afghanistan.Il se demande comment la France peut «participer à l’occupation de nos pays et aider les Américains à tuer nos enfants et nos femmes», et vouloir en même temps «vivre en sécurité et en paix».
    «Comme vous menacez notre sécurité, nous menaçons votre sécurité»

    Le chef d’Al-Qaeda accuse en outre la France de «s’ingérer dans les affaires des musulmans, dans le nord et l’ouest de l’Afrique en particulier», justifiant l’enlèvement sur le site d’une mine d’uranium du groupe français Areva à Arlit (nord du Niger) de cinq Français, d’un Togolais et d’un Malgache.«La prise en otages de vos experts au Niger, qui étaient sous la protection de vos agents est intervenue en réaction à l’injustice que vous pratiquez à l’égard de notre nation islamique», dit le chef d’Al-Qaeda.«Tout comme vous tuez, vous êtes tués. Tout comme vous prenez des prisonniers, vous êtes pris en otages. Comme vous menacez notre sécurité, nous menaçons votre sécurité», ajoute-t-il.Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué le 21 septembre l’enlèvement des cinq Français. Les autorités françaises ont assuré qu’elles étaient prêtes à engager des pourparlers avec Aqmi pour obtenir la libération de ces otages.Selon des sources maliennes et françaises, les otages sont détenus dans des collines désertiques du Timétrine, dans le nord-est du Mali, à une centaine de kilomètres de l’Algérie.Parmi ces otages, la Française Françoise Larribe a peu de temps avant son enlèvement, subi une chimiothérapie, selon un de ses proches. Selon des intermédiaires qui ont rencontré ses ravisseurs, elle a un besoin urgent de soigner un cancer.Un dernier message diffusé début octobre

    Evoquant l’interdiction du voile intégral en France, que le Parlement a voté le 14 septembre, et qui sera effective au printemps 2011, Ben Laden s’est par ailleurs demandé: «s’il est du droit de la France d’interdire aux femmes libres de porter le voile, n’est-il pas de notre droit de pousser au départ vos hommes envahisseurs en leur tranchant la tête?»Le dernier message du chef d’Al-Qaeda avait été diffusé début octobre. Il s’inquiétait alors du changement climatique et lançait un appel à l’aide en faveur des victimes des inondations dévastatrices au Pakistan.

    http://www.liberation.fr/monde/01012298820-ben-laden-demande-le-retrait-des-troupes-francaises-d-afghanistan
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    Message  lorelianeGTQ 31/10/2010, 13:12

    Sur l'episode, Ben Laden est l'hopital de Dubai

    Ben Laden soigné à Dubaï JT France 2 - 11 septembre 2001

    Vidéo "officiel" qui dément :



    Article de News of tomorrow


    Ben Laden a reçu un agent de la CIA à Dubaï


    Voici les deux articles de Radio France Internationale afin de prouver que Ben Laden est toujours membre de la CIA et que les attentats du 11 septembre 2001 étaient bien commandités par la CIA :

    Ben Laden a reçu un agent de la CIA à Dubaï

    Selon les informations recueillies par RFI, Oussama Ben Laden a rencontré un agent américain alors qu’il était traité en juillet dans un hôpital de Dubaï. Information démentie par ce dernier.

    Le milliardaire d’origine saoudienne Oussama Ben Laden a séjourné à l’Hôpital américain de Dubaï entre le 4 et le 14 juillet dernier, soit deux mois avant les attentats du 11 septembre, selon des informations recueillies dans l’émirat, confirmées par des sources proches de services de renseignement européens.

    Accompagné de son médecin personnel égyptien, de quatre gardes du corps, et d’un infirmier algérien, Ben Laden a été admis dans une suite VIP du département d’urologie. L’hôpital américain de Dubaï est réputé pour ses traitements des calculs rénaux et de l’infertilité masculine. Ben Laden souffre d’une infection rénale qui se propage au foie, infection nécessitant des soins spécialisés.

