Anti Nouvel Ordre Mondial

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    Le Viol des Nations

    Jean-Charles.
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    Message  Jean-Charles. 19/8/2008, 19:44

    Un texte qui en intéressera plus d'un...



    LE VIOL DES NATIONS

    En décembre 1916, au plus fort de la 1ère guerre mondiale donc, l’anthroposophe autrichien Rudolf Steiner inaugurait à Bâle un très important cycle de conférences intitulé : "Le karma de la Non-vérité". Extraordinaire exposé sur les causes et les responsabilités occultes dans le déclenchement d’une guerre qui ne devait finalement s’achever qu’en 1945 sous les cendres de la ville de Dresde et sous celles d’Hiroshima et de Nagazaki au Japon.

    Rudolf Steiner ne connut, certes, jamais cet Holocauste – cet holocauste au sens exact du terme – mais c’est cependant avec une effrayante lucidité qu’il décrivit la suite et l’épouvantable avenir que cette guerre – qu’il vivait – engendrerait inexorablement, fondée qu’elle était sur l’arme absolue d’un âge de fer : le Mensonge.

    C’est notamment à l’occasion de ce cycle de conférences qu’il osa publiquement révéler que la guerre européenne et la destruction des empires centraux d’Allemagne et d’Autriche-Hongrie avaient été planifiées dans les loges anglo-saxonnes dès la seconde moitié du XIXème siècle, révélations qui ne furent peut-être pas étrangères à sa mort par empoisonnement quelques années plus tard.

    Il produisit, en effet, à cette occasion, un certain nombre de documents d’origine maçonnique mettant clairement en cause une volonté diplomatique internationale au plus haut niveau visant à l’anéantissement de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie en vue de réaliser l’hégémonie définitive du leadership anglo-américain sur le monde. Un leadership essentiellement ploutocratique, il va sans dire, visant à rien moins qu’à « la réduction des peuples d’Europe centrale à l’état d’esclaves et d’ilotes » pour le plus grand bénéfice des trusts [censuré] occidentaux.

    Il alla même jusqu’à produire, au grand effarement de ses auditeurs, une "carte de la future Europe" dont l’authenticité devait être garantie quelques années plus tard*, et sur laquelle figurait, à l’est d’une approximative ligne Oder-Neiss, cette seule et cynique formule lapidaire : « Champ d’expériences socialistes », encore faudrait-il même préciser que le terme anglais utilisé n’est pas "champ", mais "désert" – ce qui devait, en effet, se réaliser ponctuellement, comme on le sait, aussitôt après la prise de pouvoir des Bolchéviks, pour le plus grand profit de leurs démocratiques alliés.

    Ce sera donc sans surprise qu’il qualifiera les conditions de l’armistice de 1918 comme « une véritable condamnation à mort » de toute l’Europe du centre, entendue ici dans l’acception géopolitique et spirituelle du terme, en ce sens que, comprise comme un tout organique, l’Europe ne se pouvait mutiler dans aucune de ses parties sans dislocation durable, et que détruire l’Allemagne équivalait à frapper au cœur un continent tout entier, réduit, de ce fait, à n’être plus qu’un vaste champ d’exploitation pillable et taillable à merci par tous les doigts crochus de la terre. Ce que nous voyons se réaliser en ce moment sous nos yeux, suivez mon regard, mais il y a plus.

    Réduire à merci un ensemble de peuples d’aussi haute culture et civilisation que l’Europe ne pouvait évidemment pas se réaliser avec les mêmes moyens grossiers que ceux qui furent employés contre les peuples amérindiens, les Boshimans d’Afrique ou les autochtones australiens. Non, une telle entreprise d’asservissement d’un continent comme l’Europe ne pouvait se contenter de simples mesures d’ordre militaire ou seuls les corps sont opprimés. L’extraordinaire relèvement de l’Allemagne à partir de 1933 le montre à l’évidence : brisée, mutilée d’un tiers de son territoire, saignée à blanc par le traité de Versailles et sa monnaie tellement réduite à rien qu’il fallait un plein panier de billets pour faire ses courses, elle se retrouvait, dès 1936, locomotive économique du continent, chômage muselé, bientôt si florissante que des travailleurs de toute l’Europe viendront s’y relayer. Bref le cauchemar pour les meneurs de jeu de la haute finance anglo-saxonne.

