Chapitre VIII
De l’influence juive dans la politique américaine
Les administrateurs, choisis par nous dans le public, en raison de leurs aptitudes serviles, ne seront pas des individus préparés pour l’administration du pays. Ainsi ils deviendront aisément des pions dans notre jeu, dans les mains de nos conseillers savants et géniaux, de nos spécialistes, élevés dès l’enfance en vue d’administrer les affaires du monde entier.
(Extrait du 2e protocole, pages 15-16)
Tout jeune homme a encore en mémoire que Tammany Hall est synonyme de ruse et tromperie politique aux yeux du peuple. Tammany Hall a toujours été considéré comme le pire exemple de l’autorité patronale, de la corruption politique, de la force brutale, qu’on pût trouver au monde. Son seul nom inspirait la terreur dans les décennies précédent la
Première Guerre mondiale.
Toutefois, il devait apparaître, même au plus insouciant des lecteurs de journaux, que le renom de Tammany Hall se faisait de plus en plus discret dans les commentaires : plus de critique amère ; absence totale de titres accusateurs ; appel à tous les honnêtes patrons, à la citoyenneté de bon aloi, en vue de livrer bataille à la mafia patronale qui avait non seulement pignon sur rue, mais encore ses quartiers généraux à New York.
Pourquoi ce bouleversement au sein de la pègre ? Cela s’expliquerait-il par la disparition de Tammany Hall en tant que force politique ? Non, Tammany Hall est toujours là ; tout politicien new-yorkais vous le certifiera, le tigre de Tammany n’a pas modifié sa robe !
Il fut un temps où d’intrépides publications n’hésitèrent pas à dire la vérité sur Tammany ; mais ces revues ont vécu ou sont passées sous influence juive. Il fut un temps où des corps publics organisés, tels que l’Union des citoyens, décidèrent de mener la vie dure à Tammany et à garder un oeil vigilant sur ses activités. Contre la riposte juive, ces groupes ne tinrent pas le coup et succombèrent.
Le tollé contre Tammany semble avoir été maîtrisé à partir du moment où les Juifs new- yorkais mirent la haute main sur cette organisation ; ils en sont toujours les maîtres. Si le Kehillah est le vrai centre politique, Tammany n’est qu’une officine de redistribution d’affaires
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et d’informations, de corruption et de délation, une sorte de relais au service du tout-puissant Kehillah. De nos jours, la judaïsation opérée par le Kehillah est totale, car l’élément irlandais a capitulé devant l’argent juif.
Tammany était une des plus puissantes organisations politiques aux Etats-Unis, non seulement au plan des municipalités et des Etats, mais exerçant souvent une influence décisive sur les affaires nationales. Il n’y avait pas, au monde, d’organisations d’égale importance ; ceci dit sans exagérer.
S’il y a quelque chose qui fascine les Juifs, c’est bien le pouvoir. Partout où réside le pouvoir, on les voit grouiller, obséquieux. Comme Tammany représentait le pouvoir ou le seuil de celui-ci, il allait de soi que les Juifs de la plus grande cité juive du monde le courtisassent.
Mais que d’autres pussent leur tenir tête les affectait fort : quelle incongruité que dans la plus grande cité juive, le pouvoir politique fût en mains non juives ! Quand le banquier juif allemand Schoenberg y vint représenter les intérêts des Rothschild, il saisit aussitôt la situation. Grâce à son flair, il devint membre de Tammany et parraina l’organisation.
Ce fut une bonne affaire pour le banquier juif, car les fonds des Rothschild furent sérieusement investis dans les transports new-yorkais. La propriété des transports urbains, dans toutes les villes américaines, est entre les mains du pouvoir local de Tammany, quel que soit le nom de la compagnie.
Belmont parvint à atteindre le titre convoité de Grand Sachem de la société Tammany. Ainsi, le tandem Belmont-Schoenberg ouvrit la voie au reste des Juifs, les Freedman, Untermeyer, Straus : des financiers, des juristes, des politiciens, des hommes d’affaires et des requins syndicalistes. Et suivirent les nominations systématiques des Juifs au sein du pouvoir judiciaire de New York, jusqu’à ce que cette ville devînt une réserve politique et légale juive.
