Je suis adjoint administratif hospitalier dans un des plus grands hôpitaux de France, il y a 10 mois j 'ai été victime de harcèlements et de menaces physiques de la part de collègues.
L'administration s'est retournée contre moi " la victime" en me plaçant en congé longue maladie d'office, et ils ont demandé au comité médical de mon département de demander l'avis d'un expert psychiatre pour savoir si j'étais apte à mon travail.
Lors de mon entretien chez le psychiatre, il m'a révélé sa gêne car dans le dossier transmis par l'administration tout était un dossier à charge contre moi "la victime", il m'a demandé ma version des faits, et je lui avais apporté mes notations des dernieres années "exemplaires".
Il a décidé contre l'administration que j'étais apte. Je pensais au mois de mai 2013 reprendre mon travail.
L'administration a contesté la décision du psychiatre-expert et a demande à la commission départementale la nomination d'un deuxième expert pour statuer sur mon cas.
Au mois d'octobre le deuxième psychiatre-expert cette fois ci en plus employé par mon administration a lui aussi conclu que j'étais apte et non atteint de pathologie du DSM4.
L'administration contesta le 04 novembre 2013 cette décision et demande l'avis du comité médical supérieur.
Pour le moment je ne touche plus qu'un demi salaire soit 650 euros mois.
Vous imaginez la pression exercée.
Au dela de mon cas ce ne sont pas des actes isolés, si vous allez sur légifrance le nombre d'agents qui ont été mis sur la touche est important, et pour faire défendre leur bon droit certains ont du faire jouer le Conseil d'Etat. Plus de 20 ans de procédure.
Je me suis posé la question mais qui est derrière l'administration ? Parce que lorsque l'on pose la question à la personne qui gère votre dossier. C'est personne, c'est l'administration.
L'administration s'est retournée contre moi " la victime" en me plaçant en congé longue maladie d'office, et ils ont demandé au comité médical de mon département de demander l'avis d'un expert psychiatre pour savoir si j'étais apte à mon travail.
Lors de mon entretien chez le psychiatre, il m'a révélé sa gêne car dans le dossier transmis par l'administration tout était un dossier à charge contre moi "la victime", il m'a demandé ma version des faits, et je lui avais apporté mes notations des dernieres années "exemplaires".
Il a décidé contre l'administration que j'étais apte. Je pensais au mois de mai 2013 reprendre mon travail.
L'administration a contesté la décision du psychiatre-expert et a demande à la commission départementale la nomination d'un deuxième expert pour statuer sur mon cas.
Au mois d'octobre le deuxième psychiatre-expert cette fois ci en plus employé par mon administration a lui aussi conclu que j'étais apte et non atteint de pathologie du DSM4.
L'administration contesta le 04 novembre 2013 cette décision et demande l'avis du comité médical supérieur.
Pour le moment je ne touche plus qu'un demi salaire soit 650 euros mois.
Vous imaginez la pression exercée.
Au dela de mon cas ce ne sont pas des actes isolés, si vous allez sur légifrance le nombre d'agents qui ont été mis sur la touche est important, et pour faire défendre leur bon droit certains ont du faire jouer le Conseil d'Etat. Plus de 20 ans de procédure.
Je me suis posé la question mais qui est derrière l'administration ? Parce que lorsque l'on pose la question à la personne qui gère votre dossier. C'est personne, c'est l'administration.