paralleye a écrit:Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles
par Dean Henderson
Mondialisation.ca, Le 3 juin 2011
Les quatre cavaliers du sytème bancaire américain
(Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent
les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP
Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays
et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur
l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.
D’après les déclarations d’entreprise 10K
enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières,
le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre
cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de
pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune
500 [1]
Alors qui sont donc les actionnaires de ces banques
centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus
ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la
question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies
américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un
statut couvert par le Freedom of Information Act (NDT: loi sur la
liberté de l’information, qui aux Etats-Unis prévoit d’empêcher le
secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert
de raisons de “sécurité nationale”. Ceci est très ironique, sachant que
bon nombre d’actionnaires résident en Europe.
Un des monument de la richesse de l’oligarchie
globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust
Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America.
Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur
honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel
Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts
de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley. [2] J.W.
McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées
dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a
obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait
que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante
branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles,
dont quatre résident aux Etats-Unis. Ce sont les familles Goldman
Sachs, Rockefellers, Lehmans et Kuhn Loebs de New York, les Rothschild de
Paris et de Londres, les Warburg de Hambourd, les Lazards de Paris et
les Israël Moses Seifs de Rome.
CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de
McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la
réserve fédérale. Il nomme N.M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank
de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam,
Lehmans Brothers de New York, Lazard Brothers de Paris, la banque Kuhn
Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de
New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf également cite
William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme
étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la
réserve fédérale. [3] Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb,
les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller
au début du siècle.
Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son
livre “Les secrets de la réserve fédérale”, dans lequel il montre des
diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles
Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres. [4] Le contrôle exercé par
ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est
couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est
prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques
privées comme étant une “théorie du complot”. Pourtant, les faits
demeurent.
La maison Morgan
La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la
même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller
fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis
le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale
américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.
Peabody était un partenaire d’affaires des
Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur la Fed Eustace Mulins émit la
suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de
Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds “…préféraient opérer de
manière anonyme aux états-Unis derrière la façade de la JP Morgan and
co”. [5] L’écrivain Gabriel Kolko écrivit “Les activités des Morgan en
1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient
basées sur une alliance avec la maison Rothschild.” [6]
La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses
tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres.
Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent
Drexel et compagnie à Philadelphie.
La maison des Morgans étaient impliquées avec les
Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle
finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et
DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan
devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.
Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque
centrale d’Egypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les
obligations du gouvernement provincial du Brésil et finançait des
travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la
puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les
Etats-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter
les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de
dollars d’or des Rothschilds. [7]
Morgan fut la force motrice derrière l’expansion
occidentale des Etats-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer
qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New
York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix
préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la
Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.
La maison Morgan alors tombe sous le contrôle
familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame
“Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque”. J. Pierpont
Morgan qui déclara un jour “la compétition est un pêché” se réjouissait
maintenant, “pensez un peu que tout le trafic ferroviaire en compétition
à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine
d’hommes.” [8] Morgan et le banquier de Edward Harriman Kuhn Loeb
obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties
banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers
à contrôler la base industrielle états-unienne. [9]
En 1903, les huit familles établirent le Banker’s
Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la
banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve
fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance
militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts
internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient
maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT: traduction la
plus proche pour “US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase
et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs
sur gage.
La maison Morgan était dans les petits papiers de la
maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuhn
Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs
étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès
1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des
Etats-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa
prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69
fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904,
John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était
alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des
Morgans. [10]
La méfiance du public envers l’alliance se propagea.
Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux
système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers
américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman
étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de Kuhn Loeb, qui
lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.
Plusieurs états de l’ouest des Etats-Unis bannirent
les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le
candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa
campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les Etats-Unis
étaient en train de tomber dans le piège de “l’esclavage financier au
capital britannique”. Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut
forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer
le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard
Oil.
En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui
s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année,
Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York
Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge
Louis Brandeis convainquît le président Woodrow Wilson de terminer les
situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust
Clayton fut passée en 1914.
Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont,
répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester
d’augmenter la production d’armement. Il décida que les Etats-Unis
devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la
fondation Carnegie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda.
Comme Charles Tansill écrivit dans “L’Amérique s’en va en guerre”: “Même
bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères
Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un
prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait
laissée aux Etats-Unis pour payer les dépenses françaises pour des
achats de produits américains.”
La maison Morgan finança la moitié de l’effort de
guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit
des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain,
Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança
également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la
guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut
présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de
l’Allemagne et des alliés. [11]
Dans les années 1930, le populisme refît surface
après que Goldman Sachs, Lehman et d'autres banques eurent profité du
crash de 1929. [12] Le président du comité bancaire du parlement
américain Louis McFadden (démocrate-New York) dit de la grande
dépression: “ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers
internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de
pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus.”
Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord)
présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison
Morgan précipita les états-unis dans la première guerre mondiale pour
protéger des emprunts et pour créer un essor de l’industrie de
l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était “La
prochaine guerre”, qui référait cyniquement au “truc de le vielle
déesse démocratie”, par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une
seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’intérieur Harold
Ickes, mit en garde de “l’influence des 60 familles américaines”.
L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même
titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria
“l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et
l’industrie aujourd’hui.”
Jack Morgan répondit en rapprochant les Etats-Unis de
la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites
avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon,
qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux
compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon
envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa
l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste
italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer
Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la
seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan
rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle
en Suisse. [13]
La maison Rockefeller
La BIS est la banque la plus puissante du monde, une
banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les
banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays
en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier
de Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank
et de la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de
l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les
Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke
écrit dans “Les enfants de la matrix”, que les Rockefellers et les
Morgans n’étaient que des “prête-noms” pour les Rothschilds. [14]
La BIS est une propriété de la réserve fédérale, de
la banque d’angleterre, de la banque d’italie, banque du canada, banque
de suisse, banque de hollande, banque fédérale allemande et la banque de
france..
L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique
livre “Tragédie et Espoir” que la BIS faisait partie d’un plan, celui de
“créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées
et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie
du monde dans son entièreté… un contrôle s’exerçant de manière féodale
par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des
accords secrets.” Le gouvernement américain avait une méfiance
historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle
soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire
de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création
par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la banque mondiale. Le
banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre
1994. [15]
La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au
moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions
multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords
internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert
de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier
global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme
monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie
dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce
pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit
familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque
Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la
BIS est en fait le centre du blanchiment d’argent du trafic de drogue
global. [16]
Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en
Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie
globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina
et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit
familles inclues le Forum Economique Mondial (Davos NdT), la Conférence
Monétaire Internationale et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).
Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles.
Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce “Nouvel Ordre
Mondial”. En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés
par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard
devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard
Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la
propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition
bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent
et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.
En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque
basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités
Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent
Euro-Clear “la bête”. Bruxelles sert de QG pour la nouvelle banque
centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de
Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la
résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la
loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent
l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le
top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est
maintenant une partie de Bank of America.
John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole
pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes
banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de
1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, fusionna avec la banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la banque Chase
Manhattan, cimentant ainsi une relation familiale de longue durée. Les
Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller
pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de
Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin
pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine.
La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des
trois banques des Rothschilds aux Etats-Unis dans les années 1870;
quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de
l’Ohio. [17]
Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil
était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical
Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait
Manufacturers Hanover Trust. Les deux banques ont fusionné sous l’ombrelle
de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de
William Rockefeller. Les deux familles contrôlent une grosse part de
Citigroup également. [18]
Dans les affaires des assurances, les Rockefellers
contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York
Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50
plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les
biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux Etats-Unis. [19]
Les compagnies d’assurance, la première aux Etats-Unis fut créée par les
franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la
drogue aux Bermudes.
Les entreprises sous contrôle des Rockefeller
incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport
McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT,
International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard,
Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union
Carbide et General Foods.