Puis ce fut la conquête de la Cour Suprême, aboutissement de tous ces efforts depuis le jour éloigné de la mainmise juive sur Tammany Hall.
Cette conquête était nécessaire à une juiverie qui cherchait à contrôler le pouvoir judiciaire, de même qu’à fournir une protection spéciale à certaines entreprises juives qui étaient à la limite de la légalité. ll était nécessaire d’obtenir le contrôle de la machine politique suprême grâce à laquelle l’on dispense les faveurs dans la politique locale. Or, de par le système particulier de gouvernement local, étatique et national des Etats-Unis, ces organisations ont
facilement pu accéder à tous les échelons du pouvoir, moyennant ce passeport universel et infaillible qu’est l’argent.
Les affinités politiques et naturelles semblent orienter les Juifs vers le parti républicain : c’est là qu’ils reviennent après avoir tâté d’un autre engagement ; pourtant leur prédilection pour le parti républicain ne les incite pas à s’y confiner. Ils ne commettraient pas l’erreur de n’être les partisans que d’une seule formation politique, car il leur faut contrôler tous les groupes, et
ils le savent depuis longtemps. Déjà fort lorsqu’ils s’emparèrent de Tammany, ils assurèrent leurs acquis dans les rangs du parti républicain, alors que le socialisme, à New York, était (et il l’est toujours) dirigé et instrumenté par eux. Il est donc aisé aux Juifs de changer de perchoir, d’agir dans toutes les directions qu’ils jugeront opportunes, et au Kehillah d’exécuter toute menace. Cette tactique assure également aux Juifs leur élection, quel que soit le parti où ils sont candidats.
Du fait de l’origine irlandaise de Tammany, les Juifs se montrèrent, dans les débuts, très circonspects. Le Kehillah adopta l’ancienne tactique consistant à ne pas promouvoir les siens, mais à recourir aux non-Juifs : les idiots utiles à Juda. La différence entre des politiciens, eux-mêmes non-Juifs, et des politiciens de race juive, est que les premiers peuvent quelquefois aller plus loin que les Juifs dans la fonction visée, sans entraîner de réaction. C’est ainsi que, dans ses débuts, à vrai dire jusque peu avant la Première Guerre mondiale, Tammany comportait toujours, en vitrine, un « front des Goyim » baignant dans la gloire publicitaire de cette société ; mais dans les coulisses, à l’arrière-plan, il y avait toujours le « contrôle juif ».–– 59 ––
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Voilà expliquée aux citoyens souhaitant être éclairés, cette chose occulte qu’est le « contrôle juif ». Redisons-le, les Juifs ont une influence dans tous les partis, si bien que, où que souffle le vent des élections, ils sont toujours gagnants ! Or qui commande à New York, commande aussi dans le gouvernement fédéral et plus loin encore.
Comme toujours, les campagnes électorales font l’objet d’une mise en scène qui divertit fort le peuple, d’autant plus qu’il y est permis de s’exprimer et d’agir comme dans la réalité d’un vrai gouvernement ; seulement voilà, ce sont toujours les Juifs qui sont derrières ! Et si l’élu ne fait pas acte d’allégeance aux Juifs, s’il ne se soumet pas à leur contrôle, il fera rapidement l’objet d’un « scandale », suivi d’une « enquête », puis d’une « mise en accusation » : ainsi sont déchus les désobéissants (N. de l’éd : Cette pratique déviante de la démocratie, à savoir le parrainage d’élections truquées, fut exportée vers d’autres pays, de manière à y installer des régimes fantoches, et ceci pratiquement dans le monde entier.)
En général, un homme ayant un « passé » fait preuve d’une parfaite docilité ; toutefois, même un homme intègre peut souvent être mêlé malgré lui à des pratiques électorales compromettantes. Il est de notoriété publique que les manipulations juives des campagnes électorales américaines ont été si habilement orchestrées que peu importait le candidat élu,
car il traînait toujours suffisamment de casseroles pour être discrédité à tout moment. Or ces scenarios font partie de la routine pour le contrôle juif.
