Dans le fil sur Albert Pike et le gouvernement mondial luciférien, j'ai mentionné le sionisme secret de Asher Ginsberg tel que l'expriment les célèbres Protocoles des sages de Sion.
Voici un extrait du livre The New Babylon de Michael Collins Piper (journaliste et éditeur pour American Free Press, éditeur pour The Barnes Review et auteur de nombreux ouvrages).
http://pascasher.blogspot.com/2011/02/new-babylon-extraits.html
Voici un extrait du livre The New Babylon de Michael Collins Piper (journaliste et éditeur pour American Free Press, éditeur pour The Barnes Review et auteur de nombreux ouvrages).
Lire le reste:Le véritable père de ce que nous appelons le Nouvel Ordre Mondial serait un sioniste juif né en Russie Asher Ginsberg - mieux connu sous le nom "Ahad Ha'am" (qui signifie "Un homme du peuple") - estimait que les juifs avaient besoin de se réunir pour créer des colonies agricoles en Palestine qui, comme le Dr Norman Cantor les décrivit, "servirait de fondement en Terre Sainte pour l'établissement d'un centre culturel de langue hébraïque pour le monde juif - un centre culturel d'élite pour les Juifs du monde entier."
Juif orthodoxe, instruit dans les études rabbiniques, Ginsberg dit que les Juifs étaient une «super nation», dont le «génie éthique doit garantir leur droit à la domination du monde." Il a dit, "la terre d'Israël doit englober tous les pays de la terre afin d'améliorer le monde à travers le Royaume de Dieu."
Un écrivain lucide de Russie, Vladimir Begun, dans son livre Invasion Without Arms (1977), comparait Ginsberg aux fascistes des années 1930 et 1940. Se référant à un article de 1898 écrit par Ginsberg intitulé "Nietzchéisme et judaïsme", dans lequel Ginsberg exprimait ce qu'on pourrait appeler son "chauvinisme judéo-sioniste", Begun écrit:
Il n'est pas difficile pour le lecteur d'arriver à la conclusion logique: dans la mesure où il y a une «super nation», alors comme [le Surhomme de Nietzsche] il lui faut marcher vers son objectif sur les cadavres des autres. Il ne doit pas avoir aucune considération envers quiconque ou quoi que ce soit afin de parvenir à la domination "des Élus" sur "les païens."
On peut retracer les liens d'une seule chaîne, la Torah --- le fondement idéologique des "théoriciens" sionistes --- les agressions au Moyen-Orient et la corruption (ouverte) des esprits en Israël et (secrète) dans d'autres pays.
De l'avis de l'écrivain juif Moshe Menuhin, la philosophie sioniste de Ginsberg était "un sionisme spirituel --- une aspiration à l'accomplissement du judaïsme et non pas du sionisme politique" --- qui est, la réunification de la totalité du peuple juif en un seul État, isolé du reste de la planète, se déployant seulement au sein de son propre peuple.
Ginsberg s'opposa au sionisme tel que conceptualisé par le principal dirigeant sioniste Theodor Herzl, qui postulait que le sionisme était de nature économique et devait être orienté vers la création d'un état politique et géographique. De l'avis de Menuhin, Ginsberg considérait les Juifs comme "une sorte unique de nation, un corps homogène en dehors des autres nations" et que "un centre spirituel juif en Palestine" serait "une lumière pour la diaspora" (les Juifs dispersés autour de la Terre) et permettrait éventuellement au peuple juif de devenir "une lumière pour les nations."
Ce soi-disant "sionisme spirituel" de Ginsberg était donc synonyme du judaïsme classique, prophétique, qui ne diffère nullement de l'enseignement du Talmud qui a guidé le judaïsme à travers les siècles.
En bref, la théorie communément répandue avancé par beaucoup de gens aujourd'hui que "le sionisme n'est pas le judaïsme et le judaïsme n'est pas le sionisme» est incorrecte, tout simplement faux.
Les vastes recherches de Pacquitta DeShishmareff, une femme d'origine américaine mariée dans l'aristocratie russe, confirme le rôle central de Ginsberg dans la formulation de ce que nous appelons aujourd'hui Les protocoles des sages de Sion et la montée de l'influence de ceux-ci en tant qu'ouvrage philosophique sous-jacent à la nature du mouvement sioniste. Son travail de pionnier, Waters Flowing Eastwards (écrit sous le pseudonyme "L. Fry") reste le premier et le dernier mot sur l'histoire des Protocoles.
Nous apprenons que, en 1889, Ginsberg a formé un petit groupe connu sous le nom des Fils de Moïse et que c'était devant ce groupe que Ginsberg a introduit pour la première fois les Protocoles. Bien qu'il ait pu en effet emprunter à des œuvres géopolitiques déjà publiées --- ce qui donna lieu à l'argument maintes fois répété voulant que les protocoles sont un faux qui aurait été conçu à partir d'autres sources --- ce que nous appelons les Protocoles ont été produits par Ginsberg, reflétant son agenda mondial juif.
Pendant les années qui suivirent, des traductions en hébreu des protocoles ont été distribuées au sein du mouvement sioniste par Ginsberg et ses partisans, désormais regroupés sous l'appellation des Fils de Sion (ou "B'nai Zion").
Et en 1897, lorsque le Congrès sioniste se réunit en Suisse, le sionisme a émergé comme un mouvement officiel, les Protocoles ont été effectivement intégrés à l'agenda sioniste (c-à-d juif).
Alors que le monde non-juif a perçu le sionisme comme étant strictement consacré à la création d'un État juif, le "sionisme secret" de Ginzberg était reconnu, au sein de l'élite juive, comme le véritable agenda, un agenda international, camouflé sous un programme strictement nationaliste axé sur un seul état juif en Palestine.
Donc, l'écrivain juif Bernard Lazare ne se trompait pas dans son célèbre livre L'antisémitisme (1894), lorsqu'il parlait candidement de "conquête économique" juive, bien qu'il précisait qu'avec la domination économique des Juifs est venue la "domination spirituelle" aussi. Il avait compris la distinction.
Dès 1924, le nationaliste polonais Roman Dmowski reconnu ces distinctions, qui restent encore un mystère pour plusieurs --- en particulier pour certains "patriotes" américains --- qui tentent de faire une distinction entre le sionisme et le judaïsme et qui ont tendance à croire que certaines sectes "Juives antisionistes" se tiennent debout dans l'opposition au Nouvel Ordre Mondial.
Bien que, comme nous l'avons déjà mentionné, il y ait des juifs antisionistes qui -- pour diverses raisons --- s'opposent au sionisme, il y a aussi ces Juifs antisionistes qui sont en fait les défenseurs de la création de l'Utopie Juive, ce Nouvel Ordre Mondial dont on parle tant.
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