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    Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle…

    Bardamu
    Bardamu
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    Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle… Empty Re: Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle…

    Message  Bardamu 8/2/2012, 04:15

    paralleye a écrit:


    Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles

    par Dean Henderson

    Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle… 25107

    Mondialisation.ca, Le 3 juin 2011

    Les quatre cavaliers du sytème bancaire américain
    (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent
    les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP
    Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays
    et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur
    l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.


    D’après les déclarations d’entreprise 10K
    enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières,
    le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre
    cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de
    pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune
    500 [1]

    Alors qui sont donc les actionnaires de ces banques
    centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus
    ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la
    question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies
    américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un
    statut couvert par le Freedom of Information Act (NDT: loi sur la
    liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le
    secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert
    de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique, sachant que
    bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

    Un des monument de la richesse de l’oligarchie
    globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust
    Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America.
    Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur
    honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel
    Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts
    de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W.
    McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées
    dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a
    obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait
    que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante
    branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles,
    dont quatre résident aux Etats-Unis. Ce sont les familles Goldman
    Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuhn Loebs de New York, les Rothschild de
    Paris et de Londres, les Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et
    les Israël Moses Seifs de Rome.

    CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de
    McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la
    réserve fédérale. Il nomme N.M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank
    de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam,
    Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de Paris, la banque Kuhn
    Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de
    New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf également cite
    William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme
    étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la
    réserve fédérale. [3] Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb,
    les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller
    au début du siècle.

    Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son
    livre “Les secrets de la réserve fédérale”, dans lequel il montre des
    diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles
    Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par
    ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est
    couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est
    prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques
    privées comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits
    demeurent.

    La maison Morgan

    La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la
    même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller
    fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis
    le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale
    américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.

    Peabody était un partenaire d’affaires des
    Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur la Fed Eustace Mulins émit la
    suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de
    Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds “…préféraient opérer de
    manière anonyme aux états-Unis derrière la façade de la JP Morgan and
    co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les activités des Morgan en
    1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient
    basées sur une alliance avec la maison Rothschild.” [6]

    La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses
    tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres.
    Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent
    Drexel et compagnie à Philadelphie.

    La maison des Morgans étaient impliquées avec les
    Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle
    finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et
    DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan
    devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.

    Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque
    centrale d’Egypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les
    obligations du gouvernement provincial du Brésil et finançait des
    travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la
    puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les
    Etats-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter
    les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de
    dollars d’or des Rothschilds. [7]

    Morgan fut la force motrice derrière l’expansion
    occidentale des Etats-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer
    qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New
    York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix
    préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la
    Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.

    La maison Morgan alors tombe sous le contrôle
    familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame
    “Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont
    Morgan qui déclara un jour “la compétition est un pêché” se réjouissait
    maintenant, “pensez un peu que tout le trafic ferroviaire en compétition
    à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine
    d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de Edward Harriman Kuhn Loeb
    obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties
    banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers
    à contrôler la base industrielle états-unienne. [9]

    En 1903, les huit familles établirent le Banker’s
    Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la
    banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve
    fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance
    militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts
    internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient
    maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT: traduction la
    plus proche pour “US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase
    et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs
    sur gage.

    La maison Morgan était dans les petits papiers de la
    maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuhn
    Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs
    étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès
    1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des
    Etats-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa
    prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69
    fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904,
    John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était
    alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des
    Morgans. [10]

    La méfiance du public envers l’alliance se propagea.
    Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux
    système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers
    américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman
    étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de Kuhn Loeb, qui
    lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.

    Plusieurs états de l’ouest des Etats-Unis bannirent
    les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le
    candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa
    campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les Etats-Unis
    étaient en train de tomber dans le piège de “l’esclavage financier au
    capital britannique”. Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut
    forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer
    le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard
    Oil.

    En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui
    s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année,
    Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York
    Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge
    Louis Brandeis convainquît le président Woodrow Wilson de terminer les
    situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust
    Clayton fut passée en 1914.

    Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont,
    répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester
    d’augmenter la production d’armement. Il décida que les Etats-Unis
    devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la
    fondation Carnegie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda.
    Comme Charles Tansill écrivit dans “L’Amérique s’en va en guerre”: “Même
    bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères
    Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un
    prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait
    laissée aux Etats-Unis pour payer les dépenses françaises pour des
    achats de produits américains.”

