Dr Jean ELMIGER
Je voulais vous faire partager cette méthode qu'est l'homéopathie séquentielle; que j'ai eu l'occasion de tester grâce à un médecin homéopathe de ma région. Jusqu'ici tout c'est très bien passé (vaccination entre autre) et j'avoue avoir eu la chance de rencontrer ce toubib très ouvert et à l'ecoute, ce qui se fait bien trop rare dans cette époque...
Cette méthode me fait penser aux travaux du Dr Hamer, dont j'avais découvert l'existence grâce à un post de Nex.
Voici un copié/collé du site du Dr Elmiger:
La Thérapie Séquentielle
La THERAPIE SEQUENTIELLE est le nom donné en 1975 par le Dr Jean ELMIGER, de Lausanne, à une technique curative inspirée de la conception énergétique commune à toutes les médecines traditionnelles. Comme l'Homéopathie classique, dont elle dérive, la thérapie séquentielle (aussi dénommée homéopathie séquentielle) reconnaît dans le déséquilibre de l'énergie vitale la cause des maladies, aiguës ou chroniques. Mais contrairement à l'homéopathie, elle pousse le raisonnement plus loin que le simple constat de déséquilibre. Elle pose la question-clé : Pourquoi l'énergie vitale est-elle déséquilibrée ? La réponse est une évidence : parce qu'elle a été déséquilibrée. Par quoi ? Par ce que le Dr Elmiger définit comme une "séquence d'événements".
Chacun de ces deux termes a son importance.
Les EVENEMENTS
L'énergie vitale, dès la naissance, est soumise à de très nombreux impacts énergétiques (les énergies "perverses" de la médecine chinoise ancienne), dont la plupart cependant ne portent pas à conséquence.
Pour accéder au statut d' "événement", il faut que l'impact pervers, véritable choc, se signale par une trace durable.
LES TRACES sont de deux natures :
Les traces matérielles, visibles sur le corps physique, faciles à identifier.
Les traces immatérielles, de loin les plus importantes, ne peuvent se percevoir que sur le corps immatériel, le "corps énergétique" des médecines traditionnelles. Leur repérage est délicat, car il met en oeuvre des techniques de détection fines, dans lesquelles intervient également la sensibilité de l'opérateur (test à l'ohmmètre de Voll, pouls traditionnels chinois, pouls de Nogier, radiesthésie, tests kinésiologiques, ostéopathiques, etc.) Suivant la sensibilité du médecin, le résultat du repérage sera très variable, donc aussi le succès de la thérapie. Sont réputés importants les événements qui se signalent par une trace durable, qui affecte souvent à la fois le corps physique et le corps immatériel. Ils ne sont pas très nombreux. Les plus importants, au nombre de trois, se retrouvent dans la quasi-totalité des anamnèses actuelles (anamnèse = histoire du malade)
Ce sont:
Le blocage ostéopathique des charnières crâniennes, consécutif à l'accouchement hyper médicalisé (horizontalité contre-nature, déclenchement artificiel...).
La sur-vaccination précoce, survenant sur un système immunitaire immature.
La suppression des exercices immunitaires naturels (les maladies infantiles), stoppés avec brusquerie par des traitements trop énergiques et/ou remplacés par une immunité vaccinale trop artificielle.
Cette triade spécifique de la médecine actuelle porte à elle seule la plus lourde responsabilité dans la genèse des maladies chroniques.
Les événements ultérieurs ne font qu'aggraver ce premier déséquilibre. Ils ne sont pas très nombreux à revêtir pareille importance.
A relever avant tout : les traumatismes crâniens avec altération de la conscience, les hémorragies graves, les déshydratations sévères, les avortements, les maladies infectieuses écourtées de façon antinaturelle, les gros chocs psychiques (deuils, séparations, viols, peurs, jalousies, haines tenaces), la prévention des maladies tropicales, les traitements médicaux lourds ou prolongés (surtout hormonaux - cortisone, la pilule - ou psychiatriques, drogues diverses), certaines anesthésies générales, etc.
D'autres éléments enfin, relevés par divers auteurs contemporains (pollution générale, amalgames dentaires, influences électromagnétiques permanentes, géopathologie, etc.) ne sont pas pris en considération dans l'homéopathie séquentielle, car ils peuvent être neutralisés par des mesures ponctuelles appropriées ou par le simple drainage homéopathique classique.
La SEQUENCE
Les événements dont le médecin a repéré les traces ne sont pas tous survenus en même temps. Ils se sont succédé durant la vie. Leurs traces se trouvent donc superposées, le dernier événement recouvrant le précédent, qui est ainsi généralement masqué. Ces impacts énergétiques successifs sont liés les uns aux autres, chacun dans son espace-temps respectif, formant tous ensemble une séquence spatio-temporelle, différente pour chaque malade.
LE TRAITEMENT
Son principe est constant. A chaque événement ou impact spatio-temporel, le médecin oppose le contre événement au moyen du remède spatio-temporel le plus approprié qu'il va chercher dans le très riche arsenal de l'homéopathie porté à la dynamisation suffisante pour contrebalancer la violence de l'événement.