    Outre des membres de sa famille, des personnalités saoudiennes et émiriennes, Oussama Ben Laden a reçu - le 12 juillet 2001 - la visite du représentant local de la CIA. En poste à Dubaï depuis plusieurs années, ce dernier a regagné définitivement les Etats-Unis le 15 juillet dernier.

    Cet événement capital s’inscrit dans le cadre d’une guerre des polices ouverte entre la CIA et le FBI lors des enquêtes menées sur les attentats anti-américains de Nairobi et Dar es-Salaam d’août 1998. Cette rencontre secrète entre Oussama Ben Laden et la CIA en juillet dernier confirme que la centrale américaine, qui a formé Ben Laden à Istanbul dès 1979, n’a jamais réellement rompu avec son « honorable correspondant ». Des relations ininterrompues depuis 1979 La CIA a commencé à « traiter » −comme disent les spécialistes− c’est-à-dire a commencé à travailler avec Oussama Ben Laden dès 1979.

    A cet époque, le jeune Oussama a 23 ans. Ingénieur, il représente en Turquie l’entreprise familiale Bin Laden Group - l’une des plus grosses entreprises de BTP du Moyen-Orient. Et c’est depuis Istanbul, avec l’aide de la CIA, qu’il commence à organiser des collectes de fonds pour la guerre sainte d’Afghanistan contre l’armée soviétique.

    Avec l’aide de la CIA il monte aussi une filière d’accueil et de recrutement des volontaires -sorte de Brigades internationale de la résistance afghane- filière qui drainera quelques 12 000 hommes en provenance d’Algérie, d’Egypte, du Yémen de Somalie ou des Philippines. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui les « Afghans arabes ». Ce sont eux qui constituent aujourd’hui les kataëb(phalanges), les groupes armés de l’organisation de Ben Laden, al-Qaïda.

    On pourrait penser qu’après le retrait d’Afghanistan de l’Armée rouge, après la fin de la guerre froide cette relation CIA-Ben Laden cesse... En fait, la relation s’est poursuivie, notamment après 1994, date à laquelle Ben Laden a été officiellement déchu de sa nationalité saoudienne.

    Enfin, il faut ajouter que cette relation a toujours transité - si l’on peut dire - par l’intermédiaire du prince Turki, le chef tout-puissant des services secrets saoudiens. Ce dernier a été démis de ses fonctions le 31 août dernier, soit dix jours avant les attentats. On ouvre ici la boite de Pandore saoudienne et le coffre des intérêts pétroliers américains.

    RICHARD LABEVIERE 31/10/2001

    Ben Laden et la CIA : les détails de la rencontre

    Après les informations révélées par RFI et Le Figaro concernant une rencontre en juillet dernier entre Ben Laden et un agent de la CIA à Dubaï, l’agence américaine parle « d’absurdité totale ». RFI maintient et précise ses informations.

    Le représentant local de la CIA qui a rendu visite à Oussama Ben Laden - le 12 juillet dernier - à l’Hôpital américain de Dubaï s’appelle Larry Mitchell. Si sa carte de visite précise qu’il est « agent consulaire », chacun sait à Dubaï, notamment dans le petit milieu des expatriés qu’il travaille sous couverture. En clair, Larry Mitchell appartient à la « grande maison », autrement dit la CIA. Lui même, du reste ne s’en cache pas...

    Bon connaisseur du monde arabe et spécialement de la péninsule, Larry Mitchell est un personnage haut en couleur qui égaie souvent les soirées un peu mornes des expatriés de Dubaï. Un de ses proches a coutume de dire que son exubérance naturelle frise souvent le « confidentiel défense ». Et c’est peut-être une des raisons pour lesquelles il a été rappelé aux Etats-Unis dès le 15 juillet dernier.

