Anti Nouvel Ordre Mondial

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    Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc.

    paralleye
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    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Empty Re: Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc.

    Message  paralleye 10/11/2014, 16:30

    Mythe et réalités sur les sionistes, les nazis, etc : correction et mise au point impartiale partie 3.



    Et maintenant,pour finir, lisez ce chapitre des Secrets de la Réserve Fédérale d'Eustace Mullins (un « livre qui fut brûlé en autodafé,par décision de justice,en Europe après 1945 » devinez pourquoi sic !).


    Chapitre VII – La connexion hitlérienne


    Citations.

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    Message  paralleye 10/11/2014, 17:00

    Mythe et réalités sur les sionistes, les nazis, etc : correction et mise au point impartiale partie 4. (la Symphonie en Rouge Majeur)


    Je pense que cela suffit comme preuves,et comme on dit ensuite,"n'est plus aveugle que celui qui ne veut voir".

    Les banquiers internationaux (avec l'aide des cercles de Wall Street et compagnie) et leurs cartels de l'industrie ont donc bel et bien financés les nazis,que cela plaise ou non à certains.

    Reste maintenant à comprendre pourquoi.

    C'est là que l'ouvrage "Le Complot mondial Mythe ou réalité" va être utile,notamment par ce qu'implique de fondamental les révélations occultes de l'interrogatoire de C.G. Rakowsky à l'agent Kus'min Gavrilovitch du KGB,contenues dans la "Symphonie en Rouge Majeur".

    http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/07/25/Landowsky-Josef-Symphonie-en-rouge-majeur

    Il fait partie de ces écrits (au même titre que les textes originaux de l'Ordre des Illuminés de Bavière à la fin du XVIIIème siècle,trouvés suite à une perquisition due à un concours de circonstances antérieures) qui n'aurait jamais du venir à la vue du public,mais l'ironie du sort aidant, les visées de ces conspirateurs internationaux ne sont pas toujours destinées à rester dans l'ombre.

    Tel que l'adage du Coran avec justesse affirme,dans la Sourate d’Abraham (Ibrâhîm) verset 46 :

    Certes, ils ont ourdi des complots.
    Mais leurs complots n’échappent pas à Dieu,
    fussent-ils de taille à déplacer les montagnes.

    Je pense que si Dieu le veut,ces complots diaboliques ourdis dans la coulisse finissent par être connus un jour.

    Les circonstances ayant amenés cet interrogatoire sont ainsi décrites dans la préface de la symphonie rouge :

    préface du traducteur de l’édition anglaise

    Le texte de cet opuscule est la traduction du chapitre XI d’un livre qui fut publié à l’origine en espagnol aux Editions nos par Don Mauricio Carlavilla, à Madrid, en 1950, sous le titre de Sinfonia in rojo major (Symphonie en rouge majeur), et qui depuis a connu onze éditions.

    L’éditeur avait alors très aimablement accepté le projet d’une traduction en anglais, qui est sortie chez The Plain Publishing Company, 43 Bath road, Londres W4. Le chapitre extrait et présenté ici, en tiré à part, est de la plus haute importance et constitue à lui seul un document d’Histoire. Il a été traduit à partir du texte espagnol et du texte russe.

    Dans un livre qu’il avait écrit et publié sous le titre de The Struggle for World Power (La lutte pour le pouvoir mondial), le traducteur anglais avait, lui aussi, traité de la question du gouvernement mondial et de la mise en esclavage du monde par ceux qui s’avèrent être à la fois les usuriers du Capitalisme et du Communisme terroriste, qui sont l’un et l’autre des instruments des mêmes forces et servent aux mêmes objectifs. Son livre parut également en espagnol, publié par la maison d’édition de Mr Carlavilla sous le titre : La Lucha per il poder mundial. Dans le texte présenté dans Symphonie Rouge, toute cette question est brillamment exposée et attestée par celui qui fut l’un des acteurs majeurs de la conquête subversive du monde, de son nom Christian G. Rakowsky, l’un des fondateurs du bolchevisme soviétique qui tomba victime d’un procès à grand spectacle juste
    avant la Deuxième Guerre mondiale sous le règne de Staline. C’est donc un
    document de grande importance historique, et quiconque s’intéresse à cette
    période ou au sujet évoqué ne saurait manquer d’en prendre connaissance :
    rester dans l’ignorance de la thèse exposée, c’est vouloir ne rien savoir ni rien
    comprendre des principaux événements de notre époque et de ce que l’on
    en doit attendre.

    Dans l’édition espagnole, l’éditeur M. Carlavilla expose ainsi l’origine
    de ce document :

    Il s’agit de la difficile traduction de plusieurs cahiers retrouvés sur le
    corps du Dr Landowsky, qui fut découvert mort dans une cabane sur le
    front de Petrograd (Léningrad) par un volontaire espagnol (un membre
    de la Légion Azul qui combattait le Bolchevisme aux côtés des Armées
    Allemandes au cours de la dernière guerre). Celui-ci nous les apporta. Mais
    dans l’état où se trouvaient ces manuscrits, leur restauration exigea un long
    et patient travail, qui demanda plusieurs années. Nous fûmes longtemps
    hésitants à décider de leur publication. Ses révélations finales étaient si
    extraordinaires et si incroyables que nous n’aurions jamais osé publier ces
    mémoires, si les personnages et les événements mentionnés n’avaient pas
    correspondu strictement aux faits réels.

    Avant que ces souvenirs n’aient paru, nous nous étions préparés à
    avancer nos preuves et à répondre aux polémiques. Nous répondons totalement
    et personnellement de la véracité des faits essentiels relatés. Voyons si
    quelqu’un pourra les récuser, preuves à l’appui.

    Le Dr Landowsky, l’auteur du manuscrit, était un Polonais russifié qui
    vécut en Russie. Son père, colonel de l’Armée impériale, fut fusillé par les
    bolcheviques au cours de la révolution de 1917. Une histoire de la vie du Dr
    Landowsky est étonnante. Il fit ses études de médecine en Russie avant la
    révolution, puis alla étudier deux ans en Sorbonne à Paris, et il parlait couramment
    le français. Il s’était spécialement intéressé aux effets des drogues
    sur l’organisme humain en anesthésiologie opératoire. Etant un brillant praticien, il mena des expériences dans ce domaine et avait fait d’importantes
    découvertes. Pourtant, après la révolution, toutes les avenues lui furent fermées.
    Il vécut avec sa famille dans le besoin, gagnant sa vie de petits travaux
    occasionnels. N’arrivant pas à publier ses travaux scientifiques sous son
    nom, il permit à des collègues plus en vue de les publier pour lui. Le n k v d,
    la police secrète du régime soviétique, ubiquiste et toujours à l’affût, remarqua
    ces travaux et s’y intéressa, et elle découvrit facilement celui qui en était
    le véritable auteur. Sa spécialité s’avérait de grande valeur pour ces organes.
    Un jour de 1936, on frappa à la porte du docteur. Quelqu’un l’invita à
    le suivre, et dès lors il ne devait plus jamais revoir sa famille. On l’installa au
    siège des laboratoires de chimie du n k v d près de Moscou, et il vécut là, forcé
    d’y mener divers travaux qui lui furent confiés par ses maîtres, d’assister
    comme témoin à des interrogatoires, des séances de tortures, des situations
    des plus terribles et à des crimes. Par deux fois, on l’emmena à l’étranger,
    mais toujours étroitement surveillé comme un prisonnier. Il connut beaucoup
    de choses et souffrit beaucoup, d’autant plus qu’il était un homme
    pudique et religieux. Mais il eut le courage de noter tout ce qu’il avait vu et
    entendu, et de conserver ces notes, ainsi que — dans la mesure du possible
    — copie des documents et lettres qui passaient entre ses mains, cachant tout
    dans les pieds creux de sa table, au laboratoire de chimie. C’est ainsi qu’il
    vécut pendant la Deuxième Guerre mondiale. Comment arriva-t-il finalement
    à Petrograd et comment il y fut tué demeure un mystère.

    Le document présenté est l’extrait d’un interrogatoire, de celui qui avait
    été l’ambassadeur des Soviétiques en France, C. G. Rakowsky, enregistré
    lors des procès des trotskystes en u r s s, en 1938, lorsqu’il fut inculpé avec
    Boukharine, Rykof, Yagoda, Karakhan, le Dr Lévine et d’autres. L’accusé
    ayant fait clairement comprendre qu’il pouvait faire des révélations sur des
    sujets du plus haut intérêt, comptant que cela pourrait lui valoir la vie sauve,
    Staline avait alors commandé à l’un de ses agents étrangers de mener l’interrogatoire.
    On sait que Rakowsky fut condamné comme ses coaccusés à être
    fusillé, mais que sa peine fut finalement commuée en vingt ans de prison.
    Très intéressante est aussi la description de l’agent en question.C’était un certain René Duval (connu également sous le nom de Gavriil Gavriilovitch Kus’min — Gabriel en français), le fils d’un millionnaire, un homme intelligent et de très bonne présentation. Il avait fait ses études enFrance. Sa mère, une veuve, l’adorait. Mais jeune homme il avait été dévoyé par la propagande communiste, et il était alors tombé aux mains de leur agence. Les responsables de celle-ci lui suggérèrent d’aller étudier à Moscou, proposition qu’il avait acceptée complaisamment. Il passa par la dure école du n k v d et devint agent étranger, et lorsqu’il voulut se raviser, il était trop tard : ils ne laissent jamais partir quelqu’un tombé entre leurs mains. Par l’exercice de la volonté, il atteignit « aux faîtes de la puissance du mal », comme il l’appela, et il jouît de la pleine confiance de Staline en personne.

    L’interrogatoire fut conduit en français. Le docteur était présent aux
    fins de droguer Rakowsky en mettant dans son verre à son insu des pilules
    stimulantes et à effet euphorisant. Derrière la cloison, un magnétophone
    enregistrait la conversation, mais le technicien chargé de l’appareil ne comprenait
    pas le français. Le Dr Landowsky eut ensuite à traduire l’interrogatoire
    en russe et à en tirer deux exemplaires, respectivement pour Staline et
    l’agent Gabriel. Secrètement, le docteur eut l’audace d’en faire une troisième
    copie carbone et de la cacher.

    G. Knupfer



    La sève de cet interrogatoire consiste en ce que Rakovski va petit à petit révéler sur le groupe secret de conspirateur internationaux qu'il représente,lui et ses amis les trotskystes internationalistes : il appelle les gens pour qu'il il travaille "ILS" ou "EUX" tout au long de l'entrevue avec Kusmin Gavrilovitch...

    Ces "ILS ou "EUX" représente selon lui l'Internationale de la Finance,un groupe secret occulte de familles interreliées entre elles qui est derrière le Mouvement Révolutionnaire Mondial,et qui au-delà des apparences pour la galerie, contrôle à la fois le Capitalisme et le Communisme selon leur propre agenda.

    On peut dire que ces lignées oligarchiques sont proprement ceux que l'on nomme les Illuminati aujourd'hui encore,d'ailleurs nous allons voir juste après qui en furent déjà les chefs à l'époque de Weishaupt : la famille Rothschild !

    Quand à Mendelsohn l'un des inspirateurs de Weishaupt, il s'agit là encore d'un sabbataïste.

    Les révélations de Rakovsky sur le Pouvoir Occulte sont du plus haut intérêt,il va d'abord expliquer à l'agent de Staline qui ne saisit pas encore l'énormité de la situation comment ce groupe de personnes ayant un contrôle illimité en coulisses s'y est pris pour prendre le pouvoir au alentour du XVIIIème siècle (grâce à la Révolution française qu'ils avaient planifié), puis comment ils l'ont augmenté de plus en plus prodigieusement en enserrant l'humanité dans son étau satanique/mamonique au cours des siècles qui ont suivis.

