Grand moment de télévision, lors de l'émission de Laurent Ruquier, «on n’est pas couchés». Du caviar en barres. Le pourfendeur des «ronds de cuirs» s’est payé la tronche d’un de ces connards du PAF, sélectionné pour sa bêtise pelliculaire prise pour de la pertinence. Ces branquignoleries inaugurées par des comiques tels Baffie, étaient supportables tant que, du tréfonds de leurs niaiseries, elles se contentaient de s’essayer à divertir le benêt parisien, obligé de se distraire le dimanche histoire de compenser d’avoir à faire le serf volontaire dès le lundi pour les gros trous du cul du Medef tels les Madoff. Lorsque les niais tentent de se la péter philosophes (Finkielkraut, BHL, Glucksman), critiques ou gros-niqueurs comme le Nulleau, on rejoint l’arrogance crasse du mec qui ne tient une place à la télévision que pour un mérite: fréquenter les mêmes habitudes prostituées de la jet-set parisienne. Or les péripatéticiennes, c’est bien connu, sont des peine-à-jouir, et nos putes de corps et d’esprit qui se prennent pour des esprits sont rémunérées pour vomir leur hystéries fielleuses. En vérité, des rasoirs d’intelligence, rémunérés pour raccourcir la raison. Payés pour emmerder et insulter le peuple. C’est exactement ce que dit fort à propos Bigard qui sait quelque chose de la vendetta parisienne, à Nulleau, en plus de lui dire «enculé», à un moment de la joute.
A la différence de Nulleau, Zemmour a les moyens intellectuels de ses haines et de ses ressentiments. Il n’empêche, Nulleau s’est autorisé à critiquer Lalanne: «le niveau des textes, c'est au bord du délit culturel». Il s’est pris une soufflante de l’illuminé en retour. Bien fait pour ta gueule de con. Lui, Nulleau est un délit tout court et pas qu’au bord. Une erreur au centre de l’ingénierie de l’espèce, un bogue. On n’aime d’autant moins Lalanne à la Feuille de Manioc qu’on est fondés à prendre sa défense sur ce point, contre les imprécateurs qui vivent du système en participant à son maintien. Qu’on aime ou pas Francis Lalanne, il est un reproche qu’on ne peut lui faire, c’est l’absence de sincérité. Une coutume des gens en vue à Paris. Lalanne croit en ce qu’il dit et fait et c’est plutôt rare pour être salué à une époque où le dévergondage en partouze et en public fait office de vertu et de mode de promotion sociale. Donc lorsque Lalanne dit que la question de l’Etat de droit est posée en France, il convient de lui répondre autrement que par des injures excommunicatrices, de lui opposer des arguments et non des anathèmes comme on en abuse à l’égard d’Amaninedjab. La question posée de l’Etat de droit est exactement ce que le sort fait à Julien Coupat ne dément pas. Nous l’avons dit ici à un autre crétin professionnel payé pour l’être et le revendiquer, le pathétique Aphatie de RTL et Canal+. Quant aux journalistes qui vivent de la propagande du système qui les fait vivre, la seule différence entre eux et les soviétiques Pravda et TASS, c’est que leur servitude est volontaire. Dommage que les duels ne soient plus de rigueur. Il y a des bourre-pif qui se perdent…
A la différence de Nulleau, Zemmour a les moyens intellectuels de ses haines et de ses ressentiments. Il n’empêche, Nulleau s’est autorisé à critiquer Lalanne: «le niveau des textes, c'est au bord du délit culturel». Il s’est pris une soufflante de l’illuminé en retour. Bien fait pour ta gueule de con. Lui, Nulleau est un délit tout court et pas qu’au bord. Une erreur au centre de l’ingénierie de l’espèce, un bogue. On n’aime d’autant moins Lalanne à la Feuille de Manioc qu’on est fondés à prendre sa défense sur ce point, contre les imprécateurs qui vivent du système en participant à son maintien. Qu’on aime ou pas Francis Lalanne, il est un reproche qu’on ne peut lui faire, c’est l’absence de sincérité. Une coutume des gens en vue à Paris. Lalanne croit en ce qu’il dit et fait et c’est plutôt rare pour être salué à une époque où le dévergondage en partouze et en public fait office de vertu et de mode de promotion sociale. Donc lorsque Lalanne dit que la question de l’Etat de droit est posée en France, il convient de lui répondre autrement que par des injures excommunicatrices, de lui opposer des arguments et non des anathèmes comme on en abuse à l’égard d’Amaninedjab. La question posée de l’Etat de droit est exactement ce que le sort fait à Julien Coupat ne dément pas. Nous l’avons dit ici à un autre crétin professionnel payé pour l’être et le revendiquer, le pathétique Aphatie de RTL et Canal+. Quant aux journalistes qui vivent de la propagande du système qui les fait vivre, la seule différence entre eux et les soviétiques Pravda et TASS, c’est que leur servitude est volontaire. Dommage que les duels ne soient plus de rigueur. Il y a des bourre-pif qui se perdent…