La >bonne< parole de la TV:
La réalité:
article du Figaro du 25/10/2012:
Aux Pays-Bas, bientôt trois parents pour un enfant
Pour protéger les familles construites autour d'un mariage entre homosexuels, le royaume néerlandais va examiner les possibilités juridiques de reconnaître officiellement trois personnes ou plus comme parents d'un même enfant.
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Pionniers en matière de légalisation du mariage homosexuel, les Pays-Bas veulent maintenant l'être en matière de reconnaissance des parents non biologiques. Pour refléter «la situation des familles modernes», indique Liesbeth van Tongeren, députée du parti écologiste, «un enfant devrait pouvoir avoir plus de deux parents officiels»…
Les Pays-Bas ont été le premier État au monde à légaliser le mariage homosexuel en 2001. Environ 25.000 enfants vivent aujourd'hui dans ce que l'on appelle poétiquement des «familles roses». Mais il n'y a actuellement pas de reconnaissance juridique spécifique ni pour les donneurs de sperme qui voudraient être impliqués dans la vie d'un enfant, ni pour les beaux-parents.
Pour protéger ces familles «roses», plusieurs partis politiques, dont les écologistes de GroenLinks mais aussi les formations qui négocient actuellement une coalition gouvernementale, les travaillistes du PvdA et les libéraux du VVD, réclament une enquête du ministère de la Justice: ils veulent que soient examinées les possibilités juridiques de reconnaître officiellement trois personnes ou plus comme parents d'un même enfant.
Casse-tête juridique
«En ce moment, la parentalité juridique est presque toujours la conséquence de la parentalité biologique», indique-t-on chez GroenLinks, en regrettant que «cela ne représente pas la diversité des familles aux Pays-Bas». Pour Liesbeth van Tongeren, «la manière dont vit une famille est plus importante que la lignée biologique. La réalité juridique doit prendre en charge ce qui est le mieux pour tous ceux qui sont concernés».
L'idée est venue du COC, une association de défense des droits des homosexuels. «En pratique, des enfants sont déjà élevés par plus de deux parents, explique Philip Tijsma, son porte-parole. Par exemple, un couple de lesbiennes et un donneur, et quelquefois le partenaire du donneur. J'en connais qui vivent dans une même maison! Cela concerne aussi les couples hétérosexuels, quand par exemple les parents se séparent et se remarient… L'idée est d'épargner à ces personnes une procédure d'adoption longue, difficile et coûteuse.» La perspective de casse-tête juridiques n'effraie pas l'association: «Je ne doute pas que cela créera des conflits, assure Philip Tijsma, mais cela arrive dans tous les foyers… Ce qui est grave actuellement, c'est qu'un enfant peut voir disparaître un parent de sa vie, car les liens ne sont pas juridiquement protégés.»
Lors d'un récent débat à la Chambre basse du Parlement néerlandais, Fred Teeven, le secrétaire d'État à la Justice, avait souligné qu'il voyait beaucoup d'objections pratiques à une telle reconnaissance, mais qu'il fallait attendre les résultats de l'enquête avant de prendre des décisions.
source et articles supplémentaires:
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/25/01016-20121025ARTFIG00441-aux-pays-bas-bientot-trois-parents-pour-un-enfant.php
http://actualitechretienne.wordpress.com/2012/09/19/3-parents-pour-1-enfant-on-y-pense-en-angleterre/
http://www.terrafemina.com/forme/sante/articles/17629-un-bebe-et-3-parents-pour-eviter-les-maladies.html
Déracinement du spirituel et du naturel.
Choisir son bébé sur mesure:
Le Dr Jeff Steinberg, directeur d’une clinique de Manhattan spécialisée dans la fécondation in vitro, déclare qu’il lui sera possible d’ici six mois de proposer à ses clients de véritables bébés sur mesure. Voulez-vous qu’il ait les yeux verts ? Les cheveux châtains ? La peau mate ? C’est à ce type de questions que seront amenés à répondre les futurs parents qui auront donc le choix de définir le profil rêvé de leur enfant.
Sa technique est simple : le médecin effectue une fécondation in-vitro d’embryons qu’il soumet à des tests ADN. Si les résultats révèlent le profil demandé par les parents, l’embryon sera alors implanté. Pour lui, c’est juste une question de "médecine esthétique". Un procédé douteux dont le très controversé médecin, déjà connu pour avoir contribué à la naissance du premier bébé-éprouvette, reconnaît toutefois qu’il n’est pas fiable à 100%.
Selon le Dr Steinberg, "les résultats seront plus fiables chez les couples avec des origines scandinaves grâce à leur patrimoine génétique qui est moins dilué." Quant au coût de ce "bébé parfait", il l’estime à 15 000 euros…
De nombreux experts médicaux ont déjà décrié ce procédé qu’ils estiment impossible à réaliser. Mais au-delà des progrès de la science et des possibilités techniques de plus en plus avancées en matière génétique, l’évidente question qui se pose relève évidemment du domaine de l’éthique avec un programme de sélection physique qui s’apparente de manière inquiétante à une quête de la « race supérieure ».
http://www.babyfrance.com/actus-bebe/choisir-son-bebe-sur-mesure.html
Choisir le sexe de son enfant pour 25 000 dollars dans une clinique de Los Angles
La réalité:
article du Figaro du 25/10/2012:
Aux Pays-Bas, bientôt trois parents pour un enfant
Pour protéger les familles construites autour d'un mariage entre homosexuels, le royaume néerlandais va examiner les possibilités juridiques de reconnaître officiellement trois personnes ou plus comme parents d'un même enfant.