    Parlant de l'Internationale Financière comme d'un second Komintern (de l'Internationale Communiste) à un moment donné de l'interrogatoire,Rakovksy va nous révéler le fond de l'embrouille,soyez attentif :

    R. – Très exactement. Lorsque j’ai mentionné l’Internationale financière, je pensais
    à elle comme à un Komintern ; mais ayant admis l’existence de ces deux
    « Komintern », je ne dirai pas pour autant qu’ils sont ennemis.
    G. – Si vous voulez nous faire perdre du temps avec vos inventions et vos fantaisies,
    je dois vous avertir que vous avez choisi le mauvais moment ...
    R. – Dites, est-ce que vous croyez que je suis comme la courtisane des « Mille et
    une Nuits », qui usa de toute son imagination pendant une nuit entière pour
    sauver sa vie ? Ce n’est pas mon cas. Si vous pensez que nous nous écartons du
    sujet, vous vous trompez. Mais afin de parvenir à ce que vous avez pris comme
    notre objectif et si je ne veux pas échouer, il me faut d’abord vous éclairer sur
    les questions les plus importantes, en ayant en tête votre méconnaissance de
    ce que je pourrais appeler « le haut Marxisme ». Je ne peux m’abstenir de ces explications nécessaires, car je sais trop bien qu’il y a ce manque de connaissances
    au Kremlin ... Permettez-moi donc de poursuivre.
    G. – Vous pouvez continuer. Mais s’il s’avère que tout cela devait être jugé comme
    n’étant qu’une perte de temps pour exciter l’imagination, alors cet amusement
    aura certainement un triste épilogue. Je vous aurai averti.
    R. – Je poursuis comme si je n’avais rien entendu. A ce stade, vous êtes un écolier
    en ce qui concerne le Capital, et je veux éveiller vos talents inductifs. Je vous
    rappellerai donc certains faits très curieux. Faites bien attention avec quelle
    pénétration Marx en arrive aux conclusions tirées de l’existence de l’industrie
    britannique alors naissante, à savoir la colossale industrie d’aujourd’hui ; comment
    il l’analyse et la critique ; quelle image repoussante il donne de l’industriel
    manufacturier. Dans votre imagination et dans celle de la masse naît alors la
    terrible image du Capitalisme dans son concret humain : le type du fabricant
    bedonnant, un cigare à la bouche, comme Marx le décrit, jetant à la rue avec
    colère mêlée de satisfaction l’épouse et la fine de l’ouvrier. Est-ce que ce n’est pas
    vrai ? Mais en même temps, souvenez-vous aussi de la modération de Marx et
    de son orthodoxie bourgeoise lorsqu’il étudie la question monétaire. Dans ce
    problème de la monnaie, on ne voit pas apparaître chez lui la fameuse contradiction.
    Pour lui, les finances n’existent pas comme quelque chose d’importance
    en soi ; le commerce et la circulation des monnaies sont les résultats de la
    production capitaliste honnie, qui les asservit et les détermine totalement. Or
    sur la question de la monnaie, Marx est un réactionnaire ; et à notre immense
    surprise, il en était bien un. Ayez à l’esprit « l’étoile à cinq pointes » comme
    la soviétique, mais cette étoile qui brille sur toute l’Europe, l’étoile composée
    des cinq frères Rothschild, avec leur banque, qui possède une colossale accumulation
    de richesses, la plus grande jamais connue jusque là ... Ainsi, ce fait, si
    colossal qu’il égara l’imagination des gens à l’époque, Marx ne le remarque pas.
    Voilà qui est bien étrange ... Non ?
    Il se peut que de cet étrange aveuglement de Marx naisse un phénomène qui
    est commun à toutes les futures révolutions sociales. Voici le fait : tous, nous
    pouvons confirmer que lorsque les masses prennent le contrôle d’une ville ou d’un pays, elles semblent toujours frappées alors d’une crainte superstitieuse
    des banques et des banquiers. On a tué les Rois, les généraux, les évêques, les
    policiers, les prêtres et les autres représentants des classes privilégiées haïes ; on
    a dévalisé et incendié les palais, les églises, et même les temples de la science,
    mais en dépit du fait que les révolutions étaient sociales, les vies des banquiers
    furent respectées par elles, et leur résultat fut que les magnifiques édifices des
    banques restèrent intacts. Et à ma connaissance, jusqu’au moment même de
    mon arrestation, cette situation a perduré jusqu’à ce jour.
    G. – Où cela ?
    R. – En Espagne ... Ne le savez-vous pas ? Puisque vous me le demandez, ditesmoi
    aussi : ne trouvez-vous pas cela bien étrange ? Réfléchissez, la police peutêtre
    ?… Je ne sais pas, mais votre attention a-t-elle été attirée par l’étrange similitude
    qui existe entre l’Internationale financière et l’Internationale prolétaire ?
    Je dirais que l’une est l’envers de l’autre, et que le revers est la prolétaire, comme
    étant plus neuve que la financière.
    G. – Où voyez-vous une similitude dans des choses aussi opposées ?
    R. – Objectivement elles sont identiques. Comme je l’ai prouvé, le Komintern
    dans sa double face, renforcé par le mouvement réformiste et l’ensemble du
    Syndicalisme, provoque l’anarchie dans la production, l’inflation, la pauvreté
    et le désespoir dans les masses. Les Finances, essentiellement l’Internationale
    financière, épaulée consciemment ou inconsciemment par les investisseurs
    privés créent les mêmes contradictions, mais en plus grand nombre encore ...
    Maintenant vous pouvez deviner les raisons pour lesquelles Marx a caché les
    contradictions financières, qui ne pouvaient avoir échappé à son regard pénétrant
    si les finances n’avaient eu là un allié dont l’influence — objectivement
    révolutionnaire — était déjà alors d’une extraordinaire importance.
    G. – Une coïncidence inconsciente, mais pas une alliance, qui présuppose l’intelligence,
    la volonté et l’accord…
    R. – Quittons cette perspective, si vous le voulez bien. Et passons maintenant plutôt
    à une analyse subjective des finances, et même plus : examinons quelle sorte
    de gens sont là personnellement à l’oeuvre. L’essence internationale de la monnaie est bien connue. De ce fait, il ressort que l’organisation internationale qui
    possède l’argent et qui l’accumule est une organisation cosmopolite. La finance
    à son apogée en tant que trouvant en elle-même son propre but, — c’est à dire
    l’Internationale financière — dénie et ne reconnaît rien de ce qui est national,
    ni non plus l’État, et par conséquent elle est anarchique, et elle serait anarchiste
    de manière absolue si elle — la négatrice de tout État national — n’était pas par
    nécessité un État dans toute son essence fondamentale. L’État comme tel n’est
    que Pouvoir. Et l’argent est exclusivement Pouvoir. Ce super-État communiste,
    que nous nous sommes efforcés de créer depuis tout un siècle et dont l’esquisse
    est l’Internationale de Marx, faites-en l’analyse, et vous verrez quelle est son
    essence. Le plan de l’Internationale et le prototype que représente l’u r s s, c’est
    aussi le pouvoir pur. La similitude fondamentale entre les deux créations est
    absolue. C’est quelque chose de fatal et d’inévitable puisque les personnalités
    des auteurs des deux étaient identiques. Le Financier est tout juste aussi international
    que le Communiste. Tous les deux, à l’aide de différents alibis et différents
    moyens, luttent contre l’État national bourgeois et en sont la négation.
    Le Marxisme le fait afin de le changer en un État Communiste, d’où s’en suit
    que le marxiste doit être un internationaliste. Le financier renie l’État national
    bourgeois, et sa négation trouve sa fin en elle-même : il ne se manifeste pas en
    tant qu’internationaliste, mais comme un anarchiste cosmopolite ... C’est son
    apparence actuelle, mais voyons ce qu’il est réellement et ce qu’il vise à être.
    Comme vous le voyez, il y a en résidu une claire similitude individuelle entre les
    Communistes internationalistes et les Cosmopolites de la finance, et le résultat
    naturel est une identique similitude entre l’Internationale communiste et
    l’Internationale financière.
    G. – C’est subjectivement une similitude de hasard et en contradiction dans
    l’objectif, mais l’une est facilement érodée et de peu de signification, et la plus
    radicale est aussi celle qui a l’existence la plus réelle.
    R. – Permettez-moi de ne pas répondre immédiatement, afin de ne pas interrompre
    la séquence logique du raisonnement ... Je cherche seulement à décrypter
    l’axiome de base : l’argent est pouvoir. L’Argent est aujourd’hui le centre de gravité général. J’espère que vous êtes bien d’accord avec moi ?
    G. – Continuez, Rakowsky, je vous prie.
    R. – Comprendre comment l’Internationale financière est progressivement
    devenue à notre époque la maîtresse de l’argent, ce talisman magique, qui est
    devenu aujourd’hui pour les gens ce que Dieu et la Nation étaient antérieurement,
    c’est quelque chose qui excède en intérêt scientifique même l’art de
    la stratégie révolutionnaire, car c’est également un art et également une révolution.

    Je vais vous l’expliquer. Les historiographes et les masses, aveuglés par
    les cris et la pompe de la Révolution Française, le peuple intoxiqué par le fait
    qu’il avait réussi à prendre le pouvoir du Roi et des classes privilégiées, n’ont
    pas pris attention au fait qu’un petit groupe de gens mystérieux, obstinés et insignifiants,
    avait pris possession du pouvoir royal réel, pouvoir magique, presque
    divin, qu’ils obtinrent
    presque sans s’en douter.
    Les masses ne prirent pas garde que ce pouvoir avait été capturé par d’autres,
    qui très vite les soumirent à un esclavage plus impitoyable que celui où les tenait
    le Roi, car ce dernier, du fait de ses préjugés religieux et moraux, n’était pas apte
    à tirer avantage d’un tel pouvoir. Il advint donc que le Pouvoir Royal suprême
    échut à des gens dont les caractères moraux, intellectuels et cosmopolites leur
    permirent à elles d’en faire usage. Il est clair que ces gens-là n’avaient jamais été
    chrétiens, mais étaient des cosmopolites.

    G. – Mais qu’est ce que cela a à faire avec le pouvoir mythique qu’ils avaient acquis ?
    R. – Ils avaient obtenu pour eux le réel privilège de battre monnaie ... Ne souriez
    pas, autrement je devrais en conclure que vous ne savez pas ce que sont les
    monnaies ... Je vous demande de vous mettre à ma place. Ma situation est celle
    de l’assistant d’un docteur qui aurait à expliquer la bactériologie à un médecin
    ressuscité, formé à l’époque avant Pasteur. Mais je peux m’expliquer votre
    manque de connaissances et vous en excuser. Le langage fait usage de termes
    qui provoquent des idées erronées sur les choses et les actes, ceci à cause de la
    puissance d’inertie de la pensée, et qui ne correspondent pas à des conceptions
    réelles et exactes. Ainsi de la monnaie. Il est clair que dans votre imagination
    apparaissent immédiatement à ce mot des images de monnaie réelle en métal et en papier. Mais la monnaie ce n’est pas cela ; l’argent ce n’est plus cela dorénavant.
    Les pièces en circulation c’est un pur anachronisme. S’il en existe encore
    et si elles circulent, c’est seulement par atavisme, uniquement parce que cela
    convient pour le maintien d’une illusion, à l’heure actuelle, d’une pure fiction.
    G. – Voilà un paradoxe brillant, osé et même poétique.
    R. – Si vous le voulez, c’est peut-être brillant, mais ce n’est pas un paradoxe. Je
    sais bien, et c’est la cause de votre sourire, que les États frappent encore de la
    monnaie, des pièces de métal, et impriment des billets avec des bustes royaux
    ou des emblèmes nationaux. Bien et alors ? Une grande partie de la monnaie en
    circulation, l’argent des grandes affaires ou comme représentant de la richesse
    nationale, l’argent, oui, l’argent, était dorénavant émis par le petit groupe de
    personnes que j’ai évoqué. Des titres, des valeurs, des chèques, des traites, des
    billets à ordre, des lettres de change, des escomptes, des cotations et des chiffres
    sans fin inondèrent les États comme une cataracte. Que représentaient dès lors
    par rapport à tout cela les monnaies métalliques et de papier ? ... Quelque chose
    de négligeable, une sorte de minimum face à l’inondation croissante de la monnaie
    financière qui envahissait tout. En plus de l’immense variété de formes des
    monnaies financières, ils créèrent la monnaie-crédit, avec l’intention d’en rendre
    le volume quasiment infini. Et de lui donner la vitesse du son ... ce n’est plus
    qu’une abstraction, un être de pensée, un chiffre, un nombre ; le crédit, la foi ...
    Commencez-vous déjà à saisir ? ... La fraude, la fausse monnaie jouissant d’un
    statut légal ...
    pour utiliser une autre terminologie afin de mieux me faire comprendre.
    Les banques, les bourses des valeurs, et l’ensemble du système financier
    mondial, c’est une gigantesque machine destinée à produire artificiellement
    des scandales, selon l’expression d’Aristote. Forcer l’argent à produire de
    l’argent, si c’est un crime en matière économique, c’est quelque chose qui, en
    ce qui a trait aux financiers, est un crime qui relève du code criminel, car c’est
    de l’usure.
    J’ignore quels sont les arguments par lesquels on essaie de justifier
    tout cela ; sans doute par la proposition qu’ils reçoivent un intérêt légal ... Mais
    même en l’admettant, et l’admettre dépasse même ce qui est nécessaire, nous
    voyons que l’usure existe encore, car même si l’intérêt reçu est légal, alors celui ci invente et falsifie le capital inexistant. Les banques ont toujours, sous forme
    de dépôts ou d’encours productifs, une quantité d’argent qui est dix fois ou
    peut-être même cent fois supérieure à l’argent qui existe physiquement sous
    forme de pièces et de billets de banque. Et je ne parle pas des cas où la monnaie-crédit,
    c’est-à-dire la fausse monnaie, la monnaie fabriquée, est supérieure au
    capital en dépôt. Compte tenu que l’intérêt légal est fixé, non pas sur le capital
    réel, mais sur un capital virtuel, l’intérêt en question est en réalité illégal, en
    proportion du nombre de fois que le capital fictif dépasse le capital réel. Il faut
    garder à l’esprit que le système que je vous décris là en détail n’est encore que
    l’un des plus innocents parmi ceux qui sont utilisés pour la fabrication de fausse
    monnaie. Imaginez, si vous le pouvez, un petit groupe de gens ayant un pouvoir
    illimité par la possession de la richesse réelle, et vous verrez qu’ils sont les dictateurs
    absolus des bourses de valeurs, avec comme résultat qu’ils sont alors aussi
    les dictateurs de la production et de la distribution, et aussi du travail et de la
    consommation. Si votre imagination en est capable, multipliez alors ceci par le
    facteur global, et vous verrez son influence anarchique, morale et sociale, c’està-
    dire son influence révolutionnaire ... Comprenez-vous ?

