Re,
J'ai reçu un mail d'une certaine lorenbeau, gestionnaire d'un blog traitant du sujet en question....
Voici son mail:
Bonjour,
voici des sites sur lesquel vous trouverez beaucoups de renseignement:
http://loveforlife.com.au/node/4545
http://detaxcanada.org/index.htm
LE JEU DE NOM Expliqué est un bon outil pour comprendre toute la panoplie de complexicité du nom légal qui ne vous appartient pas à vous ,mais il appartient à la couronne par le contrat du certificat de naissance (bon du trésor).qui se trouve réclamé par la couronne et le fed.
http://detaxcanada.org/Jeudenom_blog.rtf
Renseignements Obligatoires Pour TOUS !!!
voici mon site sur le post:
http://www.lepost.fr/perso/zabeau/
Cordialement
Par Lorenbeau
"Une récente recherche ici au Canada montre que la loi sur l'impôt sur le revenu et toute autre loi statutaire, sont imposées basées sur ' le droit de propriété ' et que ce droit de propriété est le droit de propriété de la Couronne Corporative au Canada et de l'État corporatif (que ce soit un État ou les ÉTATS-UNIS) aux États-Unis d’Amérique (USA).
La même combine peut être retrouvée dans tout pays qui est un pays sujet du Saint Empire Romain du Pontife de Rome. Ainsi, en réalité, le soi-disant ‘droit de propriété ' est celui du Saint Empire Romain Corporatif, vu que la Couronne ou l'État incorporés sont des agences pour le Saint Empire Romain.
'La Couronne' est la corporation administrative de la Cité de Londres qui appartient au Pontife de Rome, et qui est le Capitole normatif financier, légal et professionnel de/pour le Vatican. La Cité de Londres est une région d’un mille carré dans le Grand Londres, en Angleterre et est une cité-état indépendant.
Aux Etats-Unis (USA) , la corporation administrative pour le Pontife Romain est les ÉTATS-UNIS, et cette corporation administre le Capitole du Vatican, principalement pour des buts militaires, appelé Colombia ou le District Fédéral de Columbia. Les ÉTATS-UNIS administrent aussi les 50 États sous-corporatifs des États-Unis d'Amérique, identifiés avec les 2 lettres majuscules - CA, ou, WA, etc.
Tous les humains adultes sont trompés à utiliser le nom de fiction, tel qu’imprimé sur la copie du Certificat de naissance que vous recevez lorsque commandé du bureau provincial de ‘l’État Civil’ ou de toute autre source. Bien que le Certificat de naissance soit d'origine quelque peu récente et utilisé pour représenter 'formellement les citoyens' en tant que biens ou esclaves dans la faillite au Système Bancaire de Rothschilds appartenant au Saint Empire Romain du Pape, la fausse utilisation du nom de famille provient du Moyen âge en Angleterre. Ainsi, c’est avec le nom de famille rendu comme primaire, (exemple - monsieur Guérard) et les prénoms donnés de l'enfant (exemple - Jacques) faisaient un nom de référence au nom primaire. Ceci est l'image inversée, miroir de la réalité. Un ‘nom de famille' n'est pas le nom d'un homme - c'est un nom de clan - un lien par le sang. [Remplacez les noms en exemple par votre prénom et votre nom de famille.]
Nous sommes alors 'forcés' ou 'obligés' d’utiliser ce nom dans toutes les transactions et communications commerciales et gouvernementales. Ainsi, quand nous l'utilisons, comme 99.99% des habitants humains de l'Amérique du Nord (et de la plupart du monde) le font, nous, adultes de libre arbitre, nous nous attachons censément ‘volontairement’à la propriété de l’État/Couronne, appelée 'le nom d'identité légale ' en tant qu’un accessoire attaché à la propriété appartenant à une autre partie.
L'État ou la Couronne ne nous donnent pas l'autorité, l'accord, la licence, la permission ou la liberté d'utiliser le nom d'identité légale qui est la propriété de la Couronne ou de l’État. Ainsi, notre utilisation de cela en tant qu’adulte de libre arbitre (homme ou femme) est une forme 'de vol' contre une entité de juridiction maritime (tout corps incorporé est ' un navire imaginaire à la mer'. Selon la loi maritime, l'accusé est coupable jusqu'à ce qu’il soit prouvé innocent.
