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    pédophilie: adopté et violé, six années en enfer

    stg45
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    Date d'inscription : 22/04/2010

     pédophilie:  adopté et violé, six années en enfer Empty pédophilie: adopté et violé, six années en enfer

    Message  stg45 4/8/2014, 23:11

    http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Adopte-et-viole-six-annees-en-enfer-521367





    Deux hommes qui avaient adopté un petit garçon en Russie ont abusé de lui pendant près de six ans. L’un des deux a été condamné à 40 ans de prison la semaine dernière, l’autre connaîtra sa peine plus tard.

    Le petit garçon était devenu l’objet sexuel de ses parents. La semaine dernière, Mark Newton, un Américain accusé d’avoir violé son fils pendant au moins six ans, a été condamné à 40 ans de prison et 400 000 dollars d’amende. Avec son compagnon australien Peter Truong, il avait adopté l’enfant en Russie en 2005, après avoir payé une mère porteuse 8000 dollars et falsifié des documents officiels. Le début du cauchemar pour le garçonnet. A peine âgé de deux ans, il a subi les pires sévices de la part de ses parents. D’après la police citée par le «Sydney Morning Herald», la petite victime dont l’identité reste secrète, n’aurait été adoptée que dans un seul but: être exploitée. En plus de le violer, Mark Newton et Peter Truong ont également «offert» leur fils à d’autres pédophiles à travers le monde.

    Il aurait eu des relations sexuelles avec au moins huit autres hommes, en France, en Allemagne, en Australie et aux Etats-Unis. Pire, ces actes atroces ont en plus été immortalisés en vidéo. Des images retrouvées dans l’ordinateur du couple par les enquêteurs et qui n’ont même pas pu être diffusées lors du procès, tant elles sont choquantes. «Je pense personnellement que c’est l’une des pires affaires, si ce n’est la pire affaire de pédophilie dont j’ai entendu parler», a commenté Brian Bone, l’un des enquêteurs en charge du dossier à la fin du procès. L’officier Jon Rouse a pour sa part assuré à ABC Australia que l’enquête ne serait pas close tant que tous les «hommes impliqués dans ce réseau ne seront pas jugés et condamnés pour qu’ils ne puissent plus jamais faire de mal à des enfants».
    "Une sophistication inquiétante"

    C’est en parcourant les réseaux pédophiles sur Internet que les autorités néo-zélandaises sont tombées sur le petit garçon. Elles ont immédiatement alerté la «Taskforce Argos», unité de la police du Queensland, en Australie, spécialisée dans l’exploitation d’enfants. Sans attendre, la police a fait irruption chez le couple, mais il avait déjà pris la fuite vers la Californie. Les enquêteurs se sont alors saisis des ordinateurs et du matériel vidéo haute-définition des deux hommes. ABC rapporte que sur l’une des vidéos, on voit celui qui est appelé «Boy 1» par la presse accomplir des actes sexuels sur Mark Newton. A à peine deux ans, le petit garçon réalise des gestes «avec une sophistication inquiétante» indique le site. Sur une autre, on voit à nouveau l’enfant, cette fois âgé de 5 ans, livré à lui-même et effectuer plus de douze actes sexuels.

    Mais il n’est pas le seul enfant présent sur les images. Les enquêteurs ont découvert un autre petit garçon abusé dans la maison de Newton et Truong, à Cairns. Peter Truong devrait connaître sa peine dans plusieurs semaines. Mais il a d’ores et déjà affirmé qu’il n’était qu’une victime de plus dans toute cette histoire. Celui qui se faisait surnommé «Blopper» sur les sites pédophiles a assuré par le biais de son avocat avoir été «endoctriné et avoir subi un lavage de cerveau alors qu’il voulait au départ protéger les enfants».
    "Etre papa a été un honneur et un privilège pour moi"

    Mark Newton et Peter Truong avaient déjà fait parler d’eux en 2010… A l’époque, ils avaient accordé une interview à la radio ABC Far North, basé à Cairns, dans le Queensland, dans laquelle ils expliquaient à quel point il était difficile d’adopter lorsque l’on est homosexuel. «Mark Newton and Peter Truong ont voulu me parler, pour m’expliquer à quel point ils voulaient être pères et comment ils avaient finalement réussi à adopter un enfant en Russie, se souvient la journaliste qui les avait interrogés en 2010. Leur maison était impeccable. Les chambres lumineuses et spacieuses. Les jouets de leur fils étaient soigneusement empilés et son nom était écrit sur sa porte en lettres de bois». «J’ai abandonné ma carrière et mon travail pour aller en Russie m’occuper de l’adoption, avait confié Truong à la journaliste à l’époque. Nous avons mis toutes nos économies pour que cela soit possible».

    L’homme avait ensuite raconté qu’en ramenant l’enfant en Australie, le couple avait passé plusieurs heures à la douane et que quelques jours plus tard, ils avaient reçu la visite des autorités pour vérifier que tout était en ordre. «Ils voulaient voir si on avait un lit, des vêtements, de quoi le nourrir». La journaliste avait alors demandé: «Vous pensez qu’il y avait à ce moment-là des soupçons sur vous? Que la police pensait que quelque chose de louche avait lieu, comme un réseau pédophile?» «Absolument, absolument. Je suis certain qu’ils avaient peur de cela», avait répondu Newton, ajoutant: «Nous sommes juste une famille comme les autres». Quelques minutes avant que le verdict à son encontre soit prononcé par le juge, Mark Newton a prononcé cette phrase, glaçante: «Etre papa a été un honneur et un privilège pour moi. J’ai passé les six meilleures années de ma vie».

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