    LA TENAILLE MAÇONNIQUE

    Mais l’Allemagne de 1932, toute lamentable et misérable qu’elle était, était encore un peuple, une vraie nation, homogène et soudée dans son malheur et son abaissement, une âme forte et vigoureuse, pleine de sève et de sang. Voilà ce que n’avaient pas prévu les banksters du Traité de Versailles, et qui les conduisit, dès le 24 mars 1933, à ourdir la mise en œuvre du deuxième round par le biais de diverses officines qu’il est interdit de nommer et du Grand Lobby qui-n’existe-pas ; ce qui eut lieu le 3 septembre 1939 lorsque l’Angleterre déclare la guerre au Reich, bientôt suivie de la France. Pour plus de sûreté dès 1941, toute honte bue, la haute finance anglo-yankee s’allie aux Soviets de Staline et soutient à bout de bras l’Armée Rouge. Le trio de Yalta pouvait se congratuler : la tenaille maçonnique avait bien fonctionné ; ce n’était donc pas en vain que l’or des Warburg, des Jacob Schiff, Rothschild et autres Rockefeller avait financé les frères Lénine et Trotzki. L’affaire avait rendu au centuple...

    Aussi, lorsque quatre ans plus tard l’Allemagne est de nouveau à genoux dans son corps, mais invaincue dans l’âme, c’est son âme qu’on entreprit de « traiter ». Car, voyez-vous, si tuer les corps est facile, tuer les âmes exige plus de finesse. Là, le phosphore, les potences, l’atome ou les munitions D.U. ne sont que de peu d’effet. C’est un poison d’une autre alchimie qu’il faut ! Un poison triple et subtil. Trois forces constituent, en effet, la vie de l’âme : la pensée, le sentiment et la volonté. Ce sont ces trois forces-là qu’il faut atteindre pour briser un homme, et à plus forte raison un peuple :

    # D’abord obnubiler la pensée, la conscience du Vrai.
    On le sait, le poisson pourrit par la tête : c’est donc à la tête qu’il faut frapper – par le mensonge – par le mensonge savamment distillé, partout, dans tous les média surtout, par le contrôle de tout ce qui pense, ou qui pourrait penser un jour : l’Université, l’édition, la presse, la radiotélévision, et forts de tous ces bons outils, truquer l’Histoire, imposer une relation intégralement falsifiée du cours de la guerre et de ce que vous savez, la marteler à satiété, en l’imprimant dans les profondeurs des esprits de telle sorte qu’elle en vînt à annihiler dans l’âme allemande jusqu’au simple respect de soi-même et tuer du même coup chez tous les autres peuples toute velléité de sursaut national. Toute résistance enfin. Alors seulement la plèbe sera prête pour l’esclavage et le peuple pour la servitude apathique et amorphe d’un docile troupeau à la merci des larbins du Système.

    # Ensuite détruire le sentiment du Beau.
    Enlaidir, encenser le moche, le vulgaire et le toc. Frapper au cœur, par conséquent, partout, dans l’art, le vêtement, l’architecture, la musique ou la langue. Haro sur les enfants surtout : ceux-là sont encore tendres. Inutile, n’est-ce-pas ? de vous faire un dessin...

    # Pour finir : dévoyer la volonté, le désir du Bien,
    et ce, dès la prime adolescence, celle où s’affermit l’individu – en pervertissant l’instinct de vie, en flétrissant dès le début la vie sexuelle (et ce qui fonde la vigueur et la pérennité d’un peuple sain : le couple et la cellule familiale) – par la débauche et la pornographie. Là, c’est tout bon : c’est vraiment atteindre le tissu biologique en sa substance. Regardez autour de vous : vous aurez tout compris.

    Un plan avait bien été préparé pour anéantir à tout jamais le cœur germanique européen : outre le plan Morgenthau, le plan Kaufman (cela ne s’invente pas) lequel prévoyait la stérilisation discrète et méthodique de 40 millions d’Allemands en âge de procréer, sous couvert de quelque banale vaccination ; seulement, une indiscrétion aurait toujours été possible. Une solution plus discrète et tout aussi définitive devait donc y suppléer : une dissolution raciale progressive sous l’effet conjugué d’un encouragement aux pratiques abortives et contraceptives chez les Européens dans le temps même où s’organiserait une immigration puissamment orchestrée sous couvert d’accueil, de propagande antiraciste et de suppression du droit du sang, ce jus sanguinis encombrant qui fondait jusqu’à présent nos nations européennes et la vitalité de la race. Rudolf Steiner ne s’y était pas trompé lorsqu’il mettait en garde, le 11 janvier 1907 à Leipzig :