Et, évidemment, comme les Américains ont été suffisamment habitués à protester contre un fonctionnaire public au premier soupçon d’irrégularité ou de malversations, alors retentiront aussitôt les aboiements du premier chien de garde juif. Si cette technique de dressage juive est étonnante, la promptitude avec laquelle les Américains leur facilitent la tâche l’est encore plus.
Hégémonie des étrangers et de Tammany
Tammany, dans sa force, s’abreuvait à la même source que le Kehillah : la population étrangère. La différence résidait en ce que le Kehillah pouvait recourir à une masse étrangère plus étoffée. Mais les deux chefs, du Kehillah et de Tammany, ont toujours été conscients au plus haut point du fait que leur pouvoir dépendait du flot ininterrompu de l’immigration. C’est toujours l’étranger qui constitua le meilleur matériau pour les projets du Kehillah, jusqu’à ce que les américains devinssent si désaméricanisés que l’immigration intensive n’était plus essentielle. C’est alors seulement que l’immigration commença à
diminuer.Le troisième grand flux migratoire, aux Etats-Unis, eut lieu dès 1884 et fut réellement la cause de la dégénérescence de New York, puis de la vie politique américaine. La vague géante se composait de Juifs russes, autrichiens et hongrois, dont l’arrivée fut suivie d’une mémorable période de crimes. Le souvenir de ces derniers subsiste encore à ce jour.
A cette époque, le département de justice et les tribunaux de police, première instance de jugement des crimes dans la cité, étaient aux mains de Tammany Hall, dirigé par le fameux Croker. Le résultat du contrôle juif fut un partenariat entre le gouvernement local et le crime qui n’a jamais été égalé en dehors des pays civilisés.
Un immigrant juif de type plutôt véreux fonda une association appelée Association Max Hochstim, plus connue sous le nom de Essex Market Court Gang (Gang de la place du Marché d’Essex). Un de ses principaux dirigeants était Martin Engel, chef Tammany du 8e quartier. Le roi de ce quartier juif était un certain Salomon qui avait troqué son nom contre celui, moins révélateur, de « Smith », et fut plus connu sous le nom de « Silver dollar Smith » (Smith au dollar d’argent), à cause du fait qu’il gouvernait son petit empire du « Silver dollar Saloon » (bar au dollar d’argent). Ce bar se situait en face de l’Essex Market Court qui était fréquenté quotidiennement par des hordes de criminels juifs parlant yiddish, par des hommes liges, de faux témoins et des avocats marrons.
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La Max Hochstim Association devint la première organisation de trafic d’esclaves blancs en Amérique. Les révélations faites par l’Union contre l’esclavage et par le Comité d’enquête gouvernemental des Etats-Unis consistent en d’effroyables exposés sur la plus vile des dépravations : la Traite des Blanches, un ignoble trafic international mené sans état d’âme aucun. Ce trafic, organisé à grande échelle, avait été mis sur pied pour rapporter des dividendes à des politiciens véreux et aux Juifs de Tammany. C’est au cours de l’enquête officielle que la Max Hochstim Association fut connue sous le nom d’Essex Market Court
Gang. Et c’est du vieux tribunal de police du quartier d’Essex Market, à New York, que provient un nom devenu commun en anglais. Voici comment : un avocat nommé Scheuster dont la pratique était typique se rendit odieux aux yeux du juge Osborne ; à chaque fois qu’un avocat yiddish tentait un coup fumant, le juge le dénonçait ouvertement pour avoir eu recours à une pratique « à la Scheuster ». Il advint ainsi que les premiers dans la profession à porter le nom de « Shyster » furent les avocats yiddishs de l’Essex Market Court à New York.
Les Juifs et le scandale des esclaves blancs
Il est inquiétant de constater que, bien que ces questions soient consignées dans des documents officiels, et bien que ces mêmes faits figurent dans les rapports des enquêtes effectuées, les dirigeants juifs persistent à nier que les chefs de cet odieux commerce sont juifs. Alors que le gouvernement des Etats-Unis procédait à une enquête à l’échelle nationale, on constata et l’on rapporta de partout dans le pays les mêmes faits sordides. Le Kehillah new-yorkais se manifesta en tant qu’organisation de défense à un moment ou la révélation du trafic juif d’esclaves blancs menaçait d’accabler durement le ghetto de la ville.
