Les idées de la FM internationnale ont fait leur chemin. A tel point que nous appartenons à la tribu très exentrique des conspirationnistes paranos. En parlant avec des gens qui ont un "terrain favorable" à la discussion sur les problèmes de l'humanité d'hier, d'aujourd'hui et de ceux à venir, je suis navré de constater que les droits de l'hommes sont le nouveau credo de la future intelligentia, et qu'ils voient en le futur régime fédéral mondial, une solution unique pour répondre aux enjeux de la mondialisation. En gros, globalisation pour améliorer la mondialisation.
Mon amour et le repect que je porte pour la vie sous toutes ses formes, dont l'humain fait partie, me poussent à l'intransigeance face à tout ce qui la menace. Il n'a pas de relativisme qui tienne dans de pareilles circonstances. Seulement, les gens avec qui j'en parle, à commencer par ma propre femme, ne mesurent qu'à moitié la gravité de la situation, et la dangerosité de ce qui nous attends. Ils se sentent européens et en sont fiers, et du coup me considèrent comme un radical-fanatique-obscurantiste-et-j-en-passe. je suppose que vous rencontrez les mêmes difficultés, et j'aimerais que ceux qui se sentent concernés par ma navration parlent un peu de la manière dont ils parviennent (ou non) à en parler autours d'eux, et notamment à ceux qui sont farouchement opposés à nos "fantasmes", ou qui ne sont qu'à moitié d'accord, relativisme oblige. Pourtant, j'en parle serainement, avec preuves à l'appui, et tout en écoutant mon interlocuteur comme il se doit.
Ces interlocuteurs sont soit mes collègues qui préfèrent parler foot ou séries tv que de "politique", soit des amis étudiants à l'université maçonnique de Bruxelles du "libre examen", ou d'autres de mes amis qui me répondent que les nazis, c'est terminé. J'ai heureusement des amis conscients du problème, avec qui la discussion est simple, puisque personne ne cherche à imposer son "point de vue", (vu qu'apparamment il y a dans ce monde autant de vérités que de points de vue) ou se justifier, enfin, une conversation non-conflictuelle.
Mais, de mon "point de vue", ce qui m'importe n'est pas tant de discuter avec quelqu'un au courant, mais bien d'avertir quelqu'un qui ne sait pas, et qui pense naïvement que la situation actuelle du monde est le fruit du hasard et de la nécessité.
Mon amour et le repect que je porte pour la vie sous toutes ses formes, dont l'humain fait partie, me poussent à l'intransigeance face à tout ce qui la menace. Il n'a pas de relativisme qui tienne dans de pareilles circonstances. Seulement, les gens avec qui j'en parle, à commencer par ma propre femme, ne mesurent qu'à moitié la gravité de la situation, et la dangerosité de ce qui nous attends. Ils se sentent européens et en sont fiers, et du coup me considèrent comme un radical-fanatique-obscurantiste-et-j-en-passe. je suppose que vous rencontrez les mêmes difficultés, et j'aimerais que ceux qui se sentent concernés par ma navration parlent un peu de la manière dont ils parviennent (ou non) à en parler autours d'eux, et notamment à ceux qui sont farouchement opposés à nos "fantasmes", ou qui ne sont qu'à moitié d'accord, relativisme oblige. Pourtant, j'en parle serainement, avec preuves à l'appui, et tout en écoutant mon interlocuteur comme il se doit.
Ces interlocuteurs sont soit mes collègues qui préfèrent parler foot ou séries tv que de "politique", soit des amis étudiants à l'université maçonnique de Bruxelles du "libre examen", ou d'autres de mes amis qui me répondent que les nazis, c'est terminé. J'ai heureusement des amis conscients du problème, avec qui la discussion est simple, puisque personne ne cherche à imposer son "point de vue", (vu qu'apparamment il y a dans ce monde autant de vérités que de points de vue) ou se justifier, enfin, une conversation non-conflictuelle.
Mais, de mon "point de vue", ce qui m'importe n'est pas tant de discuter avec quelqu'un au courant, mais bien d'avertir quelqu'un qui ne sait pas, et qui pense naïvement que la situation actuelle du monde est le fruit du hasard et de la nécessité.