Ceci permet au système Légal Romain que nous avons, d’imposer ' la servitude involontaire ' à un homme adulte.
Nous voyons cette Loi romaine dans le 13ème amendement (#2) des États-Unis (US) institué au milieu des années 1860 : "Ni l'esclavage, ni la servitude involontaire, sauf en tant que pénalité pour un crime auquel la partie aura été dûment reconnue coupable,". Le crime dont vous avez été reconnus coupables est ' l'utilisation non autorisée ' de la propriété intellectuelle de l'État ou de la Couronne - le nom d'identité légale.
L’État/Couronne invoque alors la maxime légale, accessio cedit principali, [un accessoire attaché à un principal devient la propriété du propriétaire du principal], où le principal est le nom d'identité légale en tant que 'la propriété intellectuelle'. Le propriétaire est la corporation appelée l’État/Couronne ou les ÉTATS-UNIS et l'accessoire est l'homme de libre arbitre qui s'est censément offert lui-même comme étant ' la propriété par attachement ' de l’État/Couronne. Un humain adulte qui est une propriété, est, et par tout autre nom, 'un esclave', qu’il soit citoyen, sujet ou homme libre.
Je ferais remarquer ici que tous les concepts qui enseignent que la relation entre l'homme de libre arbitre et les corps Gouvernementaux/Corporatifs est contractuelle, sont incorrects. Tous les soi-disant remèdes dans la loi des contrats, le Code UCC américain ou la PPSA canadienne sont des diversions - certaines intentionnelles et certaines issues de l’ignorance des enseignants.
En tant qu’esclave, sa propriété en possession, y compris le corps et le labeur, appartiennent à 100 % au propriétaire de l'esclave. Et, le droit de propriété est un ensemble de droits –posséder, utiliser, vendre, donner, léguer et hypothéquer la propriété.
Ainsi, TOUT 'le revenu' résultant du travail mental et/ou physique de l'esclave humain en propriété, appartient au propriétaire de l'esclave. Ce qui reste à l’esclave ou qui lui est accordé pour son utilisation personnelle et sa maintenance, est appelé 'un bénéfice'. Au Canada, ' la déclaration de revenu (return of income en anglais) ' [l'expression return (retour) en dit long] est appelée un T1 ' Guide général d'impôt et de prestations '. Le T1 ou 1040 est une comptabilité par l'esclave de ses fruits de travail qui appartient au propriétaire de l'esclave et 'les bénéfices’prescrits qu'il peut conserver ou qui lui sont retournés à partir de la retenue. Ainsi, tous les procès sur l'impôt sur le revenu contre le peuple, en réalité, sont de la fraude, de la dissimulation illégale et du vol par l'esclave accusé de 'la propriété' du propriétaire de l'esclave.
En retournant à un paragraphe ci-dessus, nous constatons que l'attachement de soi-même au nom qui est la possession de l’État/Couronne, est ' assumé comme étant volontaire ', vu que l’État/Couronne n'a aucun droit valable d’imposer l’esclavage à des gens adultes contre leur volonté, sauf tel qu’exposé dans le paragraphe suivant. Quiconque travaille en tant qu’employé est dans un contrat de servitude volontaire –de contrôle de la direction et du temps par l'employeur, avec l'obéissance et la fidélité envers ce dernier. Jusqu'à ce que nous, ‘assumés comme esclaves’, nous ouvrions les yeux à cette clef du cadenas qui tient nos chaînes d'esclavage autour de nos cous et chevilles, nous continuerons d’essayer de nager avec ce boulet de 100 livres enchaîné à notre jambe.
Un autre facteur de l'utilisation du système de Lois Romaines est contenu dans le 13ème Amendement à la Constitution des années 1860, à la Constitution de la Corporation des ÉTATS-UNIS, [ et non pas le 13ème Amendement de la République des États-Unis inséré vers 1819]. Dans ce dernier 13ème amendement, il est dit : "Ni l'esclavage, ni la servitude involontaire, sauf en tant que pénalité pour le crime dont la partie aura été dûment reconnue coupable, existeront dans les États-Unis, ou n'importe quelle place sujette à leur juridiction." Remarquez que cela s’applique seulement à la personne morale (corporation) appelée les États-Unis.