    G. – Non, toujours pas.
    R. – Manifestement, c’est très difficile de comprendre les miracles.
    G. – Comment le miracle ?
    R. – Oui, le miracle. N’est-ce pas un miracle qu’un banc de bois ait été transformé
    en un temple ? Et pourtant, un tel miracle a été vu par les gens mille fois, et ils
    n’ont pas cillé une seule fois en un siècle. Car c’était bien un miracle extraordinaire
    de voir que les bancs où s’asseyaient de gras usuriers pour faire leurs opérations
    de change sur les monnaies se transformaient dorénavant en temples,
    qui s’élèvent magnifiques dans tous les coins des grandes cités contemporaines,
    avec leurs colonnades païennes, et où affluent les foules avec une foi qui ne
    leur vient pas des divinités célestes, pour y faire assidûment le dépôt de tout ce
    qu’elles possèdent de leurs biens au dieu de l’Argent qui l’imaginent-elles sans
    doute, doit vivre dans les coffres blindés des banquiers, et qui est préordonné
    de par sa divine mission à accroître la richesse jusqu’à un infini métaphysique.
    G. – C’est la nouvelle religion de la bourgeoisie décadente.
    R. – Religion oui, c’est la religion de la puissance.
    G. – Vous semblez être le poète de l’économie.
    R. – Oui si vous le voulez, car pour donner une image de la finance comme oeuvre
    d’un art qui, de manière la plus évidente, est une oeuvre de génie et la plus révolutionnaire
    de tous les temps, il faut en effet la poésie.
    G. – C’est une vue erronée : car les Finances, comme l’a défini Marx et plus particulièrement
    Engels, sont déterminées par le système de production capitaliste.
    R. – C’est exact, mais c’est l’inverse : c’est le système capitaliste de production
    qui est déterminé par la finance. Le fait que Engels dise le contraire et essaie
    même de le prouver est en soi la preuve la plus patente que ce sont les finances
    qui dirigent la production bourgeoise. D’où aussi le fait, et il en était ainsi avant
    Marx et Engels, que les finances étaient le plus puissant agent de révolution et
    que le Komintern n’était qu’un jouet entre leurs mains. Mais ni Marx, ni Engels
    ne vont le dévoiler ou l’expliquer. Bien au contraire, faisant appel à tous leurs
    talents de savants, ils allaient camoufler cette vérité une deuxième fois, dans
    l’intérêt de la Révolution. Et cela, ils le firent tous les deux.

    G. – Voilà qui n’est pas nouveau. Tout cela me rappelle ce que Trotsky avait écrit
    il y a une dizaine d’années.
    R. – Dites ...
    G. – Quand il dit que le Komintern est une organisation conservatrice par rapport
    à la bourse de New York, il désigne les grands banquiers comme étant les
    inventeurs de la révolution.
    R. – Oui en effet, il le dit dans un opuscule où il prédit l’effondrement de l’Angleterre
    ... Il le déclare, en posant la question Qui pousse l’Angleterre sur la voie de
    la révolution ? » ... et voici sa réponse : « non pas Moscou, mais New York ».
    G. – Mais rappelez-vous aussi son affirmation que, si les financiers de New York
    avaient forgé la révolution, ils l’avaient fait inconsciemment.
    R. – L’explication que je vous ai donnée pour vous faire comprendre pourquoi
    Marx et Engels avaient camouflé la vérité est également applicable à Léon Trotsky.

    G. – Je n’apprécie dans Trotsky que le fait qu’il ait interprété en quelque sorte sous une forme littéraire un fait qui en tant que tel n’était que trop bien connu et
    qu’on a déjà noté. Trotsky lui-même souligne de manière tout à fait correcte
    que ces banquiers « accomplissent irrésistiblement et inconsciemment leur
    mission révolutionnaire ».
    R. – Et ils l’accomplissent cette mission en dépit du fait que Trotsky l’a déclaré ?
    Voilà qui est bien étrange ! Pourquoi alors ne corrigent-ils pas leurs actions ?
    G. – Les financiers sont des révolutionnaires inconscients, car ils ne le sont que
    de manière objective, ceci résultant de leur incapacité intellectuelle à en voir les
    conséquences finales.
    R. – Vous croyez cela sincèrement ? Vous pensez que parmi ces véritables génies,
    il y en a qui sont inconscients ? Vous considérez comme idiots des gens à qui le
    monde entier est soumis aujourd’hui ? Voilà qui serait vraiment une contradiction
    bien stupide.

    G. – Mais que prétendez-vous ?
    R. – J’affirme tout simplement qu’ils sont révolutionnaires objectivement et subjectivement,
    de manière tout à fait consciente.

    G. – Quoi, les banquiers ? Vous êtes fou !
    R. – Moi, non ... Et vous ? Réfléchissez un peu. Ces gens-là sont comme vous et
    moi. La situation qui fait qu’ils sont les maîtres des monnaies en quantités illimitées,
    puisqu’ils les créent par eux-mêmes, ne nous permet pas de fixer les limites
    de leurs ambitions ... S’il y a quelque chose qui satisfasse pleinement l’homme,
    c’est bien de satisfaire son ambition, et par dessus tout de satisfaire sa volonté de
    puissance. Pourquoi donc ces gens là, les banquiers, n’auraient-ils pas la soif du
    pouvoir, du pouvoir total ? Exactement comme vous ou moi pouvons l’avoir ?
    G. – Mais si selon vous, et je le pense aussi, ils possèdent déjà le pouvoir politique
    global, quel autre pouvoir veulent-ils donc posséder ?
    R. – Je vous l’ai déjà dit : le pouvoir absolu. Le même pouvoir que Staline a dans
    l’u r s s, mais dans le monde entier.

    G. – Le même pouvoir que Staline, mais alors dans un objectif opposé.
    R. – Le Pouvoir, lorsqu’il est réellement absolu, ne peut qu’être unique. L’idée de
    l’absolu exclut la multiplicité. C’est la raison pour laquelle le pouvoir poursuivi par le Komintern et le « Kapintern », qui sont des choses du même ordre, étant
    absolu, doit en politique également être unique et identique : le pouvoir absolu
    est à lui-même sa propre fin, autrement il ne serait pas absolu. Et jusqu’à présent,
    on n’a pas encore inventé d’autre machine de pouvoir total que l’État Communiste.
    Le pouvoir bourgeois capitaliste, même à l’échelon le plus élevé, le pouvoir
    d’un César, reste un pouvoir limité, car s’il était en théorie la personnification
    de la divinité dans les Pharaons et dans les Césars de l’Antiquité, du fait des
    conditions économiques d’alors et du sous-développement de l’appareil d’État
    il y avait cependant toujours place pour la liberté individuelle. Comprenez-vous
    alors que ceux qui dominent en partie les nations et les gouvernements du
    monde aujourd’hui puissent avoir des prétentions à une domination absolue ?
    Comprenez bien que c’est la seule chose qu’il leur reste à obtenir ...

    G. – Voilà qui est intéressant, au moins comme exemple de folie.
    R. – Certainement, mais folie à un bien moindre degré que celle de Lénine qui
    rêvait d’asseoir son pouvoir sur le monde entier dans sa mansarde en Suisse,
    ou celle de Staline rêvant à la même chose durant son exil dans une cabane en
    Sibérie. Il me semble que des rêves d’une telle ambition sont beaucoup plus
    naturels de la part d’hommes d’argent vivant dans les gratte-ciel de New York.
    G. – Alors concluez, qui sont-ils ?
    R. – Êtes vous assez naïf pour penser que si je savais qui « ils » sont, je serais ici
    prisonnier ?
    G. – Pourquoi ?
    R. – Pour la raison bien simple que celui qui est de leur cercle ne serait pas dans
    une situation l’obligeant à leur rendre des comptes ... C’est une règle élémentaire
    de toute conspiration intelligente, que vous devez bien comprendre.
    G. – Mais vous avez dit qu’ils sont les banquiers ?
    R. – Non je ne l’ai pas dit. J’ai toujours parlé de l’Internationale de la Finance, et
    quand il s’est agi de parler des individus, j’ai utilisé le terme « ils », sans plus.
    Si vous voulez que je vous informe franchement, alors je vous citerai des faits,
    mais aucun nom, parce que je les ignore ... je ne pense pas me tromper en vous
    disant qu’aucun d’eux n’est une personne occupant un poste politique ou une position dans la banque mondiale. Comme je l’ai compris après l’assassinat de
    Rathenau à Rapallo, ceux à qui « ils » donnent les positions éminentes de la
    politique et des finances ne sont que des intermédiaires. Évidemment, il s’agit
    de personnes de toute confiance et loyales, qui donnent mille garanties. On
    peut donc affirmer que banquiers et politiciens ne sont que des hommes de
    paille ... cela malgré le fait qu’ils occupent de très hauts postes et qu’ils apparaissent
    comme étant les auteurs des plans qui sont menés.
    G. – Certes, tout cela est compréhensible et logique, mais lorsque vous déclarez
    ne pas les connaître, n’est-ce pas une esquive ? Comme il m’en semble, et selon
    les informations que je possède, vous avez occupé un poste suffisamment
    haut dans la conspiration pour en avoir su bien davantage encore. Et vous n’en
    connaissez pas un seul personnellement ?
    R. – C’est exact, mais vous ne me croyez pas. J’en étais venu au moment de vous
    expliquer que je parlais d’une personne et de personnes, avec une personnalité
    ... comment dirais-je ... mystique peut-être, comme Gandhi ou quelque chose
    comme cela, mais sans signes extérieurs. Des mystiques du pur pouvoir, qui se
    sont libérés de toutes les préoccupations vulgaires et frivoles. Je ne sais pas si
    vous me comprenez ? Eh bien, quant à leurs lieux de résidence et à leurs noms,
    je les ignore ... Imaginez Staline actuellement, dirigeant réellement l’u r s s, mais
    qui ne serait pas entouré de murailles, qui n’aurait pas de personnel autour de
    lui, et qui aurait pour sa vie les mêmes garanties que n’importe quel autre citoyen.
    Par quels moyens pourrait-il se protéger contre les attentats à sa vie ? Il
    est avant tout un conspirateur, et quelle que soit l’importance de son pouvoir,
    il est anonyme.


