Je ne nie pas qu'elle existe cette énergie libre. Comprends-moi bien. Je dis juste que cette technologie pourrait nous être apportée par des êtres qui n'ont pas tout à fait à coeur notre évolution spirituelle. Le but pourrait même être le contraire: nous emprisonner davantage dans la matière, avec une forme de supermatérialisme perfectionné, sur-raffiné. (Pensons au pseudo-rosicrucien alchimisant Sir Francis Bacon et à son rêve de "paradis sur terre" rationnel et matérialiste, Nova Atlantis. Rappelons que l'influence de la pensée scientifique de Francis Bacon conjuguée à l'empirisme de Roger Bacon ont façonné ce qui deviendra la science expérimentale objectiviste.).
Je vois une forme de naïveté dans cette idéalisation de l'énergie libre. Voyez ce à quoi les technologies nous ont mené: l'humain est asservi par la machine de plus en plus en bas âge. Les machines devaient nous rendre la vie plus facile, mais au contraire on en est devenu les esclaves. Les machines nous remplacent et nous mettent au chômage... Il nous viendrait peut-être pas à l'esprit de blâmer la machine elle-même, qui n'est qu'un outil... Mais je pose la question: la machine, la technologie, l'électricité, etc. sont-ils vraiment de simples outils complètement neutres?
Envisageons l'avenir plus ou moins rapproché. Si l'humain ne travaille se passions, il court à la catastrophe, entraînant peut-être même avec lui la nature. Ce sera la catastrophe à coup sûr d'autant pus que les technologies seront plus avancées. Les mini-bombes nucléaires sont de plus en plus utilisées. On commence même à utiliser des rayons lasers projetés par des satellites ou de drones intelligents.
Si l'humain ne nettoie ses passions, et l'on sait que c'est rudement difficile, la démocratisation de l'énergie libre ne pourrait-elle pas devenir le déclencheur d'un cataclysme sans précédent?
Dans son drame-mystère, Rudolf Steiner nous brosse un portrait original de la personnalité de Keely, l'homme qui aurait re-découvert les fondements de la technologie éthérique, liée au corps éthérique - et donc à la force morale - de l'inventeur lui-même. (L'Anglo-Saxon et les peuples anglophones en général seraient destinés à développer ces technologies éthériques.) Ce personnage réalise bientôt que ses inventions n'appartiennent pas au présent mais au futur, et que pour l'instant celles-ci ne peuvent servir qu'un être: Ahriman/Satan, celui qui veut tenir l'homme esclave du matérialisme, coupé du spirituel.
Nous pouvons observer les effets négatifs des découvertes de Nicolas Tesla dans les installations des super-antennes HAARP en Amérique (supposément en Alaska, mais ceci n'est qu'un masque pour les tabloïds). Nous voyons ici à l'oeuvre la vérité occulte selon laquelle ces technologies, lorsqu'elles sont appliquées concrètement avant que l'homme n'ait nettoyé ses passions et ses désirs, ne peuvent au bout du compte que servir à (et jouer dans la main de) Satan, prince de ce monde (Oncle Samaël l'Améri-caïn?).
Je vous laisse sur cette imagination de l'avenir peu réjouissante, qui nous appelle à veiller sans cesse.
Je vois une forme de naïveté dans cette idéalisation de l'énergie libre. Voyez ce à quoi les technologies nous ont mené: l'humain est asservi par la machine de plus en plus en bas âge. Les machines devaient nous rendre la vie plus facile, mais au contraire on en est devenu les esclaves. Les machines nous remplacent et nous mettent au chômage... Il nous viendrait peut-être pas à l'esprit de blâmer la machine elle-même, qui n'est qu'un outil... Mais je pose la question: la machine, la technologie, l'électricité, etc. sont-ils vraiment de simples outils complètement neutres?
Envisageons l'avenir plus ou moins rapproché. Si l'humain ne travaille se passions, il court à la catastrophe, entraînant peut-être même avec lui la nature. Ce sera la catastrophe à coup sûr d'autant pus que les technologies seront plus avancées. Les mini-bombes nucléaires sont de plus en plus utilisées. On commence même à utiliser des rayons lasers projetés par des satellites ou de drones intelligents.
Si l'humain ne nettoie ses passions, et l'on sait que c'est rudement difficile, la démocratisation de l'énergie libre ne pourrait-elle pas devenir le déclencheur d'un cataclysme sans précédent?
Dans son drame-mystère, Rudolf Steiner nous brosse un portrait original de la personnalité de Keely, l'homme qui aurait re-découvert les fondements de la technologie éthérique, liée au corps éthérique - et donc à la force morale - de l'inventeur lui-même. (L'Anglo-Saxon et les peuples anglophones en général seraient destinés à développer ces technologies éthériques.) Ce personnage réalise bientôt que ses inventions n'appartiennent pas au présent mais au futur, et que pour l'instant celles-ci ne peuvent servir qu'un être: Ahriman/Satan, celui qui veut tenir l'homme esclave du matérialisme, coupé du spirituel.
Nous pouvons observer les effets négatifs des découvertes de Nicolas Tesla dans les installations des super-antennes HAARP en Amérique (supposément en Alaska, mais ceci n'est qu'un masque pour les tabloïds). Nous voyons ici à l'oeuvre la vérité occulte selon laquelle ces technologies, lorsqu'elles sont appliquées concrètement avant que l'homme n'ait nettoyé ses passions et ses désirs, ne peuvent au bout du compte que servir à (et jouer dans la main de) Satan, prince de ce monde (Oncle Samaël l'Améri-caïn?).
Je vous laisse sur cette imagination de l'avenir peu réjouissante, qui nous appelle à veiller sans cesse.