Bonjour/bonsoir
J'ouvre se sujet suite à l'écoute d'une allusion de LLP à propos de "microzymas".
Je poste donc pour commencer un article qui semblerait contenir pas mal d'informations intéressantes, dont certains points plus troublants et percutant sont mis en gras.
Source : http://christian-bauer.rmc.fr/156336/LES-MICROZYMAS/
Plus, fiche wikipédia de Béchamps survolant le sujet microzymas :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_B%C3%A9champ
J'ouvre se sujet suite à l'écoute d'une allusion de LLP à propos de "microzymas".
Je poste donc pour commencer un article qui semblerait contenir pas mal d'informations intéressantes, dont certains points plus troublants et percutant sont mis en gras.
LES MICROZYMAS
LES MICROZYMAS…UNE ETRANGE AFFAIRE Nous allons évoquer ici un chapitre de la biologie très peu connu et qui aurait pu changer bien des choses dans notre vision de la médecine et de la santé…qui sait, ce sera peut-être le cas dans l’avenir. Aujourd’hui, nous vivons dans une lutte incessante contre le microbe. Il faudrait tout aseptiser pour se débarrasser de ces méchantes petites bêtes, cela devient parfois une phobie. Mais, nous souvenons-nous qu’il y a dans notre tube digestif beaucoup plus de microbes que notre corps contient de cellules ? Certains considèrent également que les mitochondries, ces « centrales énergétiques » cellulaires sont en lien avec les bactéries. Pourtant, dans le courant du 19e siècle, le professeur Antoine Béchamp avait bien mis en évidence que « le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Louis Pasteur, l’un de ses principaux contemporains, l’a d’ailleurs reconnu sur son lit de mort. Pour mieux comprendre l’affaire, il faut remonter un peu dans l’histoire.Dès le 18e siècle, des savants découvrent en observant le vivant des « petits points » partout dans leurs préparations qui se lovent sur eux mêmes en un mouvement incessant. Ces « petits points » (appelés aussi granulations moléculaires ou corpuscules vibrants par ces premiers chercheurs, puis microzymas par Antoine Béchamp, protits, somatides par Gaston Naessens, et enfin assez récemment nanobes ou nanobactéries par des géologues) ont été étudiés de manière rigoureuse et scientifique au cours du 19e siècle, pendant des années, par Antoine Béchamp. La prise en compte des microzymas permet de démontrer de manière scientifique que les maladies infectieuses en particulier viennent de L’INTÉRIEUR DU CORPS et non de l’extérieur, et, plus précisément des microzymas. Ces derniers, notamment en fonction du pH dumilieu extra-cellulaire, construisent des bactéries (pH alcalin) ou bacilles de Koch (pH acide) pour réparer l’organisme. Ce sont également eux qui construisent les cellules de l’organisme. Ils construisent également le tissu conjonctif – squelette microscopique de base de l’organisme – et les différents organes.Louis Pasteur, contemporain de Béchamp, a refusé de prendre en compte les microzymas. Ces derniers sont visibles sur le vivant à partir d’un grossissement de 750 et il a donc interdit à ses collaborateurs de dépasser un grossissement de 450 : il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ! Il a élaboré la théorie de la « panspermie atmosphérique » en mettant en route une guerre incessante aux germes venant soi-disant de l’extérieur. Il a repris pour ce faire le système des vaccinations de Jenner (1789), très rentable financièrement.Le professeur Béchamp, chercheur remarquable et très méticuleux, agrégé de pharmacie, Docteur ès Sciences physiques, Docteur en médecine, n’était malheureusement pas un bon communicant et ses écrits sont souvent des pavés indigestes. Ses découvertes faites au 19è siècle au sujet des microzymas ont donc été occultées.Plus tard, dans les années 