    « On peut anéantir le caractère originel d’un peuple si, en le colonisant, on impose à son sang ce que celui-ci ne peut supporter (seinem Blute zumutet, was dieses Blut nicht ertragen kann) »

    Mère de toutes les civilisations modernes, la péninsule européenne formait jusqu’au début du siècle un tout organiquement équilibré en trois sphères spirituelles : la sphère celto-latine à l’ouest, la sphère gréco-slave à l’est, et la sphère germanique au centre, puissant réservoir de peuples qui vinrent, à partir du IIIème siècle, féconder l’Europe entière d’un flot de sang neuf à tous les azimuts : la vieille Grèce et la Rome épuisée des Césars, le monde celtique trop tôt romanisé, et le monde slave enfin par la pénétration des Rûs suédois et la fondation de la monarchie russe qui s’ensuivit en face des hordes turco-mongoles.

    De ce grand ensemble ethniquement homogène, l’Allemagne-Autriche formait à la fois le cœur et l’épine dorsale où risquait de se confédérer un jour ce concurrent redoutable – ô combien ! – qu’aurait été une Europe libre en face des ambitions hégémoniques frénétiques d’une Amérique déjà profondément métissée. Les Loges occidentales et les Bnaï-Briths n’ignoraient nullement ce danger, pas plus que cette certitude que le temps jouait contre eux. De là, comme s’en alarma Rudolf Steiner, cette nécessité pour eux d’anéantir à tout jamais, au plus vite, ce cœur de l’Europe qu’était l’Allemagne depuis le Saint Empire, et cette guerre de trente ans atroce qu’ils ourdirent en sous-main dans les chancelleries du début du siècle.

    De là finalement l’ignoble viol des consciences auquel nous assistons depuis 1945 et que devait définitivement venir sanctionner la promulgation sans précédent des lois-bâillons que nous connaissons. Celles plaçant désormais la vérité historique à la botte du régime, au point qu’on devait en venir, comme tout récemment, à entendre prononcer par des juges cette phrase inouïe d’iniquité: « Truth is no defense » (la vérité n’est pas un argument de défense !)... Exit le traditionnel « Jurez de dire la vérité, toute la vérité ! » L’Âge Noir des prophéties, l’Âge du Mensonge c’est cela.

    Car c’est bien en vue de perpétrer un Holocauste que le Mensonge avait été, pour la première fois dans l’Histoire du monde, érigé en système international de gouvernement : le génocide froidement planifié du cœur germanique européen, et partant, à plus ou moins long terme, de toutes les nations blanches de souche indo-européennes de ce continent.

    Tout, sur cette terre, peut, en effet, pour peu qu’on en fasse l’effort, être restauré, sauvé, réparé, remis en ordre : une agriculture sabordée, une économie ruinée, une culture saccagée, jusqu’à certains désastres écologiques peuvent, le temps aidant, être soignés... Une chose seulement, en ce monde, reste à tout jamais incurable et perdue sans remède : le patrimoine génétique identitaire d’une race ou d’une nation lorsque, comme le mit en garde Rudolf Steiner, « on impose à son sang ce que celui-ci ne peut supporter ».

    LES ÂMES ET LE SANG DES PEUPLES

    Dès lors, c’en est définitivement fait de ce peuple. Quelle qu’ait pu être son renom, sa gloire ou sa puissance, il n’est plus qu’une multitude amorphe foulée aux pieds par le premier envahisseur qui s’enhardira à le soumettre à son joug. L’Histoire regorge d’exemples de ce type. Combien d’empires et de civilisations brillantes n’ont-ils pas disparu à tout jamais, combien de peuples jadis vigoureux et nobles n’ont-ils pas dégénéré faute d’avoir su préserver leur simple identité charnelle ?

    Je ne veux pas dire ici qu’un peuple ne soit qu’une simple entité génétique au sens matérialiste du terme cher à notre époque, certes non ! Car comme tout homme porte en lui une âme qui le rattache aux dieux, les peuples eux-mêmes ne sont que les corps et la substance d’entités spirituelles autrement supérieures à lui, mais je veux dire par là que s’il peut arriver que l’âme ennoblisse le corps, c’est le corps héréditaire en premier lieu, quoi qu’on en dise, qui sert et permet à l’âme de se parfaire et d’évoluer. Saccager le corps c’est contrarier l’évolution de l’âme. Il en est de même des peuples : dénaturez par force la subtile alchimie du sang des nations et vous entravez à jamais l’évolution des générations qui sont appelées à s’y incarner un jour. Le viol de la nature est une atteinte à la création divine.