    G. – Tout ce que vous me dites est logique, mais je ne vous crois pas.
    R. – Mais si, croyez moi ! je ne sais rien ; si je savais, comme je serais heureux !
    je ne serais pas ici à défendre ma vie. Je comprends bien vos doutes et le fait
    que par suite de votre éducation policière vous ressentiez le besoin de connaître
    des noms. Pour vous honorer et aussi parce que c’est essentiel pour l’objectif
    que nous nous sommes mutuellement fixés, je ferai tout mon possible pour
    vous informer. Vous savez que selon l’histoire non écrite et connue seulement de nous, le fondateur de la première Internationale Communiste est connu
    — secrètement bien sûr — comme étant Weishaupt. Vous vous souvenez de
    son nom ? Il fut le chef de la Maçonnerie connue sous le nom des Illuminati ;
    il avait emprunté ce nom à la deuxième conspiration anti-chrétienne de notre
    ère, le gnosticisme. Cet important révolutionnaire, sémite et ancien jésuite, prévoyant
    le triomphe de la Révolution française, décida, ou peut-être reçut l’ordre
    (certains mentionnent comme son chef le grand philosophe Mendelssohn) de
    fonder une organisation secrète qui devait provoquer et pousser la Révolution
    Française à aller bien au-delà de ses objectifs politiques, dans le but de la transformer
    en une révolution sociale pour établir le Communisme. Dans ces temps
    héroïques, il était extrêmement dangereux de mentionner le Communisme
    comme objectif, d’où dérivent les diverses précautions et le secret qui entourèrent
    les Illuminati.
    Il fallut plus de cent ans avant que quelqu’un pût avouer
    être communiste sans danger d’être mis en prison ou exécuté. On sait plus ou
    moins tout cela.
    Ce qui est moins connu, ce sont les relations de Weishaupt et de ses successeurs
    avec les premiers des Rothschild. Le secret de l’enrichissement des plus célèbres
    des banquiers pourrait bien s’expliquer par le fait qu’ils étaient les trésoriers de
    ce premier Komintern. On a les preuves que lorsque les cinq frères se répartirent
    sur les cinq principales provinces de l’Empire financier de l’Europe, ils furent
    aidés en secret par les énormes montants de ces réserves. Il est fort possible
    qu’ils aient été les premiers communistes sortis des catacombes bavaroises, se
    répandant alors déjà sur toute l’Europe. Mais d’autres disent, et je pense, avec
    de meilleures raisons, que les Rothschild n’étaient pas les trésoriers, mais les
    chefs de ce premier Communisme secret. Cette opinion repose sur le fait bien
    connu que Marx et les plus hauts dirigeants de la Ie Internationale, (alors déjà
    l’Internationale avouée et publique) et parmi eux Herzen et Heine, étaient sous
    la direction du Baron Lionel de Rothschild, dont le portrait comme révolutionnaire
    a été dépeint par Disraëli. Disraëli, le Premier ministre britannique,
    qui était sa créature, en a fait un portrait qu’il nous a donc laissé. Il l’a décrit sous les traits du personnage Sidonia, un homme qui d’après le roman était à
    la fois un multi-millionnaire, possédait et dirigeait les espions, les carbonari, les
    francs-maçons, les juifs secrets, les gitans, les révolutionnaires, etc, etc. Tout cela
    semble fantastique, mais il a été prouvé que Sidonia est bien le portrait idéalisé
    du fils de Nathan de Rothschild, ce que l’on peut également déduire de la campagne
    qu’il mena contre le Tsar Nicolas en faveur de Herzen. Cette campagne,
    il la gagna. Si tout ce que l’on peut deviner à la lumière de ces faits est vrai, alors
    je pense que nous pourrons en induire qui a inventé cette terrible machine de
    l’accumulation et de l’anarchie qu’est l’Internationale de la Finance. Et que en
    même temps, comme je le pense, ce pourrait bien être la même personne qui
    aurait créé l’Internationale révolutionnaire. Ce fut une action de génie. Créer
    à l’aide de l’accumulation capitaliste au plus haut degré, ce qui pousse le prolétariat
    aux grèves, à semer le désespoir, et en même temps à créer des organisations
    destinées à unir les prolétaires en vue de les mener à la révolution. Voilà
    bien qui est écrire le chapitre le plus majestueux de l’Histoire. Mieux encore,
    rappelez-vous cette phrase de la mère des cinq frères Rothschild : « Si mes fils
    le veulent, alors il n’y aura plus de guerres ». Cela veut dire qu’ils étaient les
    arbitres, les maîtres de la paix et de la guerre, sans être empereurs. Pouvez-vous
    vous représenter un fait d’une telle importance cosmique ? La guerre n’est-elle
    pas déjà une opération révolutionnaire ? La Guerre — la Commune. Depuis
    cette époque, chaque guerre a été un pas de géant en direction du Communisme.

    Comme si une force mystérieuse accomplissait le voeu passionné de
    Lénine, qu’il avait exprimé à Gorki. Souvenez-vous : 1905-1914. Admettez au
    moins que deux des trois leviers du pouvoir qui mènent au Communisme ne
    sont pas aux mains du prolétariat, et ne peuvent pas l’être. Les guerres n’étaient
    ni provoquées et dirigées ni par la IIIe Internationale, ni par l’u r s s qui n’existait
    pas encore à l’époque. Elles ne pouvaient pas non plus avoir été provoquées
    et moins encore dirigées par les petits groupes de bolchevistes qui allaient et
    venaient dans les milieux de l’émigration, même si eux voulaient la guerre. C’est
    tout à fait évident. L’Internationale et l’u r s s ont encore moins de possibilité de
    réaliser ces immenses accumulations de capital, et aussi de créer l’anarchie nationale et internationale dans la production capitaliste, une comme celle qui est
    capable de pousser impérieusement le peuple à incendier d’énormes quantités
    de produits alimentaires plutôt que de les donner à ceux qui ont faim, et capable
    aussi de ce que Rathenau a décrit dans l’un de ses mots : « de faire en sorte
    que la moitié du monde fabrique de la m.... et que l’autre moitié l’utilise ». Et
    surtout, le prolétariat peut-il dire que c’est lui qui est cause de cette inflation qui
    se développe en progression géométrique, de cette dévaluation, de la constante
    acquisition de surplus de valeurs et de l’accumulation du capital financier mais
    non usuraire, et qu’alors, de ce simple fait, il se produit une prolétarisation des
    classes moyennes, du fait qu’elles ne peuvent empêcher la baisse constante de
    leur pouvoir d’achat, elles, qui sont les véritables opposants à la révolution.
    Le prolétariat ne contrôle ni le levier de l’économie, ni le levier de la guerre.
    Mais il est par lui-même le troisième levier, celui de la révolution, le seul levier
    visible et démontrable, celui qui donne le coup de grâce au pouvoir de l’État capitaliste
    et s’en empare. Oui, celui-là le peuple le saisit, mais seulement s’« ils »
    le lui donnent !

    Saisissez-vous mieux qui sont ces "ILS" que mentionne Rakovsky ?

    Ce sont les chefs de la conspiration pour le Nouvel Ordre Mondial.

    Le Marxisme est également une incroyable supercherie qu' "ILS" ont inventé,pour servir "LEUR" agenda.

    "ILS" sont derrière toutes les révolutions et toutes les guerres du monde moderne sans exception,et les Rothschilds pourraient bien être les chefs de cette cabale infernale (bien qu'il faille rester vigilant à ce niveau-là,néanmoins certains signes le laissent à penser).

    Selon le témoignage de Rakovsky (un trotskyste internationaliste à "LEUR" service donc),Staline ayant retourné la Révolution en l'utilisant à son profit, ce que ses chefs de la Haute-Finance internationale n'appréciaient pas particulièrement,"ILS" décidèrent donc de créer les nazis et Hitler pour retourner la situation,avant de comploter,suite aux circonstances complexes de l'époque,un pacte temporaire avec le "Tsar Rouge" (une sorte de chantage que Staline n'avait pas d'autre choix que d'accepter),se retournant contre leur créature (le nazisme hitlérien) dans le but de provoquer la Seconde Guerre Mondiale par une guerre généralisée entre les nations (on peut d'ailleurs légitimement penser,avec les très nombreuses autres preuves en notre possession à l'heure actuelle, que cette guerre était de toute façon programmée dans l'agenda mondialiste depuis belle lurette,un point qui échappe à Rakosvky,un homme travaillant pour "EUX" sans toutefois être du cercle intérieur).

    Hitler lui, ne fut pas l'un des "LEURS",mais bien plutôt leur idiot-utile dans cette histoire,et quand il eu finit son rôle,le Nazisme fut liquidé,ni plus ni moins !

    Ce fut une dupe de haut-vol dans la conspiration mondiale.

    Rakovsky n'hésite d'ailleurs pas à dire à un moment donné en parlant des généraux d'Hitler, que ceux-là "se soulèveront et le liquideront" s'il le faut,en somme,si certains plans auraient aboutis c'est ce qu'il se serait produit pour le Führer.

    Il faut comprendre que le cas du Nazisme de manière générale est beaucoup plus complexe que celui d'Hitler.

    Il est fort à parier que de nombreux nazis de hauts niveaux furent des agents de ces "ILS" en somme,jouant avec Hitler un double-jeu conforme aux visées du Pouvoir Occulte.



    L'opération Paperclip en apporte d'ailleurs une confirmation symbolique.

    Des passages de Rakovsky tel que celui-ci,au début de l'entretien :

    Gavriil G. Kusmain. – Vous admettez bien sans réserve que vous êtes un espion d’Hitler, que vous
    êtes à gages de la Gestapo et de l’Oberkommando der Wehrmacht, le haut État
    Major de l’Armée allemande. Pas vrai ?
    R. – Si !
    G. – Et vous êtes un espion d’Hitler ?
    R. – Oui !
    G. – Non Rakowsky, non ! Dites la vérité vraie, pas celle du procès.
    R. – Nous ne sommes pas les espions d’Hitler. Nous haïssons Hitler comme vous
    pouvez le haïr, comme Staline peut le haïr ; davantage encore peut-être. Mais
    c’est une question très complexe ...
    G. – Je vais vous aider ... Par chance, je connais une ou deux choses. Vous, les
    Trotskystes vous aviez des contacts avec l’État-major Allemand, n’est-ce pas ?
    R. – Oui.
    G. – A partir de quand ?
    R. – Je ne sais pas la date exacte, mais sitôt après la chute de Trotsky. Bien sûr avant
    qu’Hitler n’accède au pouvoir.
    G. – Alors, soyons précis : vous n’êtes ni un espion personnel de Hitler, ni un espion
    de son régime ?
    R. – C’est exact. Cela nous l’étions déjà auparavant.
    G. – Et dans quel but ? Pour faire gagner l’Allemagne et lui donner certains territoires
    russes.
    R. – Non, en aucun cas.



    Cela devrait faire réfléchir très sérieusement les gens qui le peuvent.

    Néanmoins,le système social et économique que mis en place Hitler après avoir été mis au pouvoir par cette racaille internationale de la Haute-Finance leur fit avoir quelques frissons, c'est le moins que l'on puisse dire,à cause de son potentiel contre-révolutionnaire intrinsèque et remarquable en soi.

    La liquidation d'Hitler en devenait d'autant plus primordiale à ce moment-là,car comme Staline et de manière beaucoup plus grave que lui en fin de compte,il voulu faire cavalier seul et s'était retourné contre ses créateurs,contre leur système machiavélique.

    C'est l'une des raisons fondamentales qui font qu'encore aujourd'hui,le Nazisme et le Führer sont représentés par les mass-médias et toute l'histoire "officielle" du Système comme les pires monstres de l'humanité,pour que les gens ne puissent pas réfléchir à certaines choses...à méditer !

    Voici maintenant pour terminer cette correction du sujet, une petite synthèse de la Symphonie en Rouge Majeur,en trois parties,qui résume tout cela avec les nombreux passages révélateurs de Rakovksy,à propos de la vérité occultée concernant les dessous sournois de cette époque dont on parle :

    La Symphonie Rouge – Première partie : les Rothschild mènent la « Symphonie Rouge »



    Publié  par  henrymakow le  juillet 12, 2013 dans Articles, Histoire


    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Rothschild-hitlerAussi incroyable et bizarre que cela puisse paraître, l’humanité est vraiment victime d’une conspiration diabolique.


    Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n’étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d’un dessein malveillant.


    Une preuve choquante est un interrogatoire de 1938 mené par la police stalinienne (N.K.V.D.) de l’un des fondateurs de l’Internationale Communiste, Christian G. Rakovski, 65 ans, qui était menacé d’exécution pour un complot visant à renverser Staline.


    La transcription des 50 pages de son interrogatoire, surnommée «La Symphonie Rouge», n’était pas destinée à devenir publique. Il confirme que les Rothschild-Illuminati avaient prévu d’utiliser le Communisme pour établir une dictature mondiale des super-riches.


    C’est peut-être le document politique le plus explosif de l’histoire moderne. Il révèle pourquoi les Illuminati ont créé Hitler et ensuite cherché à le détruire, et pourquoi Staline fit un pacte avec Hitler en 1939.


    Christian Rakovski était un ancien initié Communiste. Né Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France avant de devenir un révolutionnaire. Il était le leader d’un groupe terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux.


    En 1919, Lénine le mit en charge du gouvernement de l’Ukraine Soviétique. Il défendit avec succès la zone pour les bolchéviques pendant la guerre civile. Staline le nomma ambassadeur de Russie à Paris en 1925.