1920, tous les travaux européens antérieurs sur les microzymas ont été tout bonnement éliminés lors de la création de la FDA (Food and Drug Administration) comme l’attestent les docteurs américains Dennis Myers et Robert Miller. Ils témoignent même du fait que les ouvrages du professeur Béchamp ont été éliminés de l’université de Pittsburgh et qu’il en est de même à la librairie Nationale du Congrès à Washington DC. Donc, aujourd’hui, nous en sommes là. La science moderne découvre des bactéries et autres dans les tissus malades des maladies chroniques et dégénératives. Des formes microbiennes sont trouvées dans l’ulcère de l’estomac, l’artériosclérose, la maladie d’Alzheimer, le Parkinson, l’arthrite … et beaucoup d’autres affections. Cette science, pour expliquer l’origine des affections, prétend que les germes pénètrent par les gencives lors du brossage des dents, par exemple. Le travail de Béchamp prouve pourtant que cesbactéries sont présentes en tant que résultat et non en tant que cause. Les bactéries évoluent à partir des microzymas qui les construisent de façon à nettoyer les vieux tissus qui se détériorent. On trouve des bactéries dans tous les tissus malades de toutes les maladies chroniques ou dégénératives. La médecine moderne ne les traite qu’avec des antibiotiques (anti-vie !) et des vaccins qui ne sont absolument pas nécessaires … puisque ces bactéries sont le résultat et non la cause.Ce n’est donc pas sur le microbe qu’il faut agir mais sur le terrain de la personne (par des ré-équilibrages internes comme le font certaines méthodes non iatrogènes comme l’énergétique, l’acupuncture, l’homéopathie, la naturopathie) et sur la dimension psychosomatique remise en évidence par le Docteur Michel Moirot et plus récemment par le docteur Ryke Geerd Hamer.Il serait temps que la médecine prenne en compte les travaux d’Antoine Béchamp et de certains de ses contemporains comme Claude Bernard ou d’autres précurseurs.
Références : - « Les Microzymas », Antoine Béchamp, réédité en 1990 par le Centre d’Information A. Béchamp, 163, rue St Honoré, 75001 Paris (épuisé : commande du CD du livre : bechamp@eternite.com).- « Béchamp ou Pasteur ? », Douglas Hume de 1948, disponible en français sous forme de CD à : l’Académie pour la Défense des Etres Humains, 37, rue de la Pépinière, 17000 La Rochelle.- « Les Microzymas, la Révolution en Biologie », Dr. Alain Scohy, Editions de l’Institut Paracelse (www.alain-scohy.com).- « Origine des Cancers, traitement et prévention », Dr. Michel Moirot, Les Lettres Libres.- www.Sortir-Autrement.com, revues 1,2,8 et 9.- « Pour en Finir Avec Pasteur », Dr. Eric Ancelet, Editions Marco Pietteur, collection Résurgence.
Christian Bauer,Ingénieur, naturopathe, thérapeute.
cbauer1@hotmail.fr
Références : - « Les Microzymas », Antoine Béchamp, réédité en 1990 par le Centre d’Information A. Béchamp, 163, rue St Honoré, 75001 Paris (épuisé : commande du CD du livre : bechamp@eternite.com).- « Béchamp ou Pasteur ? », Douglas Hume de 1948, disponible en français sous forme de CD à : l’Académie pour la Défense des Etres Humains, 37, rue de la Pépinière, 17000 La Rochelle.- « Les Microzymas, la Révolution en Biologie », Dr. Alain Scohy, Editions de l’Institut Paracelse (www.alain-scohy.com).- « Origine des Cancers, traitement et prévention », Dr. Michel Moirot, Les Lettres Libres.- www.Sortir-Autrement.com, revues 1,2,8 et 9.- « Pour en Finir Avec Pasteur », Dr. Eric Ancelet, Editions Marco Pietteur, collection Résurgence.
Christian Bauer,Ingénieur, naturopathe, thérapeute.
cbauer1@hotmail.fr
Source : http://christian-bauer.rmc.fr/156336/LES-MICROZYMAS/
Plus, fiche wikipédia de Béchamps survolant le sujet microzymas :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_B%C3%A9champ