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http://www.takeourworldback.com/itwasntmuslims_fr.htm
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C'EST PAS LES MUSULMANS
Note du traducteur : WTC désigne ici le complexe du World Trade Center.
Maintenant qu'une revue scientifique révisée par les pairs a finalement publié la preuve de l'arme du crime (c'est-à-dire la nano-thermite inerte), démontrant hors de tout doute que les tours du World Trade Center (WTC) 1, 2 et 7 ont été détruites par démolition contrôlée, voici d'autres faits à considérer.
Ce ne sont pas des musulmans dans une grotte afghane qui ont pu avoir accès à de la nano-thermite hautement énergique. Ce sont plutôt l'armée américaine et les scientifiques du gouvernement, tels que ceux liés au NIST.
Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction ayant obtenu un contrat de 124 millions de dollars pour la construction de la Naval Sea Systems Command (NAVSEA), à Washington DC, qui supervise l’ Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), lequel a été qualifié dans les années 90 de « Centre national d’énergétique », le terme militaire pour « travail avec des explosifs », et qui était en 1999-2000 la « seule source fiable de nano-poudre d'aluminium aux États-Unis ». C’est plutôt Tom Leppert, qui le 11 septembre était PDG de Turner Construction, et qui a même écrit des parties de discours présidentiel.
Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction qui a supervisé en 2000 la démolition du dôme de Seattle (le Seatle King Dome); qui ont participé après le 11 septembre à la collecte de l'épave de la structure d'acier des tours du WTC et effectué d'importantes rénovations dans l'ensemble du complexe du WTC jusqu'à la matinée du 11 septembre, incluant la protection ignifuge des mêmes planchers qui ont été frappés par les avions et, par la suite "ont failli ", alors que l'acier avait été certifié ASTM E119 par Universal Laboratories, et alors qu’au cours des essais parrainés par le NIST sur des planchers similaires, soumis à une plus grande chaleur et avec moins de protection ignifuge que celle du WTC, les échantillons « ont été en mesure de soutenir le stress maximal admissible » sans s'effondrer et pour toute la durée des tests (2 à 3.5 heures). Le 11 septembre, c’est en fait Tom Leppert qui était PDG de Turner Construction et qui reçut ensuite le prix Torch of conscience (flambeau de la conscience) du Congrès juif des États-Unis.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait des tests de caméra sur les tours du WTC avant le premier impact des avions, qui ont dansé et célébré en se tapant dans les mains avant le second impact, alors que la plupart des spectateurs croyaient encore que c'était un terrible accident; et qui ont été pris avec des passeports étrangers, 4700 $ cachés dans une chaussette, des cartes géographiques mettant en évidence certains endroits de la ville et une fourgonnette testée positive pour les traces d'explosifs. Ce sont plutôt les Israéliens Sivan Kurzberg, Paul Kurzberg, Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari, dont plusieurs ont été identifiés comme agents du Mossad, qui ont avoué avoir été mandatés de « documenter l'événement ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été capturés le 11 septembre, travaillant en équipe avec des camionnettes pleines d'explosifs, qui ont tenté de faire sauter le pont George Washington avec l’une de ces camionnettes, qui ont fait sauter une camionnette (peinte avec une image montrant des avions plongeant sur New York) entre la 6e et la 7e av. sur la Rue King. Ce sont plutôt des Israéliens, ce qui explique pourquoi les autorités ont fait de leur mieux pour ignorer et enterrer ces rapports, incluant celui qui rapporte une camionnette suspecte dans le sous-sol du WTC et qui l’on a fait exploser pour affaiblir la structure.
Ce ne sont pas des musulmans qui se sont faits prendre, peu après minuit le 7 Mai 2002, à proximité de la base aérienne de Whidbey Island, à Oak Harbor, Washington, (où la marine effectue des essais de munitions explosives pour des unités mobiles anti-bombe au détriment de la vie marine locale), avec un camion de location qui a testé positif à la présence de plastique explosif (TNT et RDX). Ce sont plutôt des Israéliens, déguisés en "livreurs de meubles", mais suspects selon les autorités en raison de l'heure matinale. Les affirmations subséquentes des autorités, selon lesquelles la réaction des chiens et les premiers tests d'explosifs étaient erronés, est tellement pleine de trous que cela ne fait que démontrer la puissance du lobby israélien.
Ce ne sont pas des musulmans qui étaient à New York le 11 septembre et à Londres le matin des attaques du 7 juillet. C’étaient plutôt Benjamin Netanyahu et Rudy Giuliani.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fournit un avertissement avant les attaques du 7 juillet à Londres. Ce sont plutôt Benjamin Netanyahu et le Mossad.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont transmis un avertissement deux heures avant les attentats contre le WTC, par l'intermédiaire d'une messagerie instantanée basée à Herzliya. Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce n'est pas un musulman qui a fui les États-Unis le 14 Septembre 2001, c’est plutôt Dominick Suter de Urban Moving Systems (une entreprise de déménageurs) qui a fui en Israël.