Toutes les corporations (personnes morales) sont des navires imaginaires à la mer et sont ainsi, à l’interne, sous le Droit Maritime. Dans le Droit Maritime, un accusé est coupable à moins qu’il ne soit prouvé innocent. Ainsi, un homme adulte de libre arbitre qui utilise, sans autorisation, la propriété d'une personne morale est sous la juridiction maritime. Un homme de libre arbitre qui utilise le nom d’identité légale qui est la propriété d’une corporation de la Couronne ou de l’État, est 'un criminel' reconnu coupable. Il est donc sujet à l'imposition de l'esclavage, soit de la servitude involontaire. Vous, en tant qu’enfant, étiez la propriété de la Couronne ou de l'État par voie de l'enregistrement de naissance et ainsi, vous pouviez utiliser la propriété de la Couronne ou de l’État, soit le nom d'identité légale.
Quand vous êtes devenus adultes, comme un navire sur ' la mer de la vie ', comme un capitaine et un esprit de libre arbitre souverains, vous n'aviez plus le droit d’utiliser ce nom d'identité légale, propriété de la Couronne ou de l’État.
Des rapports des tentatives échouées de payer des dettes imposées par le gouvernement en utilisant les dispositions de la Loi sur les lettres de change du Canada ou du UCC des États-Unis (US) pour régler un compte ont prouvé qu'il n'y avait aucune question de contrat entre un homme adulte canadien ou américain avec le Gouvernement comme il est généralement enseigné par quelques gourous patriotiques. Sous un contrat, une 'facture' est une méthode d'égaliser un contrat - une valeur échangée pour une valeur égale. Cependant, sous ' le droit de propriété ' d'un propriétaire d'esclave concernant la propriété détenue par un esclave qui est sa propriété, 'une demande' de la propriété par le propriétaire d'esclave ou par l'agent du propriétaire d'esclave (comme le fisc, ou le collecteur de taxe du comté, ou pour une amende imposée par une cour), est tout ce qui est nécessaire, sans aucun égard pour le processus de droit. Rappelez vous, TOUT CE qu'un esclave possède appartient au propriétaire de l'esclave. Je ne dis pas que vous ÊTES esclaves. J’affirme seulement que le Gouvernement et ses employés, juges et officiers VOUS VOIENT en tant qu’ESCLAVES.
Examinez les sections 35 et 46 "de la Loi sur les Lettres de change du Canada" quant à l'admissibilité pour l'utilisation des dispositions de cette Loi. Faites la recherche sur GOOGLE. Une facture peut seulement être payée avec de l'argent et il n'y a aucun argent au Canada ou aux États-Unis (USA) depuis le début des années 1930. Tout ce qui reste est 'un billet à ordre'.
De plus, quand tout 'officier' de la corporation morale, que ce soit ' l'officier de paix (policier) ', jusqu'au roi ou au président, choisit de déclarer quelqu'un comme étant 'homo sacer ' (désignant un homme qui a été dépouillé de son statut 'de personne' –étant un esclave corporatif obéissant membre de la personne morale politique) - il est dépouillé des droits du processus diligent de la loi et il peut être condamné à une amende, puni, torturé ou tué sans répercussion à l'officier impliqué. Ceci arrive tout le temps dans le monde du Saint Empire Romain.
Cette doctrine de 'homo sacer ' est clairement présentée dans la Loi de 1850 de l'Esclave Fugitif des Etats-Unis (US), Section 6 :
http://www.yale.edu/lawweb/avalon/fugitive.htm (anglais seulement)
Début de la citation : "Dans aucun procès ou audition sous cette loi, le témoignage d'un tel fugitif présumé ne sera admis comme preuve; et les certificats dans la présente section et la première [quatrième] section mentionnée, seront conclusifs du droit de la personne ou des personnes destinataires du bénéfice, d’enlever un tel fugitif à l'État ou au Territoire d’où il s’est échappé et empêcheront toute vexation d'une telle personne ou des personnes par quelconque processus émis par quelconque cour, juge, magistrat, ou autre personne quelconque. Fin de la citation
Trois points majeurs ici :
. L'esclave désobéissant accusé ne peut pas présenter une preuve pour sa propre défense. Situation familière ? Les cours de litige du Tribunal des Droits de l'homme canadien et ' du Démenti de l'Holocauste ' allemand déclarent que "la vérité n'est pas une défense". Les juges ignorent constamment les défenses offertes par des défendeurs accusés par le Gouvernement, particulièrement dans les questions d'impôt sur le revenu et de trafic. Et, cela pourrait être
acceptable si le juge voudrait expliquer pourquoi il doit le faire, mais presque 100 % du temps, aucune explication n’est offerte et c'est pour cacher la doctrine 'homo sacer ' et le fait qu'un esclave est en procès pour désobéissance aux règles à l’intérieur du droit de propriété du propriétaire de l'esclave.