    Rakovski appartenait à la puissante faction Trotskiste qui prenait ses ordres auprès des Rothschild. Beaucoup des membres de ce groupe ont été abattus par Staline en 1937 lors de la purge du Parti Communiste.


    L’INTERROGATOIRE NOCTURNE



    Les circonstances de l’interrogatoire dans la nuit du 26 janvier 1938 furent très dramatiques.


    Que pouvait bien dire Rakovski pour sauver sa vie?


    Rakovski semble avoir utilisé la tactique de «tromper en disant la vérité.» Il gagne la confiance en révélant la vérité, mais il en omet suffisamment. Il essaye d’impressionner son interrogateur sur le fait que lui et Trotski représentent une puissance invincible qu’il appelle «Internationale Financière Capitaliste-Communiste.»


    Il confirme que le « mouvement révolutionnaire » a été conçu pour gagner du soutien en prétendant servir les idéaux moraux et collectif de l’humanité. Le but réel est cependant de donner un pouvoir mondial total aux banquiers en divisant la société et en sapant l’autorité établie.


    La « Révolution » signifiait vraiment le «renversement» de la Civilisation Occidentale.
    «La chrétienté est notre seul véritable ennemie puisque les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois n’en sont que ses conséquences», déclare Rakovski. (Griffin, 247)


    La paix est «contre-révolutionnaire» puisque c’est la guerre qui ouvre la voie à la révolution.


    Rakovski, dont la langue a été assouplie par une drogue douce mise dans son vin, se réfère aux Illuminati par «ils» ou «eux». Il en est membre bien qu’il ne fasse pas partie du cercle intérieur.


    Il explique que les «Illuminati» sont une société secrète maçonnique vouée à l’accomplissement du Communisme. De manière significative, son fondateur Adam Weishaupt prit le nom de «la seconde conspiration anti-Chrétienne de cette ère, le gnosticisme.» (249)


    COMMENT CE TÉMOIGNAGE CAPTIVANT NOUS EST PARVENU



    L’interrogateur était un des plus habiles agents de Staline, Gavriil Kus’min connu sous le nom de « Gabriel ».


    En dehors de lui et un technicien fiable caché, le docteur José Landowski était la seule autre personne présente.


    Enrôlé par le N.K.V.D. pour l’aider «à délier les langues des détenus», le Dr. Landowski était écœuré par les nombreuses tortures dont il avait été témoin.


    L’interrogatoire de Rakovski, cependant, fut cordial. Le Dr. Landowski doutait que le doux euphorisant qu’il avait versé dans le verre de Rakovski ait beaucoup d’effet.


    L’interrogatoire, mené en français dura de minuit jusqu’à 7 heures du matin, Kus’min ordonna à Landowski de traduire l’entrevue en russe et d’en faire deux copies.


    Le contenu était tellement ahurissant que Landowski en fit un carbone de plus pour lui-même. «Je ne suis pas fâché d’avoir eu le courage de faire ça», écrit-il. (279) (Les bolchéviques avaient tué le père de Landowski, un colonel tsariste, lors de la révolution de 1917.)


    Un volontaire fasciste espagnol trouva plus tard le manuscrit sur le cadavre de Landowski dans une cabane sur le front de Petrograd pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il le ramena en Espagne où il fut publié sous le titre «Sinfonia en Rojo Mayo» En 1949.


    Peter Myers a mis le texte complet de «The Red Symphony» en ligne. http://users.cyberone.com.au/myers/red-symphony.html


    La transcription a été publiée en anglais en 1968 sous le titre «The Red Symphony : X-Ray of Revolution» (La Symphonie Rouge : une radiographie de la Révolution).

    Vous pouvez la trouver dans l’ouvrage de Des Griffin «Fourth Reich of the Rich» (1988) (Le quatrième Reich des riches). Je recommande ce livre et tout ce que cet homme brillant a écrit.


    LES RÉVÉLATIONS



    Rakovski donne à son interrogateur une vision étonnante de l’histoire moderne afin de prouver que ses commanditaires contrôlent le monde.


    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Nazismecommunisme

    «L’argent est la base du pouvoir», dit Rakovski et les Rothschild le fabriquent grâce au système bancaire.


    Le «Mouvement Révolutionnaire» était une tentative de Mayer Rothschild et de ses alliés de protéger et d’étendre ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire.


    Selon Rakovski, «les Rothschild n’étaient pas les trésoriers mais les chefs secrets de ce premier Communisme… Marx et les plus hauts chefs de la Première Internationale… étaient contrôlés par le baron Lionel Rothschild [1808-1878] dont le portrait révolutionnaire fut réalisé par Disraeli le Premier Ministre anglais d’alors, qui était aussi sa créature, et nous fut transmis [dans le roman de Disraeli 'Coningsby.']» 250)


    Nathaniel (1840-1915), le fils de Lionel, avait besoin de renverser la dynastie Chrétienne des Romanov. A travers ses agents Jacob Schiff et les frères Warburg, il finança les japonais dans la guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse à Moscou en 1905. Puis il fut l’instigateur de la Première Guerre mondiale (Trotski était derrière l’assassinat de l’archiduc Ferdinand) et finança la Révolution Bolchévique de 1917. Rakovski dit qu’il fut personnellement impliqué dans le transfert de fonds à Stockholm. (251-252)


    Le mouvement ouvrier juif ou «Bund» fut l’instrument de Rothschild. La «faction secrète» du Bund infiltra tous les partis socialistes en Russie et en assura la direction pour la Révolution Russe. Alexandre Kerenski, le Premier ministre menchévik en était un membre secret. (253)


    Léon Trotski était censé devenir le leader de l’U.R.S.S. Trotski, un Juif, a épousé la fille de l’un des plus proches collaborateurs de Rothschild, le banquier Abram Zhivotovsky et était devenu un membre du «clan».


    Malheureusement, les Communistes «nationaux» comme Lénine (un quart juif) croisèrent sa route. Lénine rejeta Trotski et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan de Rothschild.


    La Première Guerre mondiale était censée prendre fin de la façon dont la Seconde Guerre mondiale s’est terminée. La Russie était censée envahir l’Allemagne en 1918 et aider les révolutionnaires locaux à établir une «république populaire».


    Trotski fut responsable d’une tentative d’assassinat de Lénine en 1918 mais Lénine survécut. Quand Lénine eut une attaque en 1922, Trotski chargea Levin, le médecin juif de Lénine, d’en finir avec lui.


    À ce moment critique, l’inattendu se produisit. Trotski tomba malade et Staline fut en mesure de prendre le pouvoir. A ce moment crucial, les trotskistes prétendirent soutenir Staline et infiltrèrent son régime dans le but de le saboter.


    Rakovski caractérise Staline comme un «bonapartiste», un nationaliste par opposition à un international Communiste comme Trotski.


    «Il est un tueur de la révolution, il ne la sert pas, mais l’utilise à son service, il représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste comme Napoléon s’identifiait avec les Gaulois… » (257)


    CONTENIR STALINE



    Afin de contrôler Staline, la finance internationale fut amenée à créer Hitler et le parti Nazi. Rakovski confirme que les financiers juifs soutinrent les Nazis alors même qu’Hitler n’était pas au courant de cela.


    «L’ambassadeur Warburg [James Warburg] se présenta sous un faux nom et Hitler ne devina même pas sa race… Il mentit aussi sur qui il représentait… Notre but était de provoquer une guerre et Hitler était la guerre… [Les nazis] ont reçu… des millions de dollars envoyés par Wall Street, et des millions de marks par des financiers allemands par le biais de Schacht ; [subvenant] à l’entretien de la S.A. et des S.S. ainsi qu’au financement des élections…» (Pages 259-260)


    Malheureusement pour les banquiers, Hitler s’est aussi montré rebelle. Il a commencé à imprimer sa propre monnaie!


    «Il a pris pour lui-même le privilège de fabriquer la monnaie et non pas seulement la monnaie physique, mais aussi les outils financiers, il s’est approprié l’appareil de falsification encore intact pour le mettre à travailler pour le bénéfice de l’état… Etes-vous capable d’imaginer ce qu’il serait advenu… s’il avait gangrené un certain nombre d’autres Etats et conduit à la création d’une période d’autarcie [de règne indépendant absolu, remplaçant celui des banquiers]. Si vous le pouvez, imaginez alors ses fonctions contre-révolutionnaires … » (263)


    Hitler était devenu une menace plus grande que Staline qui n’avait pas touché à l’argent. La mission actuelle de Rakovski était de convaincre Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner l’agression d’Hitler contre l’Occident. L’objectif était que l’Allemagne et les pays occidentaux s’épuisent les uns les autres avant qu’un autre front ne soit ouvert à l’Est.


    [Selon Walter Kravitski, le chef du renseignement militaire soviétique en Europe qui fit défection à l'Ouest et fut plus tard assassiné en 1941, Staline était déterminé à faire un pacte avec Hitler dès 1934. Il n'avait aucun désir de combattre les Nazis. Est-il possible que Rakovski et ses commanditaires ne sachent pas cela? Kravitsky dans Au service secret de Staline (1939)]


    Rakovski a exhorté les Russes à utiliser la tactique de «tromper en disant la vérité.» Les Russes devaient impressionner Hitler avec leur véritable désir de paix. Hitler ne devait pas soupçonner qu’il était en train d’être piégé et entrainé vers une guerre sur deux fronts.


    Il fut donné un choix à Staline. S’il acceptait de partager la Pologne avec Hitler, l’Occident ne déclarerait la guerre qu’à un seul agresseur, l’Allemagne. S’il refusait, les banquiers aideraient Hitler à se débarrasser de lui.


    Kus’min exigea quelque confirmation de haut niveau. Rakovski lui dit de voir Joseph Davies, l’ambassadeur américain à Moscou, un camarade franc-maçon et représentant de l’administration Internationale Communiste de Roosevelt.


    Quelqu’un fut envoyé auprès de Davies qui confirma que «beaucoup serait à gagner» si Rakovski obtenait une amnistie. Le 2 mars 1938, un puissant message radio fut envoyé à Moscou par l’intermédiaire de son ambassade à Londres.


    «Une amnistie ou le danger Nazi va grandir», disait-il. Davies assista au procès de Rakovski et lui fit un salut maçonnique. Le même jour le 12 mars 1938, Hitler marchait sur l’Autriche.


    La condamnation à mort de Rakovski fut commuée. Certains croient qu’il vécu jusqu’à la fin de sa vie sous un faux nom. Une autre source indique qu’il fut tué en 1941.


    Des négociations secrètes furent engagées avec Hitler. Le résultat fut le pacte Ribbentrop-Molotov signé en août 1939, juste une semaine avant l’invasion de la Pologne.


    L’interrogatoire semble avoir créé un accord entre Staline et les Illuminati.


    LA RUSSIE LUTTE ENTRE LES GRIFFES DE ROTHSCHILD



    L’Europe et les États-Unis ont depuis longtemps succombé au contrôle Illuminati de Rothschild. En Russie, il y a encore quelques spasmes avant la mort.


    En 2003, Vladimir Poutine a fait arrêter Mikhaïl Khodorkovski, à la tête de la plus importante compagnie pétrolière russe « Ioukos » et « l’homme le plus riche de Russie. »


    Poutine a annoncé que la Russie allait saisir ses 12 milliards de dollars correspondant à 26% du capital de la compagnie pétrolière, l’un des nombreux actifs nationaux pillés au cours de la réorganisation du Communisme il y a 15 ans.


    Ensuite, nous avons appris que les parts avaient déjà été transférées vers nul autre que Jacob Rothschild en vertu d’un «arrangement précédemment inconnu jusqu’alors» prévu pour une telle circonstance. Les deux compères se connaissaient depuis des années «par leur amour commun des arts.»


    Rakovski avait dit à Kus’min que les Illuminati ne prennent jamais de positions politiques ou financières. Ils utilisent des «intermédiaires».


    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Jacob

    «Les banquiers et les politiciens ne sont que des hommes de paille… même s’ils occupent des places importantes et paraissent être les auteurs des plans qui sont menés… » (248-249)


    Évidemment, Khodorkovski est un «intermédiaire» pour Rothschild. Tels sont aussi Richard Perle, Henry Kissinger et Ariel Sharon qui chacun s’exprimèrent contre l’action de Poutine. Perle, l’architecte de la guerre en Irak, a appelé à l’expulsion de la Russie du Groupe des Huit. Sharon exprima son inquiétude sur «la persécution des hommes d’affaires juifs». Khodorkovski est juif comme l’est Simon Kukës son successeur. Ainsi que Perle et tout comme Kissinger.