Ce ne sont pas plus d’une centaine de musulmans qui, de janvier 2000 à septembre 2001, se sont fait passer pour « des étudiants en art » et tenté de pénétrer les bureaux de la US Drug Enforcement Agency (DEA) et autres bureaux fédéraux, incluant 36 lieux sensibles du Ministère de la défense (DoD); qui ont été capturés avec des plans de bâtiments et des photographies d’agents de sécurité fédéraux; et qui ont plusieurs fois contourné la sécurité en entrant par les portes arrières ou les garages de stationnement et qui sont même entrés dans les maisons de hauts fonctionnaires fédéraux, en évitant celles de leurs voisins. Ce sont plutôt des Israéliens, aucun d’eux n'étant étudiant en arts, mais ayant souvent travaillé pour les services de renseignement militaire israélien. Pas surprenant que la presse ait laissé sortir l’information de manière limitées en essayant de faire croire que les Israéliens « surveillaient les pirates de l'air arabes" mais ou bien ils ont failli à transmettre l'information, ou bien "l'info n'a pas été prise au sérieux"; c’est le vieux cliché de « l'échec des services de renseignement ». Les opérations israéliennes impliquant de faux " étudiants en arts" sont bien documentées, avec des noms et des descriptions. Un nombre particulièrement élevé de ces Israéliens logeaient à Irving, Dallas au Texas (p.23, lien précédent), à environ dix miles à l'ouest de la maison de Tom Leppert, située à juste un mile au nord de la maison dans laquelle George W. Bush a emménagé après avoir quitté ses fonctions.
Ce ne sont pas les pays musulmans qui ont un énorme réseau d’espionnage aux États-Unis, capable de s'infiltrer dans les réseaux de télécommunication américains utilisant l'information recueillie à des fins de chantage, c'est plutôt Israël.
Le 10 septembre 2001, ce ne sont pas des musulmans qui ont reçu l’avertissement de ne pas prendre l'avion le lendemain, ce sont plutôt le maire de San Francisco Willie Brown et un groupe de hauts fonctionnaires du Pentagone.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont signé un bail de 99 ans sur les tours jumelles du WTC (les bâtiments 4 et 5 avec 400 000 pieds carrés d'espace de vente), qu’ils ont assuré pour des milliards de dollars contre des attaques terroristes éventuelles, cela six semaines avant les attaques terroristes réelles, et qui ont ensuite engagé (pour la déclaration de sinistre) un « ingénieur en structure » qui affirme à tort que l'acier perd la moitié de sa force à « 400 degrés ». Ce sont plutôt Larry Silverstein (accord négocié par Lewis Eisenberg de la Port Authority), l'ami de Benjamin Netanyahu (ainsi que d'Ariel Sharon et Ehud Barak) ainsi que son partenaire australien milliardaire et « survivant de l'Holocauste » Frank Lowy. Ce dernier s’est battu dans « le mouvement clandestin juif »; a été impliqué dans un scandale de corruption bancaire de haut niveau avec le premier ministre israélien Ehud Olmert; est connu pour avoir fait des pots de vin à Lord (Michael Abraham) Levy; et a été arrêté plusieurs fois en lien avec un scandale « du fric pour l'honneur » (Levy était "partenaire de tennis" et conseiller de Tony Blair).
Ce ne sont pas des musulmans qui ont la réputation de perpétrer des incendies criminels pour ensuite réclamer des dédommagements aux compagnies d'assurance, tel que le suggère l'expression nouvellement employée « foudre musulmane ». Ce sont plutôt des Juifs, comme en témoigne l'expression bien connue « foudre juive ».
Ce ne sont pas des musulmans qui avaient l’habitude de déjeuner au restaurant Windows of the World, situé aux 106e et 107e étages de la tour Nord du WTC, mais qui (par une étrange coïncidence) étaient absents le jour fatidique du 11 septembre, évitant ainsi le triste sort des occupants (aucun survivant dans les étages situés au-dessus de l'impact d'avion à 8h46 AM). C’est plutôt Larry Silverstein, épargné en raison d'un « rendez-vous chez le dermatologue », qui a aussi sauvé ses deux enfants qui travaillaient chez Silverstein Properties.
Ce n'est pas un musulman
- qui a annoncé à la télévision peu après l'attaque que tous que " Cela... est certainement la marque d’un individu comme Ben Laden » et que les tours du WTC se sont effondrées en raison de "la vitesse de l'avion" et de "la chaleur intense, qui a aussi sans doute affaibli la structure";
- qui, le même jour, aurait conseillé le Cipro à la Maison Blanche, un antibiotique efficace contre l'anthrax, tout juste sept jours avant le début de la campagne de terreur impliquant les lettres contaminées à l'anthrax destinées aux sénateurs démocrates et aux bureaux des médias;
- qui le 11 septembre était le directeur de la division de ‘gestion de crise et des impacts’ chez Kroll Associates;
- qui était conseiller au Council on Foreign Relations (CFR) concernant la « surveillance épidémiologique » et conseiller à la sécurité nationale au National Institute of Health (NIH);
- qui offert un poste de chef de la sécurité du WTC à son "ami" John O'Neill.