La mise à jour de ce honteux trafic, qui eut lieu alors que les tribunaux de New York fonctionnaient encore de manière honnête et impartiale, contraignit nombre de Juifs impliqués à changer de nom. Ces noms sont portés aujourd’hui par quelques-unes des meilleures familles juives, dont le sinistre secret, bien dissimulé, est à l’origine de leur fortune: le secret les quartiers « aux rouges lumières ».
La Max Hochstim Association ne fut pas la seule organisation en cause ; une autre, portant le nom d’Association indépendante de Bienfaisance de New York (New York Independent Benevolent Association) fut créée en 1896 par un parti constitué de trafiquants juifs d’esclaves blancs. Des « gangs » semblables formèrent l’épine dorsale du pouvoir de Tammany dans les quartiers misérables, et leurs champs d’action principaux se situaient dans les tripots et autres cabarets, leur couverture des associations de « bienfaisance » de l’East Side, le tout sous la férule des caïds juifs, venus surtout de Russie et de Galicie. C’est
en tout cas ce que disent les rapports officiels. Ces Juifs étaient esclavagistes, comme leurs ancêtres l’étaient, du temps de Rome jusqu’à celui du trafic de « bois d’ébène », contrebandiers avant la période de la Prohibition, et ils constituent un important maillon de la chaîne du trafic de stupéfiant qui, jusqu’aujourd’hui, a défié la loi en corrompant des fonctionnaires.
Dans les dix années ayant précédé la Première Guerre mondiale, en mettant le grappin sur New York, et en l’exploitant à outrance, les Juifs ont commis une de leurs erreurs cycliques et récurrentes : ils ont poussé le bouchon trop loin dans leur crapuleuse volonté dominatrice.
Cependant, ils ont résisté à la tempête et ont conservé jusqu’à présent leur pouvoir.
Car c‘est cette tendance juive à se vanter et à trop en faire qui dévoile leur jeu. Des observateurs attentifs ont commenté les protestations récurrentes contre la présomption et les prétentions juives, mais ils les ont interprétées comme des spasmes provoqués par un redoutable poison censé circuler dans le sang des non-Juifs : le poison de l’antisémitisme.
C’est évidemment l’explication qu’en donne la propagande juive traditionnelle ; et bien des hommes d’Eglise, des écrivains, des politiciens, tous non juifs, s’y laissent prendre, en toute naïveté. Mais il y en a de moins innocents, admirateurs de l’argent juif qui, cyniquement, se font les complices de cette trahison.
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Ces affaires éclatent toujours après les guerres ! C’est la remarque que font nombre de ces commentateurs. Pourquoi donc « après » ? Parce qu’au cours des guerres, le monde perçoit plus clairement qu’en d’autres temps, les réels desseins et la vraie personnalité du Juif. Ainsi donc, ce n’est pas l’antisémitisme qui éclate, c’est le judaïsme, grossière et exubérante excroissance du sémitisme, et l’antidote que sécrète le corps de la société pour combattre le germe du judaïsme se manifeste sous forme de dénonciations publiques et de protestations.
Or ce sérum fait maintenant son effet : c’est le sérum de la publicité de ces agissements ; et le programme juif ne peut pas le supporter.En observant l’histoire de tous les secteurs dans lesquels les Juifs se sont engagés, du simple lieu de divertissements aux plus puissants empires économiques et financiers, on voit apparaître ce même cercle vicieux. La conquête juive de Tammany, cependant, n’est qu’une des formes de la conquête de New York. L’objectif des Juifs est plus que politique ; s’assurer que les riches et puissants fonctionnaires de la cité sont des leurs n’est pas leur but final ; New York, le centre de l’Amérique, a viré au rouge : c’est là que la plupart des trahisons étrangères dirigées contre les Etats-Unis prennent leur source.
Tammany est une couverture tout à fait appropriée pour certaines activités politiques, de même que le Kehillah est le funeste cocon abritant les activités racistes les plus radicales, dont le racisme antiaméricain.