    Beaucoup de juifs servent les Illuminati et c’est une des causes de l’antisémitisme. Mais Tony Blair et George W. Bush les servent aussi et ne sont pas juifs. La composition du groupe de Bilderberg et des Skull and Bones n’est la plupart du temps pas juive. Les Illuminati sont une alliance entre les Rothschild, et les super riches du monde unis par la franc-maçonnerie, dont le Dieu est Lucifer.


    L’humanité, la magnifique expérience de Dieu, a été détournée et compromise. Du soldat américain en Irak, jusqu’au contribuable qui paie la dette nationale, nous sommes tous des pions.

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    Message  paralleye 10/11/2014, 17:16

    Mythe et réalités sur les sionistes, les nazis, etc : correction et mise au point impartiale partie 5. (la Symphonie en Rouge Majeur)

    La Symphonie Rouge – Deuxième partie : La révélation finale de la Franc-Maçonnerie

    Publié par henrymakow le juillet 12, 2013 dans Articles, Franc-maçonnerie, Histoire


    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Pendu2Les francs-maçons «doivent mourir aux mains de la révolution qui a été menée grâce à leur coopération», selon C.G. Rakovski, un des fondateurs de l’Internationale Communiste.


    «Le vrai secret de la maçonnerie est le suicide de la franc-maçonnerie en tant qu’organisation, et le suicide physique de chaque important maçon.»


    Cette révélation provient d’un interrogatoire de la police stalinienne en 1938 intitulé «The Red Symphony». (Transcription de Des Griffin dans Fourth Reich of the Rich, p. 254)


    «Il est clair que je sais cela non pas comme franc-maçon, mais comme un de ceux qui appartiennent à «eux» [les Illuminati] déclare Rakovski, un collègue de Léon Trotski arrêté pour complot contre Staline.


    LES PROTOCOLES DE SION ET LA SYMPHONIE ROUGE

    La franc-maçonnerie est la plus grande société secrète du monde avec plus de cinq millions de membres, dont trois millions aux États-Unis. Elle joue un rôle dans la conspiration totalitaire. Dans Les Protocoles des Sages de Sion, l’auteur (qui je crois est Lionel Rothschild) écrit :


    «La maçonnerie des gentils sert aveuglément d’écran entre nous et nos objectifs, mais le plan d’action de notre force, même sa place exacte, reste pour tout le peuple un mystère inconnu… Qui et quoi pourrait bien se trouver en position de renverser une force invisible?» (Protocole 4)


    Encore une fois, il écrit : «nous allons créer et multiplier librement les loges maçonniques… absorber en elles tous ceux qui peuvent devenir importants ou qui occupent déjà une place importante dans l’activité publique, car dans ces loges nous trouverons notre principal bureau de renseignement et les moyens d’influence… Les complots politiques les plus secrets seront connus de nous et tomberont sous nos mains… Nous connaissons le but final… alors que les goyim n’ont connaissance de rien… » (Protocole 15)


    Dans son interrogatoire, Rakovski dit que des millions affluent dans la franc-maçonnerie pour obtenir un avantage. «Les dirigeants de toutes les nations alliées étaient francs-maçons, à quelques exceptions près.»


    Toutefois, le véritable objectif est «de créer toutes les conditions requises pour le triomphe de la révolution Communiste, ce qui est le but évident de la franc-maçonnerie, il est clair que tout cela est fait sous des prétextes divers ; mais ils se cachent toujours derrière leur slogan bien connu [Liberté, Égalité, Fraternité]. Vous comprenez?» (254)


    Les maçons devraient se rappeler la leçon de la Révolution Française. Bien qu’«ils aient joué un rôle révolutionnaire colossal ; la plupart des maçons furent éliminés… » Comme la révolution exige l’extermination de la bourgeoisie en tant que classe, [pour que toutes les richesses soient détenues par les Illuminati sous le couvert de l’État], il s’ensuit que les francs-maçons doivent être liquidés. Le vrai sens du Communisme est la tyrannie des Illuminati.


    Lorsque ce secret sera révélé, Rakovski imagine «l’expression de bêtise sur le visage de certains francs-maçons quand ils se rendront compte qu’ils doivent mourir aux mains des révolutionnaires. Comment ils hurleront et voudront que l’on fasse grand cas de leurs services rendus à la révolution! C’est un spectacle à la vision duquel on peut mourir… mais de rire!» (254)


    Rakovski se réfère à la Franc-maçonnerie comme une supercherie : «une maison de fous mais en liberté.» (254)


    En Russie, en 1929, tous les maçons qui n’étaient pas juif furent tués avec leur famille, selon Alexey Jefimow « Quels sont les souverains de la Russie? » (77)


    Comme les maçons, les autres candidats de l’utopie humaniste de leur maître (les néocons, les libéraux, les Sionistes, les activistes gays et féministes) pourraient être l’objet d’une mauvaise surprise. Ils pourraient être mis de côté une fois qu’ils ont atteint leur objectif.


    QUI SONT LES «ILS»?

    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Images

    Lorsque l’interrogateur presse Rakovski de désigner des notables Illuminati pouvant être approchés avec une initiative, Rakovski est sûr de deux seules personnes qui sont maintenant décédés : Walter Rathenau, le ministre des affaires étrangères de Weimar, et Lionel Rothschild. Il dit que Trotski est sa source d’information.


    D’autres, insiste-t-il sont de la spéculation :


    «En tant qu’institution, la banque de Kuhn Loeb & Company de Wall Street : [et] les familles de Schiff, Warburg, Loeb et Kuhn, je dis familles pour souligner plusieurs noms puisqu’ils sont tous reliés… par des mariages, puis Baruch, Frankfurter, Altschul, Cohen, Benjamin, Strauss, Steinhardt, Blom, Rosenman, Lippmann, Lehman, Dreifus, Lamont, Rothschild, Lord, Mandel, Morganthau, Ezéchiel, Lasky… quel que soient les noms que j’ai énuméré, même ceux qui n’appartiennent pas à «Eux» pourraient toujours aboutir à «Eux» pour toute proposition importante.» (272)


    En donnant à des banquiers le privilège de créer de l’argent, nous avons créé un vampire insatiable. Si vous pouviez fabriquer l’argent, imaginez la tentation de tout posséder!


    LA RÉVOLUTION DÉGUISÉE

    Rakovski se réfère à la crise de 1929 et à la Grande Dépression comme une «Révolution Américaine». Elle a été délibérément précipitée par les Illuminati à leur seul profit, pour casser «l’américain classique» et prendre le pouvoir politique.


    «L’homme par qui ils ont fait usage d’un tel pouvoir était Franklin Roosevelt. Avez-vous compris? Cette année 1929 fut la première de la Révolution Américaine, en février Trotski quitte la Russie ; le krach a lieu en octobre… Le financement d’Hitler est convenu en juillet 1929. Vous pensez que tout cela était par hasard? Les quatre années du règne de Hoover ont été utilisées pour la préparation de la prise du pouvoir aux États-Unis et en U.R.S.S. : là par le biais d’une révolution financière, et ici [en Russie], avec l’aide de la guerre [Hitler et la Deuxième Guerre mondiale] et la défaite qui allait suivre. Un roman faisant preuve d’une grande imagination serait-il plus évident pour vous?» (273)


    Rakovski propose que Staline coopère avec les Illuminati, (ce qu’il fit par la suite.) La première condition était qu’il arrête d’exécuter les trotskistes. Puis «plusieurs zones d’influence» seront établies en divisant «le Communisme formel du véritable.» Il y aura «des concessions mutuelles pour une aide mutuelle pour un temps pendant que le plan dure… Il apparaîtra des personnes influentes à tous les niveaux de la société, même très élevés, qui aideront le Communisme Stalinien formel… » (276)


    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Jfbankrothschildchineseflag

    Rakovski décrit le plan des Illuminati pour faire fusionner le Communisme et le Capitalisme. Dans chaque cas, les Illuminati contrôlent toutes les richesses et le pouvoir.


    «A Moscou, il y a le Communisme : à New York le Capitalisme. Ce sont la même chose sous forme de thèse et d’antithèse. Analysez les deux. Moscou est du Communisme subjectif, mais [objectivement] du Capitalisme d’Etat. New York : un Capitalisme subjectif, mais il s’agit en fait d’un Communisme objectif [l’état étant la propriété du banquier central]. Une synthèse personnelle, la vérité : l’Internationale Financière, la Capitaliste Communiste. «Eux». (276)

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    Message  paralleye 10/11/2014, 17:34

    Mythe et réalités sur les sionistes, les nazis, etc : correction et mise au point impartiale partie 6 et dernière. (la Symphonie en Rouge Majeur + mise au point finale)

    La Symphonie Rouge – Troisième partie : Les Banquiers centraux cherchent un contrôle totalitaire



    Publié  par  henrymakow le  juillet 12, 2013 dans Articles, Histoire


    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Warburg

    La «guerre contre le terrorisme» est une ruse des banquiers centraux pour contrôler chaque aspect de votre vie.


    En relisant « La Symphonie Rouge » récemment, j’ai été choqué de lire la déclaration d’un initié disant que les banquiers ne sont pas satisfaits avec une richesse infinie, ils veulent un pouvoir illimité.


    L’expérience humaine est menacée par des intérêts privés qui ont usurpé la fonction de création monétaire. L’histoire moderne reflète le processus progressif par lequel ils transfèrent toute la richesse et le pouvoir pour eux-mêmes, détruisant la Civilisation Occidentale et œuvrant à la création d’un état policier mondial.


    Rakovski, dont le vrai nom était Chaïm Rakover, a été condamné à mort au cours de la purge stalinienne de la faction trotskiste du parti. Léon Trotski écrivit dans son autobiographie, My Life : «Christian G. Rakovski … joua un rôle actif dans les travaux internes de quatre partis socialistes : le bulgare, le russe, le français, le roumain – pour devenir finalement l’un des dirigeants de la Fédération Soviétique, un des fondateurs de l’Internationale Communiste, président des Commissaires du Peuple du Soviet Ukrainien, et le représentant diplomatique soviétique en Angleterre et en France… »


    Rakovski essaya de convaincre son interrogateur que Staline devrait coopérer avec les banquiers qui «sont juste comme vous et moi. Le fait qu’ils contrôlent une somme d’argent illimité, dans la mesure où ils la créent, ne détermine pas les limites de leurs ambitions…  Les banquiers ont une soif de pouvoir, de la pleine puissance. Tout comme vous et moi.»
    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Rakovsky

    Ils créèrent l’état Communiste comme une «machine de pouvoir total» sans précédent dans l’histoire. Dans le passé, en raison de nombreux facteurs, «il y avait toujours de la place pour la liberté individuelle. Comprenez-vous que ceux qui règnent déjà partiellement sur les nations et les gouvernements mondiaux ont des prétentions à la domination absolue? Comprenez bien que c’est la seule chose qu’ils n’ont pas encore atteinte.» (C’est moi qui souligne)


    Une force pernicieuse paralyse nos vies nationales. Rakovski l’identifie : «Imaginez-vous, si vous le pouvez, un petit nombre de personnes ayant un pouvoir illimité grâce à la possession de la richesse réelle, et vous verrez qu’ils seront les dictateurs absolus du marché boursier et de [l'économie] … Si vous avez assez d’imagination alors … vous serez capable de voir [leur] influence anarchique, morale et sociale, c’est à dire une influence révolutionnaire… Comprenez-vous maintenant?»


    Le Mouvement Révolutionnaire, qui définit l’histoire moderne, était un moyen d’accroître le pouvoir des banquiers en détruisant l’ordre ancien.


    Au cours de la Révolution Française le pouvoir passa subtilement aux banquiers qui n’étaient pas contraints de se plier aux élégances Chrétiennes, dit Rakovski. «Le pouvoir royal suprême a été repris par des personnes, dont la morale, l’intellect et les qualités cosmopolites leur permis de l’utiliser. Il est clair que c’étaient des gens qui n’avaient jamais été Chrétiens, mais cosmopolites.»


    Le Communisme, loin de distribuer la richesse, est conçu pour la concentrer entre les mains des personnes les plus riches du monde. (L’État possède la richesse et ils possèdent l’état.) Et le marxisme, «avant d’être un système philosophique, économique et politique, est une conspiration pour servir les buts de la révolution.»


    Rakovski se moque du «marxisme élémentaire … le démagogique et populaire» qui est utilisé pour duper les intellectuels et les masses. [Quelle que soit sa valeur intrinsèque, le socialisme semble conçu pour corrompre et rendre les gens dépendants d’un grand gouvernement, que les banquiers contrôlent.]