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Pionniers en matière de légalisation du mariage homosexuel, les Pays-Bas veulent maintenant l'être en matière de reconnaissance des parents non biologiques. Pour refléter «la situation des familles modernes», indique Liesbeth van Tongeren, députée du parti écologiste, «un enfant devrait pouvoir avoir plus de deux parents officiels»…
Les Pays-Bas ont été le premier État au monde à légaliser le mariage homosexuel en 2001. Environ 25.000 enfants vivent aujourd'hui dans ce que l'on appelle poétiquement des «familles roses». Mais il n'y a actuellement pas de reconnaissance juridique spécifique ni pour les donneurs de sperme qui voudraient être impliqués dans la vie d'un enfant, ni pour les beaux-parents.
Pour protéger ces familles «roses», plusieurs partis politiques, dont les écologistes de GroenLinks mais aussi les formations qui négocient actuellement une coalition gouvernementale, les travaillistes du PvdA et les libéraux du VVD, réclament une enquête du ministère de la Justice: ils veulent que soient examinées les possibilités juridiques de reconnaître officiellement trois personnes ou plus comme parents d'un même enfant.
Casse-tête juridique
«En ce moment, la parentalité juridique est presque toujours la conséquence de la parentalité biologique», indique-t-on chez GroenLinks, en regrettant que «cela ne représente pas la diversité des familles aux Pays-Bas». Pour Liesbeth van Tongeren, «la manière dont vit une famille est plus importante que la lignée biologique. La réalité juridique doit prendre en charge ce qui est le mieux pour tous ceux qui sont concernés».
L'idée est venue du COC, une association de défense des droits des homosexuels. «En pratique, des enfants sont déjà élevés par plus de deux parents, explique Philip Tijsma, son porte-parole. Par exemple, un couple de lesbiennes et un donneur, et quelquefois le partenaire du donneur. J'en connais qui vivent dans une même maison! Cela concerne aussi les couples hétérosexuels, quand par exemple les parents se séparent et se remarient… L'idée est d'épargner à ces personnes une procédure d'adoption longue, difficile et coûteuse.» La perspective de casse-tête juridiques n'effraie pas l'association: «Je ne doute pas que cela créera des conflits, assure Philip Tijsma, mais cela arrive dans tous les foyers… Ce qui est grave actuellement, c'est qu'un enfant peut voir disparaître un parent de sa vie, car les liens ne sont pas juridiquement protégés.»
Lors d'un récent débat à la Chambre basse du Parlement néerlandais, Fred Teeven, le secrétaire d'État à la Justice, avait souligné qu'il voyait beaucoup d'objections pratiques à une telle reconnaissance, mais qu'il fallait attendre les résultats de l'enquête avant de prendre des décisions.
source et articles supplémentaires:
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/25/01016-20121025ARTFIG00441-aux-pays-bas-bientot-trois-parents-pour-un-enfant.php
http://actualitechretienne.wordpress.com/2012/09/19/3-parents-pour-1-enfant-on-y-pense-en-angleterre/
http://www.terrafemina.com/forme/sante/articles/17629-un-bebe-et-3-parents-pour-eviter-les-maladies.html
Déracinement du spirituel et du naturel.
Choisir son bébé sur mesure:
Le Dr Jeff Steinberg, directeur d’une clinique de Manhattan spécialisée dans la fécondation in vitro, déclare qu’il lui sera possible d’ici six mois de proposer à ses clients de véritables bébés sur mesure. Voulez-vous qu’il ait les yeux verts ? Les cheveux châtains ? La peau mate ? C’est à ce type de questions que seront amenés à répondre les futurs parents qui auront donc le choix de définir le profil rêvé de leur enfant.
Sa technique est simple : le médecin effectue une fécondation in-vitro d’embryons qu’il soumet à des tests ADN. Si les résultats révèlent le profil demandé par les parents, l’embryon sera alors implanté. Pour lui, c’est juste une question de "médecine esthétique". Un procédé douteux dont le très controversé médecin, déjà connu pour avoir contribué à la naissance du premier bébé-éprouvette, reconnaît toutefois qu’il n’est pas fiable à 100%.
Selon le Dr Steinberg, "les résultats seront plus fiables chez les couples avec des origines scandinaves grâce à leur patrimoine génétique qui est moins dilué." Quant au coût de ce "bébé parfait", il l’estime à 15 000 euros…
De nombreux experts médicaux ont déjà décrié ce procédé qu’ils estiment impossible à réaliser. Mais au-delà des progrès de la science et des possibilités techniques de plus en plus avancées en matière génétique, l’évidente question qui se pose relève évidemment du domaine de l’éthique avec un programme de sélection physique qui s’apparente de manière inquiétante à une quête de la « race supérieure ».
http://www.babyfrance.com/actus-bebe/choisir-son-bebe-sur-mesure.html
Choisir le sexe de son enfant pour 25 000 dollars dans une clinique de Los Angles