    Nous menons aujourd’hui notre dernier combat. Celui des Forces Blanches au cœur de l’Âge des Ténèbres. Il ne nous sera fait aucun cadeau, sachez-le, et je crains que le pire soit encore devant nous. Ce que je sais, par contre, c’est que, quoi qu’en puissent penser certains, l’Homme n’est pas seul dans ce combat sans exemple, et qu’en ces âges critiques où nous entrons, la foi, la force de caractère et le courage sont d’un aussi grand poids, sinon plus, que celui des plus lourds missiles de l’Ennemi. Son mensonge aussi, si lourdement imposé qu’il soit aujourd’hui, s’évanouit en fumée dès lors que vous le reconnaissez pour tel : ombre gigantesque mais vide, à l’image de ce spectre hideux que la vierge Eowyn disloque d’un coup d’épée dans le roman de Tolkien. La Vérité n’est pas de même poids que le mensonge : elle est une force spirituelle invincible.

    Nous sommes entrés dans un âge où les meilleurs soldats ne seront pas les chevaliers de l’explosif ou de la kalaschnikof : ce seront ceux qui sauront utiliser la Vérité et qui auront le courage de la dire et de la répandre comme un flambeau dans la nuit. Ne prenez pas cela pour du lyrisme à bon compte ! Ce ne sont pas aujourd’hui les armements matériels les plus lourds ou les plus sophistiqués que redoute l’Ennemi, car ces trucs-là, c’est à l’échelle industrielle qu’il sait maintenant les fabriquer pour le plus grand bénéfice de son économie, de sa Bourse et du Veau d’Or qu’il sert – et la chair à canon pullule ! Non, ce qu’il craint le plus et qui lui met la peur au ventre et la sueur au front, c’est la VÉRITÉ – anthropologique, sociale, morale ou politique, mais, par dessus tout, historique. C’est cela qui fait trembler le Système : son propre mensonge, son imposture d’État qu’il s’efforce fébrilement de maintenir, c’est cela et rien d’autre qui le fera crever un jour comme une sale araignée noire.

    N’en doutez pas, ce ne sont pas des divisions de chars, des flottes de guerre ou des commandos bardés de ferraille qui le blesseront un jour à mort, c’est la main d’une fille au regard clair et droit : cette Vérité que vous oserez dire et lancer partout autour de vous, en toutes circonstances, comme des torches de feu. Voilà ce qui démolira Zog et son Système abhorré ! Des hommes et des femmes ignorant la peur et qui auront su faire de la Vérité le fondement religieux de leur vie.


    W. Helm

    *Par Karl Heise

    Source : http://rudolfsteiner.forumculture.net/culture-et-spiritualite-f17/le-viol-des-nations-t558.htm
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    Message  Jean-Charles. 23/9/2008, 22:21


    Il alla même jusqu’à produire, au grand effarement de ses auditeurs, une "carte de la future Europe" dont l’authenticité devait être garantie quelques années plus tard*, et sur laquelle figurait, à l’est d’une approximative ligne Oder-Neiss, cette seule et cynique formule lapidaire : « Champ d’expériences socialistes », encore faudrait-il même préciser que le terme anglais utilisé n’est pas "champ", mais "désert" – ce qui devait, en effet, se réaliser ponctuellement, comme on le sait, aussitôt après la prise de pouvoir des Bolchéviks, pour le plus grand profit de leurs démocratiques alliés.

    Samedi, 6 Septembre 2008



    La fin des mensonges
    Sonia Margolina



    En 1992 parut en Allemagne un livre qui fit l’effet d’une petite bombe : Das Ende der Lügen [La fin des mensonges], signé par l’historienne juive russe Sonia Margolina. L’auteur, qui ne cache pas qu’elle est la fille d’un bolchevik russe, faisait une description honnête et réaliste de la participation juive massive dans les atrocités bolcheviques, un sujet habituellement tabou.