    La maison Morgan finança la moitié de l’effort de
    guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit
    des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain,
    Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança
    également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la
    guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut
    présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de
    l’Allemagne et des alliés. [11]

    Dans les années 1930, le populisme refît surface
    après que Goldman Sachs, Lehman et d'autres banques eurent profité du
    crash de 1929. [12] Le président du comité bancaire du parlement
    américain Louis McFadden (démocrate-New York) dit de la grande
    dépression: “ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers
    internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de
    pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus.”

    Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord)
    présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison
    Morgan précipita les états-unis dans la première guerre mondiale pour
    protéger des emprunts et pour créer un essor de l’industrie de
    l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était “La
    prochaine guerre”, qui référait cyniquement au “truc de le vielle
    déesse démocratie”, par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une
    seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’intérieur Harold
    Ickes, mit en garde de “l’influence des 60 familles américaines”.
    L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même
    titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria
    “l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et
    l’industrie aujourd’hui.”

    Jack Morgan répondit en rapprochant les Etats-Unis de
    la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites
    avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon,
    qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux
    compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon
    envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa
    l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste
    italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer
    Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la
    seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan
    rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle
    en Suisse. [13]

    La maison Rockefeller

    La BIS est la banque la plus puissante du monde, une
    banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les
    banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays
    en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier
    de Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank
    et de la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de
    l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les
    Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke
    écrit dans “Les enfants de la matrix”, que les Rockefellers et les
    Morgans n’étaient que des “prête-noms” pour les Rothschilds. [14]

    La BIS est une propriété de la réserve fédérale, de
    la banque d’angleterre, de la banque d’italie, banque du canada, banque
    de suisse, banque de hollande, banque fédérale allemande et la banque de
    france..

    L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique
    livre “Tragédie et Espoir” que la BIS faisait partie d’un plan, celui de
    “créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées
    et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie
    du monde dans son entièreté… un contrôle s’exerçant de manière féodale
    par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des
    accords secrets.” Le gouvernement américain avait une méfiance
    historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle
    soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire
    de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création
    par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la banque mondiale. Le
    banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre
    1994. [15]

    La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au
    moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions
    multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords
    internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert
    de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier
    global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme
    monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie
    dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce
    pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit
    familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque
    Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la
    BIS est en fait le centre du blanchiment d’argent du trafic de drogue
    global. [16]

    Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en
    Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie
    globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina
    et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit
    familles inclues le Forum Economique Mondial (Davos NdT), la Conférence
    Monétaire Internationale et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

    Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles.
    Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce “Nouvel Ordre
    Mondial”. En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés
    par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard
    devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard
    Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la
    propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition
    bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent
    et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.

    En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque
    basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités
    Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent
    Euro-Clear “la bête”. Bruxelles sert de QG pour la nouvelle banque
    centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de
    Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la
    résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la
    loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent
    l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le
    top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est
    maintenant une partie de Bank of America.

    John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole
    pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes
    banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de
    1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, fusionna avec la banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la banque Chase
    Manhattan, cimentant ainsi une relation familiale de longue durée. Les
    Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller
    pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de
    Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin
    pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine.
    La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des
    trois banques des Rothschilds aux Etats-Unis dans les années 1870;
    quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de
    l’Ohio. [17]

    Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil
    était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical
    Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait
    Manufacturers Hanover Trust. Les deux banques ont fusionné sous l’ombrelle
    de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de
    William Rockefeller. Les deux familles contrôlent une grosse part de
    Citigroup également. [18]

    Dans les affaires des assurances, les Rockefellers
    contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York
    Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50
    plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les
    biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux Etats-Unis. [19]
    Les compagnies d’assurance, la première aux Etats-Unis fut créée par les
    franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la
    drogue aux Bermudes.

    Les entreprises sous contrôle des Rockefeller
    incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport
    McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT,
    International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard,
    Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union
    Carbide et General Foods.

    La fondation Rockefeller a des liens très étroits
    avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures
    philanthropiques de la famille incluent le fond des frères rockefeller,
    Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board,
    Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit
    régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite,
    apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.

    La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre
    de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David
    Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La
    maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie
    bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également
    un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à
    Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de
    café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à
    Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes,
    Hawaïï et à Porto Rico. [20]

    Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines.
    Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de
    Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie
    des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés. [21]

    Son frère John Foster Dulles, fut président des
    trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en
    1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en
    Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones,
    du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré.
    [22]

    Les Rockefellers furent instrumentaux pour former le
    club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale
    de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna
    naissance à la Commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de
    fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du
    clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN
    qui court dans les cercles scientifiques américains.