(La dynamisation, clé de voûte de l'homéopathie, combine succussions et dilutions successives et permet d'accéder à un autre espace-temps, inconnu de la médecine classique. Elle déploie une grande puissance énergétique et permet aussi de remonter le temps.)
Cette correction doit se faire dans la chronologie inverse, et de la façon la plus exacte, sous peine d'aggraver encore l'imbroglio énergétique présent. La "thérapie séquentielle" ainsi définie remonte le temps, en neutralisant les uns après les autres les événements marquants - les plus importants se situant dans la petite enfance - et se termine par la correction ostéopathique crânienne des lésions imputables au tout premier événement : l'accouchement. A ce stade, l'énergie vitale du patient a retrouvé son équilibre, de façon durable. (Dorénavant, les basses dynamisations de l'homéopathie classique suffiront à rétablir l'harmonie en cas d'altération nouvelle de la santé.)
Dans un deuxième temps, le Dr Elmiger propose une incursion correctrice dans les altérations de l'espace-temps qui précède la naissance, c'est à dire dans le code génétique (énergie ancestrale de la médecine chinoise, ou notion de "terrain" chère aux homéopathes).
Cette dernière phase du traitement, indispensable pour obtenir la guérison ou la stabilisation de toutes les maladies chroniques, doit obligatoirement respecter la "loi de succession des forces", qui impose au thérapeute l'emploi des quatre grands correcteurs de terrain dans l'ordre régi par la succession immuable des quatre saisons.
Cette conception de l'auteur est contestée actuellement (ou ignorée) par la plupart des écoles homéopathiques, mais les succès qui en découlent sont constants et parfaitement reproductibles.
LA TECHNIQUE
L'homéopathie séquentielle paraît d'une grande simplicité, mais elle se heurte dans son application, à de nombreux écueils, dont le difficile repérage des traces et le juste choix du remède.
La première consultation demande beaucoup de temps pour établir avec soin le plan chronologique. L'événement le plus récent est alors neutralisé le premier, puis les suivants, à un rythme dicté par un temps d'exécution propre à la nature et à la puissance de chaque correction.
Les consultations se succèdent au nombre de 4 à 8 par an. Pour les enfants, l'équilibre est toujours rétabli en moins d'une année (souvent quelques mois suffisent).
L'équilibrage des quatre terrains se fait l'année suivante. Une année supplémentaire peut s'avérer nécessaire (voire davantage), si le mal est trop profondément ancré dans le code génétique.
INDICATIONS
La thérapie séquentielle homéopathique s'applique en principe à tous les domaines de la médecine.
Dans les maladies qui ne relèvent pas exclusivement de la chirurgie ni de la thérapie par substitution, elle peut trouver un champ d'application privilégié. Elle est souveraine dans toutes les affections chroniques restées au stade fonctionnel; au stade lésionnel, elle complète avantageusement les autres traitements, qu'elle facilite et raccourcit. Parfois même, dans certains cas de gravité extrême, elle obtient des résultats qui confinent au miracle.
Exemple : l'affaire Gaibrois.
Le récit dramatique très documenté d'une classique séquence d'événements déstabilisateurs, corrigée à mesure par la séquence thérapeutique opposée, apporte au lecteur un exemple concret de l'ampleur du champ d'action de l'homéopathie rénovée selon la logique séquentielle.
L'auteur encourage vivement le lecteur à se donner le temps de s'immerger avec patience dans ce long récit, auquel aucun homme de coeur ne peut rester indifférent...
DIFFUSION
Le Dr Elmiger a diffusé la thérapie séquentielle homéopathique lors de séminaires pratiques organisés depuis 1985 dans les pays francophones : Suisse romande, Québec, Belgique et France.
{L'enseignement, primitivement réservé aux médecins ayant déjà de bonnes connaissances de base de l'homéopathie traditionnelle, sera dorénavant ouvert aux étudiants en médecine avancés et restera accessible aux quelques professionnels de la santé ayant déjà suivi assidûment les séminaires depuis 2007.)
AVERTISSEMENT
L'apparente simplicité de la technique, publiée en 1985, a incité de très nombreux thérapeutes, la plupart non médecins, à l'utiliser sans avoir acquis la formation nécessaire. Sont également nombreux les médecins homéopathes qui l'ont utilisée sans avoir suivi les séminaires de formation du Dr Elmiger.
Les résultats, forcément très inconstants, ont pu dans certains cas entraîner une fausse appréciation, préjudiciable à la méthode.
Par ailleurs, cette situation incontrôlable exige une mise en garde nouvelle :
Depuis le développement d'Internet, cette nouvelle approche de l'homéopathie est diffusée mondialement par des naturopathes anglo-saxons, qui ont ouvert à ce jour une trentaine d'écoles de thérapie séquentielle, en se référant au Dr Elmiger, dont ils n'ont cependant jamais suivi l'enseignement.
source: http://www.jelmiger.com/index.html