    En ce qui concerne la franc-maçonnerie : «Chaque organisation maçonnique essaye de créer toutes les conditions préalables requises pour le triomphe de la révolution Communiste, ce qui est le but évident de la franc-maçonnerie» dit Rakovski, lui-même un franc-maçon de haut rang.


    Le but de la Révolution n’est rien de moins que de redéfinir la réalité en fonction des intérêts des banquiers. Ceci implique la prééminence de la vérité subjective sur la vérité objective. Si Lénine «sent que quelque chose est vrai», alors c’est réel. «Pour lui, toute réalité, toute vérité est relative face à la seule vérité absolue : la révolution.»


    Rakovski s’étonne que «les bancs sur lesquels étaient assis les usuriers graisseux pour faire commerce de leurs fonds, aient été convertis en temples, qui se tiennent avec magnificence à chaque coin de nos grandes villes contemporaines avec leurs colonnades païennes, et les foules s’y rendent… pour apporter assidûment leurs dépôts représentant tous leurs biens, au dieu de l’argent…»


    Il dit que l’étoile Soviétique à cinq branches représente les cinq frères Rothschild avec leurs banques, qui possèdent une accumulation de richesses colossales, la plus grande jamais connue.»


    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Dee-lighted

    N’est-il pas étrange que Marx n’ait jamais mentionné ce fait? Demande Rakovski.

    N’est-il pas étrange que pendant les révolutions, les insurgés n’aient jamais attaqué les banquiers, leurs châteaux ou leurs banques?


    La guerre est le moyen par lequel les banquiers centraux avancent vers leur objectif d’un gouvernement mondial totalitaire. Rakovski déclare que Trotski était derrière l’assassinat de l’Archiduc Ferdinand (qui a déclenché la Première Guerre mondiale.) Il rappelle la phrase prononcée par la mère des cinq frères Rothschild : «Si mes fils le veulent, alors il n’y aura pas de guerre». Cela signifie qu’ils étaient les arbitres, les maîtres de la paix et de la guerre, et non pas les Empereurs. Etes-vous capable de visualiser un fait d’une telle importance cosmique? La guerre n’a-t-elle pas déjà une fonction révolutionnaire? La  Guerre, la Commune. Depuis ce temps, chaque guerre fut un pas de géant vers le Communisme.»


    Après l’assassinat du [membre des Illuminati, le ministre des Affaires étrangères de Weimar] Walter Rathenau en 1922, les Illuminati ne donnèrent des positions politiques ou financières qu’à des intermédiaires, dit Rakovski. «Evidemment à des personnes qui sont dignes de confiance et dont la loyauté peut être garantie de mille manières : on peut ainsi affirmer que ces banquiers et politiciens [aux yeux du public], sont des hommes de paille… même s’ils occupent des places très élevées, et apparaissent comme les auteurs des plans qui sont menés.»


    En 1938, Rakovski souligna trois raisons pour la Seconde Guerre mondiale à venir. La première est qu’Hitler avait commencé à imprimer sa propre monnaie. «C’est très grave. Beaucoup plus que tous les facteurs externes et cruels du National-Socialisme.»
    Deuxièmement, le «nationalisme complètement développé de l’Europe occidentale est un obstacle au marxisme… le besoin de la destruction du nationalisme vaut à lui seul une guerre en Europe.»


    Finalement, le Communisme ne peut pas triompher sauf s’il supprime la «Chrétienté encore en vie.» Il se réfère à la «révolution permanente» comme datant de la naissance du Christ, et à la Réforme comme «sa première victoire partielle» parce qu’elle divisa la chrétienté. Ceci suggère que la «conspiration» contient aussi un facteur racial ou religieux.


    «En réalité, le Christianisme est notre seul véritable ennemi car tous les acteurs politiques et les phénomènes économiques des états bourgeois en découlent. La Chrétienté contrôlant les individus est capable d’annuler la projection révolutionnaire de l’état laïc Soviétique ou de l’État athée.»


    Maintenant les banquiers centraux font la promotion de la Troisième Guerre Mondiale sous la forme «d’un choc des civilisations». Substituez l’Islam au Christianisme et vous comprendrez de quoi il s’agit.


    CONCLUSION



    Nos croyances doivent s’adapter à la vérité et non l’inverse. Apparemment, la vérité est qu’une relativement petite clique de familles de banquiers juifs et leurs alliés non juifs des familles dirigeantes en Europe et en Amérique, ont usurpé le contrôle de la création monétaire, et avec elle le destin du monde.


    Cette classe supérieure possède ou contrôle la plupart des plus grandes sociétés du monde, les organisations des médias, les agences de renseignement, les sociétés secrètes, les universités, les politiciens, les fondations, les think tanks et les O.N.G. Il apparaît aussi qu’ils dominent le crime organisé.


    Le 11 septembre, la guerre contre le terrorisme et en Irak font partie d’un inexorable processus par lequel la classe supérieure accroît sa richesse et son contrôle. L’objectif final est un état policier mondial dans lequel les masses seront privées de leur richesse, de la liberté et possiblement de leur vie.


    Les néoconservateurs sont réellement des néo-communistes. Ils compromettent la sécurité de leurs compatriotes juifs (ainsi que celle de tous les américains) par leurs machinations malfaisantes. Les juifs devraient suivre mon exemple et les répudier.


    La classe supérieure veut que nous le voyions comme un «problème juif». De cette façon, elle peut détourner le blâme sur des juifs innocents puis rejeter alors toute opposition comme de la «haine» et des «préjugés». Le problème est principalement celui de la création monétaire (crédit) qui a conduit à une concentration intenable de la richesse et du pouvoir entre quelques mains.


    Presque tout le monde qui «réussi» dans la société, juif ou non, est forcé, sciemment ou non, de s’aligner avec cette classe. Nos institutions religieuses, culturelles et politiques ont été détournées. C’est ce qui explique la fausse qualité de la vie sociale en Occident.


    Rappelons-nous le message du Christ : Dieu est Amour. Dieu est plus puissant que la force satanique qui tient l’humanité dans son emprise. Mais sa volonté ne peut pas être faite si les hommes ne la font pas.


    Quel que soit le coût, ne rien faire coûtera plus cher. La prospérité dont nous jouissons aujourd’hui fait partie d’un complot multiséculaire pour piéger et asservir l’humanité.

    http://henrymakow.wordpress.com/2013/07/12/la-symphonie-rouge-troisieme-partie-les-banquiers-centraux-cherchent-un-controle-totalitaire/

    Fin des citations sur la Symphonie en Rouge Majeur.

    Je ne peut que conseiller à tout le monde de la lire en intégralité néanmoins,car seule une lecture attentive de son contenu peut permettre d'en saisir l'intégrale subtilité et tout ceci n'est au final qu'un (large) aperçu.

    Il semble donc,soi-dit en passant, que même l'affaire du frère Warburg ("Hitler secret's baker") ayant financé Hitler soit vrai (sous un faux nom),en plus de toutes les autres preuves apportées dans cette mise au point,concernant le financement et le soutien par les banksters internationaux aux nazis,dans le but évident de les utiliser avant de s'en débarrasser.

    Il faut aussi comprendre que malgré la propagande et la désinformation continuelle sur le sujet,Hitler (avec d'autres nazis de son entourage),bien qu'il fut la dupe de LEUR complot abject,ne voulait pas la seconde guerre mondiale.

    Néanmoins les Illuminati avait bien calculé leur coup et ils ont su utiliser le tempérament militaire inné et la naïveté de celui-ci pour y parvenir,conformément à leur agenda.

    L'article qui suit (en complément de la Symphonie Rouge et qui clôturera cette mise au point) est excellent, bien que deux-trois naïvetés s'y soient glissées,notamment le coup de "l'extermination des races inférieures" : celle-ci est une suggestion induite par le mondialisme et inventée par sa propagande de contrôle mental (guerre psychologique),propagande dont le sieur Makow (qui a encore pas mal de travail à faire pour dépasser certains paradigmes) tombe dans le panneau,car Hitler n'a jamais voulu ça jusqu'à preuves (sérieuses) du contraire.

    Hitler ne voulait pas la seconde guerre mondiale

    par Henry Makow Ph.D., rédigé le 21 mars 2004.

    Hitler ne voulait pas la seconde guerre mondiale, il n’avait pas l’audace de combattre l’Angleterre, selon Louis Kilzer, le journaliste lauréat du prix Pulitzer, auteur de « Churchill's Deception » (Simon & Schuster, 1994).

    Hitler croyait que le futur de la civilisation occidentale dépendait de la coopération de l’Allemagne avec ses cousins aryens : l’Angleterre et les Etats-Unis. Ses cibles territoriales étaient limitées à la Russie communiste. Il était déterminé à éviter de faire la guerre sur deux fronts.

    Le « miracle de Dunkerque » était en fait une extraordinaire ouverture pacifique pour l’Angleterre. Normalement, nous n’associons pas Hitler avec une telle magnanimité. En mai 1940, les britanniques étaient au bord de la défaite. L’armée anglaise était encerclée à Dunkerque. Plutôt que de les faire prisonniers, Hitler stoppa ses généraux pendant trois jours, permettant à 330.000 hommes de s’échapper.

    « Le sang de chaque anglais a trop de valeur pour couler » dit Hitler. « Nos deux peuples s’apparentent racialement et traditionnellement. C’est et cela a toujours été mon but, même si nos généraux ne peuvent pas le comprendre. » (Kilzer, page.213)

    Ce n’est pas une volonté d’exonérer Hitler. Son idéologie de suprématie de la race aryenne et l’esclavagisme/l’extermination des « races inférieures » (principalement juives et slaves) me répugnent. Ai-je besoin de le dire ? Mes propres grands-parents furent tués par les nazis. Je pense que des gens peuvent tirer fierté de leur race ou de leur nationalité sans chercher à dominer les autres.

    Néanmoins, nous devons comprendre que notre vision d’Hitler est influencée par la propagande. Les alliés étaient tout aussi coupables d’atrocités et de crimes de guerre. En outre, Hitler fut créé, manipulé et détruit par la même clique d’Illuminati qui règne aujourd’hui sur le monde.

    « LA SUPERCHERIE DE CHURCHILL »

    D’après le livre bien documenté de Kilzer, Hitler essayait de convaincre les anglais de faire la paix. En échange, il était prêt à se retirer de l’Europe de l’Ouest et d’une bonne partie de la Pologne.

    Kilzer décrit comment les services de renseignement britanniques (une branche des Illuminati) utilisa à son avantage l’idéologie raciste d’Hitler pour détourner ses forces contre la Russie et le piéger dans une guerre sur deux fronts. Ils purent le convaincre qu’un parti de la paix pro-nazi (anti communiste) était préparé à déposer le « va-t-en-guerre » qu’était Churchill.

    Ce parti était formé du duc de Windsor (l’ancien roi Edouard VIII) et d’autres élitistes à la volonté d’apaisement connus comme étant le « Cliveden Set » Les nazis avaient des liens sociaux de longue date avec ce groupe et avaient confiance en lui. Hitler semblait surestimer le fait que le duc de Windsor alla séjourner au château des Rothschild à Enzesfeld en Autriche après qu’il eut abdiqué.

    Rudolph Hess, le leader en second de l’Allemagne nazie, était en contact avec le groupe Cliveden et s’envola vers l’Angleterre le 10 mai 1941 pour négocier la paix. Selon Kilzer, Hess avait la bénédiction d’Hitler. Coïncidence, ce fut la pire nuit de la Blitzkrieg. Ensuite, il y eut une longue accalmie dans les raids aériens nazis et britanniques. Il apparaît que les nazis pensèrent avoir un accord avec les britanniques et portèrent leur attention sur l’invasion de la Russie le mois suivant (22 juin 1942).

    Hitler ne comprit pas que les élites anglo-américaines étaient (et sont encore) intimement liées avec la finance internationale (c’est-à-dire avec les Rothschild).

    L’impérialisme anglo-américain est en fait un front pour les familles qui possèdent la banque d’Angleterre et réserve fédérale US. Ces familles juives et non-juives sont connectées par l’argent, les mariages et le culte de Lucifer (c’est-à-dire la franc-maçonnerie). Roosevelt et Churchill étaient tous deux leurs laquais (comme tous nos « dirigeants » le sont).

    En 1771, Mayer Rothschild finança les Illuminati, une société secrète maçonnique qui à son tour engendra les révolutions majeures de l’ère moderne, y compris la révolution bolchevique en 1917. Le but ultime est d’établir une dictature mondiale des banquiers, qui est à un stade avancé aujourd’hui.