    Une vingtaine de jours après les attentats du 11 septembre, dans un communiqué daté du 5 octobre 2001, la CIA qualifiait déjà de rumeurs sans fondement des informations selon lesquelles l’agence de renseignement avait eu, dans le passé des contacts avec Ben Laden et son entourage, notamment à l’époque de la guerre contre l’Union soviétique en Afghanistan. Il se trouve que ce communiqué de la CIA est en complète contradiction avec les déclarations officielles de plusieurs représentants de l’administration américaine elle-même.

    La CIA et Ben Laden : une longue histoire

    Un retour sur le passé est nécessaire et capital à double titre, tout d’abord historiquement, mais aussi parce qu’il permet de juger du sérieux de certains communiqués officiel. L’ancien directeur de la CIA, Robert Gates affirme dans ses mémoires que les services américains ont commencé a aider les moudjahidine afghans - dont les amis d’Oussama Ben Laden - six mois avant l’intervention soviétique...

    Cette affirmation qui anéantit le communiqué de la CIA du 5 octobre dernier a été confirmée par Zbigniew Brzezinski, l’ancien conseiller à la sécurité du président Carter et je le cite : « Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux Afghans a débuté courant 1980, c’est à dire après l’intervention soviétique du 24 décembre 1979. Mais la réalité gardée secrète jusqu’à présent est tout autre... » et poursuit Brzezinski « c’est le 3 juillet 1979 que le président Carter a signé la première directive sur l’assistance clandestine aux opposants du régime pro-soviétique de Kaboul. Et ce jour là, j’ai écrit une note au président pour lui expliquer qu’à mon avis cette aide allait entraîner une intervention militaire des soviétiques ».

    RICHARD LABEVIERE 01/11/2001

    Source : http://newsoftomorrow.org/spip.php?article2018

    Selon le point 31 des 115 mensonges sur les attentats du 11 septembre, par le professeur David Ray Griffin, publier par le reseau Voltaire de Thierry Meyssan.

    31. L’omission du rapport selon lequel Oussama ben Laden, qui était déjà le criminel le plus recherché des États-Unis, fut traité en juillet 2001 par un docteur américain à l’hôpital américain de Dubai et y reçu la visite de l’agent local de la CIA.

    http://www.voltairenet.org/article143694.html


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    Message  lorelianeGTQ 31/10/2010, 13:15

    « Die Welt » invente le fils de Ben Laden (3 août 2006)

    Chronique des interventions bien opportunes de Ben Laden. Arton110

    Le quotidien atlantiste allemand, Die Welt, publie dans son édition du 3 août 2006 un bref article intitulé « Services secrets : Téhéran libére un fils de Ben Laden » (Geheimdienst : Teheran lässt Bin Laden Sohn frei).

    Le journal affirme que Sa’ad Ben Laden qui était en résidence surveillée à Téhéran a été libéré. Il aurait pour mission de recruter des combattants sunnites au Liban et de les joindre aux soldats chiites du Hezbollah pour former une seule troupe combattante islamique. Il serait assisté pour cela par les Gardiens iraniens de la révolution et surveillé par des agents syriens.

    En quelques lignes voilà donc la Résistance libanaise associée à Al Qaïda sous la houlette de « l’Axe du Mal ». Bien sûr, Die Welt se garde de citer précisément ses sources et se contente d’évoquer un service secret indéterminé.

    Rappelons qu’un litige historique oppose les wahhabites aux chiites et que les États-Unis ont utilisé Oussama Ben Laden en Afghanistan, dans la période post-communiste, et lors des conférences pan-arabes de Khartoum pour contrer l’influence iranienne. En outre, l’Iran, la Syrie et le Hezbollah ont toujours dénoncé Oussama Ben Laden comme étant un agent états-unien. Les imputations du Welt, si elles servent la propagande états-unienne et la stratégie du « clash des civilisations », n’aident pas à la compréhension de la situation au Proche-Orient.

    http://www.voltairenet.org/article142807.html#article142807


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    Message  lorelianeGTQ 31/10/2010, 13:25

    Benazir Bhutto révèle la mort de Ben Laden (2 novembre 2007)


    Dans une interview du 2 novembre 2007 à David Frost, journaliste vedette à Al-Jazira, Benazir Bhutto affirme - en passant - qu'Oussama Ben Laden a été assassiné par Omar Sheikh, un agent de l'ISI pakistanaise qui joua un rôle-clé dans les attentats du 11-Septembre.