. Le 'certificat' présenté par l'officier ou l'agent du propriétaire (la déclaration de propriété) est suffisant pour la condamnation de désobéissance.
. Aucune vexation (comme des plaintes criminelles ou civiles) ne peut être faite par, ou de la part de l'accusé ou de l'esclave reconnu coupable de désobéissance. Est-ce que quelqu'un connaît un litige couronné de succès contre un officier de police ou un juge qui a sévèrement abusé des droits imprescriptibles d'un homme ? Oui, il peut y en avoir quelques-uns dans certains cas très publicisés, où le système doit cacher leur plan Romain despotique, mais c'est rare.
Je ne suggère pas que la Loi sur l’Esclave Fugitif est encore utilisée. Elle a probablement été abrogée il y a quelque temps. Cependant, je dis que les dispositions écrites dans cette Loi étaient issues directement du système Légal Romain qui traite des esclaves désobéissants. C'est la Loi Romaine qui est imposée aux gens adultes de libre arbitre en Amérique et au Canada qui ont l'esclavage romain imposé sur eux.
UN REMÈDE POSSIBLE
Cependant, puisque nous sommes ' forcés', ou 'obligés' à utiliser le nom d'identité légale propriété de l’État/Couronne dans toutes les transactions, les services, les communications commerciales et gouvernementales, nous pouvons faire ' une revendication de droit ' selon la Règle de la Nécessité Privée - où la nécessité consiste des moyens de supporter et de maintenir notre vie, vu que toute nourriture, abri, vêtements, moyens de voyage et ce qui répond à notre besoin de bonheur, tout doit être obtenu ou utilisé dans le système de commerce. Brièvement, le commerce est constitué de toutes les communications, des contrats et d'autres relations et des interactions avec d'autres parties, ce qui inclut le gouvernement.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nécessité
Ceci devrait réfuter la revendication que nous nous attachons volontairement à la propriété de l’État/Couronne. Répétition - La Nécessité Privée est que nous ne pouvons rien faire en rapport à la vie, à la liberté, à la propriété ou au processus diligent de droit sans utiliser le nom qui est la propriété de l’État/Couronne. Donc, nous ne pouvons pas supporter ou maintenir nos vies sans ce nom de fiction.
La séparation de nom est seulement une tactique de la cour, vu que le nom d'identité légale est toujours celui qui est accusé. L'intention du Gouvernement, bien sûr, est d’atteindre l'homme adulte (homme ou femme) attaché à ce nom - l'accessoire attaché - vous. Autrement, vous et vos enfants devez 'utiliser' ce nom d'identité légale dans tout commerce (communication) et vous le faites selon la nécessité privée. Donc, c’est seulement en cour que vous devez prouver :
. Que vous êtes une partie séparée du défendeur nommé.
. Que vous utilisez seulement le nom d'identité légale, nommé en tant que défendeur, sous la nécessité privée pour supporter et maintenir votre vie et que vous n'y êtes pas volontairement attachés de manière permanente en tant qu’accessoire à la propriété de la Couronne.
. Que vous avez la permission de Sa Majesté pour utiliser ce nom légal propriété de la Couronne selon les Lois de Registres des Provinces canadiennes.
. Que la copie du Certificat de naissance détenu par moi-même a été retourné à la Cour et je nie toute responsabilité de fiduciaire pour cette propriété de la Couronne ou du nom inscrit là-dessus. [Il devrait avoir été précédemment retourné, avec l’Affidavit pour le Canada, à un juge en audition en chambres.]