    Dans les années 30, leur objectif était d’inciter à une guerre sur deux fronts qui aurait terrassé les grands états nations (Angleterre, Allemagne et Russie). Comme toutes les guerres, l’objectif était de tuer des millions de gens, de traumatiser l’humanité, d’augmenter la dette publique et le profit privé, et de faire apparaître un « gouvernement mondial » (la future Organisation des Nations Unies) comme essentiel pour la « paix. »

    La politique d’apaisement britannique des années 30 visait probablement à encourager les tendances expansionnistes d’Hitler et à provoquer la guerre. Douglas Reed, correspondant à Berlin du Times (de Londres), fut le premier à déceler quelque chose de louche quand son journal supprima ses avertissements de la menace d’Hitler (Voir son ouvrage Controversy of Zion).

    ROTHSCHILD CONDUIT LA SYMPHONIE ROUGE (RED SYMPHONY)

    Pourquoi l’élite financière voudrait-elle aussi détruire la Russie alors qu’elle l’a créée ?
    La transcription de l’interrogatoire par le NKVD en 1938 de C.G. Rakovsky (alias Chaim Rakeover) nous en donne la réponse. Rakovsky était un intime de Trotsky et ancient ambassadeur soviet à Paris.
    http://www.savethemales.ca/000275.html

    L’agent de Rothschild, Léon Trotsky, était supposé succéder à Lénine mais il tomba malade au moment critique. Staline fut capable d’assumer le pouvoir et la Russie échappa ainsi au contrôle des Rothschild.

    Afin de contrôler Staline, la finance internationale fut forcée de mettre en place Hitler et le parti nazi. Rakovsky confirme que les financiers juifs supportèrent les nazis alors que Hitler n’en était pas conscient.

    « L’ambassadeur Warburg se présenta sous un faux nom et Hitler ne devina même pas ses origines… Il mentit aussi sur qui il représentait… Notre but était de provoquer une guerre et Hitler était la guerre… [les nazis] reçurent … des millions de dollars envoyés par Wall Street, et des millions de marks par des financiers allemands par l’intermédiaire de Schacht ; [subvenant] à l’entretien des SA et des SS ainsi qu’au financement des élections… »

    Malheureusement pour les banquiers, Hitler s’est aussi montré rebelle. Il commença à imprimer sa propre monnaie !

    « Il s’arrogea le privilège de fabriquer la monnaie et pas seulement la monnaie physique mais aussi les outils financiers; il s’appropria l’appareil de falsification encore intact et le mit au travail pour le bénéfice de l’état… Pouvez-vous imaginer ce qu’il serait advenu … s’il avait gangrené un certain nombre d’autres états et instauré une période d’autarcie [règne absolu, remplaçant celui des banquiers]. Si vous pouvez, alors imaginez ses fonctions contre-révolutionnaires... »

    Hitler était devenu une menace plus grande que Staline qui n’avait pas touché à la monnaie. Les britanniques n’allaient pas faire la paix avec Hitler parce qu’il avait mis fin au racket des banquiers. En outre, les Illuminati voulaient une guerre élargie, la ruine de l’Europe et l’extension de l’URSS.

    LES COMMANDITAIRES SECRETS D’HITLER

    Le livre « Financial Origins of National Socialism » (1933) de « Sydney Warburg » fournit un autre aperçu de comment la clique des Illuminati supporta Hitler. Ce livret de 70 pages fut censuré pendant plusieurs années mais fut republié en 1983 sous le titre « Hitler's Secret Backers. »

    « Warburg » décrit une réunion secrète en juillet 1929 avec « Carter », le président du « Guarantee Trust » de J.P. Morgan, les présidents des « Federal Reserve Banks », « le jeune Rockefeller » et « Glean de la Royal Dutch. » Ils étaient tous sous tutelle des Rothschild.

    Il fut établi que Warburg qui parlait allemand irait en Allemagne et demanderait à Hitler de combien d’argent il avait besoin pour renverser l’état. La seule stipulation était que Hitler adopte « une politique étrangère agressive. »

    « Warburg » détaille cinq rencontres avec Hitler entre 1929 et 1933. La première eut lieu dans une cave à bière ; Hitler y calcula ses besoins sur le dos d’une assiette en carton. Environ 25 millions de dollars furent transférés. C’était extrêmement important dans le contexte de la grande dépression parce que les nazis nourrissaient et abritaient beaucoup de leurs partisans.

    On ne donna pas la raison de ce soutien à Hitler et il ne demanda pas. A deux occasions, il se demanda tout fort si « Warburg » était lui-même juif mais il rejeta l’idée avant que « Warburg » ne réponde.

    On ne connaît aucun « Sydney Warburg » mais l’évidence suggère que l’auteur pourrait être James P. Warburg, le fils du fondateur de la « Federal Reserve », Paul Warburg. Le général Ludendorff attesta au procès de Nuremberg que James P Warburg était le canal à travers lequel 34 millions de dollars furent finalement transférés de Wall Street aux nazis. On se demande pourquoi quelqu’un se compromettrait autant pour s’aliéner les gens les plus puissants du monde s’il n’était pas sincère. Les seules personnes ayant le pouvoir de supprimer ce livre sont ceux qu’il incrimine, et ils ont un passif certain pour ce qui concerne la suppression de tels ouvrages.

    Voir aussi la discussion d’Antony Sutton à propos de ce livre.
    http://www.reformation.org/wall-st-ch10.html

    CONCLUSION

    « Celui qui contrôle le passé contrôle le futur ; celui qui contrôle le présent contrôle le passé. » George Orwell.

    Ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire. Notre vision de ce qu’était Hitler est une vison largement juive. Je ne fais que commencer cette recherche et j’admettrai mes erreurs sans problème. Voici mes conclusions provisoires :

    Bien que je rejette absolument l’idéologie raciste et les atrocités d’Hitler, il peut avoir représenté la dernière résistance sérieuse au programme des Illuminati.

    Paradoxalement, Hitler fut créé et manipulé par les banquiers auxquels il s’en est pris. Il a perdu la guerre parce qu’il n’appréciait pas leur programme plus ambitieux. Il a naïvement échoué à reconnaître qu’ils contrôlaient l’Angleterre et les Etats-Unis. C’est comme s’il ne croyait pas sa propre propagande.

    Aveuglé par un zèle raciste, il fit une bévue fatale (pour lui) de ne pas neutraliser l’Angleterre en accaparant les champs pétrolifères du Moyen-Orient. Il fit une autre erreur fatale en ne promettant pas de libérer le peuple russe de l’oppression. La brutalité nazie transforma les slaves en combattants implacables.

    Mais en dépit de son idéologie raciste démente et son barbarisme subséquent, Hitler aurait pu faire quelque chose de bien. Beaucoup d’allemands et même quelques juifs allemands le supportaient. Mais il n’était qu’un autre produit du jeu diabolique des Illuminati.

    Source ici



    https://novusordoseclorum.1fr1.net/t2422-hitler-ne-voulait-pas-la-seconde-guerre-mondiale?highlight=hitler
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    Message  paralleye 30/12/2014, 21:34

    Comme prouvé juste au-dessus dans la mise au point en 6 partie du sujet,les banquiers juifs internationaux et leurs cartels criminels de la finance et de l'industrie ont financés et soutenu à fond le mouvement Nazi (avant de les liquider après que ces derniers,foncièrement hostiles en principes à leurs "mécènes occultes", eurent joué leurs "rôles" de dupes sur l'agenda occulte...),ce qui leur a permis de réaliser le choc thèse-antithèse = Synthèse et in fine l'Ordo Ab chaos que l'on sait : la Deuxième Guerre Mondiale,qui a permis le développement foudroyant de leur complot mondialiste-messianique.

    Mais un autre point intéressant à soulever est la propagande désinformatrice concertée et véhiculée à dessein des agents de la juiverie maçonnique à ce sujet,histoire d'endormir le bon peuple de France sur les Nazi qu'ils étaient en train de mettre au pouvoir en Allemagne.

    Comparaison ci-dessous entre les réflexions du monarchiste Jacques Bainville d'une part,esprit lucide et honnête (lucide bien qu'un poil naïf encore, car n'ayant pas toutes les clés en main pour comprendre le jeu global en cours telle qu'expliqué dans la mise au point en 6 partie au dessus et dans ses liens complémentaires),et la crapule véreuse Léon Blum de l'autre,homme d'état français de l'époque,évidemment juif-sioniste et socialiste :

    Comparaison entre 2 prophètes politiques d’inégale valeur dans l’entre-deux-guerres

    nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Jacques-bainville nazis - Mythes et réalités sur les sionistes, les nazis, etc. - Page 2 Blum
    Jacques BAINVILLE, monarchiste français
    anticipe dès 1918 la montée du totalitarisme en Allemagne et son alliance ponctuelle avec les bolcheviks soviétiques (1939-1941) à la suite du désastreux Traité de Versailles.
    Léon BLUM, socialiste juif français
    ne voit rien venir, fait voter les congés payés en 1936 et envoie une aide militaire aux républicains judéo-maçons de la guerre d’Espagne alors que l’Allemagne réarme fortement depuis des années. Principal responsable de la défaite de 1940. Ancêtre des BHL, Attali, Minc, DSK,…

    Action Française, 5 juillet 1918 : « Tout ce qu’on voudra, mais ne plus douter que les Bolcheviks et l’Allemagne ne font qu’un. »« Aujourd’hui 30 juin 1930. les derniers détachements français auront évacué la troisième zone rhénane. Cinq ans avant l’échéance fixée par le traité de Versailles, l’occupation de l’Allemagne prend fin. Nous ne dissimulerons pas notre satisfaction et notre fierté. Ce qui s’accomplit aujourd’hui c’est ce que nous avons voulu, ce que nous avons préparé, ce que nous avons fait… Les circonstances actuelles prouvent avec une évidente clarté, que nous n’avons pas travaillé seulement pour la pacification de l’Europe, mais pour la sécurité de la France. » (Le Populaire).

    AF, 10 mai 1919 : « Du jour où un Etat russe renaîtrait et serait capable d’avoir une politique extérieure, son alliance se nouerait automatiquement avec l’Allemagne contre les pays formés à leurs communs dépens. La Pologne, comme au temps de ses malheurs, serait prise entre deux feux. »

    « La France n’a plus à redouter l’agression allemandeRelativement à l’Allemagne. nous pouvons dès maintenant entamer le désarmement. »
    AF, 10 juin 1919 : « Souvenons-nous qu’il y a maintenant entre l’Allemagne et la Russie une Pologne qui peut devenir un fameux trait d’union. Notre politique à l’Est ne sera pas simplifiée par la résurrection de la Russie. Il faudrait y penser avant de rêver à un retour aux douceurs de l’alliance russe. »

    « L’idée d’un gouvernement constitué par les bandes Hitler-Ludendorff, ou même dépendant d’elles de quelque façon. est parfaitement insensée. Hitler est aujourd’ hui loin du pouvoir. » (Le Populaire, 13 mai, 15 mai, 24 juillet, 26 novembre 1930).
    AF, 30 janvier 1920 : « Contre les Polonais le même intérêt continue à rassembler la Russie et l’Allemagne. »

    « Le flot hitlérien commence à décroître. » (Le Populaire, 3 avril 1931).
    AF, 12 août 1921 : « L’alliance de 60 millions d’Allemands et de 100 millions de Russes contre les faibles Etats qui les séparent est presque fatale. »

    « Le désarmement serait encore plus nécessaire si demain le racisme hitlérien accédait au pouvoir. » (Le Populaire. 25 avril 1932).
    AF, 14 novembre 1918 : « Devant quoi la France, au sortir de la grande joie de sa victoire, risque-t-elle de se réveiller ? Devant une République allemande, une république sociale-nationale supérieurement organisée et qui, de toute façon, sera deux fois plus peuplée que notre pays. »

    « Entre Hitler et le pouvoir une barrière infranchissable est dressée. Hitler est exclu du pouvoir. Il est même exclu, si je puis dire, de l’espérance du pouvoir. »
    « L’ accès du pouvoir légal et illégal est désormais clos devant Hitler. La social-démocratie a eu Hitler. » (Le Populaire, 8 et 9 novembre 1932).












    source : https://bibliothequedecombat.wordpress.com/2014/12/23/comparaison-entre-2-prophetes-politiques-dinegale-valeur-dans-lentre-deux-guerres/

    Evidemment il faut saisir ici que Léon Blum,loin "de ne rien voir venir",camoufla en vérité ce qui devait l'être,conformément à la propagande désinformatrice du talmudiste en mission : c'est-à-dire le complot en cours de réalisation de ses maîtres banksters juifs internationaux,autant dire ses coreligionnaires à la tête de la Synagogue de Satan,ses chefs.

    C'est comme cela que l'on trompe tout un peuple,en l'endormant avant de l'emmener à l'abattoir.

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