    Extraits choisis :

    « Si l’officier, l’officiel aristocrate ou le bureaucrate en uniforme étaient typiques du régime tsariste, ensuite sous le nouveau pouvoir révolutionnaire bolcheviste, le commissaire juif avec sa veste de cuir et son pistolet automatique, qui parlait souvent mal le russe, devint un spectacle courant dans la rue. »

    « Mais en tous cas, des débordements de potentiels destructeurs, criminels et pathologiques, qui s’étaient accumulés à l’intérieur de la communauté juive, se mirent en mouvement dans les premières années de la Révolution Soviétique… Le problème était que les Juifs avaient pris le pouvoir pour la première fois dans l’histoire russe. Et pour la première fois ils apparaissaient non comme des victimes, mais comme des agresseurs… Quoi qu’il en soit, les horreurs de la révolution, de la guerre civile et des répressions qui s’ensuivirent ne peuvent pas être séparées du règne de la terreur instauré par les commissaires juifs. Tout à fait typiques étaient les révolutionnaires juifs comme Jakov Bljumkin, un socialiste de gauche, qui tua l’ambassadeur allemand von Mirbach en 1918. Cet aventurier névrosé avait été accepté par la Tcheka en récompense de ses services rendus aux bolcheviks. Nadesha Mandelstam raconta dans ses mémoires que dans un café de Kiev Bljumkin montrait à une foule horrifiée des formulaires en blanc de condamnation à mort. Il se vantait qu’il pouvait inscrire tout nom qu’il voulait sur les formulaires de mort imprimés à l’avance. Mandelstam le décrivit comme un mélange de meurtrier et d’intellectuel – pas un personnage typique de cette époque. »

    « Pour une personne impartiale comme l’historien Boris Paramanov, qui vit à New York, la présence juive dans le pouvoir était si frappante qu’il se demandait si la promotion des Juifs à des postes de direction n’avait pas été une ‘gigantesque provocation’ envers le peuple russe. »

    « Les Juifs du monde entier soutenaient le pouvoir soviétique, et restaient silencieux face à toute critique venant de l’opposition. »

    « La participation enthousiaste des Juifs bolcheviks à la subjugation et à la destruction de la Russie fut disproportionnée. Ce fut un péché historique qui était porteur de sa propre punition. Le pouvoir soviétique serait confondu avec le pouvoir juif, et la haine furieuse contre les bolcheviks deviendrait de la haine contre les Juifs… Il y avait maintenant des Juifs partout et à tous les niveaux du pouvoir. Le peuple russe voyait les Juifs à la tête de la Ville du Tsar, Moscou, où le nouveau pouvoir soviétique était concentré, et aussi comme commandants de l’Armée Rouge… »

    « Le citoyen russe ordinaire avait une bonne chance d’avoir affaire à un interrogateur et à un exécuteur juif. Partout où le Russe allait, il rencontrait un Juif dans un poste supérieur. Ce n’est pas une surprise, quand les Russes d’aujourd’hui comparent leur situation avec celle du passé, s’ils arrivent à la conclusion que le pouvoir actuel [de Eltsine] est à nouveau juif et donc si horrible. »

    « Le peuple était révolté par le fait que des communistes juifs participent à la destruction des églises russes. »

    « A la fin des années 20, on vit pour la première fois un nombre appréciable de communistes juifs investis d’un pouvoir de vie ou de mort dans les campagnes. C’est pendant la collectivisation que se fixa définitivement l’image du Juif comme ennemi implacable du paysan – jusque dans les endroits les plus reculés où personne n’avait jamais vu un Juif en chair et en os. »

    « Les Juifs constituèrent l’élite de la révolution, ils étaient dans le camp des vainqueurs. »

    « Il y a, dans cette histoire, des pages que l’on ne peu ouvrir sans frémir. Et ce sont précisément ces pages qui ont été sciemment et systématiquement occultées dans la conscience des Juifs. »

    Sonia Margolina ose même remarquer :

    « Le solide capital moral amassé par les Juifs après Auschwitz semble aujourd’hui épuisé. »

    Nous laisserons la conclusion finale à Soljenitsyne, dans le second volume de son livre Deux siècles ensemble (édition française, Fayard 2002) : à l’argument habituel des Juifs d’aujourd’hui qui éludent (assez lâchement) la question en disant que les Juifs bolcheviks étaient des Juifs non-religieux, donc « renégats », Soljenitsyne répond : « les nations peuvent-elles renier leurs renégats ? ». Comme chacun sait, c’est une chose interdite aux Allemands.

    notes
    Sonia Margolina, Das Ende der Lügen : Russland und die Juden im 20 Jahrhundert, Siedler Verlag, Berlin 1992.
    source www.voxnr.com
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    Message  Jean-Charles. 17/4/2009, 22:51

    Les dessous économiques de la première guerre mondiale ! Très intéressant.


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