. Tout cela se résume à ce : 'Consentement Informé '. Vous n'avez pas à consentir à être identifié comme étant le nom trouvé sur l'acte de naissance. "Je ne vous autorise pas à me reconnaître comme étant la même personne que le nom d'identité légale que vous trouvez sur vos documents. Je ne consent pas à cela."
Aussi, une Demande de Liberté d’Accès à l'Information devrait être envoyée au Ministre, ou son Représentant, demandant l'autorité, la date, les moyens et les méthodes par lesquels vous, un homme de libre arbitre (homme ou femme) est devenu un esclave appartenant à la Couronne ou à l'État corporatifs.
Un processus qui a connu du succès récemment au Texas est 'le retour' de la copie du Certificat de naissance en notre possession à un juge, ou le juge assigné à un cas où vous, dans le nom d'identité légale, êtes le défendeur, dans une 'audition en chambres'. Certains qualifient cet ‘abandon’du défendeur (le nom d'identité légale) comme étant sur ' le côté privé ' en utilisant la méthode Biblique de résoudre des discussions à titre privé si possible.
Ceci est préférable à ' le remettre en cour ' vu que cela est sur ' le côté public '. En tant que présence humaine dans la salle de tribunal, la supposition que vous êtes un attachement à l'identité légale de nom a déjà été faite. Et y étant attaché en tant qu’accessoire, vous devenez la caution, le garant et vous 'représentez' vraiment le défendeur de l'identité légale de nom.
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Appendice 1 - Jeu de Nom
Je ne fais pas la promotion ou l’utilisation du système de Rachat Commercial. Je suggère seulement de montrer aux ' autorités "que moi, et ' le nom d'identité légale ' ne sont pas la même partie. La Déclaration de Naissance Viable et le Certificat de naissance peuvent être utilisés en tant que preuve, puisque, en tant qu’enfant, vous n’avez eu aucun rapport avec l'enregistrement de votre naissance, ni avec le choix des noms dont vous seriez appelés comme enfant.
. Le Certificat de naissance montre qu'il appartient à l'État/Province où vous êtes nés et ainsi, il est la propriété de l'État ou de la Couronne en droit de la Province.
. Le nom s’y trouvant montre votre nom de famille comme étant le nom primaire du ' nom d'identité légale ' - 'un nom de famille' et le premier et deuxième noms y étant référentiels. Ceci est de la fiction. Le nom de famille est un nom de clan. Ce n'est pas le nom d'un homme individuel (homme ou femme).
. La Déclaration de Naissance montre que le premier et le deuxième noms sont un cadeau (prénoms donnés) et comme tel, c’est un contrat. Un jeune enfant (sous l'âge de 21 ans) ne peut pas être une partie d’un contrat. Un accepteur d'un cadeau doit 'accepter' et le faire volontairement. Ainsi, vous n'avez jamais 'accepté' les prénoms donnés. Il n'y a aucun mécanisme pour faire cela sous la Loi Romaine où nous sommes. La loi Romaine ne voit seulement que le nom d'identité légale, un nom qui appartient au Saint Empire Romain corporatif du Pape.
. Un homme adulte est en réalité un esprit qui occupe un corps humain physique. Seulement des choses peuvent être nommées. Un esprit est un processus, pas une chose.
Ainsi, quand un homme devient un adulte, cela est apparenté au lancement d'un nouveau navire. L'esprit adulte est équivalent à un capitaine d'un bateau à la mer. Le capitaine est souverain, suprême sur son navire. La seule façon qu’un capitaine d'un navire peut perdre cette souveraineté, est en mettant volontairement son navire 'en remorque ' derrière un autre navire.
C’est alors que le capitaine du navire qui remorque, obtient la souveraineté sur le capitaine du navire en remorquage.
Le nom d'identité légale est la corde qui lie notre navire à la Couronne corporative de la Cité de Londres (propriété du Saint Empire Romain corporatif).
Le Blog du Jeu de Nom explique le reste.
Appendice 2 - Le Jeu de Nom
Le nom "qu'ils" utilisent sur tous leurs documents, y compris les mises en accusation, est le nom légal. Je crois qu'il n'y a aucun argument avec cela. En fait, les cours sont habituellement prêtes à reconnaître cette classification sans hésitation.