    Mohtarma Benazir Bhutto
    née à Karachi le 21 juin 1953 et morte à Rawalpindi le 27 décembre 2007, est une femme politique pakistanaise. Elle a été dirigeante du Parti du peuple pakistanais de 1984 à 2007 et a été deux fois Premier ministre du Pakistan. Elle est ainsi la première femme élue démocratiquement à la tête d'un pays à majorité musulmane. Elle est aussi une figure marquante du Pakistan, et a été l'une des principales opposantes au pouvoir des présidents Muhammad Zia-ul-Haq et Pervez Musharraf. Son père, Zulfikar Alî Bhutto a fondé le PPP et a été à la tête du Pakistan de 1971 à 1977. En 1987, elle s'est mariée avec l'homme d'affaires Asif Ali Zardari, qui devient président en 2008.

    Elle exerce son premier mandat de Premier ministre à la tête du Pakistan à partir de 1988, à la suite des élections législatives, remportées par son parti et où elle a mené campagne en son nom. Elle est destituée de ses fonctions par le président Ghulam Ishaq Khan en 1990, et elle perd les élections législatives de la même année. Elle retrouve son poste de Premier ministre en 1993 à la suite de nouvelles élections législatives. Son second mandat se termine en 1996 par un ordre de destitution du président Farooq Leghari, sur la base d'accusations de corruption. Afin d'échapper à la justice, elle s'exile à Dubaï puis à Londres en 1998.

    Ayant obtenu du président Pervez Musharraf une amnistie et un accord de partage du pouvoir après les élections prévues pour janvier 2008, elle rentre au pays le 18 octobre 2007. Elle est alors la chef de l'opposition, et s'associe avec Nawaz Sharif. Le 27 décembre suivant, deux semaines avant les élections, elle est en campagne pour le Parti du peuple pakistanais, lorsqu'elle meurt, victime d'un attentat-suicide à l'issue d'un meeting à Rawalpindi. Elle était alors pressentie pour redevenir Premier ministre, et sa mort provoque d'importants troubles, trois jours de deuil national et le report des élections. Le 18 février 2008, le PPP remporte les élections législatives de 2008.

    Le 27 décembre 2007, Benazir Bhutto se rend à une réunion du Parti du peuple pakistanais dans un parc public de Rawalpindi, dans la banlieue sud d'Islamabad. En quittant les lieux, elle salue la foule à travers le toit ouvrant de son véhicule blindé lorsqu'un homme présent à moins de deux mètres tire trois coups de feu dans sa direction puis déclenche la ceinture d'explosifs qu'il porte sur lui, tuant 20 personnes et en blessant plusieurs dizaines d'autres. Grièvement blessée à la tête et ayant perdu beaucoup de sang, Benazir Bhutto est transportée au Rawalpindi General Hospital à 17 h 35. Après une demi-heure de massage cardiaque et respiration artificielle, les médecins prononcent son décès à 18 h 16.

    Transféré dans la nuit à Larkana, le cercueil de Benazir Bhutto est transporté jusque dans sa ville natale de Garhi Khuda Bakhsh, accompagné de centaines de milliers de personnes. Sa dépouille est enterrée aux côtés de son père, dans le mausolée familial. Le nombre de personnes présentes lors de l'enterrement le 28 décembre est estimé jusqu'à 600 000.

