Voilà deux livres qui racontent la conversion au christianisme du chinois Lou Tseng-Tsiang. Il vécut entre les XIXe et XXe siècle. Homme politique pensant que si la race jaune était la meilleure, il reconnaissait que les sociétés occidentales étaient plus fortes, et ainsi il souhaita voir comment cette civilisation européenne tenait pour s’en inspirer. Pas étonnant, quand on sait que le principe de mimétisme est assez fort chez les peuples asiatiques en général. C’est là certes une essentialisation mais cet homme n’échappera pas à la règle. Il a donc d’abords envoyé ses émissaires pour se renseigner, tout en allant ensuite de lui-même en Europe, pour étudier et nous étudier. Découvrant que cette force était dû au christianisme il s’est rendu ensuite jusqu’au Vatican. Il finit par se convertir, se marier à une belge, puis deviendra bénédictin. Il était confucianiste au départ et comme il le savait, Confucius était un espèce d’«agnostique» affirmant qu’«il ne parlait pas du Ciel, car il n’avait aucune information dessus» (incapacité d’abstraction, bloqué dans la matière sensible pure, toutefois sans négation directe de cet ordre surnaturel) : mais voilà que le christianisme en parle avec sa cohérence dogmatique et ses sources sûres (universel ne niant pas les cultures particulières, historicité des Évangiles prit comme des reportages). Voilà que de Confucius il se convertit au Christ ayant accédé aux « informations du Ciel ».
https://francenationaliste.wordpress.com/2019/03/06/lou-tseng-tsiang-de-confucius-a-la-rencontre-du-christ/
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