En leur présentant la Déclaration de Naissance (DN) et en leur demandant de faire une enquête dans le but de répondre seulement à deux questions simples, repousseront toutes les attaques venant "du système". Les deux questions sont :
1. Qui a garanti les droits (légaux et équitables) dans le nom légal ? ? ? (Insérez le nom exactement comme il apparaît sur le Certificat de naissance bien que l'aspect des lettres toutes majuscules soit un piège (une diversion)); et,
. Quels droits ai-je dans le nom légal ? ? ?
Les réponses à ces deux questions prouveront (en Ontario, les DN sont admissibles dans toute cour de l'Ontario comme Preuve, des faits ainsi certifiés) que
1. Le gouvernement a garanti les droits (aussi connu comme la partie garantie) dans le nom légal et, donc, je n'ai aucun droit dans le nom légal.
2. Si je n'ai aucun droit dans le nom légal, donc comment puis-je avoir des obligations liées au nom légal ?
La partie que la loi tient légalement responsable des obligations financières et autres de la propriété (le nom légal) est la partie garantie, qui est le gouvernement dans le cas du nom légal. Ceci est entièrement prouvé par la DN !
Il m’apparaît qu'il n'y a aucun place pour le système de procéder, une fois que cette vérité est sur la table. Certainement, l’Agence de Revenu du Canada peut facilement être défaite avec cette approche.
Cependant, le juge pourrait faire la supposition que par votre utilisation 'permanente' du nom d'identité légale, vous êtes devenus un accessoire attaché à ce nom, propriété de la Couronne et ainsi, que vous êtes la propriété de la Couronne par la maxime légale, qui provient du droit de propriété, accessio cedit principali. Ainsi, pour compléter la procédure ci-haut mentionnée, vous devez, par affidavit ou avis, faire une revendication de statut du droit de libre arbitre et revendiquer que le nom appartenant à la Couronne, est utilisé sous la nécessité privée dans le commerce pour supporter et maintenir votre vie. Comme tel, votre utilisation du nom appartenant à la Couronne n'est pas un acte volontaire par vous.
Certains affirment que Sa Majesté, ou la Couronne corporative, a donné une permission d’utiliser le nom d'identité légale appartenant à la Couronne. Cette supposition est déduite par voie de la Loi des Changements de Noms ' de l'Ontario qui dit : "Ch. C7; le nom de la Personne : 2. (1) Pour toutes les fins pratiques des lois de l'Ontario, (a) une personne dont la naissance est enregistrée en Ontario a le droit d'être reconnue par le nom apparaissant sur le certificat de naissance de la personne ou sur le certificat de changement de nom".
Tel qu’il déclare, il s'applique 'seulement aux personnes' –ce qui est la combinaison du nom de l’homme de paille et de l'homme adulte, faisant de cette entité combinée, la ‘propriété et le sujet’de la Couronne corporative. Cela n’est certainement pas le statut que nous, en tant que créatures d’esprit de libre arbitre, voudrions être.
Appendice 3 - Le Jeu de Nom
CONSENTEMENT
Quant à l'utilisation du nom d'identité légale, cette chose en vient essentiellement à un consentement. Non veut dire non et le silence veut dire oui.
Comme le gouvernement vous voit comme faisant partie de l’entité individualisée, la personne, vous êtes la source d'énergie à travers le Certificat de Naissance (CN), faisant que vous soyez toujours branchés à la trésorerie nationale. En somme, un CN est émis par la trésorerie afin que tout ce que nous faisons par l'entremise du nom, s’écoule jusqu'à notre/la trésorerie. Cependant, cela change si vous êtes reconnus par l'entremise d’un nom légal.
Le Certificat de naissance n'est jamais débranché de la trésorerie, ' pour l'usage de la trésorerie seulement ', tout comme vous n'êtes jamais débranchés du divin. Vous êtes la source, source d'énergie et en pays légal, la trésorerie est la source. La Déclaration de Naissance, en tant que preuve, est reconnue par le gouvernement comme telle. Les humains dans ce monde sont sources d'énergie. La Source d'énergie commerciale, pour utiliser ce terme, car sans homme, rien n'arrive. De même, dans le portrait plus grand, sans Dieu, rien n'arrive. Ainsi, si vous cherchez l'accès au compte de la Trésorerie, regardez dans le miroir.