    Les causes exactes de la mort de Benazir Bhutto font dans les jours qui suivent l'objet d'une controverse. Le gouvernement affirme qu'elle est morte à la suite d'un choc à la tête contre le levier du toit ouvrant de sa voiture alors qu'elle tentait d'éviter les balles tirées par le kamikaze, mais le porte-parole de Benazir Bhutto affirme que l'ancien Premier ministre a été touchée par une balle et déclare « J'ai vu qu'elle avait une blessure par balle à l'arrière de la tête et une autre, causée par la sortie de la balle, de l'autre côté de la tête ». Javed Cheema, porte-parole du ministère de l'Intérieur, s'est déclaré « prêt à exhumer le corps de Benazir Bhutto pour enquête si son parti le souhaite » mais son mari a refusé d'exhumer le corps afin d'effectuer une autopsie.

    Source du texte (sans autre source) : https://www.youtube.com/watch?v=nFtMAa3SdvA

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    Chronique des interventions bien opportunes de Ben Laden. Empty Re: Chronique des interventions bien opportunes de Ben Laden.

    Message  lorelianeGTQ 12/12/2010, 13:22

    Karachi: comment le juge Bruguière a raté l’enquête – 23 Novembre 2010

    Chronique des interventions bien opportunes de Ben Laden. Brugui10
    Le juge Brugière décoré de ses
    magnifiques medailles de patriote

    Par Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme

    Avant que le juge Marc Trévidic ne récupère l’affaire de Karachi en 2007, un premier magistrat, une star de l’antiterrorisme français, Jean-Louis Bruguière, avait mené l’enquête à la suite de l’attentat commis au Pakistan, le 8 mai 2002, contre des ouvriers français de la Direction des constructions navales (DCN).

    Ses résultats ont été plus que mitigés après l’effondrement de son hypothèse d’enquête priviligiée: la piste Al-Qaïda. Celle-ci s’est avérée être, en réalité, une grossière construction policière pakistanaise, que le magistrat a pourtant validée pendant des années, comme nous l’avons raconté dans une précédente enquête.

    Désormais, le juge Trévidic privilégie l’hypothèse d’un possible lien entre l’attentat et les dessous financiers du contrat d’armement sur lequel travaillaient les victimes.

    JL. Bruguière
    JL. Bruguière© Reuters
    Mais face au déluge d’extravagances policières et judiciaires qui ont forgé le socle de la thèse Al-Qaïda, telle que le Pakistan l’a défendue, une question se pose: le juge Bruguière avait-il la possibilité de creuser une autre piste que celle servie sur un plateau par les Pakistanais? Autrement dit, y avait-il dans son dossier des éléments susceptibles de piquer sa curiosité en dehors des voies toutes tracées menant à la mouvance d’Oussama Ben Laden? La réponse est oui. Sept fois oui.

    1) Le fax qui sème le doute

    L’un des documents les plus instructifs à la disposition du juge est une télécopie. Son destinataire, l’agent spécial américain Randall Bennett, est à la fois le chef de la sécurité du consulat général des Etats-Unis et l’homme chargé de l’enquête sur les dessous de l’assassinat du journaliste Daniel Pearl.

    Le lendemain de l’attentat, le 9 mai 2002, Randall Bennett reçoit à 11h34 un fax de son adjoint, Bashir Zahooruddin. Ce dernier fait à son supérieur le compte rendu des informations qu’il a pu glaner auprès d’officiers pakistanais de la Naval :

    «Les enquêteurs ne pensaient pas que Al-Qaida choisirait une autre cible que les Américains. Les enquêteurs pensent que c’était les Anglais qui devaient être les secondes cibles dans la ligne de mire mais pas les Français [...] Les officiers de la Naval sont convaincus que cette attaque avait pour but de saborder le projet franco-pakistanais de construction de sous-marins.»