C'est plutôt Jerome Hauer.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont mené une campagne de terreur en envoyant des lettres contenant des spores du bacille du charbon dont la charge électrostatique a été altérée pour en faciliter la dispersion, de l'anthrax de qualité militaire en provenance du laboratoire de l'US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases (USAMRIID) à Fort Detrick. Ce n'est pas non plus le suspect retenu par le FBI qui l’a fait, le catholique Bruce Ivins, qui, contrairement aux vrais auteurs des attaques du 11 septembre, n'avait aucune raison de cibler ainsi les médias et les sénateurs de l'opposition, pour les forcer à accepter aveuglément et sous la peur la théorie de la conspiration des « pirates de l'air Arabes ». Ivins est mort d'une surdose, d’un présumé "suicide" en juillet 2008, après que le FBI eut renoncé à jeter le blâme sur Steven Hatfill parce qu'il n'y avait pas un seul petit élément de preuve contre lui. Logiquement, M. Philip Zack devrait être un suspect, puisqu’il a quitté Fort Detrick dans des circonstances nébuleuses en décembre 1991 après avoir dirigé une clique dénommée le "Camel Club", qui faisait du harcèlement racial contre le Dr égyptien Assaad Ayaad. Une enquête de 1992 a révélé que Zack a été filmé par une caméra de surveillance entrant dans un bâtiment du laboratoire de Fort Detrick à 20:40, le 23 janvier 1992, grâce au Dr. Marian Rippy, un pathologiste de labo et proche ami de Zack. L'enquête a également montré que quelqu'un était entré secrètement dans un laboratoire durant la nuit pour y conduire des recherches non autorisées, à l'évidence sur l'anthrax de qualité militaire. Presque dix ans plus tard, entre le 11 septembre et le début de la campagne de l'anthrax, le FBI reçut une lettre anonyme qui essayait de faire passer le Dr Assaad pour l'un des "bioterroristes". Les lettres à anthrax avaient apparemment été fabriquées pour qu’elle ait l’air d’avoir été écrites par un musulman. Le New York Times a parlé d'un certain « Monsieur Z », qui aurait raté les tests de polygraphe du FBI et aurait été surpris avec sa petite copine à Fort Detrick "entourés seulement par les germes tout gênés devant ce spectacle".
Ce n’est pas un musulman qui a affirmé avoir été tué sur le supposé « Vol 77 » d'American Airlines, avoir vécu à Silver Spring au Maryland (comme le fit un certain Rabbin Dr. Dov Zakheim), et avoir travaillé sur des projets top-secrets "très noirs" à l'Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), comme "chef de file réputé en énergétique", dirigeant un «Centre de technologie de fabrication en énergie", réalisant de la "recherche de pointe en systèmes énergétiques" et "occupant un poste au Naval Ordnance Laboratory (aujourd'hui fermé), anciennement à White Oak au Maryland ", à quelques milles de Silver Spring. C’est plutôt William E. Caswell.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclaré avoir été tués sur le prétendu "vol 77" et qui ont travaillé pour le gouvernement ou la défense, particulièrement la marine. C’est John Yamnicky qui, étrangement, pour la première fois, n'a pas dit à sa fille qu'il partait en voyage, et qui, comme William Caswell, avait travaillé pour la marine sur des projets top-secret "très noirs". Il y en a d'autres, comme par exemple Charles Burlingame, ancien pilote de chasse de la marine qui avait l'habitude de travailler dans l’aile du Pentagone qui a été touchée, qui a formulé une réponse à l'éventualité d'un avion de ligne qui percuterait le Pentagone et dont la fille Wendy a ensuite trouvé la mort dans un « incendie suspect » dans un gratte-ciel de 50 étages au New Jersey en décembre 2006. Ou par exemple Wilson "Bud" Flagg, un ancien pilote d'American Airlines et amiral de la marine. Ou encore Stanley Hall, un expert de la technologie anti-radar et directeur de la gestion de programme à Raytheon, Bryan Jack, un cadre supérieur et haut analyste de budget qui a travaillé au Pentagone. Chandler Keller, un ingénieur en propulsion de Boeing. Dong Lee, un ingénieur de Boeing qui a travaillé pour leur système de défense intégrée, et qui a travaillé pour la NSA pendant 14 ans. Barbara Olson, commentatrice à CNN et femme du procureur général des États-Unis, qui a affirmé avoir reçu des appels du "vol 77". Ruben Ornedo, un ingénieur en propulsion et communication satellite de Boeing. Robert Penniger, un ingénieur électrique pour BAE Systems. Ainsi qu'une autre douzaine de prétendus « passagers du vol 77 » qui étaient liées à la défense et au gouvernement qui, nous dit-on, sont tous tombés par hasard sur ce vol exceptionnellement vide. Ces gens, bien-aimés, respectés, considérés honnêtes, de l’étoffe des héros, sont le type même de gens dont le travail pourrait avoir été horriblement exploité à leur insu, et que les auteurs du 11 septembre auraient cherché à éliminer pour les empêcher de parler après les attentats.