Une ancienne épisode de la série télévisée ‘Law & Order'. Une femme demandait avec insistance à la police d’attraper un homme qui la traquait. À maintes reprises, elle est allée à la police pour que cet homme arrête de la traquer. Finalement un détective lui dit, "Madame, cet homme ne vous traque pas." "Bien sûr, il le fait" dit-elle. "Non Madame, il ne le fait pas. Il n'y a rien dans nos livres de lois sur le fait de traquer. Ainsi, cet l'homme là ne vous traque pas." Ceci est la façon dont la loi et l'autorité légale fonctionnent. Si ce n'est pas dans les livres, donc, ça n'existe pas. Dans le cas de cette épisode, il n’y avait aucune telle chose que quelqu’un traquait ou était traqué.
Montrez-moi la loi ou l'autorité sur laquelle quelqu'un peut s’appuyer, qui autorise un agent à vous reconnaître par l'entremise d’un nom légal ? Il n'y a aucune telle autorité SANS VOTRE CONSENTEMENT. Comment le consentement est-il obtenu contre vous par les agents ? Par votre silence. À toutes les fois que vous êtes roulés et restez silencieux, vous capitulez (en accord). Nous avons le droit d'être reconnus PAR L'ENTREMISE (par des moyens par l'entremise ) du nom légal sur le CN, mais nous avons aussi le droit de dire "non.
Je ne consens pas à être reconnu par le nom". Si, comme cela a déjà été le cas, vous précisez que vous ne consentez pas à être reconnus par l'entremise du nom légal et l'autre partie vous ignore et vous ne prenez pas le cours approprié d'action pour l'arrêter, vous êtes d'accord à être roulés.
Ainsi, ce que nous avons en activité ici, est une bande entière d'agents qui nous reconnaissent PAR L'ENTREMISE d’un nom légal et nous n'en faisons rien = le silence. Et, par = par l'entremise.
ATTENDU QUE, si vous savez qu'il n'y a aucune autorité légale ou autrement, pour un agent de vous reconnaître par l'entremise d’un nom légal et vous affirmez clairement que vous ne consentez pas à être reconnus par l'entremise du nom, cette partie est dans la commission d'un crime si elle continue comme si elle avait l'autorité parce que, en fait, il n'y a aucune loi qui autorise quelconque agent de vous reconnaître en quelque chose ou en quelconque capacité sans votre consentement. Aucun moyen non. Oui, nous devons utiliser un nom légal et oui, tout ce que nous faisons dans ce nom est connecté à la trésorerie. Les provinces / le Canada, en détenant la DN, est dans la boucle en tant que bénéficiaire/trésorier. Mais pas si vous êtes reconnus par l'entremise du nom légal. En étant reconnu par l'entremise du nom légal, je dis par l'entremise de, parce que vous n'êtes pas le nom légal, vous en revendiquez la possession de la propriété et sa valeur ; en essence, mes biens.
Mais si vous ne consentez pas à être reconnus par l'entremise du nom légal, alors l'émetteur du CN est, à ce point le propriétaire de la propriété et responsable des dettes, des obligations, des valeurs et des entreprises de choses que vous faites par l'entremise du nom légal. Le CN est toujours connecté à la trésorerie (la matrice). La question est, qui est le bénéficiaire ?
Si vous vous permettez d’être reconnus par l'entremise du nom légal alors vous êtes le bénéficiaire, mais si vous ne consentez pas, alors la trésorerie (le Canada) est le bénéficiaire.
Là où nous avons échoués, est quand nous n'adressons correctement le : je ne consens pas à être reconnu par l'entremise du nom sur le CN. C'est votre licence de faire comme vous désirez. La licence des licences. Il n'y a aucune loi ou législation nulle part qui autorise un quelconque agent de vous reconnaître par l'entremise du nom légal. Il n'y a rien non plus qui les empêche de le faire ou d’essayer. C'est à vous de décider comment vous réagissez si vous le faites. Ce que je dis est : aucun agent n'a le support légal de vous reconnaître par l'entremise du nom légal qui les indemnisera de dommages (poursuite légale) s'ils le font après que vous avez précisé que vous ne consentez pas. En d'autres mots, ils ont régné sur nous purement parce que nous n'avons pas dit : JE NE CONSENS PAS À ÊTRE RECONNU PAR L'ENTREMISE DU NOM D'IDENTITÉ LÉGALE, OU PAR N'IMPORTE QUEL NOM; et il n'y a aucune loi qui vous autorise à me reconnaître par l'entremise d’un nom sans mon consentement.