La fondation Rockefeller a des liens très étroits
avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures
philanthropiques de la famille incluent le fond des frères rockefeller,
Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board,
Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit
régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite,
apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.
La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre
de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David
Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La
maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie
bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également
un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à
Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de
café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à
Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes,
Hawaïï et à Porto Rico. [20]
Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines.
Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de
Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie
des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés. [21]
Son frère John Foster Dulles, fut président des
trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en
1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en
Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones,
du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré.
[22]
Les Rockefellers furent instrumentaux pour former le
club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale
de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna
naissance à la Commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de
fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du
clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN
qui court dans les cercles scientifiques américains.
John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de
la population jusqu’à sa mort. [23] Son fils du même nom est un sénateur
élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut
lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de
cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975,
le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de
l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa
famille de cette façon: “Je crois absolument dans une planification
mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique,
de l’armée…”
Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le
fondateur de la commission trilatérale et président de la banque Chase
Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la
scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid
d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le
plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la
guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en
Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et
vivaient du conflit.
Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor
(ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant
que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque
Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre “Le
dossier Rockefeller” en 1973: “David Rockefeller a rencontré 27 chefs
d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS.”
En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la
CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur
nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où
il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller. [24]
[à suivre...]
Article original en anglais : The Federal Reserve Cartel: The Eight Families, publié le 1er juin 2011.
Traduction : Résistance 71
[1] 10K Filings of Fortune 500 Corporations to SEC. 3-91
[2] 10K Filing of US Trust Corporation to SEC. 6-28-95
[3] “The Federal Reserve ‘Fed Up’. Thomas Schauf. www.davidicke.com 1-02
[4] The Secrets of the Federal Reserve. Eustace Mullins. Bankers Research Institute. Staunton, VA. 1983. p.179
[5] Ibid. p.53
[6] The Triumph of Conservatism. Gabriel Kolko. MacMillan and Company New York. 1963. p.142
[7] Rule by Secrecy: The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids. Jim Marrs. HarperCollins Publishers. New York. 2000. p.57
[8] The House of Morgan. Ron Chernow. Atlantic Monthly Press NewYork 1990
[9] Marrs. p.57
[10] Democracy for the Few. Michael Parenti. St. Martin’s Press. New York. 1977. p.178
[11] Chernow
[12] The Great Crash of 1929. John Kenneth Galbraith. Houghton, Mifflin Company. Boston. 1979. p.148
[13] Chernow
[14] Children of the Matrix. David Icke. Bridge of Love. Scottsdale, AZ. 2000
[15] The Confidence Game: How Un-Elected Central Bankers are Governing the Changed World Economy. Steven Solomon. Simon & Schuster. New York. 1995. p.112 [16] Marrs. p.180
[17] Ibid. p.45
[18] The Money Lenders: The People and Politics of the World Banking Crisis. Anthony Sampson. Penguin Books. New York. 1981
[19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977 http://www.globalresearch.ca/PrintArticle.php?articleId=25080 Page 7 of 8 The Federal Reserve Cartel: The Eight Families 6/2/11 9:26 AM
[19] The Rockefeller File. Gary Allen. ’76 Press. Seal Beach, CA. 1977
[20] Ibid
[21] Dope Inc.: The Book That Drove Kissinger Crazy. Editors of Executive Intelligence Review. Washington, DC. 1992
[22] Marrs.
[23] The Rockefeller Syndrome. Ferdinand Lundberg. Lyle Stuart Inc. Secaucus, NJ. 1975. p.296
[24] Marrs. p.53
Dean Henderson est l'auteur de « Big
Oil & Their Bankers in the Persian Gulf: Four Horsemen, Eight
Families & Their Global Intelligence, Narcotics & Terror Network
and The Grateful Unrich: Revolution in 50 Countries.»
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Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle…
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Re: Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle…
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Re: Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle…
c.isme a écrit:L'effarante inauguration d'un Parlement JUIF Européen !
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CQFD !!!! Source : https://www.youtube.com/watch?v=3uDDlynv--o
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Re: Bilderberg, CFR, Trilatérale, le Siècle…
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