    John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de
    la population jusqu’à sa mort. [23] Son fils du même nom est un sénateur
    élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut
    lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de
    cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975,
    le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de
    l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa
    famille de cette façon: “Je crois absolument dans une planification
    mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique,
    de l’armée…”

    Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le
    fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase
    Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la
    scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid
    d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le
    plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la
    guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en
    Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et
    vivaient du conflit.

    Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor
    (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant
    que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque
    Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le
    dossier Rockefeller” en 1973: “David Rockefeller a rencontré 27 chefs
    d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS.”

    En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la
    CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur
    nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où
    il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller. [24]

    [à suivre...]

    Article original en anglais : The Federal Reserve Cartel: The Eight Families, publié le 1er juin 2011.

    Traduction : Résistance 71

    [1] 10K Filings of Fortune 500 Corporations to SEC. 3-91

    [2] 10K Filing of US Trust Corporation to SEC. 6-28-95

    [3] “The Federal Reserve ‘Fed Up’. Thomas Schauf. www.davidicke.com 1-02

    [4] The Secrets of the Federal Reserve. Eustace Mullins. Bankers Research Institute. Staunton, VA. 1983. p.179

    [5] Ibid. p.53

    [6] The Triumph of Conservatism. Gabriel Kolko. MacMillan and Company New York. 1963. p.142

    [7] Rule by Secrecy: The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids. Jim Marrs. HarperCollins Publishers. New York. 2000. p.57

    [8] The House of Morgan. Ron Chernow. Atlantic Monthly Press NewYork 1990

    [9] Marrs. p.57

    [10] Democracy for the Few. Michael Parenti. St. Martin’s Press. New York. 1977. p.178

    [11] Chernow

    [12] The Great Crash of 1929. John Kenneth Galbraith. Houghton, Mifflin Company. Boston. 1979. p.148

    [13] Chernow

    [14] Children of the Matrix. David Icke. Bridge of Love. Scottsdale, AZ. 2000

    [15] The Confidence Game: How Un-Elected Central Bankers are Governing the Changed World Economy. Steven Solomon. Simon & Schuster. New York. 1995. p.112 [16] Marrs. p.180

    [17] Ibid. p.45

    [18] The Money Lenders: The People and Politics of the World Banking Crisis. Anthony Sampson. Penguin Books. New York. 1981

    [19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977 http://www.globalresearch.ca/PrintArticle.php?articleId=25080 Page 7 of 8 The Federal Reserve Cartel: The Eight Families 6/2/11 9:26 AM

    [19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977

    [20] Ibid

    [21] Dope Inc.: The Book That Drove Kissinger Crazy. Editors of Executive Intelligence Review. Washington, DC. 1992

    [22] Marrs.

    [23] The Rockefeller Syndrome. Ferdinand Lundberg. Lyle Stuart Inc. Secaucus, NJ. 1975. p.296

    [24] Marrs. p.53

    Dean Henderson est l'auteur de « Big
    Oil & Their Bankers in the Persian Gulf: Four Horsemen, Eight
    Families & Their Global Intelligence, Narcotics & Terror Network
    and The Grateful Unrich: Revolution in 50 Countries.»
    Son blog :
    www.deanhenderson.wordpress.com

    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=25107



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    Message  ziril 24/2/2012, 10:50

    c.isme a écrit:
    L'effarante inauguration d'un Parlement JUIF Européen !


    - Sources exclusivement issues de sites juifs et/ou Israéliens -

    CRIF : http://crif.org/revuedepresse/inauguration-%C3%A0-bruxelles-du-premier-parlement-juif-europ%C3%A9en/29987

    Europe-Israel .org :
    http://www.europe-israel.org/2012/02/seance-inaugurale-du-premier-parlement-juif-europeen-a-bruxelles-un-grand-jour-pour-les-juifs-en-europe

    Gusyen TV site israélien :
    http://www.guysen.com/article_Le-Parlement-juif-europ-C3-en-qu-C3-saco-_17420.html

    Juif Org
    http://www.juif.org/societe-israel/168228,le-parlement-juif-europeen-quesaco.php

    Parlement Juif Européen à Bruxelles - Séance d'inauguration


    CQFD !!!! Source : https://www.youtube.com/watch?v=3uDDlynv--o
    Si censure, la source indique le compte https://www.youtube.com/user/TheEuropeIsrael

    Supplément
    https://novusordoseclorum.1fr1.net/t5825p375-actualites-de-sarkozy-de-nagy-bocsa-dit-nicolas-sarkozy#76885
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    Message  Bardamu 9/3/2012, 20:48

    Tonino a écrit:

    Le groupe Bilderberg - Le signe secret - HistoriaTV




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