Appendice 4 - Le Jeu de Nom Blog
Consentement #2 le 09 mars
Lorsque vous présentez une carte d’identité du gouvernement et vous ne voulez pas être reconnu par l'entremise du nom dessus, dites simplement ; JE NE VOUS AUTORISE PAS À ME RECONNAÎTRE PAR L'ENTREMISE DU NOM SUR CETTE CARTE.
Il n'y a aucune autre source d'une telle autorité : c’est ce que vous avez besoin de comprendre. Vous l’êtes.
Maintenant, tout que nous avons appris au cours des années et récemment en particulier, vient supporter ce je ne consent pas. Un CN n'est pas et n'a jamais été destiné à être une identification personnelle. Il s’est développé selon l’ordre du vice-registraire et il s’est développé par l'entremise de notre octroi du consentement d’être reconnu.
Le Gouvernement détient le droit du nom légal et vous autorise à être reconnus par l'entremise d’un nom légal qu'il ne peut pas faire à moins qu'il n'ait des droits dans le nom. La signification du gouvernement qui détient la DN est la preuve. Il n'y a aucune preuve que vos parents vous ont donné le nom qui apparaît sur un CN ; il est impossible pour cela d’être prouvé. Rechercher ' le consentement informé ' dans Wikipédia et vous comprendrez maintenant ce qui s’est passé.
’Le consentement Informé’est une condition légale par laquelle une personne peut être réputée avoir donné son consentement basé sur une appréciation et une compréhension claires des faits, des implications et des conséquences futures d'une action. Pour être capable de donner son consentement informé, l'individu concerné doit avoir des facultés de raisonnement adéquates et d’être en possession de tous les faits pertinents au consentement au moment où son consentement est donné.
L’incapacité de raisonnement et de jugement qui rendrait impossible pour quelqu'un de donner son consentement informé incluent de tels facteurs que la déficience intellectuelle sévère, la maladie mentale sévère, l'intoxication, la privation sévère de sommeil, la maladie d'Alzheimer, ou l’état de coma.
Certaines actions ne peuvent pas légalement avoir lieu à cause d'un manque de consentement informé. Dans les cas où un individu est considéré incapable de donner son consentement informé, une autre personne est généralement autorisée à donner le consentement à leur place, par exemple, les parents ou les gardiens(tuteurs) légaux d'un enfant et le personnel soignant pour ceux atteints de maladie mentale.
Cependant, si une personne sévèrement blessée est amenée à l'hôpital dans un état inconscient et personne n'est disponible pour donner le consentement informé, les médecins donneront tout traitement jugé nécessaire pour sauver sa vie (selon le serment d'Hippocrate), ce qui pourrait impliquer une chirurgie majeure, par exemple, une amputation.
Dans les cas où un individu ne reçoit pas l'information suffisante pour former une décision raisonnée, de sérieuses questions morales surgissent. De tels cas en essai clinique dans la recherche médicale sont anticipés et empêchés par un comité d'éthique ou un Comité de révision Institutionnel. "
La définition légale de ' consentement informé ' à Nolo.com est :
Un accord pour faire quelque chose ou pour permettre que quelque chose arrive, fait avec la connaissance complète de tous les faits pertinents, tels que les risques impliqués ou toutes alternatives disponibles.
Par exemple, un patient peut donner son consentement informé pour un traitement médical seulement après que le professionnel de la santé ait révélé tous les risques possibles impliqués en acceptant ou en rejetant le traitement. Un établissement ou un fournisseur de soins médicaux peuvent être tenus responsables d'une blessure causée par un risque non révélé. Dans un autre contexte, une personne accusée d’un crime, ne peut pas renoncer à ses droits constitutionnels - par exemple, garder le silence ou parler avec un avocat - à moins et jusqu'à ce qu'il n'ait été informé de ces droits, d'habitude via les avertissements de Miranda bien connus. Fin de citation."
Fin de blog –Traduit par Jacques Guérard –Nov. 2009