    Cette dernière phrase est capitale. Elle montre que, dès le lendemain de l’attaque-suicide, un lien est envisagé avec le contrat Agosta. Pourquoi ? Jean-Louis Bruguière ne cherchera pas à en savoir plus.
    2) La lettre de la DCN

    Quelques mois plus tard, le juge reçoit une autre alerte qui aurait pu, à nouveau, lui mettre la puce à l’oreille. Elle prend la forme d’un courrier, en date du 2 septembre 2002, envoyé par le PDG de DCN International, Philippe Japiot. «C’est le cœur même et l’activité de DCN International qui étaient visés et, tout particulièrement, l’exécution du contrat du 21 septembre 1994 (le contrat Agosta)», y écrit l’industriel.

    Il poursuit, insistant: «C’est parce que DCN International a conclu et mené à bien le contrat du 21 septembre 1994 que des personnels ont été pris pour cibles, ce qui est moralement insupportable.» De quelles informations dispose le rédacteur de cette lettre pour être aussi affirmatif ? Impossible de le savoir, le juge Bruguière ne l’interrogera jamais.
    2) Les confidences d’un ingénieur

    Un autre membre de la DCN a livré à Jean-Louis Bruguière une anecdote intrigante. Là encore, l’histoire est restée sans suite. Habitué du Pakistan, où il a effectué dix-sept missions entre 1998 et 2002, l’ingénieur Philippe Cuquemelle a expliqué dans un courrier manuscrit envoyé au magistrat le 17 juin 2002 avoir recueilli quelques jours après l’attentat les confidences d’un chef d’entreprise sous-traitant de la DCN au Pakistan.

    L’homme en question se nomme Raheel Asghali. Il dirigeait alors la société Ali Engeneering Works (AEW). Aux policiers de la DST qui l’auditionnent en juillet 2002, Philippe Cuquemelle raconte: «Un soir, aux environs du 15 avril 2002, alors que nous avions rendez-vous à l’hôtel pour aller dîner dans un restaurant pakistanais en ville, il est venu et m’a dit que nous ne pouvions pas aller en ville car c’était trop dangereux pour moi, et qu’il y avait du danger. [...] Ce n’était pas dans ses habitudes car il nous était déja arrivé d’aller manger en ville sans que cela pose un quelconque problème. Il n’a pas donné d’explications.»

    L’ingénieur de la DCN se souvient avoir eu ensuite son interlocuteur pakistanais au téléphone, le 20 mai 2002, donc après l’attentat, afin de lui réclamer la livraison de pièces pour les sous-marins Agosta de la DCN. «Il m’a alors dit qu’il ne voulait pas livrer car “l’Intelligence Service” était présente aux abords de Dockyard et qu’il allait partir de Karachi. Il m’a dit qu’il ne pouvait pas trop parler au téléphone. Son ton avait changé et il n’avait pas une voix sereine.» Pourquoi avoir peur de «l’Intelligence Service», que l’on peut traduire par “service de renseignements” – le nom officiel des services secrets pakistanais est Inter-Services Intelligence – et pourquoi Raheel Asghali se croit-il surveillé?

    Philippe Cuquemelle poursuit: «Je n’ai plus eu de nouvelles de lui jusqu’à ce qu’il m’appelle a mon domicile. [...] Il m’a dit qu’il était à Baltimore, aux Etats-Unis, en sécurité et dans un pays libre et qu’il pouvait désormais parler. Il m’a dit qu’il avait reçu des menaces de mort au téléphone parce qu’il faisait du business avec les Français. Il m’a également dit que quatre hommes avaient tenté de l’assassiner dans une rue de Karachi et qu’il avait réussi à en réchapper. Suite à ces faits, il avait décidé de prendre la fuite à l‘étranger.»
    4) Une mystérieuse agression

    Ce n’est pas tout. Le samedi 26 janvier 2002, en début de soirée, un autre employé pakistanais de la DCN à Karachi, Mustafa Haroon, est agressé – du moins affirme-t-il l’avoir été – par huit individus armés qui lui dérobent son téléphone portable et sa mallette. Celle-ci refermait la liste de tous les salariés de DCN au Pakistan ainsi que leur adresse.

    L’agression s’est soldée sans blessure pour la victime. Simple acte de délinquance ou prélude à l’attentat ? L’enquête du juge Bruguière ne s’est pas non plus intéressée à cet épisode, qui a pourtant été relaté aux policiers français par au moins deux membres du personnel de la DCN après l’attentat.

    5) La bombe et la mise en garde

    Un autre événement, plus troublant encore, pouvait difficilement être occulté. Il le fut pourtant, comme les autres. Le 28 janvier 2002, soit deux jours après l’agression de Mustafa Haroon, une bombe magnétique est découverte près du réservoir de la voiture (un Land Cruiser Toyota) de Jean-Marin Schuh, diplomate français chargé des affaires afghanes à Islamabad. L’engin était programmé pour exploser dix-huit heures après son activation.

    Selon les policiers de la Division nationale antiterroriste (DNAT), cette tentative d’attentat «n’est pas sans rappeler l’attentat perpétré le 24 janvier 2002 au cours duquel un dispositif similaire [...] avait explosé sous un véhicule automobile de la Haute-Commission britannique à Islamabad sans toutefois faire de victimes».

    Chronique des interventions bien opportunes de Ben Laden. Copyri10
    AQMI© filliale AQMonde©


    Mais pour les enquêteurs, les faibles quantités d’explosifs utilisées «plaident pour un dosage mesuré de l’effet recherché, plus proche d’une mise en garde que de l’intention de tuer, attitude manifestement en contradiction avec les objectifs affichés de l’organisation islamiste terroriste radicale Al-Qaida d’Oussama Ben Laden». De qui pourrait donc provenir cette «mise en garde» s’il ne peut s’agir d’Al-Qaida? La question n’a, semble-t-il, pas intéressé le juge Bruguière, qui n’a diligenté aucun acte d’enquête dans cette direction.
    6) La France n’était pas visée

    Ce n’est pas fini. Car dès le départ, la recherche d’autres pistes que celle proposée par la police pakistanaise aurait pu motiver le juge Bruguière. Pour une raison d’ordre général, cette fois ; géopolitique, pourrait-on dire : la France n’apparaissait pas, à cette époque, comme une cible privilégiée du terrorisme islamiste (d’ailleurs, elle ne fut plus jamais l’objet d’attaques au Pakistan après l’attentat de Karachi).

    C’est la conclusion qui ressort de plusieurs documents et déclarations que la justice française a eus très tôt entre les mains. Ainsi, le 16 avril 2002, une note rédigée par un policier français en poste à Karachi fait état d’informations obtenues auprès de «deux hauts fonctionnaires pakistanais», selon lesquelles «les premières cibles seraient seulement les citoyens américains et anglais». Pas les Français.

    7) «Pas de risque spécifique»

    Dans une note cette fois-ci postérieure à l’attentat, un dirigeant de la DCN, Laurent Barthélémy, indique pour sa part qu’«à aucun moment les sources gouvernementales autorisées n’ont signalé l’apparition d’un risque spécifique contre les personnels travaillant dans le cadre du projet A90B à Karachi. Récemment, aucune augmentation du risque général terroriste contre la communauté française ou la population en général n’a été signalée».

    Même discours du côté du chef de site de la DCN à Karachi, Gérard Clermont, entendu quelques jours après l’attentat par la police française. «Nos seuls moyens d’information sont les médias et les réunions de sécurité du consulat au cours desquelles il n’y a pas eu de mise en garde concernant une menace particulière à l’encontre des Français. En revanche, lors de la dernière réunion de sécurité au consulat, vers le 26 avril 2002, il nous a été mentionné que les familles canadiennes et américaines prenaient des dispositions de rapatriements.»

    Ce sont pourtant bien des Français qui ont été visés. Et tués. Par qui ?


    Sources de l'article : http://www.verite-attentat-karachi.org/?p=673

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